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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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histoire vrai (animaux)

sauvetage

Publié à 15:01 par fandeloup Tags : chien histoire chiens chez animaux voiture
sauvetage

Les chiens , quelque soit leur taille, nous ont toujours défendu contre les animaux sauvages et ce, depuis des siècles.

Dans cette histoire, cette dame âgée chez qui un ours s’est invité, doit son salut à son Yorkshire nommé Joe qui a attaqué et mis en fuite l’intrus.

Mardi 23 juillet 2013, dans la matinée, Deborah Epstein se repose sous le porche de sa maison du New Jersey. Elle est en compagnie de son chien Joe, un Yorshire qu’elle a adopté dans un refuge et se remet d’un accident de voiture récent.

Le téléphone sonne et la dame âgée se rend alors à l’intérieur de la maison pour répondre. Alors qu’elle a laissé la pote ouverte derrière elle, elle entend son chien aboyer sans relâche.

Joe a l’habitude d’aboyer à la venue de visiteurs mais là, ses aboiements sont plus fort qu’à l’accoutumée. Deborah Epstein part donc à la rencontre de son chien dans la maison et tombe sur un ours qui semble se diriger vers le bol de nourriture du chien.

Elle est effrayée mais Joe, qui ne montre aucun signe de peur, n’est pas décidé à laisser l’ours lui piquer son bol de nourriture et s’inviter dans la maison.

Le chien de 2,7 kg aboie et attaque alors l’ours jusqu’à le mettre en fuite : Joe était en train de l’attaquer. Naturellement l’ours se dirigeait vers son bol de nourriture mais on ne touche pas au bol de nourriture de Joe.

Il tournait autour de l’ours et l’a finalement chassé par la porte.

(Témoignage de Deborah Epstein).

Quand on sait qu’un ours brun pèse entre 120 kg et 280 kg selon les régions et que Joe, le Yorkshire, pèse 2,7 kg, on se dit que le rapport de force est déséquilibré. Mais de tout temps, nos compagnons à quatre pattes nous ont défendu contre les animaux sauvages et notamment contre les ours grâce à leur aboiements et à leur instinct de défense. Désormais Deborah Epstein pensera a refermer la porte derrière elle pour éviter ce genre d’invitation surprise, les ours étant communs dans son voisinage et dans l’Etat du New Jersey.

La dame conclut : Je l’ai sauvé d’une fourrière et il m’a sauvé d’un ours.

Un chiot handicapé sauvé de l'euthanasie

Publié à 11:31 par fandeloup Tags : chien heureux animaux
Un chiot handicapé sauvé de l'euthanasie

La vidéo a déjà fait le tour du web… Comment rester indifférent face à l’histoire de cet adorable chiot handicapé qui a échappé à l’euthanasie grâce à la volonté d’une association ? Le syndrome du chien nageur Mick est un petit Terrier de Boston de 6 mois qui souffre du « Swimmer Puppy Syndrome », le syndrome du chiot nageur. Cette maladie rend ses membres extrêmement fragiles, ce qui l’empêche de se tenir debout. Généralement, les chiots atteints de ce syndrome sont abandonnés ou euthanasiés. Mais c’était sans compter sur l’obstination de la MIA Foundation ! Apprendre à marcher Cette association vient en aide aux animaux handicapés. C’est elle qui a pris en charge le petit Mick afin de lui donner une chance de vivre heureux comme n’importe quel chien. Ainsi, Mick a tout d’abord appris à nager dans une baignoire pour consolider ses muscles. En moins de deux semaines, il est parvenu à se tenir debout, et même à faire ses premiers pas ! Aujourd'hui, Mick continue toujours sa thérapie, et trottine déjà sur l’herbe avec bonheur, pour le plus grand plaisir de ceux qui l’ont sauvé.

sauvetage

Publié à 10:59 par fandeloup Tags : animaux travail mort homme bonne monde chiens chien animal voiture
sauvetage

Récemment, les policiers américains étaient au cœur d’une polémique sur l’usage hâtif de leur arme sur les chiens et notamment sur les Pit Bulls et les molosses (nous avions décidé de ne pas diffuser les vidéos en question devant leur caractère choquant).

