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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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ENQUÊTE Besançon : un anesthésiste soupçonné de sept empoisonnements, dont deux mortels
Un médecin-anesthésiste de Besançon a été mis en examen pour avoir empoisonné sept patients, dont deux sont décédés. Un acte volontaire selon le parquet, qui l'a mis en examen.
Coup de tonnerre à la clinique Saint-Vincent.
Un médecin-anesthésiste de 45 ans a été déféré ce lundi devant le parquet de Besançon. Les investigations vont encore se poursuivre durant plusieurs mois, mais le parquet estime que les enquêteurs de la police judiciaire ont rassemblé suffisamment d’éléments à charge pour ouvrir une information judiciaire à son encontre.
Ce médecin, pourtant reconnu professionnellement, est accusé d’avoir commis au moins sept faits d’empoisonnement, dont deux fatals à ses patients. Et ce, entre 2008 et 2017. Durant cette période, le praticien suspecté a également exercé à la Polyclinique de Franche-Comté, qui a tenu à réagir via un communiqué. La direction de la clinique Saint-Vincent, elle, reste pour l'heure silencieuse.
Le parquet de Besançon écarte la piste de l'erreur médicale répétée. « Nous n’avons pas retenu le chef d’homicide involontaire, mais bien d’empoisonnements. Vu les doses administrées, ça ne pouvait pas être accidentel », explique la vice-procureure de la République, Christine de Curraize.
Faits commis entre 2008 et 2017
Les détails sur les motivations du praticien, qui nie farouchement les faits, resteraient à préciser... La thèse d'accompagnements de fin de vie hors protocole semble peu plausible, du fait de l'âge des patients (37 à 53 ans) d'une part, et de la nature des interventions chirurgicales incriminées d'autre part. Seule certitude : l'homme « ne connaissait pas personnellement les victimes », précise la magistrate bisontine.
Les deux personnes décédées en 2008 et 2016, un homme et une femme, ont comme les cinq autres patients fait un arrêt cardiaque suite à une opération. Mais eux n'ont pu être réanimées. La rumeur d'une enquête avait commencé à circuler depuis quelques semaines déjà dans les couloirs de la clinique de Saint-Vincent.
Des employés ont été entendus sous commission rogatoire, il y a peu, dans les locaux du commissariat de la Gare d'Eau à Besançon. L'annonce de la mise en examen du médecin - et de la gravité des faits reprochés - risque évidemment de créer une onde de choc importante pour l'établissement., qui a lui-même signalé des dysfonctionnements, relayés ensuite auprès des autorités par l'Agence Régionale de Santé.
Placé sous contrôle judiciaire Le professionnel de santé a été mis en examen ce lundi. Le juge des libertés et de la détention devait décider dans la soirée de son éventuelle incarcération. « Tant pour les besoins de l’enquête que pour limiter les troubles à l’ordre public », le parquet demandait un placement en détention provisoire.
L'audience a été longue. Le juge a finalement opté pour un placement sous contrôle judiciaire, avec à titre préventif, une interdiction d'exercer son activité de médecin. Aux yeux de la justice, l’empoisonnement est un crime formel, constitué par l’infraction en elle-même, quel qu’en soit le résultat. Autrement dit : que la victime décède ou non. Les peines encourues sont identiques au meurtre, 30 ans de prison, réclusion à perpétuité si le chef de préméditation est retenu.
Willy GRAFF willy.graff@estrepublicain.fr
Cette maman se prend en photo dans sa chambre d’hôpital. Regardez où se trouve son Bébé!
BellyBelly, un site australien consacré à la maternité, cette photo d’une mère avec son bébé a récolté plus de 233,000 j’aime, a été partagée 136,600 fois, a reçu près de 9,500 commentaires… et il n’est pas difficile de comprendre pourquoi.
L’adorable duo est en effet installé dans un lit spécial permettant à la mère et l’enfant d’être toujours ensemble. Mesdames, imaginez-vous mettre au monde votre bambin et qu’il ne vous quitte pas par la suite pour aller à la pouponnière, ça serait merveilleux n’est-ce pas?
Eh bien c’est ce qu’une entreprise du nom de Belly Belly tente de concrétiser. En effet, ce nouveau lit facilite l’après-accouchement de bien des femmes en ayant une petite section spécial pour le nouveau-né.
