La comédienne Françoise Bertin ("Ensemble c'est tout", "Bref") est morte à 89 ans DISPARITION

- La comédienne Françoise Bertin, qui avait tourné pour Alain Resnais et joué dans la série "Bref", est morte à l'âge de 89 ans. Elle était un des seconds rôles les plus attachants du cinéma français. Françoise Bertin s'est éteinte à l'âge de 89 ans, alors qu'elle brûlait encore les planches aux côtés de Michel Sardou il y a quelques semaines. Souffrante, la comédienne avait été hospitalisée et remplacée par Anna Gaylor.

Si son nom restait très méconnu du grand public, son visage est apparu plusieurs fois dans des comédies populaires comme Ensemble c'est tout, où elle incarnait la grand-mère du personnage de Guillaume Canet, Le Petit Nicolas, Ne le dis à personne ou Paulette, aux côtés de la regrettée Bernadette Laffont.

Un épisode entier dans Bref Françoise Bertin avait commencé sa carrière au début des années 1960 sous la direction d'Alain Resnais. Plus tard, elle a tourné pour Bertrand Blier, Claude Pinoteau et Jean-Marie Poiré. En février 2012, sa carrière prend une tournure inattendue avec une apparition dans un épisode entier de la mini-série Bref, dans lequel elle remplace la voix-off de Kyan Khojandi.

A la télévision, elle avait également joué le rôle de Josiane dans Plus belle la vie. L'actrice avait remporté, en 1993, le Molière de la meilleure comédienne dans un second rôle pour la pièce Temps contre temps, mis en scène par Laurent Terzieff.

Antoine Berge, l'homme au pipeau de "Bonne nuit les petits" est mort DISPARITION -

L'interprète du fameux solo de pipeau du dessin animé s'est éteint à l'âge de 87 ans. Le marchand de sable et Nounours.Le marchand de sable et Nounours. Il a marqué l'enfance de nombreuses personnes. Antoine Berge, qui exécutait le solo de pipeau dans le générique de "Bonne nuit les petits", est mort à 87 ans près d'Honfleur, dans le Calvados.

Des milliers d'enfants ont suivi les aventures de Nounours, Pimprenelle et Nicolas à partir de décembre 1962, puis lors de nouvelles aventures diffusées sur France 2 dans les années 1990.

Il s'est senti "grugé" dans les années 1990 Plus de 900 épisodes de "Bonne nuit les petits" ont été diffusés à la télévision. Autant dire que cette musique inspirée du célèbre compositeur italien Jean-Baptiste Pergolèse va rester gravée dans les mémoires.

Antoine Berge était architecte de métier mais possédait un diplôme de la Guilde française des joueurs et faiseurs de pipeaux. Il avait enregistré plusieurs albums de pipeau dans les années 1970 et avait occupé le poste de maire de Fourneville, sa commune, de 1977 à 1995.

A l'orée des années 2000, le musicien, qui s'estimait "grugé" selon les mots de son avocate, avait attaqué son ex-employeur pour droits d'auteur insuffisants. Depuis la création du générique, l'homme avait en effet perçu seulement 28 francs symboliques, car la série ne devait pas se prolonger au-delà de dix épisodes.

Le compositeur reprochait notamment à l'INA d'avoir touché plus de 3 millions de francs grâce à ce générique.

HISTOIRE – Maria Lambour, 103 ans, est décédée.

Si son nom reste peu connu du grand public, son visage l’est beaucoup plus : cette Bigoudèen, qui était la dernière à porter la célèbre coiffe en dentelle tous les jours, était le visage star des pubs Tipiak.

Maria Lambour, était la dernière Bigoudène à porter la coiffe tous les jours.Maria Lambour, était la dernière Bigoudène à porter la coiffe tous les jours.

Elle s’appelait Maria. Elle avait 103 ans et le visage plissé par les années. C’était un tout petit bout de femme, que les habitants de Pont-l’Abbé, dans le Finistère, étaient habitués à voir passer. Eté comme hiver, droite dans sa robe noire, la coiffe fière, qui la grandissait d’une demi-taille. Elle allait et venait, discrète mais bien présente.

