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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Le nouveau jean 'Extreme Cut Out' fait beaucoup parler de lui et il coûte plus de 100 euros !
Plus le temps passe, moins il y a de tissu sur les habits, notamment sur les jeans. La mode des jeans troués existe depuis un moment déjà, mais les créateurs les trouent toujours un peu plus.
En ce moment c'est le jean 'extreme cut out' qui fait fureur, pour le peu de tissu qu'il possède, et il n'est pas fait pour les frileuses. Et bien sûr, moins il y a de tissu, plus c'est cher !
Avec celui-ci, gare aux courants d'air... Cisaillés aux genoux, raccourcis en corsaire et lacérés, mouchetés de déteintes savantes, trous à gogo, on croyait avoir tout vu, pourtant le jean 'extreme cut out' est arrivé. Le nouveau jean 'Extreme Cut Out' fait beaucoup parler de lui et il coûte plus de 100 euros !
Les jeans ont commencé par les trous aux genoux, puis aux fesses, et ensuite c'est parti complètement en vrille... Le nouveau jean 'Extreme Cut Out' fait beaucoup parler de lui et il coûte plus de 100 euros !
Maintenant, moins il y a de tissu, plus c'est 'stylé'. Le nouveau jean 'Extreme Cut Out' fait beaucoup parler de lui et il coûte plus de 100 euros ! La mode a bien changé au fil des années !
Les designers de Los Angeles décrivent l'article comme ayant une 'coupe décontractée'.
Le CHU de Grenoble inaugure son pôle “sport et cancer”
Des patients hospitalisés pourront à présent pratiquer une activité physique adaptée.
Il s'agit du septième centre de ce genre en France. Depuis plusieurs années, des clubs sportifs proposent aux personnes ayant subi un cancer de pratiquer des activités physiques adaptées pendant et après leur phase de rémission. Grâce au nouveau pôle ouvert au CHU, l'offre s'étend à présent aux patients en cours de traitement.
Hospitalisés au CHU, ils pourront pratiquer des activités physiques directement dans leur chambre grâce au "Médiété", une méthode qui permet de travailler avec le patient que la personne soit alitée, assise ou debout.
Au programme : des séances individuelles de renforcement musculaire et d'exercices de souplesse.
"Le sport permet de diminuer de 50% les risques de récidive" Pour Thomas Ginsbourger, coordinateur national de la CAMI sport et cancer, cette pratique sportive a de nombreux bénéfices.
"La pratique sportive a cinq effets bénéfiques. Le premier, c'est de diminuer de 50% les risques de récidive. Ce n'est pas négligeable !", explique Thomas Ginsbourger.
"Les traitements contre le cancer, notamment la chimiothérapie entraîne aussi une diminution de la masse musculaire. Faire du sport permet donc d'en récupérer un peu".
"Le sport aide à la qualité de vie des patients. Ces derniers se sentiront moins déprimés. Enfin, cela leur permet de se rapproprier leur corps et de rompre l'isolement."
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, l’activité sportive aide ainsi à lutter contre la maladie, et à limiter les conséquences des traitements.
Oise : les gendarmes vont donner des cadeaux aux bons conducteurs
Habitués à retirer des points aux mauvais conducteurs, les gendarmes de l’Oise vont désormais offrir des bons cadeaux aux automobilistes prudents. LP/Vincent Gautronneau Les gendarmes de l’Oise vont expérimenter dès vendredi un nouveau dispositif en distribuant, sur les routes, des cadeaux aux automobilistes qui respectent les règles.
Donner des bons points plutôt que d’en retirer. Les gendarmes de l’Oise vont tester, dès ce vendredi, une méthode innovante pour lutter contre l’insécurité routière. « L’idée, c’est de ne pas simplement faire de la prévention ou de la répression », explique le colonel François Brémand, patron du groupement de gendarmerie de l’Oise.