Mais, si certains applaudissent l’idée en disant qu’elle simplifie considérablement la vie aux mamans ayant subi une césarienne, souhaitant donner le sein, ou voulant tout simplement être près de leur enfant, d’autres ne sont pas aussi enthousiastes.
Les sceptiques déclarent ainsi que la maman pourrait blesser le bébé pendant son sommeil (en le recouvrant avec son bras, par exemple) et que la proximité du nourrisson entraînerait un manque d’exercice, qui est primordial pour les mamans venant d’accoucher.
De cette façon, le bébé etla maman ne sont pas séparés dès la naissance et de plus la maman peut facilement allaiter le petit car il est toujours près d’elle. Qu’en pensez-vous?
Ce lit mérite-t-il d’être adopté dans tous les hôpitaux?
Il découvrent après 10 ans de mariage qu’ils sont frère et sœur! Adriana est vendeuse en cosmétique, Leandro est chauffeur de poids lourds.
Adriana a quitté São Paulo, Leandro y a vécu toute sa vie. En d’autres termes, ils n’avaient rien en commun. Sauf un élément : ils ont tous les deux été abandonnés très jeunes par leur mère. Chacun a alors vécu sa vie de son côté, jusqu’à ce qu’Adriana quitte son mari et revienne s’installer dans sa ville natale.
Par hasard, elle rencontre alors Leandro, et c’est le coup de foudre. Les deux amoureux ne se quittent plus et emménagent très vite ensemble. Très vite, ils se marient. Il faut dire qu’ils partagent un objectif commun dans la vie : retrouver leur mère respective.
Et ça, Adriana va y arriver grâce à une émission de radio qui s’occupe de retrouver les personnes disparues. Lorsque la rencontre a lieu, l’émotion est à son comble, jusqu’au moment où la mère d’Adriana révèle qu’elle a également abandonné un deuxième enfant… appelé Leandro. Très vite, Adriana comprend que l’homme qu’elle a épousé est en réalité son frère : « Je ne peux pas croire que tu me dises ça. Leandro est mon époux », lache alors Adriana, en direct à l’antenne.
Le lendemain, le couple, qui a évidemment fait la Une de l’actualité, a malgré tout réaffirmé son amour : « Seule la mort nous séparera. Tout cela nous arrive car Dieu l’a voulu. Bien sûr que cela aurait été différent si nous l’avions su avant. Nous avons été bouleversés d’apprendre la vérité, mais nous nous sommes réunis en famille et avons décidé de rester mari et femme… Nous avons plein de projets, et rien ne brisera cela », a expliqué Adriana.
Les deux amoureux , et frère et soeur, n’en veulent pas à leur mère. Ils se sont d’ailleurs déjà vus à plusieurs reprises.
Il voit un chien errant trembler dans le froid, la caméra capture une scène surprenante !
C’EST UNE CAMÉRA DE SURVEILLANCE QUI A CAPTURÉ CETTE SCÈNE TOUCHANTE. L’HOMME, UN EMPLOYÉ MUNICIPAL, A ÉTÉ FÉLICITÉ PAR LES AUTORITÉS LOCALES.
Ce n’est peut-être pas grand-chose, mais ce sont justement ces petits gestes d’humanité pouvant paraître insignifiants qui, en se multipliant, peuvent contribuer à améliorer un tant soit peu ce monde. Tout était parti d’un enregistrement de vidéosurveillance.
Un habitant de Giresun, ville du nord-est de la Turquie, visionnait les images de sa caméra de surveillance car il avait été victime d’un vol récemment. Mais le dispositif a capturé une toute autre scène, tout à fait surprenante et autrement plus agréable. Alors qu’il neigeait ce jour-là en Turquie, un homme s’est approché d’un pauvre chien grelottant de froid. Un chien errant était couché là, sur le trottoir d’en face, tremblant sous la neige. Un homme mystérieux s’est alors approché de lui et lui a d’abord donné à manger, avant de retirer sa veste pour le recouvrir et lui tenir chaud.
La vidéo a été postée sur internet où elle a rencontré un franc succès. Très vite, l’homme en question a été identifié : il s’agissait de Bülent Kalpakçioglu, un employé de la municipalité. « Je n’aurais pas eu la conscience tranquille » Avec ces conditions hivernales particulièrement virulentes en Turquie cette année, Bülent estime que s’il n’avait pas protégé ce pauvre chien cela lui serait resté sur la conscience.