Elle est décédée ce lundi, emportant avec elle une partie de la mémoire de ce coin de Bretagne. Maria Lambour était en effet la dernière Bigoudène à porter le costume traditionnel et la coiffe, haute de 33 centimètres tous les jours.

20 ans avant, elles étaient encore 300 coquettes, autour de Pont-l’Abbé, à passer du temps, tous les matins, pour se parer de ce long tube de dentelle, porté uniquement dans cette extrême pointe sud de la Bretagne, mais devenu depuis un symbole de la région toute entière. Rendue célèbre par les pubs Tipiak Mais si Maria Lambour était connue et reconnue dans son Pays bigouden, comme une voisine ou amie, elle a surtout été starisée auprès du grand public avec les publicités pour la marque de produits cuisiniers Tipiak, et une réplique culte :

"Ils ont volé notre recette ! Pirates !"

Elle est devenue, sans doute un peu malgré elle, la star vedette des Saint-Jacques gratinées, brandade morue parmentier et autre couscous parfumé aux épices du monde. Ces prestations télévisées ont fait d’elle quasiment un monument national : chaque été, les touristes se pressaient, plus ou moins élégamment, pour se faire tirer le portrait auprès du petit bout de femme. Elle ne disait jamais non, ne disait d'ailleurs rien.

Ne cherchait pas à éviter d'être traitée en mascotte, comme posée parfois ici ou là pour des photos. Mais ses yeux, malicieux, le disaient pour elle : "Ils sont fous ces gens... Mais qu'est-ce qu'on s'amuse dans ce coin de Bretagne!"

La Boule" de Fort Boyard est décédé

Yves Marchesseau, alias "La Boule", est décédé d'un cancer lundi 29 septembre. Il sonnait le gong dans l'émission Fort Boyard. 10008 48 Yves Marchesseau (au centre) devait son surnom de "la Boule" à son ancienne activité dans un magasin de pétanque.

Sa silhouette massive ne sonnera plus le gong. Yves Marchesseau, alias

La Boule, est décédé d'un cancer de l'œsophage, à l'hôpital de Saintes (Charente-Maritime).

Il était âgé de 62 ans. Yves Marchesseau était un pilier de Fort Boyard : ce vendeur de boules de pétanque, d'où son surnom, avait intégré l'émission en 1994 et ne s'est arrêté qu'en mai dernier pour se soigner. Il souffrait également de diabète, mais espérait pouvoir revenir en 2015.

Il n'y a pas de mots assez fort pour qualifier ce geste, mais laissons la haine et la violence de coter, et allumons une bougie pour qu'il puisse s'élever et reposer dans l'amour et la paix....sincères condoléances a sa famille.

Un rassemblement aura lieu à Lyon vendredi soir à 19h30 place St Jean pour rendre hommage à Hervé Gourdel, nouvelle victime du terrorisme islamiste.

Il y a des mots, c’est pour les dire, c’est pour les faire frire, c’est pour rire. Il y a des mots, c’est pour les chanter, c’est pour rêver, c’est pour les manger. Il y a des mots, que l’on ramasse; des mots qui passent, des mots qui se cassent. Il y a des mots pour le matin, des mots métropolitains, ou lointains. Il y a des mots épais et noir, des mots légers pour les histoires, des mots à boire. Il y a des mots pour toutes les choses, pour les lèvres, pour les roses, des mots pour les métamorphoses, Si l’on ose..." et il y a aussi les regards .. qui eux . n'ont pas besoin de tous ces mots.

Décès de Joan Rivers, qui a fait rire l'Amérique pendant 60 ans

La comédienne Joan Rivers dont l'humour avait fait rire l'Amérique pendant 60 ans est décédée à l'âge de 81 ans

«J'ai eu tant de chirurgie plastique que, quand je mourrai, ils donneront mon corps à Tupperware», disait-elle après plus de 700 interventions...

Drôle, provocatrice et caustique, la comédienne Joan Rivers, s'est éteinte à l'âge de 81 ans à New York. Elle avait été Hospitalisée en urgence deuis jeudi dernier après un arrêt cardiaque et respiratoire survenu dans un cabinet médical de quartier où elle subissait une intervention visant à vérifier ses cordes vocales.