Comme l’a souhaité le Premier ministre et comme cela a déjà été expérimenté en Dordogne, les gendarmes de l’Oise vont donc « récompenser les bons conducteurs ». Pour pouvoir être félicité, il faudra simplement apposer sur son pare-brise arrière un flyer déjà édité à 50 000 exemplaires — et disponible sur le site de la gendarmerie de l’Oise — et écouter Radio Mercure (93 FM), partenaire de l’opération.
« Un véhicule qui utilise le flyer sera identifié et suivi pendant une dizaine de minutes par une voiture de la radio et un gendarme de l’escadron départemental de sécurité routière (EDSR), explique François Brémand. S’il ne commet pas d’infraction, il sera invité, via la radio, à se ranger sur le côté afin d’être récompensé de sa bonne conduite. »
Bons d’achat dans des grandes surfaces, places de concerts, entrées pour des parcs d’attractions ou même baptême de l’air pourront ainsi être gagnés par les automobilistes du département. « Sous réserve que le conducteur ait au moins 11 points sur son permis », précise le colonel Brémand.
- A la place d’une amende, les automobilistes se verront remettre un bon d’achat à la suite de leur bonne conduite. LP/V.G. Au total, « une dizaine d’opérations » devraient avoir lieu dans les prochains mois. Surtout « à l’occasion des départs en vacances », précise François Brémand. Les dates seront publiées sur la page Facebook de la gendarmerie, afin d’inciter les automobilistes à écouter la radio partenaire. Et au moins huit automobilistes seront récompensées à chaque fois, dans un secteur ciblé en amont. «Cette opération peut inciter les gens à être plus attentifs » « On a parfois eu tendance à oublier les bons élèves sur les routes, apprécie Anne Baretaud, la directrice de cabinet du préfet. Cette opération originale et positive peut inciter les gens à être plus attentifs. »
Ce qui semble être le cas. «Le bilan de l’opération est très positif, assure Jean-Philippe Bordes, gendarme de l’escadron départemental de sécurité routière de Dordogne. Nous l’avons fait à deux reprises. Les automobilistes informés font clairement plus attention à leur conduite, en espérant être arrêtés. » Seule limite possible à cette bonne idée, l’audience de Radio Mercure, pour l’instant relativement faible à l’échelle du département. « Nous nous adapterons, promet le colonel Brémand. Mais nous voulions, dans un premier temps, éviter de stopper les automobilistes avec le gyrophare et le deux tons pour leur offrir une récompense.
C’est un peu anxiogène. » Les trois premières opérations, les 4, 5 et 19 mai, serviront donc de tests avant une éventuelle adaptation du dispositif. Moins de morts, mais plus d’infractions dans le département Onze personnes ont perdu la vie depuis le début de l’année sur les routes du département, contre quinze l’an passé à la même période. Des chiffres « encourageants », mais à tempérer du fait des délits sérieux toujours plus nombreux. Depuis le 1er janvier, les gendarmes ont en effet constaté une hausse de « 30 % des conduites sous stupéfiants », et de « 22 % avec de l’alcool », précise le colonel Brémand. Plus de 800 personnes ont ainsi été interpellées alcoolisées au volant depuis le début de l’année. « Nous avons pourtant 9 % de contrôles en moins, précise le patron des gendarmes de l’Oise. En revanche, ils sont plus efficaces et nous constatons une hausse des infractions les plus graves. »
Oisegendarmeriesécurité routière
INTERDICTION TEMPORAIRE DE PÊCHE ET DE CONSOMMATION DES COQUILLAGES, À L’EXCEPTION DES HUÎTRES, DANS LE SECTEUR ARCACHON AVAL
Les résultats des analyses effectuées cette semaine par le réseau de surveillance de l’IFREMER ont révélé la contamination des moules en provenance du banc d’Arguin et des passes par des toxines lipophiles.
En conséquence, le préfet de la Gironde a décidé le jeudi 26 avril, après concertation avec les représentants des organisations professionnelles de la pêche et de la conchyliculture, d’interdire les activités de pêche et de commercialisation destinée à la consommation humaine, de coquillages en provenance du secteur ARCACHON AVAL (au sud de la ligne reliant LE MOULLEAU et la jetée de Bélisaire, en incluant les passes et le banc d’Arguin).
La consommation de ces coquillages peut entraîner des désagréments gastriques voire des troubles plus importants chez les personnes plus fragilisées. La cuisson ne détruit pas la toxine. Les analyses réalisées dans les huîtres ne révélant pas de contamination, elles sont exclues de l’interdiction et restent consommables. Cette mesure sera levée dès lors que les analyses établiront la bonne qualité sanitaire des coquillages dans cette zone.
Emmanuel Macron s’en prend aux associations de protection animale
Décidément, Emmanuel Macron risque de ne pas se faire beaucoup d’amis chez les protecteurs des animaux. Après s’être déclaré favorable à la réouverture des chasses présidentielles le 14 mars, le candidat d’En Marche! a critiqué les associations de protection animale jeudi lors d’un congrès organisé par la FNSEA.
Emmanuel Macron souhaite le retour des chasses présidentielles « Je n’ai jamais connu un éleveur qui était heureux avec des animaux malades. C’est comme l’idée qu’un employeur serait forcément quelqu’un qui adore licencier des gens.“ “Si quelqu’un est malheureux lorsqu’il y a un problème de bien-être animal, c’est l’éleveur le premier (…)
C’est lui pleure quand un animal meurt. Ce n’est pas les gens qui sont dans des associations ou dans des bureaux » a estimé le candidat à la présidentielle. L’association L214 visée? Son nom n’est jamais prononcé mais c’est probablement L214 qui fait figure de principale accusée. L’association de protection animale est en effet en guerre avec le syndicat agricole FNSEA depuis des années.
La cause animale importante pour les Français Selon un sondage Ifop pour la fondation 30 Millions d’amis dévoilé jeudi, la cause animale est un enjeu important pour quatre Français sur cinq (80%). Un tiers des Français la considère même le sujet comme «très important», soit une progression de six points par rapport à la dernière élection présidentielle de 2012.
Regardez bien cette vache : c’est un radar, et il débarque sur nos routes !
L’ère des radars pédagogiques semble en grande partie révolue et les contraventions qui leur sont liées connaissent une chute nette depuis quelques mois. En revanche, de nouveaux radars camouflés de dernières générations offrent des résultats record sur l’année 2017 !
Pour comprendre toute l’histoire, en 2015 déjà, nos confrères de « L’Écho De La Boucle » nous apprenaient qu’au total, six prototypes étaient testés sur les routes de France, et en particulier dans le Doubs, le Jura, et en Côte d’Or. Mais initialement prévu pour l’été 2016, les résultats des essais n’étaient pas satisfaisants. Les chiffres de l’année 2017 ont en revanche fait pencher la balance dans le sens de la prévention. Conséquence : pas moins de 500 « radars-vaches » seront dispersés sur l’ensemble de l’hexagone au 1e juillet 2018 !
Utilisés depuis 2013 en Italie et en Autriche, ces bijoux technologiques forcent les automobilistes à se méfier de toutes les vaches en bordure de route, et forcement, de ralentir ! Selon Pierre Blanchatre, délégué titulaire à la Sécurité routière, « Les nouveaux radars devraient être placés dans des zones potentiellement accidentelles, en particulier sur les Routes Nationales et Départementales limitées à 90 km/h, prochainement à 80 km/h. ». […] « Les recettes automatisées des radars devraient dépasser le milliard en 2018 ».
Certaines communes ont d’ores et déjà été invités à opérer certaines adaptations en fonction de la faune domestique locale, les radars-vaches seront vraisemblablement, si l’environnement le permet, implantés dans des champs, en bordure de route, et accompagnés de vraies vaches !
Les mordus de vitesse sont prévenus, il faudra maintenant lever le pied même sur les routes les moins fréquentées !
Il est resté dans le coma pendant 12 ans, il raconte aujourd’hui des choses qui glacent le sang
Voici l’histoire fascinante de Martin Pistorius, communément surnommé “garçon fantôme” par la presse publique ; il est resté plongé dans le coma pendant très longtemps. Il est resté dans le coma pendant 12 ans
Qu’est-ce que le Locked-in syndrome ?
