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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
De toute façon, la terre pour la plupart des animaux, c’est l’enfer
On m’a dit non, la liberté n’est pas ton droit.. On m’a dit non, ta vie ne t’appartient pas.. On m’a même dit que je n’avais pas d’âme Que je ne sentirais ni la lame, ni les flammes. Moi je suis né dans le froid d’un hangar avec mes frères et sœurs sans un regard .Moi je suis né seul, dans le noir .Sans que ma mère m’enseigne ses savoirs. Je n’ai jamais vu ni le ciel, ni la terre .Je n’ai jamais su à quoi ressemblait le vert. On m’a privé de ma nature et ma fierté d’animal, je n’en ai plus l’identité. Nourrit à la farine faite de mes frères. Battu et même marqué au fer. Saurai-je un jour ce qu’est devenir père ? Reverrai-je un jour ma mère ? La vie ne m’a fait aucune fleur. Je ne connais même pas leur odeur. Dans tout ce mal et toute cette douleur je n’existe qu’au travers de mes pleurs .Quand enfin ils sont venus me chercher je n’étais encore qu’un nouveau-né. J’ai pu enfin voir un bout de ciel gris. C’était alors le plus beau jour de ma vie. Mais cela n’a duré que quelques heures avant que m’envahisse à nouveau la peur. Devant moi un par un ils tombaient et je suis mort sans savoir qui j'étais.
Gadhimai : retour de l’un des plus grands sacrifices d’animaux au monde…
Tous les 5 ans, des centaines de milliers d'animaux sont amenés devant le temple de Gadhimai pour y être sacrifiés...
Des centaines de milliers de cochons, buffles, chèvres ou pigeons risquent d’être sacrifiés au temple de Gadhimai, au Népal, malgré l’interdiction prononcée par les autorités religieuses en 2015. Les associations de protection animale s’efforcent de tout faire pour sauver un maximum d’animaux. Mais la Fondation 30 Millions d’Amis craint le pire !
Horreur ! C’est l’un des plus grands sacrifices d’animaux au monde: derrière les paillettes du festival de Gadhimai, à Bariyarpur (Népal), c’est un véritable bain de sang qui a lieu tous les 5 ans.
Entre 200 000 et 500 000 chèvres, porcs, rats, buffles et pigeons sont massacrés en raison d’une croyance religieuse. Le dernier épisode sanglant ayant eu cours en 2014, cette année les associations de protection animale multiplient les efforts pour éviter un nouveau carnage les 3 et 4 décembre 2019.
Malgré l’interdiction, le bain de sang devrait malheureusement avoir lieu Pourtant, cette tradition vieille de 265 ans qui veut que l’on sacrifie des animaux pour célébrer la déesse Gadhimai dans l’espoir d’une vie meilleure, prend du plomb dans l’aile depuis quelques années. Entre 2009 et 2014, le nombre d’animaux sacrifiés avait déjà chuté de 70%.
En 2015, le Gadhimai Temple Trust, organisateur de l’événement, a même décidé de mettre fin aux sacrifices. Or, malgré la promesse de l’interdiction, ces atrocités devraient perdurer. « Ceux qui pratiquent les sacrifices le font sans expérience et avec des instruments inadéquats, s’insurge l’association Animal Equality. Les animaux souffrent d’une mort lente et horrible. Les plus grands et ceux qui ont le plus d’énergie pour s’échapper, sont poursuivis. Une fois rattrapés, on leur coupe les pattes arrière pour les immobiliser. »
Les animaux souffrent d’une mort lente et horrible. Pour éviter le bain de sang, un travail de fond est réalisé par les ONG de protection animale avec les autorités et les populations locales. « Depuis trois ans, nous avons mené des campagnes de sensibilisation afin d’éliminer le mythe entourant les superstitions de l’abattage d’animaux, confie à 30millionsdamis.fr, Wendy Higgins, porte-parole de l’ONG Humane Society International (HSI).