Pourtant, ces policiers de la ville de Cruiser aux Etats unis, n’ont eu aucune hésitation pour sauver un Pit Bull au bord de la mort et conduire son maître en prison.

Le 12 juillet dernier à Culver City, aux environs de Los Angeles, les policiers sont appelés pour appréhender un homme conduisant en état d’ivresse, soupçonné de transporter son chien malade dans son coffre. L’homme très alcoolisé et à la conduite incertaine, s’est arrêté sur la route pour déposer son Pit Bull au bord de la mort et s’est enfui avant l’arrivée des policiers.

Le chien nommé Cruiser, gravement malade, ne tient plus sur ses pattes et ses jours, voir ses heures sont comptées. Le lieutenant Randy Vickrey et son équipe arrivent quelques minutes plus tard sur les lieux et découvrent ainsi le Pit Bull agonisant.

Bravant le risque de morsure puisque le chien malade se retrouve dans un position de défense, ne pouvant pas s’enfuir, les policiers le portent pour le mettre à l’arrière de la voiture de patrouille. Sirènes hurlantes le chien est immédiatement emmené dans une clinique vétérinaire de Los Angeles, afin d’être soigné en urgence.

Le chien sera traité pour déshydratation et vomissements. Au bout de 8 heures de soins, Cruiser, le Pit Bull âgé de six ou sept ans, est a nouveau sur ses pattes et en bonne santé.

Cruiser remis sur pattes Des policiers sauvent un Pit Bull de la mort et conduisent son maître en prison Cruiser soigné après son arrivée aux urgences Devant le lot de remerciements et d’hommages pour leur sauvetage, les policiers déclareront humblement que cela fait parti de leur travail , qu’ils doivent protéger tout le monde y compris nos compagnons à quatre pattes.

Le personnel de la clinique témoigne : Il faut du courage (et une grande dose de compassion) pour porter un Pit Bull terrifié et sur la défensive à l’arrière de la voiture de patrouille et l’emmener aux urgences. Son maître, ou plutôt son tortionnaire, est un homme âgé de 62 ans répondant au nom de Thomas Naylor. Il sera arrêté plus tard dans l’après midi et condamné à un an de prison ferme pour cruauté envers les animaux, conduite en état d’ivresse, intimidation de témoins et conduite sans permis.

Le bourreau réfutera l’accusation de cruauté envers les animaux. En vain puisqu’il lui est désormais interdit de posséder à nouveau un animal de compagnie et doit rembourser intégralement les soins portés a Cruiser.

Ce dernier sera conduit à l’association In Dog We Trust en vue d’être adopté.

Il lui faudra une période de réhabilitation pour faire de nouveau confiance à l’homme devant la maltraitance qu’il a subi. Voici la vidéo témoignant de l’intervention rapide des forces de l’ordre pour sauver le chien au bord de la mort : Souhaitons que Cruiser, ce magnifique Pit Bull, soit rapidement adopté et connaisse enfin l’amour d’un maître.

Sauvée d'une usine à chiots

Publié à 18:29 par fandeloup
Sauvée d'une usine à chiots

L'histoire d'Adora est aussi belle qu'émouvante.

Cette chienne a vécu l'enfer pendant de nombreuses années. Mais aujourd'hui, loin d'en vouloir humains qui l'ont tant fait souffrir, elle leur vient en aide.

5 ans en enfer Adora a passé 5 ans dans une usine à chiots, enchaînant gestation sur gestation. Le corps déformé par un tel rythme, la chienne avait à peine le temps de s'occuper de ses petits qu'on les lui enlevait.

5 ans de souffrance, passés sans presque jamais voir la lumière du jour, sans jamais connaître la joie de courir dans l'herbe.