Pendant près de 60 ans, Joan Rivers a fait rire l'Amérique à la télévision dans de multiples émissions ou dans ses livres comme «Le journal d'une diva dingue» ou «Je déteste tout monde, à commencer par moi».

Joan Alexandra Molinsky de son vrai nom était née à Brooklyn de parents immigrés russes. Très tôt attirée par le théâtre, elle joue dans de petites productions, dont l'une la met en scène face à une autre inconnue, une certaine Barbra Streisand... Mais elle est surtout remarquée à partir de 1965 en apparaissant à la télévision dans le célèbre «Tonight Show.»

Rapidement, elle anime ses propres émissions, «That Show with Joan Rivers» puis plus tard «The Late show with Joan Rivers». Cela lui vaudra de remporter en 1990 un Grammy award de meilleur animateur de talk-show. Certaines de ces citations feront date : «Le seul vrai orgasme d'une femme, c'est quand elle fait les magasins» ou «Je ne fais pas de sport, si Dieu avait voulu que je me baisse, il aurait du joncher le sol de diamants».

L'hommage de Nancy Reagan Joan Rivers fera également des apparitions au cinéma dans «Once Upon a Coffee House» en 1965, «Le Plongeon» en 1968 avec Burt Lancaster, «La folle histoire de l'espace» en 1987. Dans «Iron Man 3» en 2013, elle joue son propre rôle dans une émission de télévision. Reconnue par ses pairs, elle avait son étoile sur le célèbre Walk of Fame à Hollywood. Dès l'annonce de son décès de nombreux hommages lui ont été rendus par des célébrités comme Boy George, Cyndi Lauer, Naomi Campbell.

Même Nancy Reagan, la veuve du président Ronald Reagan, âgée de 93 ans, a salué «une amie chère, mais la personne la plus touchante et la plus drôle que j'aie jamais connue.»-

La comédienne venait également de tourner un épisode de 90 minutes pour son show télévisé «Fashion police» sur E! où sont discutées et critiquées les tenues des célébrités. Elle avait aussi prévu une tournée en Grande-Bretagne en octobre. Son dernier voeu ?

«Quand je mourrai, je veux une cérémonie avec plein de caméras et de lumières, qu'on m'enterre dans une robe Valentino et je veux que Meryl Streep pleure, en cinq accents différents».

Témoignage accablant de tristesse : une maman accompagne son petit garçon malade jusqu’à son dernier souffle Derek, un petit garçon de 10 ans, est atteint d’une forme grave de cancer du cerveau. Une journaliste a décidé d’accompagner ce petit bonhomme avec sa maman, Cyndie, dans leur douloureux combat contre la maladie… Son incroyable oeuvre « A Mother’s Journey » a été récompensée par le prix Pulitzer.

Un reportage photo bouleversant empli d’émotions et de courage qui retrace les moments insoutenables traversés par cette famille… Note de la rédaction : nous avons conscience que cette histoire a eu lieu il y a quelques années mais nous n’en n’avions pas connaissance, une lectrice nous a fait découvrir ce reportage photographique et il nous a véritablement bouleversés… Un témoignage poignant de la vie et de l’amour d’une mère envers son enfant qu’il fallait absolument partager avec vous. Découvrez leur combat contre cette terrible maladie…

Le 21 juillet 2005, courant pieds nus, Cyndie pousse son enfant de 10 ans dans les couloirs du Centre médical UC Davis pour le distraire durant l’attente insoutenable avant son opération d’extraction de moelle osseuse. Les médecins veulent déterminer s’il est éligible pour une greffe de cellules souches du sang, son meilleur espoir pour combattre sa maladie : le neuroblastome.

Le 25 juin 2005, Cyndie embrasse son fils après qu’il ait appris la présence d’une tumeur cancéreuse dans son abdomen qui nécessite une intervention.

Derek reçoit un message de sa maman dans son salon de beauté à Sacramento. Derek continue à se battre contre son cancer qui envahit de plus en plus ses os et ses organes. Sa maman dit : « Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour le rendre heureux et pour le voir sourire. »

Derek s’amuse avec sa maman en jouant à l’équilibriste sur le mur du centre médical. Il y a été admis pour une opération de la tumeur cancéreuse prévue le jour suivant. Derek redoute de plus en plus les hôpitaux et sa maman Cyndie a du mal à l’y conduire.

Le 30 novembre 2005, Derek est soutenu par son frère, Micah et sa maman pour le tatouer en prévision de sa thérapie par radiation au centre médical. Micah accompagne souvent son frère lors des traitements médicaux même si son travail scolaire en souffre péniblement.

Le 6 février 2006, un des oncologistes de Derek conseille à sa maman Cyndie de contacter les soins palliatifs. Elle ne parle pas de cette discussion à Derek et décide de se cacher derrière une porte pour pleurer : « Je ne pense pas qu’il soit important de lui dire ça… », pense-t-elle. Pour autant, son fils ressent sa tristesse et la réconforte comme il peut.

Le 9 février 2006, en réalisant que son fils n’aura peut-être jamais l’occasion d’avoir son permis de conduire, Cyndie défie la loi et laisse son enfant de 11 ans conduire, sur ses genoux, dans les rues de Sacramento

Le 14 février 2006, Derek est en pleurs et sa maman tente de le réconforter. Derek vient d’apprendre qu’il doit recevoir une série de traitements par radiation. Sa maman lui explique :Derek, tu ne pourras pas continuer si tu ne le fais pas. » Derek répond violemment : « Je m’en fous ! Ramène-moi à la maison… Je n’en peux plus maman ! Tu m’écoutes ? Je n’en peux plus ! »

Le 8 mars 2006, Cyndie essaie de prendre les choses en main en dehors des rendez-vous interminables avec les docteurs. Après une séance de traitements par radiation au Centre Davis, mère et fils font la fête ensemble avec des bonbonnes de serpentins !

Le 24 avril 2006, Cyndie console sa meilleure amie qui craint que la mort de Derek soit bien trop proche… Cyndie a écrit une lettre pour Derek dans laquelle elle le félicite du courage dont il fait preuve durant cette bataille contre son cancer. Elle la lui lit à plusieurs reprises en espérant qu’il la comprenne…

Le 25 avril 2006, après avoir placé une fleur sur la tête de son fils, Cyndie s’effondre de fatigue, complètement épuisée après avoir veillé 24 heures près du lit de Derek.

Le 26 avril 2006, Derek a une poussée finale d’énergie après une très longue durée d’alitement pendant laquelle Cyndie l’a veillé jour et nuit. Elle l’aide, angoissée, à tenir debout et à marcher. Sa tumeur a distordu son estomac à tel point que son pantalon ne peut monter plus haut. Une tumeur au cerveau a également détérioré sa vue.

Le 28 avril 2006, Derek refuse de prendre ses médicaments contre la douleur car il est terrorisé à l’idée qu’ils abiment ses organes. Il est en colère contre sa maman et la blâme de ne pas lui rendre une meilleure santé ! Sa mère lui explique : « Tu dois te calmer et me laisser t’aider comme je le peux. »

Le 1er mai, après plusieurs nuits sans sommeil, Cyndie demande de l’aide à Patrick Degnan, un ami de la famille de longue date. Elle lui demande une aide financière pour les dépenses funéraires, en présence de Derek.

Derek embrasse sa maman après le « Relay for Life Benefit ». Il voulait contribuer à cette cause et « donner en retour ». Cyndie a recruté des volontaires pour cette opération et avant de démarrer la course, cette courageuse maman a témoigné à la foule de son immense fierté à l’égard de son fils et de sa bravoure. Sa soeur de 6 ans est toute proche.