Nous avons travaillé avec le gouvernement du Bihar, d’où sont principalement transportés les animaux, afin de mettre en œuvre l’ordonnance de la Cour suprême de l’Inde obtenue en 2014 interdisant le transport d’animaux par la frontière. Car une fois que les animaux ont atteint Gadhimai, aucun de nous ne peut faire quoi que ce soit le jour du sacrifice : c’est pourquoi tous nos efforts sont concentrés avant le massacre. »
Un massacre perpétré même devant des enfants ! La sensibilisation au sein des populations locales est d’autant plus importante que « les communautés sont très pauvres et peu alphabétisées », souligne Wendy Higgins. Les gens croient que s’ils ne sacrifient pas les animaux, leur prospérité sera affectée ou un malheur leur arrivera. »
Pire, les enfants sont également autorisés à assister au massacre « ce qui les désensibilise vis-à-vis de la cruauté envers les animaux », au surplus de les traumatiser. La Fondation 30 Millions d’Amis salue les efforts des associations sur place pour mettre fin à ce sacrifice.
Le calvaire de cet éléphant a déclenché une vague d'indignation internationale
Après la publication par National Geographic d'une photographie de Gluay Hom, un jeune éléphant blessé en Thaïlande, les lecteurs scandalisés se sont mobilisés pour lancer un appel au secours. Nous revenons aujourd'hui sur son état de santé.
Ici photographié en juin 2019 au Samut Prakarn Crocodile Farm and Zoo en périphérie Bangkok, Gluay Hom est aujourd'hui âgé de cinq ans.
Ses pattes enflées ont guéri et il n'a plus de plaie ouverte. Il reste toutefois enchaîné sous le stade où il exécute ses numéros et sa condition physique reste un problème, selon les experts du bien-être animal qui lui ont rendu visite.
En juin 2018, derrière un stade de la banlieue de Bangkok, en Thaïlande, je me tenais devant un jeune éléphant enchaîné à un poteau. Sa patte était enflée et bizarrement courbée. Il avait une plaie sanguinolente au niveau de la tempe à force de s'allonger sur un sol dur, et il ne parvenait pas à fixer son regard. Son nom : Gluay Hom. Cet éléphant retenu au Samut Prakarn Crocodile Farm and Zoo était alors âgé de quatre ans et son état ne lui permettait plus d'assurer ses représentations dans le spectacle organisé quotidiennement par l'établissement. À cette date, Kirsten Luce et moi-même étions en Thaïlande depuis un mois dans le cadre d'un reportage sur la réalité alarmante du tourisme animalier. Nous avions vu des centaines d'éléphants enchaînés dans des camps ou des enclos à travers tout le pays. Gluay Hom était le plus mal en point. Nous l'avons intégré à notre grande enquête sur le tourisme animalier. Immersion dans l'univers cruel du tourisme animalier.
IMMERSION DANS L'UNIVERS CRUEL DU TOURISME ANIMALIER.
Après la mise en ligne de notre reportage au mois de mai, nous avons reçu une quantité phénoménale d'e-mails, de messages et de publications sur les réseaux sociaux demandant des nouvelles de Gluay Hom, désormais âgé de cinq ans. Nombreux étaient ceux qui se demandaient pourquoi il n'avait pas encore été secouru. D'autres parlaient de mettre en place un financement participatif afin de le racheter à son propriétaire. Les gens voulaient savoir si son calvaire avait pris fin. Pour résumer, Gluay Hom va en quelque sorte mieux, selon les experts du bien-être animal qui lui ont rendu visite. Ses pattes enflées ont guéri et il n'a plus de plaie ouverte. Il reste toutefois enchaîné au même endroit sous le stade. Il est toujours très maigre. Il n'y a aucun moyen de lui venir en aide à moins que l'établissement ne le libère, le revende ou qu'il soit saisi par les autorités. Le propriétaire du zoo, Uthen Youngprapakorn, n'a pas répondu à nos demandes concernant l'état de santé actuel de Gluay Hom. Nous ne savons pas si Gluay Hom appartient personnellement à Youngprapakorn ou au zoo en tant qu'entité juridique. Cependant, lors de notre visite de l'année dernière, il déclarait que le simple fait que les animaux ne soient pas morts démontrait que l'établissement les traitait correctement. Des vétérinaires du Department of Livestock (en français, ministère de l'élevage, ndlr) de Thaïlande prélèvent des ... Des vétérinaires du Department of Livestock (en français, ministère de l'élevage, ndlr) de Thaïlande prélèvent des échantillons de sang de Gluay Hom pendant que des employés du zoo le maintiennent en place, lors d'une visite en avril 2019. Les résultats de tests sanguins antérieurs avaient révélé la présence de parasites dans le sang de Gluay Hom, il a aujourd'hui été soigné.
