Un chien policier sauve une mère et ses filles La famille s'était égarée dans le Vallon d'Aubonne.

Le flair du chien Cali a permis de les retrouver. La promenade d'une famille aurait pu virer au drame, dimanche dernier.

Partis en balade dans le Vallon d'Aubonne, un couple et ses deux enfants se sont égarés dans la forêt des Ursins, près de Montherod, vers 16h.

Le père a tenté de chercher un chemin, mais à son retour, sa femme et ses deux filles avaient disparu.

Il a alors alerté la police via le 117, avoir après essayé sans succès de les retrouver.

Au vu de la fraîcheur de la nuit qui approchait et du terrain difficile dans la forêt, les gendarmes sont intervenus avec un chien, Cali.

Après dix minutes, l'animal a retrouvé la trace de la maman et de ses filles. En bonne santé malgré une légère hypothermie, elles avaient quitté le sentier pour tenter de revenir sur leurs pas.

La famille réunie a pu regagner son domicile dans la soirée.

Roselle, une héroïne du 11 septembre 2001?

" Michael Hingson était à son bureau du 78e étage de la tour nord du World Trade Center le matin du 11 septembre 2001.

Il a survécu pour raconter son histoire grâce à son chien guide, Roselle.

La labrador blonde a calmement guidé son maitre non-voyant parcourant les 1463 pieds les séparant de la sortie de l’édifice et alors que débris et poussière tombait sur eux, elle trouva une station de métro, assurant leur sécurité.

Roselle est décédée en juin 2011 à l’âge de 13 ans mais sont héroïsme vivra à jamais.

“Elle m’a sauvé la vie” écrivit Hingson sur le site de l’American Humane Association.

Juste comme ils sortaient du building le jour du 11 septembre, la tour sud s’effondrait.

“Pendant que tout le monde paniquait, Roselle est demeurée complètement concentrée sur son travail” mentionna Hingson."

Belle histoire.. Ce petit loulou a été retrouvé dans un fossé au bord d'une route par un couple alors qu'eux s'étaient arrêté avec leur auto ils ont entendu des petits bruits et ont aperçu cette puce ne sachant plus bouger ils l'ont de suite amené chez un vétérinaire et le verdict était catastrophique bassin et vertèbres cassés il ne marchera plus ni pucé ni tatoué ils ont décidés de l'adopter et de l'appareiller... Deux anges passaient par hasard et en ont sauvé un troisième

Le chien et le hérisson, ou la naissance d'une amitié

Besoin d'un peu de douceur et de tendresse pour illuminer votre journée ?

Rien de plus simple ! Nous avons exactement ce qu'il vous faut. Prenez un magnifique chien, un Spitz blanc comme neige par exemple, puis présentez-lui un petit hérisson.

Regardez-les se jauger, faire connaissance, puis devenir amis. Et voilà, le tour est joué ! Voici donc le chien Nimbus, aussi doux que gentil, et le hérisson Poki-Hontas, aussi mignon que piquant ! Il ne leur aura fallu que quelques minutes pour devenir inséparables. Le petit Poki-Hontas aime tout particulièrement se cacher dans la fourrure de son copain canin, et celui-ci ne s'en plaint pas. Bien au contraire. Il semble ravi d'avoir un tout petit copain avec lequel partager son quotidien.

La vidéo

Le 9 mai 2007 dans les montagnes du nord de l'Albanie, un loup a été capturé et mis dans un enclos.

Pour le nourrir, les braconniers ont décidé de lui donner une "nourriture vivante", un vieil âne qui, exploité depuis de nombreuses années par ses propriétaires, avaient perdu toute valeur.

Mais ce qui s'est passé?

Les deux sont devenus les meilleurs amis. Leur histoire étonnante est devenue publique et 12.000 personnes avaient écrit au gouvernement de l'Albanie demandant que la vie de l'âne soit épargnée et le loup relâché dans la nature.

Même la télévision albanaise a couvert l'histoire et sous la pression énorme du public, ils les ont épargnés l'un et l'autre !

UNE HISTOIRE SI TRISTE !