Mais un beau jour, le destin de cette belle femelle Pit Bull a basculé.

La Humane Society de Pennsylvanie a secouru Adora, et lui a permis de connaître enfin le bonheur, au sein de la merveilleuse famille qui l'adoptée.

Des humains qui ont su voir en elle toute sa bonté, et sa capacité à aider les autres.

Adora est ainsi devenue une chienne de thérapie.

Une vraie princesse Incroyablement sociable et câline, la chienne qui ne connaît pas le sens du mot "rancune" rend visite à des enfants malades, et ses maîtres espèrent que sa gentillesse contribueront à changer la si mauvaise réputation dont souffrent les Pitbull.

Quand elle ne vient pas en aide aux autres, Adora vit le plus paisiblement du monde sa vie de chien libre et aimé.

Mais il y a quelques jours, la chienne a encore vécu une douloureuse épreuve... Souffrant d'une tumeur cancéreuse, elle a dû être opérée. Mais Adora va bien, assurent ses maîtres, qui s'occupent d'elle comme d'une véritable petite princesse.

L'histoire de la chienne a ému de nombreux internautes. Plus de 2 000 personnes suivent ses aventures sur Facebook. La belle a même un compte Instagram, et c'est un vrai bonheur de voir toutes ces photos sur lesquelles elle semble si heureuse.

Comment Olaf et Tromso ont échappé à l’euthanasie

Publié à 17:29 par fandeloup Tags : danse vie nature nuit livres air animaux
Comment Olaf et Tromso ont échappé à l’euthanasie

Les deux ours polaires, Olaf et Tromso, 24 ans, nés au Cirque d’Hiver de Berlin (Allemagne), arrivés au parc d’Amnéville (Moselle) en 1999. Une patte dans l’eau du bassin, Olaf sommeille.

Tromso, lui, perché sur un rocher, regarde les visiteurs en dodelinant de la tête.

Avec leurs pattes épaisses et leur truffe noire sur leur pelage blanc, les comparses font irrésistiblement penser à leurs doublures en peluche. « Mais attention, ce sont des fauves! Ils n’ont rien à voir avec Booba ou Teddy Bear », sourit Hervé Santerre, directeur zoologique du parc.

Le responsable les connaît bien, il s’est occupé d’eux au quotidien pendant plus de deux ans à leur arrivée, en septembre 1999.

L’intégration des deux ours polaires dans le parc d’Amnéville, l’un des plus grands zoos de l’Est,à vingt kilomètres de Metz, ne fut pas évidente.

Le duo est né au Cirque d’Hiver de Berlin, en Allemagne, dans lequel il a été élevé et dressé.

Durant une décennie, les frères ont diverti le public avec leurs numéros de danse.

Mais en 1999, le cirque a fermé ses portes. Et contacté plusieurs zoos pour leur offrir ses vedettes géantes. « Ce n’était pas dit comme cela, mais en substance, on nous a prévenus : Vous les prenez ou on les euthanasie… », raconte Hervé Santerre.

Amnéville avait déjà un ours polaire, Yuri, un mâle très puissant qui ne pouvait pas cohabiter avec ses semblables à cause de sa violence.

Le parc disposait cependant de deux enclos et d’un autre grand bassin, de 800000 litres d’eau.

La direction a donc accepté de récupérer les deux frères, âgés de 11 ans à l’époque.

Les ours polaires, nés en captivité, plus habitués aux cages de métal qu’au grand air, vont apprendre à vivre dans la nature. « Quand ils sont arrivés, ils n’avaient jamais nagé, précise Hervé Santerre. Ils ont mis plus d’un mois à se familiariser avec l’eau.

Olaf, le plus téméraire, s’est lancé le premier, puis Tromso a suivi. C’était très drôle, au début, de voir ces deux gros ours patauds se débattre dans le bassin avec leurs fesses qui émergeaient… »

Le bassin a également été le témoin d’une aventure peu glorieuse pour ces deux grands fauves du Nord.