Surpris de la réaction des gens, ce dernier a expliqué que ce qu’il avait fait était tout à fait naturel : « Si je ne lui avais pas donné ma veste, je n’aurais pas eu la conscience tranquille. Pendant que nous sommes au chaud dans nos maisons, ils [les chiens errants] sont dehors dans le froid. » La mairie a organisé une petite cérémonie en son honneur pour le remercier de son geste. Un acte que l’on ne peut que saluer.
« il a donné une leçon d’humanité ». N’hésitez pas à partager cette vidéo auprès de tous ceux qui aiment les animaux.
Ces parents cachent une caméra sous le sapin. Puis, ils sont sous le choc lorsqu’ils voient ce que la nounou fait subir au bébé!
Le père de famille ne s’attendait certainementpas à visionner de telles images. Un Toulousain a découvert, grâce à une caméra installée sous le sapin de Noël, que l’assistante maternelle non agréée, qu’il avait engagée, frappait sa fille de deux ans, rapporte la Dépêche du Midi.
La nounou, âgée de 49 ans, aurait violemment tiré les cheveux de la fillette en la secouant. Une plainte a été déposée par les parents. La scène se déroule à Toulouse alors qu’une femme avait le mandat de garder un petit bébé de 2 ans et pour s’assurer de voir tout ce que la gardienne fera durant leur absence, les parents ont placé une caméra dans le sapin de Noël et leur plan aura bien servi puisqu’ils ont fait une horrible découverte en visionnant les images.
Auparavant, un médecin avait constaté plusieurs hématomes sur les joues de la fillette. Interpellée, la suspecte a été incapable d’expliquer ses gestes. « C’est une femme qui est dépassée par sa vie personnelle et qui a accumulé des difficultés« , a expliqué son avocat. Une information judiciaire a été ouverte. Jeudi soir le 8 décembre, l’assistance maternelle, qui n’a pas été en mesure d’expliquer son geste, a été mise en examen et placée en détention pour « violences habituelles sur mineur de 15 ans ».
L’assistante maternelle, non agréée et recrutée par un site spécialisé sur internet, était employée par une association d’aide à domicile et elle s’occupait aussi de personnes âgées. Les enquêteurs cherchent maintenant à savoir si elle a fait d’autres victimes.
Cette semaine, les autorités de Salt Lake City ont dû intervenir dans un dossier terrible. Un jeune garçon de 12 ans a été gravement maltraité par sa mère et, lorsque son père l’a découvert, il ne pesait que 30 livres, soit 15 kilos. Il était si affaibli qu’il ne pouvait même plus se tenir debout.
Une enquête policière a été ouverte le 8 janvier dernier lorsque le père de l’enfant l’a conduit d’urgence à l’hôpital. Brandy K. Jaynes Brandy K. Jaynes aurait enfermé son fils pendant près d’un an dans une salle de bain. Une perquisition a rapidement été faite dans la résidence de la femme.
Selon les policiers, les conditions à l’intérieur de la pièce où se trouvait l’enfant étaient tout simplement horribles. Elle devra maintenant faire face à de graves accusations.
LES MÉDECINS L'ONT PRÉVENUE QU'ELLE DONNERA NAISSANCE À «UN MONSTRE», MAIS ELLE LE GARDE ET ELLE VEUT MONTRER SES PHOTOS AU MONDE ENTIER!
Les médecins l'ont prévenue qu'elle donnera naissance à «un monstre», mais elle le garde et elle veut montrer ses photos au monde entier!
Veronika et Evgeny Semchenko savaient que leur 2e enfant ne serait pas comme les autres. En effet, pendant la grossesse, les médecins ont diagnostiqué le syndrome de Down, aussi appelé Trisomie 21. On a conseillé à Veronika de se faire avorter puis, une fois le délai passé, de simplement abandonner l'enfant.
Mais le couple Russe est rentré avec leur nouveau-né à la maison. Un an plus tard, Veronika a publié cette lettre sur les réseaux sociaux:
«Depuis que notre fils est né, il y a eu tant d’instants merveilleux que je ne les compte plus, tant de choses intéressantes et tant de signes qui nous prouvent que oui, notre fils est né avec le droit de vivre. Un bébé attendu, qui a été diagnostiqué avec le syndrome de Down. Les gens nous demandent souvent si nous savions le diagnostic avant la naissance. Oui, nous le savions. Nous étions dans la 21e semaine de grossesse quand on nous en a informé. De manière très désagréable. Mon mari et moi avons pris une décision : si notre fils veut vivre, il vivra. Et là, les médecins ont fait pression sur nous, ont essayé de nous faire changer d’avis. On nous a dit littéralement que j'allais donner naissance à un “monstre”.