Le 8 mai 2006, Cyndie prend Derek dans ses bras pendant que les médicaments agissent. Sa maman passe pratiquement 24 heures par jour à ses côtés, sauf quand les infirmières viennent s’occuper de lui pendant quelques minutes. Elle raconte : « J’étais épuisée à un point inimaginable mais je devais le faire. Il m’appelait et attendait toujours que je sois là. »

Dans un effort pour emmener Derek à l’extérieur, Cyndie le pousse jusqu’à la porte d’entrée en passant devant toutes les cartes offertes à son fils par ses camarades de classe. Cyndie dit : « Tout comme un nouveau-né, il a besoin de sortir et de prendre une bouffée d’air pur. » Ce fut son dernier voyage vers l’extérieur…

Le 10 mai 2006, Cyndie contient ses larmes pendant qu’elle se prépare à introduire une solution saline dans le cathéter de Derek avant que l’infirmière lui administre un sédatif qui lui offrira une mort paisible… Cyndie ajoute : « Je sais dans mon coeur que j’ai fait tout ce que je pouvais pour lui… »

Cyndie en larmes, berce son fils mourant au son de la chanson « Because We Believe ». Des amis de la famille l’entourent et offrent à Cyndie tout leur soutien pendant qu’elle continue de parler à Derek : « Ça va aller bébé, je t’aime petit homme. Je t’aime courageux bonhomme. Je t’aime. Je t’aime… » Son fils est décédé quelques instants après dans les bras de sa mère…

Le 19 mai 2006, Cyndie porte le cercueil de son fils lors de l’enterrement avec l’aide de ses autres fils, Anthony, Micah et Vincent. « Je te garderai pour toujours dans mon coeur et rappellerai aux autres d’offrir leur temps, énergie et soutien à d’autres familles comme la nôtre », dit Cyndie lors des funérailles. Derek a été enterré au Mount Vernon Memorial Park à Fair Oaks, en Californie.

“A Mother’s Journey”

Cette histoire a profondément ému l’ensemble de la rédaction… C’est une véritable leçon de force, d’amour et de vie. Nous sommes très admiratifs du courage du petit Derek ainsi que de la force extraordinaire de sa maman.

BRIGITTE BARDOT : "LES ANIMAUX M'ONT SAUVÉ LA VIE"

Claquemurée dans sa propriété de la Madrague, Brigitte Bardot, l'icône des années 60 a depuis longtemps choisi l'ombre à la lumière. Celle qui a arrêté le cinéma en 1973 consacre depuis son énergie à la défense ses animaux.

Et pour cause, au magazine ELLE, elle l'assure, ce sont eux qui lui ont "sauvé la vie".

"Sans eux, je crois que je n'aurais pas supporté de continuer à vivre." Elle qui a connu le succès à l'adolescence était bien différente de l'image publique vendue à travers les médias. Découverte en 1949 en couverture de ELLE, la jeune fille, alors âgée de 14 ans, a rapidement vu sa vie basculer.

Volontiers insoumise, dotée d'un sex-appeal débordant, la future star du Festival de Cannes a pourtant toujours manqué de confiance en elle. C'est peut-être cela qui a fait sa force.

"Je n'ai jamais été sûre de moi. C'est probablement ce doute qui ne m'a jamais quittée qui m'a donné par réaction cette impertinence, cette insoumission." Femme fatale, d'une beauté insolente aussi bien en bikini qu'en petite robe Vichy, la star demeure à jamais une référence.

Au cinéma, elle n'a pourtant pas hésité à lui tourner le dos, au début des années 70. Un choix qu'elle semble n'avoir jamais regretté. "J'avais en moi depuis longtemps un besoin viscéral de dédier ma vie aux animaux."

Ce qu'elle fait depuis lors, au moyen de sa fondation. Dans "Mes as de coeur !" (Arthaud), elle rend hommage à ceux qui, comme elle, ont fait de la cause animale une priorité. Ayant toujours préféré les bêtes aux hommes ("les êtres humains ont encore beaucoup de progrès à faire pour ressembler aux animaux et nous apporter autant d'amour qu'eux"), Brigitte Bardot n'a jamais fait de sa solitude un secret.

Devenue arrière-grand-mère en ce début d'année, elle préfère de ne pas s'étaler sur ses rapports familiaux. Après avoir assuré qu'elle n'avait "jamais cru aux liens du sang" à Paris Match en 2009, peut-être concèdera-t-elle à laisser sa porte ouverte.

Aprés tout, qui mieux qu'une enfant pourrait partager son amour des animaux?

UN GRAND MONSIEUR ! Connu pour son rôle dans la série Game of Thrones, l'acteur Peter Dinklage vient aussi en aide aux animaux dans le film "LASSIE". Dans la vraie vie, il ne mange aucun animal.