Les soigneurs avaient mis des poissons vivants dans leur énorme piscine pour que les ours apprennent à « chasser » leur nourriture. « Ils n’ont pas attrapé un seul poisson en trois mois », poursuit Hervé Santerre.

Aujourd’hui, les frères ont développé une technique de chasse particulière : « Tromso se positionne au milieu du bassin pendant qu’Olaf nage pour rabattre les poissons vers lui, décrit Hervé Santerre.

Tromso, qui est le plus joueur, les tue et les jette en dehors. Olaf, le gourmand, n’a plus qu’à aller les manger. » La nourriture a une place très importante dans la vie des ours. « Ils mangent entre dix et quinze kilos par jour », précise le soigneur. Poissons, viandes, mais également des légumes. « En captivité, les ours blancs ont aussi un régime végétal », précise le spécialiste.

Le repas du soir, le plus important, est servi dans les abris où dorment les ours. « Pour des raisons de sécurité, nous rentrons les animaux pour la nuit, indique Hervé Santerre.

Le dîner est un bon appât pour les faire rentrer. Nous ne pouvons pas être en contact direct avec eux parce qu’ils sont trop dangereux. » Si Olaf, « l’estomac sur pattes », se prête avec plaisir au rituel du coucher, Tromso, moins goulu, rechigne à se faire enfermer. « Il préfère rester jouer dehors.

Un jour, je lui avais donné de très gros os qu’il a utilisés pour bloquer la trappe et ne plus rentrer. » L’atout des soigneurs : « Tromso ne résiste pas aux tartines de pain d’épice et de miel. » Comme dans les livres d’enfants.

émouvant

Publié à 19:38 par fandeloup Tags : chien chiens
émouvant

Une chienne errante part à la recherche de ses petits avec son sauveteur (vidéo)

Comme il existe des SDF, il existe aussi des chiens errants. C’est une chienne qui est ici filmée alors qu’elle vit à la rue dans des débris. Elle est attrapée après de nombreuses tentatives mais celui qui l’a sauvée s’aperçoit qu’elle a les mamelles gonflées de lait et qu’il doit donc y avoir des chiots quelque part. Cette personne attrape une chienne dans une cage après l’avoir appâtée pendant une longue période. Le sauveteur se rend alors compte que la chienne a les mamelles gonflées. Il doit donc y avoir des petits quelque part. Aidé par la chienne, il part donc à la recherche des jeunes. Emouvante découverte. Touchant sauvetage d'un chien errant, apeuré qui se termine par une étonnante surprise

récit

Publié à 13:43 par fandeloup Tags : enfant moi amour chez histoire travail nuit chien
récit

HISTOIRE : LE VIEUX CHIEN ET L’ENFANT

- Maman, je m’ennuie

- Va jouer dans ta chambre, tu as tout ce qu’il te faut

- Non maman, je n’ai pas de petit frère, ni de petite sœur, tu ne veux pas que mes copains viennent à la maison, je m’ennuie

- Mais moi je suis là !

- Mais tu dis toujours que tu as du travail, que tu n’as pas le temps de parler avec moi

- Bon, là je ne peux pas mais si tu veux, tu peux aller au parc, emporte ton ballon

- Oui maman… Une heure et demie plus tard

- Alors mon chéri, tu t’es bien amusé ?

- Je n’ai pas joué au ballon maman, mais j’ai beaucoup pensé

- A quoi pensais-tu donc durant tout ce temps ?

- J’aimerais avoir un chien

- Mais tu n’y penses pas ! Tu es trop jeune pour t’occuper d’un chien, et qui s’en chargera quand tu iras à l’école ?

- Ben tu es là toute la journée, maman, tu pourras le sortir une fois le matin et une fois l’après-midi, le reste du temps je te promets, je m’en occuperai toujours

- Et quand on partira en vacances, que fera-t-on du chien ?