Depuis juin dernier, les autorités du Department of Livestock de Thaïlande dont la juridiction couvre les questions liées aux éléphants en captivité, ont réalisé une série d'inspections du zoo de Samut Prakarn. Pour cela, ils ont sollicité l'aide d'Edwin Wiek, fondateur de Wildlife Friends Foundation Thailand, une organisation à but non lucratif axée sur la sauvegarde et la réhabilitation des animaux . Wiek et son équipe avaient déjà rendu visite à Gluay Hom et aux autres animaux du zoo de Samut Prakarn après que nous les ayons avertis de la situation en juin 2018. Wiek rapporte que son équipe avait trouvé les animaux dans un état « déplorable. » L'année dernière, toujours au moins de juin, des vétérinaires avaient prélevé des échantillons de sang de Gluay Hom et les tests avaient révélé la présence de parasites, pour lesquels l'éléphant a reçu un traitement. En décembre, les autorités du Department of Livestock et du Department of National Parks, Wildlife and Plant Conservation, responsable du contrôle des zoos, avaient ordonné à l'établissement d'arrêter d'utiliser deux éléphants émaciés dans leurs spectacles et de changer leur régime afin de leur faire reprendre du poids. À l'époque, Gluay Hom n'apparaissait pas dans ces représentations. Le quotidien Bangkok Post rapportait dans un article que les responsables dépêchés par le gouvernement « n'avaient relevé aucun problème au niveau des aspects physiques du zoo, mais qu'ils avaient recommandé à l'administration d'ajouter des activités et des outils permettant d'améliorer la vie des animaux dans leurs cages. » L'intervention des autorités s'est arrêtée là, indique Wiek. Le Department of Livestock et le Départment des parcs nationaux n'ont pas souhaité commenté la situation mais selon Wiek, les autorités gouvernementales n'ont pas officiellement reconnu de violations du bien-être animal au zoo de Samut Prakarn. Le 2 juin 2019, l'équipe de Wiek a de nouveau rendu visite à Gluay Hom et aux autres animaux. À l'exception de Gluay Hom, tous les autres éléphants ont repris leurs numéros. Wiek indique que dans l'ensemble, les conditions n'ont pas changé. La semaine dernière, le journal Phuket News publiait de nouvelles images sur lesquelles on distingue clairement les blessures infligées aux éléphants. Quoi qu'il en soit, le sauvetage de Gluay Hom reste un projet irréaliste. La loi thaïlandaise sur le travail des animaux de 1939 considère les éléphants domestiques comme une propriété, tout comme les autres animaux forcés au travail comme les chevaux et les ânes. Les 3 800 éléphants en captivité en Thaïlande peuvent être légalement détenus par des particuliers ou des entreprises, et utilisés comme bon leur semble. Cette loi, sur laquelle repose la façon dont sont traités les éléphants en captivité, ne protège pas leur bien-être, explique Wiek. « Nous ne pouvons pas nous appuyer sur la loi pour aider concrètement ces éléphants, » indique Wiek, qui est également conseiller honoraire au comité parlementaire sur les ressources naturelles et l'environnement. « Gluay Hom est un très bon exemple d'animal vivant dans d'horribles conditions qui devrait être saisi par les autorités. » Il existe en Thaïlande une loi sur sur le bien-être des animaux et la prévention de la cruauté, mais selon Wiek, elle est appliquée de façon irrégulière pour les éléphants en captivité.