Le photographe qui a capturé l'image raconte l'histoire de ce chiot trouvé à côté des restes calcinés de sa mère après un incendie en Birmanie :

«Quand je me promenais dans les zones brûlées des villages, j'ai vu cette scène qui m'a brisé le cœur. Avant de prendre les photos, les habitants ont demandé si quelqu'un voulait adopter le chiot. Personne ne pouvait parce que tout le monde était en difficulté après les violences subies par les combats pour éteindre l 'incendie. Ensuite, j'ai laissé tous mes appareils photo, le chien s'est assis à côté de moi en regardant mon profond regret et ma tristesse, les pleurs en moi. J'ai pris les photos. Je caressais sa tête ... Il me léchait les mains. Quand est venu le temps de partir, j'étais sur le point de prendre le chiot à l'hôtel, puis vint un homme de la ville. Il a dit qu'il enverrait le chiot vers le monastère du village. Au Myanmar, les monastères sont probablement les endroits les plus tranquilles là-bas. Je pense que c'est la meilleure des choses que j'ai faites dans ma vie".

À Singapour, la justice ne prend pas à la légère les cas de maltraitance animale.

C’est ce qu’a appris à ses dépends le maître d’un Border Collie qui enfermait régulièrement ce dernier sur son balcon, l’exposant à une chaleur parfois étouffante et aux intempéries.

Roy Ling Chung Yee, un habitant de Singapour, enfermait régulièrement son chien sur son balcon lorsqu’il s’absentait. Le balcon, qui mesure 3,5 mètres sur 1,5 mètres, n’est pas abrité du soleil parfois brûlant et des intempéries.

L’enquête a déterminé que pendant près de six mois, durant parfois six heures par jour, le chien était livré à des chaleurs extrêmes et à la faveur des conditions climatiques, le tout sans eau ni nourriture appropriés. Son seul abris était une petite caisse en plastique.

Des voisins, alertés par les aboiement incessants du chien et alarmés de le voir dans ces conditions, ont alors alerté la SPCA de Singapour (Société pour la prévention de la cruauté sur les animaux).

C’est ainsi qu’en juin 2011, l’association a commencé ses investigations pour conclure à une enquête approfondie, réunissant les preuves nécessaires pour conduire le maître insouciant devant un tribunal. Le personnel de la SPCA et des vétérinaires de l’AVA (Agri-Food and Veterinary) ont pris des photos et fait des vidéos pour étayer leur plainte.  

Condamné à une amende de 5000 $ pour avoir enfermé son chien sur son balcon

C’est donc le 20 août dernier que l’accusé s’est présenté devant le juge Ng Peng Hong, qui l’a condamné à 5000 $ d’amende (3811 €) pour « négligences et souffrances sur animaux ». Pour sa défense, l’accusé a expliqué qu’il n’était pas conscient de la souffrance de son chien car se dernier paraissait en bonne santé.

En effet, même si le chien ne présentait pas de souffrances physiques visibles, les vétérinaires présents à l’audience ont convaincu le juge sur le fait que le chien avait été très stressé durant ces conditions d’expositions prolongées au soleil et aux intempéries, ce qui est semblable à un acte de cruauté sur un animal.

C’est d’ailleurs ce que le juge expliquera à l’accusé décidément très insouciant : Faire souffrir son chien négligemment n’est pas lié au fait qu’il soit malade ou atteint physiquement… Le bien être du chien n’a pas forcement de rapport avec le fait qu’il soit en bonne santé ou non (déclarations du juge Ng Peng Hong) Pour Corinne Fong, la directrice exécutive de la SPCA, c’est un cas de jurisprudence visant à faire reconnaître et condamner les maîtres pour l’état de stress psychologique des chiens, provoqué par leur négligence et donc par leur maltraitance.

Elle explique : Quand la SPCA est appelée à enquêter sur d’autres cas, nous gardons en tête cette condamnation. Nous savons maintenant que si des propriétaires persistent à garder leurs animaux dans de mauvaises conditions, dans des conditions de vie terribles, nous pouvons les poursuivre.