- Mais maman, tu m’emmènes bien en vacances, on l’emmènera aussi

- Ah non, pas question mon bonhomme, les vacances c’est sacré

- Oui maman…

Le papa rentre du travail

- Papa, je m’ennuie

- Va faire tes devoirs dans ta chambre

- J’ai fini mes devoirs papa, j’ai plein de jouets mais personne à qui parler. Maman a toujours quelque chose à faire dans la journée, toi quand tu rentres du travail tu es fatigué, alors moi, tout seul, je m’ennuie. Je voudrais bien avoir un chien, mais un vieux chien

- Pourquoi veux-tu un chien ? Et surtout un vieux chien ?

- Cette après-midi au parc, j’ai rencontré une vieille dame, très vieille et j’ai parlé avec elle. Elle m’a dit qu’elle était très malade et qu’elle allait rentrer à l’hôpital, mais personne ne veut garder son chien, alors elle va être obligée de l’emmener chez le docteur et il va le faire mourir avec une piqure. Avec moi il serait bien, je m’en occuperai toujours et la vieille dame sera contente de ne pas faire mourir son chien parce que personne ne veut de lui

- Ecoute mon garçon, un chien, jeune ou vieux, c’est du travail, c’est de l’argent aussi, on ne va quand même pas se priver pour un chien !

- Oui papa…

Quelques jours passent, l’enfant ne veut plus manger, passe son temps à pleurer, pas sur son sort mais sur le sort du chien de la vieille dame, il va mourir alors que lui pourrait le sauver, mais il est trop jeune et c’est aux parents de décider. Mais dans sa tête d’enfant, il raisonne déjà comme un grand.

Demain matin, avant que les parents soient réveillés, je partirai, j’irai voir la vieille dame, elle m’a dit où elle habitait…

Et au petit matin, alors qu’il fait encore nuit, l’enfant se sauve de chez lui. Il court aussi vite qu’il le peut, avec ses petites jambes, il est presque arrivé, il n’y a plus qu’une route à traverser, il voit d’ailleurs la maison de la vieille dame…

Et c’est le choc avec le camion… Le chauffard ne s’est même pas arrêté, a-t-il seulement réalisé ce qu’il venait de faire ? L’enfant reste inanimé.

Personne ne passe par là, il est encore très tôt. Puis soudain il sent quelque chose sur son visage, c’est râpeux, c’est humide, un souffle chaud…

Il ne peut pas ouvrir les yeux et se demande ce qu’il fait là. Puis les secours arrivent, il ne peut pas bouger, il ne peut pas parler, mais il entend ce qui se dit autour de lui. « C’est ce vieux chien qui l’a sauvé » « Quand il a entendu un grand bruit, le vieux chien a sauté par-dessus le portail et s’est précipité vers l’enfant, il l’a léché pour tenter de le ranimer, il a aboyé très fort jusqu’à ce que quelqu’un l’entende et prévienne les secours.»

A ce moment là, la vieille dame est sortie. Elle connaissait un peu l’enfant et savait où il habitait. Elle a demandé à la police de les prévenir. Ils sont arrivés très vite. Lorsqu’ils ont su que leur enfant était hors de danger, ils se sont rendus chez la vieille dame qui s’apprêtait à partir chez le vétérinaire…

Ils n’ont pas eu à se concerter, d’emblée ils ont dit à la vieille dame « ne vous inquiétez pas, nous le gardons avec nous, il a sauvé notre enfant, à nous maintenant de le sauver, il lui reste encore de belles années et nous vous promettons de ne jamais l’abandonner, de nous en occuper comme il s’est occupé de notre propre enfant. Nous pensions au début qu’il faisait un caprice, il aura fallu ce drame pour que nous réalisions que notre enfant a un cœur immense, bon et généreux, et grâce à lui notre amour grandira à son tour… »

récit

récit

HISTOIRE VRAIE : C’ÉTAIT ECRIT... (CATHY MONGE EST DE RETOUR SUR NOTRE PAGE !)

Il y a 12 ans, je suis venu au monde. J'étais un superbe berger allemand et ma maîtresse m'a prénommé Rex. Pendant une année, nous avons vécu un amour fusionnel, jusqu'au jour où un homme est arrivé dans la vie de ma bien-aimée. N'ayant pas été habitué à partager, je me suis rebellé contre cet intrus, et en croyant protéger ma maîtresse, je n'ai eu pour récompense que le refuge. Je n'ai pas compris …

Après quelques temps au refuge, d'autres maîtres sont venus vers moi et je suis reparti pour une nouvelle aventure, plein de confiance et d'amour. Quelques années de tranquilité, et mes maîtres déménagent, me refile à un « soi-disant » ami qui fini par me donner, sans état d'âme, à un SDF.

Les années défilent pour moi, et ma vie se résume à la rue. Malheureusement, mon dernier maître me maltraite, et c'est finalement la police qui me récupère. Mais dans mon malheur, j'ai quand même eu la chance que les gens du refuge me tatoue et finissent par me retrouver.

Retour à la case départ, mais malgré tout, j'ai un coin pour moi, une bonne gamelle, des sorties et de l'amour. Mon âge avancé ne joue pas en ma faveur, et j'ai peur de finir mes jours derrière des barreaux.

Et un jour …. Il y a 12 ans, j'étais encore à Nice, je travaillais, je m'occupais de ma famille et de mes animaux. J'avais une vie mouvementée car en plein divorce, mais j'ai surmonté toutes ces difficultés et je me suis battue pour repartir vers de nouveaux horizons. J'avais compris … Puis, j'ai quitté Nice pour un nouvel amour. Mes enfants étaient casés et mes animaux m'ont suivi. J'ai découvert une nouvelle famille, de nouveaux amis et la vie a repris son cours sous de meilleurs auspices. Les années ont passés, j'ai perdu plusieurs de mes animaux (la vie est trop courte pour eux) et tout doucement, un besoin de chouchouter un papy ou une mamie est venu me préoccuper. J'ai fait des recherches et je pensais avoir trouvé mon bonheur. Mais les choses ne se sont pas passées comme prévu, et je n'ai pas eu ma mamie que j'attendais avec impatience. Ca a été un coup dur, car malgré l'éloignement, j'avais commencé à l'aimer et tout était prêt pour son arrivée. Elle a été adopté 3 jours avant que je puisse la récupérer. Tant mieux pour elle, ça lui aura évité un voyage et elle est bien tombée dans sa nouvelle famille. Puis, j'ai flashé pour un papy corse. Le refuge n'a pas été très correct avec moi, et m'a répondu, malgré les covoiturages possibles, que si je voulais adopter chez eux, je n'avais qu'à prendre le bâteau !

2ème déception et rancoeur envers le refuge. Je pensais laisser tomber, et je suis arrivée tout à fait par hasard sur une nouvelle page Facebook, ouverte depuis quelques jours, d'un refuge dans le département voisin du mien !!!

L'aubaine ! Pas encore beaucoup de photos sur le site, et d'un coup je l'ai vu …

Le lendemain après-midi, mon compagnon et moi sommes partis voir un vieux toutou. Et le destin a voulu que Rex et Cathy se rencontrent. Rex a senti que le vent tournait enfin pour lui, et Cathy a senti son cœur se remplir d'amour pour ce vieux bonhomme.

Une nouvelle histoire est en train de naître. J'espère qu'elle sera la plus longue et la plus belle possible. C'était écrit ...

 Merci à Cathy Monge pour son récit et la photo de son nouveau compagnon.

maltraitance

Publié à 17:22 par fandeloup Tags : photos travail animaux chien animal chiens
maltraitance

2 CHIENNES TORTURE DANS UN APPARTEMENT.

La police a sauvé 2 chiens d'une maison dans le quartier de la Fontaine Quail alerté après que des voisins ont entendu des coups et des gémissements de l'animal.

À l'arrivée , les agents ont trouvé un Chihuahua pris au piège dans un instrument de torture.

Dans la même maison, ont également pris un autre qui aurait pu être abusé également.

Les agents de la police ont vu Kila, le chien coincé dans l'appareil à travers une fenêtre.

En fait, les photos prises à partir de l'extérieur de la propriété ont permis de blâmer le propriétaire et manque de blesser les animaux .

Après les rapports vétérinaires indiquant que le chihuahua a été maltraité , l'animal a été admis à l' abri pour animaux de Barcelone et les officiers a fait une deuxième visite de l'appartement, où ils ont trouvé un autre animal qui avait également été torturé.

Pour Kila (le chien blanc), 8 ans , et Lola, (le chien créme), 5 ans , désormais c'est au juge de donner le feu vert à la procédure d'adoption .

La peine de l'agresseur présumé dépendra de la décision du juge qui déterminera la gravité de la torture.

Le propriétaire des animaux peut faire face à une peine pouvant aller jusqu'à 1 an de prison et une amende .

Il peut également être interdit pour tout travail lié aux animaux pendant 3 ans.

abattoir

Publié à 14:07 par fandeloup Tags : chevaux vie monde france histoire mort animaux animal voyage cheval
abattoir

Une jument met bas dans un abattoir !

Le 18 avril, une petite jument gestante, prête à mettre bas, en provenance d'Espagne, arrive dans un abattoir de l'Aude.

Si la loi française autorise l'abattage des juments gestantes, elle l'interdit lorsque celles-ci sont à terme. Ce qui était le cas en l'espèce ! Première infraction à la réglementation !

Elle n'est pas abattue lors de son arrivée, faute de temps. Son abattage est prévu le lundi suivant. Pendant le week-end, la jument donne naissance à une petite pouliche, parfaitement viable !

Le lundi, à la vue de cette scène improbable, aucun abatteur n'a le courage de tuer la jument et aucun vétérinaire n'accepte d'euthanasier la pouliche.

Première victoire, tout le monde se mobilise.

La directrice de l'abattoir demande une dérogation mais les services de l'Etat refusent en indiquant que tout animal entré dans un abattoir doit en ressortir mort.

La Présidente de la délégation SPA de l'Aude, Sylvie Fabre, est alors informée de l'abattage imminent de cette jeune mère et de son poulain. Tout est mis en œuvre pour obtenir de la Direction Générale de l'Alimentation une dérogation au règlement draconien.

Dans un premier temps, la SPA est informée que rien ne peut être fait et que ces deux animaux mourront le 5 mai.

La SPA ne peut s'y résoudre ! Après de nombreux contacts pris au plus haut niveau du Ministère de l'Agriculture, l'accord intervient le 30 avril : la dérogation est accordée !

Un agriculteur, ému par l'histoire de cette jument et de son petit, accepte de les adopter.

L'histoire se termine bien.

Mais combien d'animaux sont dans ces situations dans les abattoirs de France?

Trop, certainement !

La SPA fait campagne contre l'hippophagie et souligne les conditions de transport détestables des animaux destinés à la boucherie, du manque de prise en compte d'un minimum de bien-être animal.

Le cas de cette jument gestante, prête à mettre bas, épuisée par la brutalité et la fatigue d'un long voyage, et donnant la vie aux portes de la mort est-il un cas isolé ?

Quelle traçabilité ?

D'où viennent les chevaux abattus en France?

Combien de poulains morts dans le ventre de leur mère ?

Combien de juments ont mis bas durant leur transport ?

Dans quelles conditions ?

Pourquoi la France est-elle l'un des derniers pays à manger du cheval? 

Pour permettre aux autres pays européens d'écouler leurs stocks de vieux chevaux et d'invendus ?

Serions-nous les consommateurs de poubelles européennes d'équidés?

La discussion est ouverte ! La SPA demande au Ministère de l'Agriculture une réflexion avancée sur ce sujet.

Source : SPA / protection-des-animaux.org