UN SECTEUR FLORISSANT
Les éléphants sont la pierre angulaire du tourisme en Thaïlande. La majorité des 3 800 éléphants en captivité du pays travaillent dans des camps et exécutent des numéros ou interagissent avec les touristes. La Tourism Authority of Thailand (TAT), l'agence gouvernementale responsable de la promotion du tourisme en Thaïlande, n'hésite pas à promouvoir les balades à dos d'éléphants et les baignades avec ces animaux sur son propre site Web. Il y a encore quelques jours, le 13 juin, Samut Prakarn Crocodile Farm and Zoo figurait parmi les attractions recommandées sur le site Web de la TAT. Ce jour-là, National Geographic a envoyé un e-mail à la TAT pour recueillir leurs commentaires sur ce point, la page a été supprimée dans la foulée. L'agence n'a pas souhaité répondre à nos questions sur la recommandation de Samut Prakarn ou sur la suppression de la page. Le secteur de l'élevage des éléphants est hautement lucratif en Thaïlande : la revente d'un jeune éléphant élevé en captivité peut atteindre 22 000 $ (soit 19 500 €) selon les chiffres communiqués par l'agence gouvernementale Thai Elephant Conservation Center (TECC), responsable de l'élevage et du dressage des éléphants. Selon Wiek, le prix de ces animaux dépasse les 50 000 $ (45 000 €). L'importation illégale d'animaux capturés dans la nature et destinés au secteur du tourisme était une pratique très répandue jusqu'en 2012 d'après un rapport de TRAFFIC, une organisation de surveillance du commerce des espèces sauvages. Dans d'autres régions du pays, comme Ban Ta Klang, également connu sous le nom d'Elephant Village, le gouvernement subventionne le tourisme lié aux éléphants et offre un revenu mensuel aux dresseurs dont les éléphants sont capables de réaliser trois numéros et participent activement à des spectacles locaux. Prise en juin 2018, cette photographie de Gluay Hom a été publiée dans l'édition de juin ... Prise en juin 2018, cette photographie de Gluay Hom a été publiée dans l'édition de juin 2019 du magazine National Geographic. Elle a déclenché une vague d'indignation chez les lecteurs. Sa patte avant droite est enflée et inerte. Au niveau de sa tempe on distingue une plaie sanglante provoquée par le sol en béton sur lequel il s'allonge.
Le cas de Gluay Hom n'est pas unique parmi les éléphants captifs en Thaïlande. Au zoo de Phuket, un jeune éléphant émacié était au centre de toutes les attentions dans les médias thaïlandais et internationaux en avril après la publication par des activistes animaliers d'une vidéo montrant son corps squelettique. Officiellement baptisé Ping Pong mais également connu sous les noms de Jumbo, Dumbo ou Dodo dans la presse et pour le grand public, cet éléphant a fait l'objet d'une pétition ayant recueilli plus de 200 000 signataires qui demandait à ce qu'il soit transféré dans un sanctuaire. En réponse à cette levée publique de boucliers, les autorités du Department of Livestock de la province de Phuket se sont rendus dans l'établissement en avril. Comme ils avaient pu le faire à la suite du reportage de National Geographic sur Gluay Hom, ces représentants ont reconnu que l'éléphant était malade et ont ordonné au zoo de Phuket de ne pas l'inclure dans les représentations tant que son état de santé ne s'était pas amélioré. L'un de ces agents a déclaré au journal local The Phuket News que malgré son poids, l'éléphant était correctement hébergé, nourri et abreuvé. Le 20 avril, Ping Pong est mort. Son corps était devenu si faible que ses deux pattes arrière ont fini par casser alors qu'il luttait pour s'extirper d'une marre de boue, a révélé le gérant du zoo aux médias locaux. Cet incident est survenu quatre jour avant qu'il soit envoyé à l'hôpital où il a rendu son dernier souffle. Il était âgé de trois ans.