Mon mari et moi étions fous. Quand les gens disent que c’est un enfant “particulier”, pour moi il y a deux manières de recevoir cette phrase. On peut la voir du coté négatif : l’enfant sera exclu parce qu’il n’est pas comme les autres, ou parce qu’il est malade. Mais on peut aussi recevoir cela de manière positive : cet enfant est un don.
Il a obtenu de Dieu la chance d’être unique, et nous a été envoyé à nous, rien qu’à nous. Il a quelque chose, de l’ordre du ressenti, que nous autres ne possédons pas : une sorte de force intérieure. Ses étreintes diffusent une telle dose d’amour et de bienveillance qu’on ne peut pas rester insensible.
Dans son rire, il y a tout un univers. Son regard porte une certaine profondeur… il est tout simplement différent. Et nous sommes si fiers que ce soit notre fils. Quand il vous sourit, il respire la joie et la chaleur humaine! Et il vous enveloppe dans cette lumière! C’est un sentiment si fort! Vous baignez d’un coup dans la chaleur, l’amour, la joie. Et c’est quelque chose que vous voulez ressentir, encore et encore. Vous voulez encore revenir vers lui, le toucher, l’embrasser.
Certaines personnes de notre entourage était préoccupées par le fait qu’on lui a diagnostiqué ce syndrome. Mais quand ils l’ont rencontré, ils ont revu leur opinion. Ils ont changé d’avis, et je pense que par là, il ont eux-mêmes changé. J’ai aussi changé, et toute ma famille a changé. Erofey est comme un livre magique: tous les jours, quand il ouvre les yeux, il ouvre un nouveau chapitre de sa vie, qui pour nous est miraculeuse. Et il remplit les nôtres de magie et de miracles. Aujourd'hui, je peux dire avec fierté que moi, en tant que mère, j’ai le fils le plus formidable qui soit! Je suis heureuse qu’il soit notre enfant.
Je suis heureuse qu’il soit venu à la vie. Je suis heureuse qu’il soit en vie. Il grandit dans la joie, se développe de manière magnifique, et vit une vie belle et heureuse dans notre famille ! Il a maintenant un an et peut s’assoir, marcher à quatre pattes, et marcher sur ses jambes avec notre aide, comme tout autre enfant de son âge. Il connaît son nom, et comprend tout ce qu’on lui dit. Il a aussi une admiration sans limites pour sa soeur aînée. Au cours de cette année, nous n’avons pas reproduit les mêmes erreurs que nous avions faites avec notre premier enfant.
Nous avons été “avertis” qu’un enfant “spécial” comme le nôtre absorberait tout notre temps, allait nous prendre notre énergie et nous ruiner. Que j’allais en oublier mon mari et ma fille. Mais, et croyez-moi, ça ne se passe pas du tout comme ça. Erofey nous donne des tonnes d’énergie, de bonheur, de bonne humeur. On a l’impression qu’on peut soulever des montagnes tous ensemble. Il a encore plus soudé notre famille. J’essaye de donner à chacun la même attention, en tant que mère de deux enfants.
Et grâce à mon homme merveilleux, j’ai du temps pour moi-même, pour faire de magnifiques séances photos et de la psychothérapie. Mon cher fils, je te remercie que tu aies choisi de venir dans notre famille et dans nos vies. La vie est merveilleuse, et elle l’est chaque jour davantage…»
À l’accouchement les médecins éloignent directement les enfants de la mère et l’empêchent de les toucher pendant plusieurs semaines. La raison est déroutante!
Emma Seaton est la compagne heureuse de Ray et maman de Billy, neuf ans, qui est pour le moment son seul enfant. Emma et Ray ont bien essayé de donner un frère ou une soeur à leur Billy, mais sans succès. Les tests de grossesse restent négatifs. Cependant, en 2014, Emma ressent un fort épuisement et a des nausées de plus en plus fréquentes. Elle fait un test de grossesse, sans trop y croire. C’est la surprise : neuf ans après Billy, elle est enceinte de nouveau !