Le locked-in syndrome est une des pathologies les plus effrayantes que la communauté scientifique ait découvert. En gros, c’est une situation où la personne a l’air d’être plongée dans un coma normal sauf qu’en réalité elle est complètement consciente de tout ce qui se passe autour d’elle. Elle ne peut ni parler ni bouger suite à une paralysie entière. Seules les paupières et parfois les yeux sont mobiles. Imaginez l’enfer de se sentir emprisonné dans son propre corps. Cette situation cauchemardesque peut durer des années voire des décennies.
Ce n’est que depuis quelque temps que les patients qui en souffrent peuvent communiquer avec le monde extérieur, chose qui leur était impossible auparavant. C’est ce qui est arrivé au jeune Martin Pistorius. Il est resté dans le coma pendant 12 ans
Aucun avertissement ou signe annonciateur n’a prédit cette situation
L’histoire de Martin Pistorius A 12 ans, le petit Martin était un garçon comme tous les autres et jouissait d’une bonne santé. Un jour, il commença à manifester des symptômes similaires à ceux annonçant un rhume. Sa santé s’est rapidement détériorée et les médecins, à l’époque, croyaient qu’il avait contracté une sorte de trouble neurodégénératif étrange, qui lui rongeait petit à petit le cerveau et le laisserait en état de mort cérébrale. Ils ont même suggéré à sa famille de faire en sorte qu’il s’en aille paisiblement dans son sommeil.
Endormi mais réveillé
Le jeune Martin a plongé dans le coma et y est resté pendant 4 ans. Puis, un jour il s’est réveillé. Enfin, son esprit s’est réveillé mais son corps est resté paralysé. Il est resté dans cet état pendant une dizaine d’années. Sa mère en est arrivée au point de souhaiter sa mort et lui en faire part au cours d’une visite. Bien sûr, il en a entendu chaque son à cause de la spécificité de sa maladie.
Il est resté dans le coma pendant 12 ans
Les mots de sa mère étaient durs à encaisser mais elle ne les avait prononcés que parce qu’elle l’aimait et qu’elle n’en pouvait plus de le voir souffrir. Plus tard, elle sera même un élément clé dans le processus de rétablissement de son fils. On dit oui à la technologie ! Ensuite, l’inespéré arriva, on parle carrément de miracle de la technologie. Le médecin, Virna Van Der Walt était de plus en plus inquiète de l’inconscience de Martin et a poussé sa famille à lui faire repasser une batterie de tests sous le contrôle de médecins et de spécialistes modernes.
Souvenez-vous qu’on avait dit plus haut que depuis peu de temps, il est devenu possible de communiquer avec des patients plongés dans le coma. Comment ça marche ? Il existe quelques manières de communiquer avec une personne paralysée ou dans un état de mort cérébrale. C’est un processus très technique mais qui se réduit en réalité au fait que même si le corps ne peut pas bouger, l’esprit est toujours actif. Grâce à des machines qui analysent le cerveau, une forme de communication basique peut être mise au point : se représenter mentalement certaines expériences peut activer la production de différentes substances chimiques, penser à différents souvenirs provoque la concentration du sang dans certaines régions du cerveau, etc. tout ce dont on a besoin est la possibilité de répondre ou non et d’établir un système de communication et réponses basé uniquement sur des questions auxquelles on répondrait par « oui » ou « non ».
Il est resté dans le coma pendant 12 ans
Une fin digne d’un conte de fées L’organisme de Martin a réagi très positivement à cette nouvelle thérapie, à tel point qu’en effet, au bout de quelques années, son corps a récupéré la majeure partie de ses fonctions. Il a appris à nouveau à lire, à marcher. il n’a toutefois pas recouvré l’usage de la parole et communique aujourd’hui grâce à un ordinateur. Martin a décroché un diplôme universitaire et est marié et heureux.
Martin Pistorius a publié une autobiographie du nom de « Quand j’étais invisible » (Host boy).
Un chien dévoré près des habitations par un ou plusieurs loups à Corrençon-en-Vercors en Isère
La découverte a été faite ce lundi 15 janvier 2018 à Corrençon-en-Vercors. Un chien de type border collie a été retrouvé mort a proximité des habitations. Il aurait été dévoré par un ou plusieurs loups.
La photo est impressionnante. On y découvre le cadavre d'un chien, de type border collie, complètement "nettoyé". Ne reste pratiquement que le squelette de l'animal.
Selon le maire de Corrençon-en-Vercors, Thomas Guillet, le chien a été dévoré par un ou plusieurs loups. L'attaque a eu lieu tout près des habitations. Pour le maire de Corrençon, cette attaque est "une première".
Si le loup fait désormais régulièrement des apparitions près des maisons, c'est la première fois qu'il tue un chien et surtout, qu'il le dévore presque entièrement."Du gibier, les chasseurs en trouvent fréquemment et malheureusement de plus en plus, mais qu'on trouve un chien dans le village près des habitations, attaqué par les loups, c'est la première fois".
Cette attaque inquiète et met en colère le maire de ce village du Vercors "c'est un peu le ras le bol et on a voulu que ça se sache". Comment être sûr qu'il s'agit bien d'une attaque de loups ? Pour Thomas Guillet, cela ne fait aucun doute. Le cadavre a été retrouvé par le garde-chasse Guillaume Ruel, également élu à Corrençon et très bon connaisseur du loup. Pour lui, il ne peut pas s'agir d'une attaque de chiens sauvages ou même d'un renard.
Par ailleurs, la présence de deux loups dans le secteur est connue explique encore le maire du village. L'attaque qui a été fatale au border collie inquiète en tout cas sur le plateau du Vercors. Selon le maire de Corrençon, certains randonneurs hésitent de plus en plus à s'aventurer dans les bois une fois la nuit tombée. Quelles solutions ? Thomas Guillet explique ne pas être "pro" ou "anti" loups. Il réclame juste une régulation.
Pour lui, il faut juste "maintenir un équilibre" et tenir compte du passé. Le maire de Corrençon déplore que le loup soit désormais "sans prédateur" et craint que l'on doive de plus en plus "s'adapter au loup".
Génération «J’ai le droit» :
«Dès la 6e, les élèves se lèvent en plein cours, tutoient»
« On glorifie les identités particulières, au détriment du bien commun », dénonce Barbara Lefebvre.
Barbara Lefebvre est enseignante, auteur de « Génération : J’ai le droit ». Dans son livre, elle témoigne de son expérience et parle d'une génération individualiste, de crise de l'autorité... Elle parle comme elle marche : vite. Même avec le rhume, Barbara Lefebvre est habitée par son propos. Cette prof d’histoire-géographie en région parisienne, en poste auprès d’élèves en situation de handicap, est devenue l’une des figures des débats sur l’école. Elle est classée dans le camp des conservateurs depuis sa participation il y a quinze ans à l’ouvrage collectif « les Territoires perdus de la République » sur la montée des communautarismes.
« Génération : J’ai le droit » est son quatrième livre.
La génération « J’ai le droit », c’est quoi ? Barbara Lefebvre. C’est à la fois une génération d’élèves et une génération de parents qui considèrent que leurs droits individuels prévalent sur l’intérêt général. On glorifie les identités particulières au détriment du bien commun. Cet individualisme fait le jeu de deux courants : d’une part, le modèle ultralibéral, avec le culte de l’argent ; d’autre part, le communautarisme, selon lequel on serait déterminé par une identité de naissance à préserver absolument.
En tant que prof depuis vingt ans, avez-vous observé les comportements de cette génération « J’ai le droit » ?
Oui. Dès la 6e, les élèves se lèvent en plein cours, tutoient et interrompent l’enseignant… C’est la preuve que quelque chose n’est pas cadré. Je vois dans cette génération deux rejets, deux crises : une crise de l’autorité et une crise de la culture. Or, la culture est fondamentale car elle est génératrice d’intégration. Et je ne parle pas là que des enfants d’immigrés, car un enfant est un nouveau venu dans la société, et le rôle de l’école est de lui apprendre la vie en collectivité. Mais elle est aujourd’hui délégitimée. Il ne faut pas s’étonner, par conséquent, que l’élève conteste, n’obéisse pas, voire dise qu’il est son propre maître.
Pour vous, l’école serait donc responsable ?
Cette génération est le résultat d’un très long phénomène, mais l’école en particulier a perdu le sens de sa mission. Avec ce principe prétendument progressiste selon lequel il faut se mettre à la portée des enfants, on a maintenu un grand nombre d’élèves derrière un fossé devenu quasiment infranchissable. Privés d’un accès exigeant à la langue, ils ne sont plus en capacité d’avoir une conversation avec quelqu’un qui vient d’un autre milieu.
L’école a perdu sa capacité intégratrice. C’est nouveau ?
L’explosion des réseaux sociaux a accentué la domination du « je » tout-puissant, qui pense primer sur le « nous ». Dans les années 2000 déjà, on sentait chez les élèves un certain non-consentement de l’autorité. Cela s’est exacerbé depuis cinq ou six ans.
Cet individualisme ne peut-il pas avoir de bons côtés ?
Quand vous mettez votre « je » en avant, quand la seule chose qui compte est la satisfaction de vos désirs et de vos envies, cela crée un rapport avec les autres extrêmement violent. L’autre devient un objet. D’où le harcèlement, le sexisme, et ces petits caïds qui font leur loi… Vous incluez les parents… Beaucoup ont intégré que l’école serait ce lieu de la violence institutionnelle, qui nierait l’identité et l’épanouissement de leurs enfants. Mais c’est normal ! L’école n’est pas le lieu d’épanouissement de l’enfant, c’est le lieu d’instruction de l’élève et futur citoyen. Aujourd’hui, beaucoup de parents ne prennent plus l’école au sérieux parce qu’elle-même a accepté que son idéal soit galvaudé
États Unis : des vagues « gelées » par le froid
Ces dernières semaines, les températures de l’air sont descendues en dessous des -20°C à plusieurs reprises dans l’État du Massachusetts, au nord-est des États-Unis. Une situation répétitive de blocage qui provoque la descente d’un air polaire sur cette région géographique depuis plusieurs semaines. Un phénomène rarissime causé par la vague de froid extrême qui touche l'est des Etats-Unis. huffingtonpost.fr 1 réponse 2 2 Retweets 6 6 j'aime Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité
Excepté des cumuls de neige qui atteignent les deux mètres dans la ville de Boston, l’autre conséquence grandiose de cette vague de froid durable est la présence de vagues gelées, ou plutôt glacées, sur les côtes de l’océan atlantique. Les plus spectaculaires ont été prises en photo sur les plages de Nantucket, une île située à une centaine de kilomètres de Boston.
Comme une crème glacée géante L’eau de mer peut en effet geler, même si le sel retarde la formation de la glace. Pour cela, il faut que la température de l’eau descende au-delà des -2°C. Contrairement à ce que peuvent laisser penser les photos des côtes de Nantucket, ces vagues gelées ne sont pas fixes comme le serait une statue de glace : il s’agit simplement d’une eau épaissie par la présence de cristaux de glace, exactement comme une crème glacée. Une belle vague gelée
Un évènement rarissime causé par la vague de froid qui sévit aux États Unis C’est en fait le sol qui gèle d’abord, puis les cristaux se propagent du bord vers le large, il commence à geler au bord des côtes et ce gel se propage ensuite. Un phénomène impressionnant qui va peu à peu disparaître des côtes américaines ces prochains jours : la situation météo va changer progressivement au début du mois de mars, avec le retour de températures de saison. Et il est même possible de surfer !car sur cette neige fondue, les vagues restent toujours en mouvement. Alors avis aux surfeurs les plus courageux qui n’ont pas peur de se frotter avec une eau ne dépassant pas les -11degrès !