La loi est de notre coté. C’est une belle avancée dans la condamnation des cas de cruauté envers les animaux, qui intègre l’aspect psychologique de la souffrance animale. À noter que le chien aurait pu mourir d’un coup de chaleur ou de déshydratation… Le maître s’exposait à une amende de 10 000 $ et/ou un an de prison ferme.

À quand cette reconnaissance et ces peines chez nous ? Partager !

Histoire d'amour : Depuis que cette petite dame était tombée malade et plongée dans le coma, son chien Blanco venait la veiller chaque matin en grimpant sur son lit, la câlinant plusieurs heures. Cette petite dame est sortie du coma 1 mois plus tard et ses premières paroles furent : "Blanco ! Où est Blanco ?! Comment va-t-il ?"

A nos amours d'animaux ... ... qui ne nous abandonnent jamais ...

Sauvetage - Un ours exploité pour des combats recouvre la liberté

L’organisation de protection animale autrichienne Vier Pfoten, soutenue par la Fondation 30 Millions d’Amis, a organisé le sauvetage de Masha, un ours de combat utilisé pour le dressage de chiens de chasse.

30millionsdamis.fr revient sur une histoire qui n’est malheureusement pas un cas isolé.

Un ours exploité pour des combats recouvre la libertéAprès d’intenses négociations, l’association de Vier Pfoten, soutenue par la Fondation 30 Millions d’Amis, est parvenue à faire libérer Masha, une ourse qui n’avait connu que l’enfermement et la rudesse des combats.

L’opération s’est déroulée (4/9/13) dans une région forestière située à 120 km de la ville de Kharkov au Nord-Est de l’Ukraine, sans que les autorités n’aient été prévenues. « Nous avons pris ce risque pour garantir la sécurité de Masha », justifie le docteur Amir Khalil, vétérinaire et directeur de projet auprès de l’organisation de protection animale autrichienne.

Actes de cruauté Agé de 5 ans, le plantigrade vivait enfermé dans une cage minuscule. Un traumatisme pour un animal censé vivre dans de grands espaces. « Les ours ont besoin de disposer de beaucoup de place, ils doivent aussi pouvoir hiberner et bénéficier d’une alimentation équilibrée.

Masha n’a rien connu de cela : elle est bien trop maigre, son pelage est terne. Le sol en béton de sa cage a mis ses pattes à rude épreuve et son cou présente de nombreuses plaies dues au frottement du collier et de la lourde chaîne métallique qu’elle devait porter jour après jour.

Cela témoigne d’une cruauté inqualifiable envers l’animal! », dénonce Amir Khalil. Masha ne quittait sa cage que pour servir d’appât pour dresser des chiens de chasse. Enchaînée et sans défense, elle subissait alors les assauts répétés des molosses.

Cette pratique odieuse serait malheureusement assez courante en Ukraine. En juillet, une vidéo, qui mettait en cause la filière locale de Royal Canin, dévoilait aux internautes la violence de cette coutume. «Les conditions de vie de Masha témoignent d’une cruauté inqualifiable envers l’animal !

Dr Khalil – chargé de projet Vier Pfoten Nouvelle vie Vier Pfoten a été alerté du sort de Masha en février 2013. L’organisation autrichienne a alors immédiatement avisé l’administration ukrainienne qui a confirmé les faits de cruauté envers l’animal et porté plainte contre le propriétaire.

Suite à cela, l’ourse a mystérieusement disparu. Décidées, les équipes de Vie Pfoten sont parvenues à retrouver la trace du propriétaire. « La pression sur le groupe de défense des combats d’ours, qui se déroulent en toute illégalité, était devenue trop importante en raison du matériel vidéo que nous avions diffusé.

Le propriétaire a fait disparaître Masha, mais nous n’avons pas baissé les bras. Nous avons réussi à le contacter et l’avons finalement convaincu, après de multiples pourparlers, de nous remettre Masha volontairement en un lieu tenu secret », raconte le vétérinaire.

Aujourd’hui, Masha a troqué sa minuscule cage pour les espaces plus propices du centre de sauvegarde de Jitomir situé au nord-ouest du pays. Les soignants ont commencé à la nourrir correctement. Et suite à un examen vétérinaire, elle a reçu les médicaments dont elle avait besoin ; son état général est satisfaisant mais elle est très nerveuse et faible.

Masha entame maintenant une nouvelle vie aux côtés de Bodia et Nastia, deux autres pensionnaires du centre Nadiya dont vous aviez découvert les histoires sur 30millionsdamis.fr. Il ne faut pas pour autant en oublier leurs congénères : selon Vier Pfoten, il resterait encore 20 autres ours de combat en Ukraine.

Maltraitance d'animaux : les Amis des bêtes portent plainte pour abandon

VILLENEUVE-SAINT-GERMAIN (02).

L'association Les Amis des bêtes du Soissonnais a porté plainte, hier, contre les maîtres de deux chiens laissés à l'abandon sans eau, ni nourriture, dans une cour fermée.

Fanny et Eliette, les deux chiennes rebaptisées tentent de se rétablir de leur piteux état, au refuge des animaux.

 ABANDONNÉES dans leurs excréments, sans eau ni nourriture, deux chiennes ont été retrouvées, jeudi dernier par les secours et l'association Les Amis des bêtes du Soissonnais, rue du Général-Pille.

Dans une cour fermée, près d'une maison désertée, ils étaient prisonniers de cet endroit, depuis plus d'un mois et demi. Alertés par les voisins, les pompiers et la police sont rapidement intervenus sur place et ont défoncé la porte de la cour à coup de pied-de-biche.

Dans la rue qui longe la cour, les voisins leur lançaient des morceaux de pain pour qu'ils puissent survivre. « Mais, les deux animaux se battaient pour pouvoir les manger », confie Marie-Elisabeth Fourt, vice-présidente de l'association Les Amis des bêtes du Soissonnais. Hier, celle-ci a porté plainte contre les maîtres, pour maltraitance et abandon assimilé à un acte de cruauté (article 521-1 du code pénal). « Quand on les a retrouvées, poursuit-elle, le cocker aveugle, âgé de 11 ans, était blotti contre le mur, sous la gouttière en espérant qu'une goutte d'eau puisse tomber dans sa gueule.

L'autre chienne, un croisé braque, âgé de 3 ans tournait en rond espérant trouver de la nourriture. » Son constat est amer quant au traitement des animaux dans la région. « Ils sont de plus en plus maltraités.

On se demande si cette tendance est liée à la crise économique et au malaise social ou à un laisser-aller des gens qui se moquent de tout. À Pâques, nous avions tenté de sauver Cachou, un croisé teckel qui avait été égorgé par cruauté.

On avait lutté une semaine pour le ranimer », se souvient-elle avec horreur. Auscultées par le vétérinaire, les deux chiennes en piteux état souffrent de diverses carences.

Cataracte et tumeur « Le cocker n'a jamais été soigné pour sa cataracte et souffre d'une tumeur cancéreuse. Nous lui cherchons une famille d'accueil. » Elle ajoute : « Ce n'est pas pardonnable, car à l'association nous mettons à disposition des gens à faible revenu, des moyens pour soigner leur animal », assure Marie-Elisabeth Fourt, qui ajoute avoir pris contact avec la Fondation Bardot pour qu'elle se porte partie civile au tribunal.

À ce jour, les deux chiennes semblent se rétablir tant bien que mal au refuge situé chemin de Venizel à Villeneuve-Saint-Germain. « Les deux chiennes sont cachectiques (d'une extrême maigreur et de mauvaise constitution) et le croisé braque ne pèse que 17 kg (au lieu de 26 kg pour son âge et sa taille).

On doit les nourrir cinq à six fois par jour, à petite dose. On leur prépare un régime particulier à base de croquette, viande blanche et pâte et ils doivent prendre des médicaments », confie la vice-présidente, tout de même contente d'être arrivée assez tôt avant la catastrophe. « C'était vraiment limite !

Les gens doivent savoir qu'on est toujours là, que ce soit pour les aider en leur prodiguant des conseils, ou pour les traîner devant le tribunal, en cas de maltraitance », conclut-elle.