À 12 semaines, les parents se rendent chez le médecin pour une échographie. "Le docteur a dit que nous avions des jumeaux”, raconte Emma. Avant qu'il ne fronce les sourcils et ajoute : "Oh mon dieu, attendez, il y en a un autre".
Ray et Emma sont évidemment sous le choc. Il n’y a jamais eu de grossesses multiples dans la famille, et puis les chances d’être enceinte de triplés sont de une sur un million en moyenne ! Mais la grossesse est compliquée.
La maman souffre beaucoup, a des nausées constantes, et au bout de 22 semaines, commencent à ressentir des contractions. Elle est terrorisée. C’est bien trop tôt ! Après une visite chez son médecin généraliste, celui-ci l’envoie directement à l’hôpital.
Là-bas, on lui annonce la nouvelle qu’elle redoutait : les bébés sont à venir ! “Nous avons eu une conversation assez affreuse avec Ray et les médecins” se souvient Emma. “Nous pensions avoir perdu nos bébés et nous étions dévastés.”
Pendant deux jours, les médecins et les parents se battent pour retarder l’accouchement. Emma reçoit des injections de stéroïdes pour aider les poumons des bébés. Et pourtant, à seulement 23 semaines de grossesse, Alfie, Conor et Dylan voient le jour. Ils ne pèsent pas plus de 400 grammes en moyenne !
Emma ne peut même pas les prendre contre elle : dès leur sortie de l'utérus, on les éloigne directement pour les mettre sous l’assistance des machines qui les aideront, peut être, à survivre. Alfie naît quelques heures avant ses deux frères pour qui le travail de la mère en salle d'accouchement continue.
Emma ne peut même pas les voir ni les toucher, et elle est dévastée par l'état de ses enfants à peine formés. “Nous étions tous les deux impuissants”, dit Emma. “Ray m’a ramené des photos pour me les montrer et Alfie avait l'air si minuscule, entouré de tant de fils et de tubes.”
À partir de ce moment-là, Emma et Ray ne vivent plus, ne respirent plus. Chaque jour de gagné pour leurs enfants est une petite victoire, parce que chaque jour semble être le dernier. En soins intensifs, leur vie ne tient qu’à un fil. Leur peau est complètement translucide, et il est clair que leur développement n’est pas fini.
C’est très dur pour les parents. Ils ne peuvent pas les toucher, seulement les voir de temps en temps, et leur insuffler amour, courage et énergie par la parole. D’innombrables fois, ils ont cru que c’était fini pour l’un des trois. Une fois, c’est un poumon de l'un qui s’effondre, pour l’autre, c’est une cécité de la rétine qui menace, pour le troisième, c’est une opération chirurgicale afin de fermer un conduit dans le coeur…
Mais à chaque fois, les enfants survivent. Jusqu’au jour où, enfin, les parents peuvent les tenir dans leurs bras tremblants. Jusqu’au jour où enfin, les appareils sont retirés des petits corps les uns après les autres. Jusqu’au jour où, six mois après la naissance, toute la famille peut rentrer à la maison.
Le couple traverse encore des moments très difficiles, mais ne baisse plus les bras. Les premières semaines se passent dans un tourbillon de choses à régler et d’organisation à instaurer pour pouvoir tout mener de front. Deux bébés sur les trois sont encore sous assistance respiratoire et c’est un parcours du combattant simplement pour sortir, avec les bouteilles d’oxygène, les couches, les biberons, les manteaux… et trois bébés !
Les parents sont épuisés , mais ils ont gagné. Ils ont vécu le pire, mais maintenant ils sont heureux, comblés. Alfie, Dylan et Conor sont les triplés prématurés les plus minuscules à avoir survécu ! Aujourd’hui ce sont trois joyeux drilles assez turbulents et c’est beaucoup de travail pour leur maman, mais celle-ci ne se plaint pas car au moins, ils sont là, avec elle.Bien sûr, elle a du mal à les distinguer, mais les trois se différencient déjà de par leur personnalité : Conor semble être le leader, tandis qu’Alfie est le plus calme.
Le trio a maintenant deux ans, et Emma ne se lasse pas de les voir débordants d’énergie, jouer, rire, dormir tranquillement, grandir, tout simplement. Et le grand frère dans tout cela ? Emma conclut pour lui : “Billy lui aussi a vraiment grandi. Comme moi. Comme nous tous”.