UN AVENIR INCERTAIN
Le futur de Gluay Hom dans l'industrie touristique est incertain. Wiek nous informe que la différence de valeur entre les mâles et les femelles atteint plusieurs dizaines de milliers de dollars, parce qu'ils sont difficiles à contrôler et onéreux à entretenir. Chez les éléphants, l'âge de la maturité peut varier grandement mais elle arrive généralement entre 20 et 40 ans. À ce stade débute chez les éléphants mâles un cycle hormonal appelé musth au cours duquel ses niveaux de testostérone grimpent en flèche et son agressivité envers l'Homme s'exacerbe. L'envergure de la réponse publique face au reportage de National Geographic sur Gluay Hom permet de faire pression sur le gouvernement thaïlandais pour qu'il saisisse l'animal, affirme Wiek. Il espère également que cet événement poussera la Thaïlande à adopter une loi introduisant des normes de bien-être pour les animaux dans les zoos. Wiek serait heureux de pouvoir accueillir Gluay Hom dans le refuge pour éléphants de son organisme Wildlife Friends Foundation mais pour lui, le fait de racheter l'éléphant à son propriétaire permettrait à ce dernier d'en acheter un nouveau, et cela ne ferait que perpétuer le cycle. « Le propriétaire ne devrait pas être récompensé financièrement pour son éléphant… L'éléphant doit être saisi. Malheureusement, ça ne marche pas comme ça en Thaïlande, » conclut Wiek. « Pas encore. Bientôt peut-être. »
Oui la douleur c'est le vide.. Le vide c'est la douleur près sentie.. Le vide nous entraînent vers le gouffre de l'oubli
Un chiot sauvé in extremis après avoir été jeté dans un fossé par la fenêtre d’une voiture
Le bébé chien est nourri au biberon toutes les quatre heures par l'homme qui l'a recueilli.
Près de Ploërmel, en Bretagne, un habitant a récupéré un bébé chien tout juste né, après avoir vu un automobiliste le jeter par la fenêtre de sa voiture . Un autre chiot de la même race aurait quant à lui été retrouvé mort un peu plus loin.
C’est un acte d’abandon et de maltraitance animale passible de deux ans de prison et 30 000 euros d’amende. Il y a quelques jours, à Saint-Abraham, une petite commune près de Ploërmel, dans le Morbihan, un habitant a surpris un automobiliste jetant par la fenêtre de sa voiture un chiot tout juste né.
Selon Ouest-France, qui rapporte l’information, le riverain a aussitôt porté secours au petit chien, le ramenant chez lui et le nourrissant au biberon toutes les quatre heures en espérant le sauver.
Gaëlle Berthevas, maire de Saint-Abraham, dénonce un acte « scandaleux ». L’élue indique que la voiture a été identifiée mais pas la plaque d’immatriculation. Le conducteur ne serait pas un habitant de la commune.
Un autre chiot de la même race aurait quant à lui été retrouvé mort mercredi par une habitante, près du stade de foot de la commune.
La vie t'échappe à cause de l'homme qui veut se nourrir de ton corps, l'homme qui se mangera de ta terreur, de ta douleur, de tes cris, l'homme qui mettra fin tôt à ta vie, arrogeant le droit de décider qui doit vivre Ou mourir. Toi pauvre âme innocente tuée sans faute, arracher sans une seule faute, enlevée à tes enfants après avoir été utilisée pour leur lait, maltraitée pendant des années, puis finir accroché à un crochet dans un abattoir avec d'autres mères.
Comme toi, pour devenir de la nourriture pour les animaux les plus cruels, les hommes. Ils diront que tu n'étais qu'un animal, ils diront que tu n'étais que de la nourriture, ils diront que tu étais née pour ça, mais ils n'auront jamais le courage d'aller dans un abattoir pour voir comment tu te fais tuer mère Oui, une mère. Toi aussi tu étais une maman avec des sentiments, avec amour pour les enfants, même ton désir de mère était l'envie de les voir grandir, par contre ils te les ont arrachés pour les emmener à l'abattoir pour être exécutés de sang froid pendant qu'ils te cherchent, pendant qu'ils crient pour te demander de l'aide, mais tu n'es pas avec eux et pleure, seule...
Tes enfants que tu as mis au monde et qui du monde n'ont rien vu. Ne sois pas mère pour les avoir fait naître, ne pleure pas pauvre mère, tu sais que ça arrivera encore, tu sais qu'ils te feront ressentir encore et encore la même douleur, tu sais qu'ils te regretteras à chaque fois parce que tu ne sauras pas et tu ne pourras pas résister à toute cette infamie humaine, tu ne voudrais pas mettre au monde d'autres de tes enfants pour ressentir à chaque fois ce supplice, cette douleur, mais eux à chaque fois ils te violeront brutalement et lâchement pour les avoir, mais ce n'est pas ta faute mère, la faute est de l'homme infâme qui en toi n'a pas Je n'ai jamais vu une mère, mais seulement une machine à lait, et ensuite, quand tu ne sers plus, tu ne seras plus que de la viande de boucherie comme l'ont été tes petits enfants.
Tu seras une mère dévorée par d'autres mères humaines, tu as pleuré pour tes petits, mais tu seras bouffée par d'autres petits humains, c'est ton destin. Mais ne t'inquiète pas, un jour, tout ça changera. Nous luttons pour vous et vos frères, nous pleurons aujourd'hui avec vous et pour vous, nous luttons pour vous toutes, nous ne vous laisserons jamais tomber, nous apportons aux gens vos cris, vos pleurs, votre douleur immense, et je suis sûr qu'un Jour même l'homme se rendra compte que les frères ne se mangent pas, que vous n'êtes pas des machines à lait ou de nourriture mais des êtres qui vivent tout comme nous, que l'on doit aimer, et votre sacrifice n'aura pas été inutile. Bonjour mère, sèche tes larmes et vole dans le ciel pour retrouver tes petits qui t'ont attendu au paradis pour vivre avec toi cette vie que les humains cruels et méchants lui ont refusé.
Oui, mère, vole au paradis, parce que dans le vrai paradis, il y a vous, les purs. Nous qui avons fait du paradis terrestre un enfer, nous ne le méritons pas. Ce n'est que quand l'humain commencera à penser avec son coeur et non avec l'estomac que nous pourrons tous vivre en paix.
Les corps mutilés et sans vie de deux cygnes découverts sur la plage d’Albigny
Les corps mutilés et sans vie de deux cygnes ont été découverts par des agents municipaux, ce lundi matin, sur la plage d’Albigny, à Annecy-le-Vieux. La macabre découverte a suscité une vive émotion au sein des défenseurs des cygnes annéciens.
L’un des deux oiseaux sauvages avait la tête arrachée. « C’est intolérable ! » Selon toute vraisemblance, les deux cygnes ont été victimes d’un prédateur, probablement un chien. « Ce sont deux cygnes adultes, ça suffit, c’est toujours au même endroit, l’un des deux a été décapité, c’est intolérable ! C’est un animal qui a fait ça, pas un castor, ni une fouine mais on ne peut certifier que c’est un chien mais ce que je peux vous dire que les propriétaires de chiens sont menaçants. On se fait énormément de souci.
Si rien n’est fait, dans 5 ans, il n’y aura plus de cygnes sur le lac », a alerté Nathalie Dunaigre, présidente de l’association annécienne
Fais-moi cygne.
« Déjà huit cygnes morts depuis le début de l’année sur les 40 recensés sur le lac » « C’est catastrophique et très inquiétant car cela fait déjà huit cygnes morts pour des causes diverses depuis le début de l’année sur les 40 cygnes recensés sur le lac », a témoigné Marie-Jo Dutel, membre de la Ligue de protection des oiseaux (LPO).
« On voit tous les jours des propriétaires laisser divaguer leur chien sur la plage ou sur le Pâquier », poursuit l’Annécienne précisant que « les renards emportent leur proie et les blaireaux n’attaquent pas les cygnes. »
Malgré la pose, de part et d’autre de la plage d’Albigny, de panneaux interdisant l’accès aux chiens, même tenus en laisse, le pire est encore arrivé. Le corps déchiqueté d’un cygne mort avait déjà été découvert il y a trois semaines sur la plage d’Albigny. Les corps des deux cygnes ont été pris en charge par le garde animalier du Grand Annecy et seront apportés mardi matin pour autopsie auprès d’une clinique vétérinaire de l’agglomération annécienne.
Trop faibles les lois trop peu aussi et pas assez de gens pour s en soucier !!