ELLE EST NÉE AVEC UN BRAS DE GÉANT. MAIS JAMAIS SES PARENTS N'AURAIENT PENSÉ DÉCOUVRIR UNE TELLE CHOSE.
Elle est née avec un bras de géant. Mais jamais ses parents n'auraient pensé découvrir une telle chose.
Voici une petite fille de deux ans du nom de Scarlette. Elle est née avec le bras droit plus grand que le bras gauche. Cela ne semble pas très grave, mais par la suite, elle a été diagnostiquée avec un sarcome à cellules de la broche, ce qui signifie que les cellules de son corps se transforment en cancer.
À ce jour, Scarlette est le seul cas connu de ce type de cancer. La fillette a dû subir une importante opération pour pouvoir survivre en octobre 2014 alors qu’elle n’avait que 10 mois. Son épaule, sa clavicule et son omoplate ont été amputé et elle a dû recevoir une transplantation de peau sur son torse.
Scarlette a vécu 18 autres opérations depuis et elle a passé de nombreux tests. Ses parents ont décidé de lui acheter un animal qui pourrait lui tenir compagnie et avec qui elle pourrait s’identifier. À quelques jours de Noël, ils trouvent un petit chaton de 3 mois du nom de Holly qui venait tout juste d’être sauvé d’une terrible situation et qui a été amputé à la patte droite.
La famille fait un long voyage de deux heures pour aller chercher l’animal au refuge. Dès que Scarlette voit l’animal, un lien se crée automatiquement entre les deux.
Aujourd’hui, le cancer de la petite fille est maintenant disparu, mais elle devra être suivie pour le reste de sa vie. Heureusement, elle est maintenant sans danger et elle a un petit compagnon qu'elle adore!
Les médecins disent à la mère de ne pas regarder le visage de son enfant… mais la mère insiste. Puis, elle s’évanouit en voyant son bébé!
Lorsque Yi Xilian a donné naissance à son fils, elle a très vite compris que quelque chose n’allait pas… En effet, les médecins ne semblaient pas être bien pressés de montrer l’enfant à sa maman, même qu’ils donnaient l’impression qu’ils ne voulaient tout simplement pas lui montrer.
Les médecins avaient une bonne raison d’agir ainsi, car eux-mêmes étaient sous le choc après avoir aperçu le bébé. Évidemment, ceux-ci ont bien averti la maman de se préparer à un choc en voyant son bébé, mais même malgré ces avertissements, la jeune femme s’est évanouie en voyant son enfant….
Zhao Huilkang, un petit chinois né dans une famille déshéritée du Hunan, n’est âgé que de 16 mois. Mais il souffre déjà d’une malformation très lourde de la figure. Il est né avec le visage tiré et creusé, comme s’il portait un masque. Ses capacités cérébrales sont par contre parfaitement saines.
D’après le professeur Wang Duquan, plusieurs raisons peuvent expliquer le phénomène. Une infection peut s’être répandue lors du développement de l’embryon ou des médicaments dangereux pour l’enfant ont pu être ingurgités par la mère. Yi Xilian, la maman du petit, dit ne pas avoir pris de médicaments dangereux durant sa grossesse :
« Ma famille ne m’a pas laissée voir mon fils lorsque j’ai accouché, explique la mère de Kang Kang. J’ai insisté auprès de mon mari, qui a cédé. Avant de me donner mon enfant dans les bras, ma famille m’a dit « Ne sois pas triste, ne sois pas triste ». Mais quand j’ai vu mon enfant , je me suis effondrée« , dit-elle.
«Son visage semble presque divisé en deux parties avec une fissure. La seule chose que je puisse faire est de lui donner plus d’amour et de soins pour qu’il suive une vie normale», a expliqué au «Shanghai Daily» sa maman Yi Xilian. «Je n’ai jamais vu quelque chose pareille», a affirmé Wang Duquan, professeur au Changsha Hospital de Hunan.
«C’est une malformation qui touche l’intégralité de son visage et pas uniquement les os». La maman Yi Xilian a pu reprendre ses esprits quelques instants plus tard et prendre son fils dans ses bras. Elle l’aimera comme n’importe quelle mère aime son enfant et l’aidera à traverser les épreuves de la vie. Cette malformation ne changera rien à l’amour qu’elle a pour lui.
Voyez quelques photos de l’enfant à travers la vidéo ci-dessous: