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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Les fous, les marginaux, les rebelles, les anticonformistes, les dissidents, tous ceux qui voient les choses différemment, qui ne respectent pas les règles... vous pouvez les admirer, ou les désapprouver, les glorifier ou les dénigrer, mais vous ne pouvez pas les ignorer, car ils changent les choses, ils inventent, ils imaginent, ils explorent, ils créent, ils inspirent, ils font avancer l'humanité. Là où certains ne voient que folie, nous voyons du génie. Car seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu'ils peuvent changer le monde y parviennent.
hommage a tous ces enfants d'izieux deportes vers les camps de la mort
hommage a genevieve, leur institutrice qui ne s'en ai jamais remise, il faut que chacun se souvienne ces enfants dénoncés par un francais JUSTE PARCE QU ILS ETAINT JUIFS
Linda Blair vous vous souvenez d'elle? La jeune fille possédée dans le film l'exorciste a aujourd'hui sa fondation de protection animale...eh non elle n'est pas devenue folle, ni morte non plus...ah les rumeurs !!
Si jeune et déjà au Paradis...
Azabache, petit bébé galgo, tu nous as quitté soudainement, avant d'avoir connu l'amour d'une famille humaine, après une courte vie derrière les barreaux.
La vie au refuge est dure et cruelle pour les chiots comme toi.
Repose en paix et de là où tu es, veilles sur ta maman Gema et tes petits frères et soeurs.
Au revoir Azabache...
Kenyan Mmarug, est considéré comme l'homme le plus âgé a avoir fréquenté une école. Il a commencé ses études primaire à l'âge de 84 ans.
Quand les Verts voient rouge, ils votent blanc.» [ Raymond Devos ]
«Moi, je fais attendre les gens pour leur faire passer le temps.» [ Raymond Devos ]
«Il ne faudrait pas croire que les responsables d’hier étaient plus ignorants de la situation que ne le sont ceux d’aujourd’hui !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Parler pour ne rien dire «J’ai toujours réussi à rater tous mes examens.» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Je me suis fait tout seul «Si ma femme doit être veuve un jour, j’aimerais mieux que ce soit de mon vivant.» [ Raymond Devos ]
– Extrait du spectacle Sens dessus dessous «Chaque fois que mon percepteur revenait, je payais un impôt sur le revenu.» [ Raymond Devos ]
«Si vous cassez un bout de bois en deux, il y a encore deux bouts à chaque bout.» [ Raymond Devos ]
«Je me suis remis à la clarinette. C’est ce qui rapproche le plus de l’anglais.» [ Raymond Devos ]
– Extrait du spectacle Sens dessus dessous «Par exemple, j’ai ouï dire qu’il y a des choses qui entrent par une oreille et qui sortent par l’autre. Je n’ai jamais rien vu entrer par une oreille et encore moins en sortir !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Prêter l’oreille «J’adore être pris en flagrant délire.» [ Raymond Devos ]
– Extrait du spectacle Sens dessus dessous «- Le fou n’aime pas la marche… – Pourquoi ? – Parce qu’il la rate !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Où courent-ils ? «Même avec Dieu, il ne faut pas tenter le Diable !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch La chute ascensionnelle «Quand on demande aux gens d’observer le silence… au lieu de l’observer, comme on observe une éclipse de lune, ils l’écoutent !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Un ange passe «Lorsqu’on a la prétention, comme moi, d’entraîner les gens dans l’imaginaire, il faut pouvoir les ramener dans le réel, ensuite… et sans dommage !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Supporter l’imaginaire «On ne sait plus ce que c’est que l’obscurité. A force de vouloir faire la lumière sur tout, on ne distingue plus rien !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Les ombres d’antan «La télépathie, c’est le téléphone de demain.» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Télépathie «Un croyant, c’est un antiseptique.» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Les antipodes «Je connais un critique qui est en même temps auteur… ce qui le met en tant qu’auteur dans une situation critique !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch L’auteur critique ou un cas de dédoublement «Vous savez, les idées elles sont dans l’air. Il suffit que quelqu’un vous en parle de trop près, pour que vous les attrapiez !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Echange d’idées «- Qu’est-ce que vous regardez ? C’est la carte routière ? – Non ! C’est la carte des vins. C’est pour éviter les bouchons !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Supporter l’imaginaire «J’ai été hier au cinéma. Voir un film en noir et blanc. Pas un film en couleurs : je suis en deuil.» [ Raymond Devos ]
– Edu spectacle Sens dessus dessous «- Mais pourquoi courent-ils si vite ?
– Pour gagner du temps ! Comme le temps, c’est de l’argent… plus ils courent vite, plus ils en gagnent !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Où courent-ils ? «En France, on n’a pas de pétrole, mais on a des idées ! Alors, j’ai troqué ma deux chevaux contre une deux boeufs !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Ma deux boeufs «Un ministre, ça ne se vend pas ! Ca s’achète parfois ! Mais ça ne se vend pas !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Les neuf veaux raymonddevosunpoeteabsurde.jpg «Avez-vous remarqué qu’à table les mets que l’on vous sert vous mettent les mots à la bouche ?» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Alimenter la conversation «Il buvait toutes mes paroles, et comme je parlais beaucoup, à un moment, je le vois qui titubait…» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Supporter l’imaginaire «Tous les écologistes sont daltoniens, ils voient vert partout !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch L’esprit faussé «Pour un raté… rater, c’est estimer avoir réussi là où les autres considèrent qu’ils ont raté !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Je me suis fait tout seul «Rien, ce n’est pas rien ! La preuve, c’est que l’on peut le soustraire. Exemple : rien moins rien = moins que rien !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Parler pour ne rien dire «Un muet, c’est un antiparlementaire.» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Les antipodes «Paradoxalement, sur une auto, vous avez des freins à tambour, alors que sur un tambour, vous n’avez pas d’auto-frein !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Je roule pour vous «Je connais un monsieur, c’est un auto-stoppeur professionnel. Il lui est arrivé un accident de travail… il a perdu le pouce !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Les gens sont très marqués par ce qu’ils font «Ne rien faire, ça peut se dire. Ca ne peut pas se faire !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Ca peut se dire, ça ne peut pas se faire «Moi, lorsque je n’ai rien à dire, je veux qu’on le sache !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Parler pour ne rien dire «Je n’aime pas être chez moi. A tel point que lorsque je vais chez quelqu’un et qu’il me dit : “Vous êtes ici chez vous”, je rentre chez moi !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Je roule pour vous «Quand on s’est connus, ma femme et moi, on était tellement timides tous les deux qu’on n’osait pas se regarder. Maintenant, on ne peut plus se voir !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch Ma femme «Un jardinier qui sabote une pelouse est un assassin en herbe.» [ Raymond Devos ]
– Edu sketch Les Chansons que je ne chante pas «Parce qu’il y a des magiciens qui vous promettent la lune… Moi, je vous promets le soleil !» [ Raymond Devos ]
– Extrait du sketch La Boule volante «Du moment qu’on rit des choses, elles ne sont plus dangereuses.» [ Raymond Devos ]
Paul Watson :
"Les défenseurs de l'environnement sont considérés comme des terroristes potentiels" C'est la première fois qu'il revient sur ses quinze mois de cavale en mer depuis qu'il a retrouvé la terre ferme aux Etats-Unis, le 28 octobre.
A bientôt 63 ans, Paul Watson, qui possède la double nationalité canadienne et américaine, reste un eco-warrior, un défenseur farouche des océans.
Adolescent, ce héros des défenseurs de l'environnement militait contre la chasse aux phoques.
Il n'a jamais cessé depuis d'aller défier les baleiniers japonais pour les empêcher de capturer les mammifères marins.
Plusieurs fois, les navires de Sea Shepherd, son organisation, forte d'un équipage international de 120 membres, ont été éperonnés. Son militantisme lui vaut d'être poursuivi par Interpol.
Arrêté en Allemagne en mai 2012, il réussit à s'enfuir alors que ses deux passeports lui avaient été confisqués. Il affronte aujourd'hui la justice américaine et souhaite être accueilli par la France, avec laquelle il est en train de négocier.
Pourquoi vous êtes-vous enfui d'Allemagne ?
Paul Watson : J'ai quitté Francfort le jeudi 26 juillet 2012 car quelqu'un du ministère allemand de la justice m'a prévenu qu'on allait m'extrader vers le Japon le lundi suivant sans passer devant un juge. Je n'avais guère le choix. Le dimanche, je suis parti pour les Pays-Bas et j'ai pris un bateau. J'ai traversé l'Atlantique, puis le Pacifique et, le 29 novembre, j'ai rejoint mon bateau, le Steve-Irwin, aux îles Samoa. De là, nous avons piqué vers le sud pour notre campagne contre les baleiniers japonais dans l'Antarctique. Je suis finalement retourné à Los Angeles par la mer, le 28 octobre 2013.
Comment êtes-vous entré sur le territoire américain ?
Sans aucun problème. Mon avocat avait négocié avec le gouvernement américain. La famille Kennedy m'a beaucoup soutenu. J'ai hésité entre les Etats-Unis et la France. Ce sont, je crois, les deux seuls pays où je pouvais bénéficier d'une procédure équitable. Je ne dis pas : « Ne m'extradez pas au Japon », je veux juste avoir le droit d'expliquer ma position avant qu'une décision soit prise à mon égard. Mon avocat, William Bourdon, est très optimiste sur la possibilité que la France m'accueille. Nous y avons beaucoup de soutiens, plus de 100 000 personnes ont signé une pétition pour que je puisse venir. Mais je vais devoir obtenir l'autorisation des Etats-Unis auparavant.
Que va-t-il se passer avec la justice américaine ?
Je ne sais pas exactement. J'ai vu un juge le 6 novembre, à Seattle. Je dois rester à la disposition des autorités. Mais l'affaire n'est pas finie. Je figure sur la liste rouge d'Interpol, initialement à la demande du Japon, du Costa Rica et de l'Allemagne. Mais ces deux derniers pays ont laissé tomber depuis. Je ne comprends pas pourquoi je me retrouve sur la même liste que des assassins, des terroristes, juste parce que je veux sauver quelques baleines. C'est une affaire politique, certainement pas criminelle. Les défenseurs de l'environnement sont les nouveaux ennemis. Au Canada, ils sont considérés comme des terroristes potentiels. Aux Etats-Unis, la liste du FBI les place, avec Al-Qaida et les militants des droits des animaux, parmi les menaces terroristes intérieures les plus importantes.
Pourquoi être resté si longtemps en mer ?
Cela a été long avant de savoir si je pouvais rentrer. Entre-temps, nous avons obtenu une déclaration sous serment du membre d'équipage de Sea Shepherd qui prétendait que je lui avais ordonné de monter sur un navire japonais. Il est désormais clair qu'un accord avait été passé entre lui et Tokyo. Les autorités japonaises le menaçaient de la prison s'il ne m'accusait pas. Il a fini par déclarer sous serment avoir menti. Sea Shepherd n'a jamais fait le moindre mal à personne. Nos adversaires détruisent nos bateaux, blessent nos membres, nous poursuivent devant des tribunaux et nous ne pouvons rien faire…
Que savez-vous sur les liens entre le Japon et le Costa Rica vous concernant ?
Je sais que le Costa Rica a réclamé mon arrestation dix jours seulement après une rencontre entre son président et le premier ministre japonais. Ils ont alors remis sur la table des faits vieux de dix ans, à savoir une action de Sea Shepherd contre des braconniers costaricains pour laquelle un non-lieu avait été prononcé. Le Costa Rica pratique le shark finning : ils envoient environ 30 tonnes d'ailerons de requins chaque année en Chine tout en rejetant le reste des carcasses par-dessus bord. Cela ne les réjouit pas que nous le fassions savoir. Qui plus est, le Costa Rica est un pays très dangereux. En mai, Jairo Mora Sandoval y a été assassiné pour ses actions de protection des tortues de mer et ce n'est pas le seul meurtre de ce type ces dernières années.
Pourquoi les Japonais continuent-ils la chasse à la baleine ?
Leur industrie de la pêche veut continuer à tuer des baleines, même si la viande lui reste sur les bras et part dans la nourriture pour chiens. Car, si le Japon cède sur ce point, il devra également fléchir sur le thon rouge. Tokyo veut aussi – comme tout le monde – mettre le pied dans la porte de l'exploitation économique de l'Antarctique. Le Japon est l'une des nations qui exploite le plus nos océans, sans penser au futur. Considérez-vous toujours le sort des baleines comme le thème le plus mobilisateur pour sauver les océans ? Elles captent toute l'attention mais il y a beaucoup d'autres problèmes. Nous nous battons contre la chasse massive des requins, des phoques ou des tortues… On essaie de travailler avec les gouvernements, avec l'Equateur par exemple, pour protéger les îles Galapagos, avec ceux d'Afrique de l'Ouest dans la lutte contre la pêche illégale. Sea Shepherd France est leader dans cette campagne au Sénégal, et au Liberia. Si nous ne sauvons pas les océans, nous ne nous sauverons pas nous-mêmes. Si l'océan meurt, nous mourrons. Voilà mon seul message. Je viens de passer du temps en Australie sur la Grande Barrière de corail. Plus de la moitié est déjà morte. C'est vraiment déprimant. Ces quatre derniers mois, j'ai contribué à collecter des ordures dans des régions isolées du Pacifique Sud. Nous en avons ramassé des tonnes. Sur n'importe quelle île déserte, vous retrouvez du plastique.
Comment réagissez-vous au sort des « 30 » de Greenpeace incarcérés en Russie ?
Pendant des années, j'ai mis en cause Greenpeace comme une organisation inutile. Je dois reconnaître que je les soutiens à fond maintenant. Là, ils ont vraiment pris position. Et c'est admirable. De manière tout à fait surprenante, la justice russe s'est basée sur l'opinion d'un juge américain qui me qualifiait de pirate pour attaquer à son tour Greenpeace pour des faits de piraterie… Et tout cela, juste pour avoir brandi une banderole de protestation. Malheureusement, l'accusation a changé. A mon avis, il aurait été plus facile pour les militants de Greenpeace de se défendre de ce chef d'inculpation-là plutôt que de celui de vandalisme. Cette affaire peut réveiller l'opinion publique. Pour les compagnies pétrolières, c'est une façon de lancer un message fort, de prévenir qu'elles ne toléreront pas la protestation. Or ce sont elles qui dirigent le monde, des Etats-Unis à la Russie, en passant par la Chine.
Peter O'Toole, l'inoubliable interprète de «Lawrence d'Arabie», est mort à l'âge de 81 ans, a annoncé dimanche son agent, Steve Kenis.
«Il fut unique dans le meilleur sens du terme et un géant dans son domaine», a-t-il ajouté.
L'acteur, fils d'un bookmaker irlandais né dans le Connemara, a succombé samedi à une longue maladie à l'hôpital londonien de Wellington. Peter O'Toole, monstre sacré du cinéma mondial
Il avait pris sa retraite en 2012
Nominé huit fois aux Oscars, Peter O'Toole avait finalement reçu un Oscar d'honneur pour l'ensemble de sa carrière en 2003. Le président irlandais Michael D. Higgins a fait part de sa «grande tristesse» à l'annonce de sa mort. «L'Irlande et le monde ont perdu l'un des géants du cinéma et du théâtre», a-t-il écrit dans un communiqué. David Cameron, le Premier ministre britannique, a présenté ses condoléances à la famille et aux amis du comédien.
Du journalisme à la gloire Son rôle dans «Lawrence d'Arabie», film réalisé par Sir David Lean, reste dans toutes les mémoires. Il y incarne le célèbre aventurier-écrivain T. E. Lawrence. En 1916, ce jeune officier britannique est chargé d'enquêter sur les révoltes arabes contre l'occupant turc. Il finit par se ranger du côté des insurgés.
Personnage brillant mais controversé, il mène des batailles qui vont changer la face d'un empire. Elevé à Leeds (Angleterre), Peter O'Toole quitte l'école à 14 ans pour devenir garçon de bureau au journal local, le «Yorkshire Evening News».
A 18 ans, il fait son service militaire dans la Royal Navy. En 1952, une représentation du «Roi Lear» l'incite à entrer, avec un bourse, à la prestigieuse Académie royale d'Art dramatique à Londres où il découvre le répertoire de Shakespeare.
Deux ans plus tard, il devient membre de la prestigieuse Roayl Shakespeare Company du Bristol Old Vic, le plus ancien théâtre royal du Royaume-Uni.
En 1959, il épouse l'actrice galloise Sian Phillips qui lui donnera deux filles et dont il divorcera 20 ans plus tard. Il aura un fils d'un second mariage.
Un regard bleu métallique Ses premières apparitions au cinéma ont lieu au début des années 1960, dans «L'Enlèvement de David Balfour» et dans «Les Dents du diable». Son rôle dans «Lawrence d'Arabie», refusé par Marlon Brando, le consacre.
Sa stature et son regard bleu métallique lui donnent la possibilité de jouer des rôles historiques. Il incarne ainsi le roi Henri II d'Angleterre dans «Becket» de Peter Glenville (1962), aux côtés de Richard Burton et John Gielgud avec lesquels il forme un trio «so british» de premier ordre.
De formation théâtrale, il appartient à cette génération d'acteurs anglais partagés entre les planches et le grand écran. Après de grands rôles dramatiques, il enchaîne avec des comédies à succès telles que «Quoi de neuf Pussycat ?» (1965) ou encore «Comment voler un million de dollars» (1966). Il n'en oublie pas pour autant des personnages plus denses comme dans «La Bible» de John Huston (1965). «La nuit des généraux» (1967) et «Un lion en hiver» (1968) font aussi partie de sa filmographie.
Entre théâtre, cinéma et télévision Il navigue entre théâtre, cinéma et télévision où il incarne tour à tour des personnages dramatiques ou plus légers, parfois ambigus. Il se fait plus rare au cinéma dans les années 70. Ses problèmes d'alcool et de santé l'obligent à subir un traitement médical.
Dans les années 80 et 90, il revient dans des films tels que «Supergirl» (1984), «Club Paradise» de Harold Ramis (1986), «Le Dernier Empereur» (1987, Bernardo Bertolucci), «Ralph Super King» (1991) et «Phantoms» (1998).
Il apparaît donc tour à tour dans un film de super-héros, deux comédies, un drame historique et un film d'horreur. Il se consacre ensuite davantage à la télévision (il est le pape Paul III dans la série les «Tudors») mais renoue occasionnellemment avec le 7ème Art en 2003 puisqu'il figure au générique de «Bright young things» de Stephen Fry avant d'incarner l'année suivante le roi Priam dans «Troie» de Wolfgang Petersen.
Il se distingue enfin en 2007 en prêtant sa voix à l'inquiétant critique culinaire Anton Ego dans «Ratatouille» des Studios Pixar. Cet amateur de cricket, de rugbby et de pêche à la mouche prend sa retraite d'acteur en 2012. «Il est temps pour moi de jeter l'éponge, explique-t-il alors. De m'éloigner de la scène et du cinéma. Je n'ai plus le coeur pour faire cela, ça ne reviendra pas.
Ma vie professionnelle d'acteur -- à l'écran et sur scène -- m'a apporté le soutien du public, l'épanouissement émotionnel et le confort matériel. Il m'a amené au contact de gens merveilleux, de bons compagnons avec qui j'ai partagé le lot inévitable qui échoit à tous les acteurs : les flops et les succès.
Cependant, je crois que chacun doit décider de lui-même quand il est temps de s'arrêter. C'est pourquoi je dis adieu à la profession, les yeux secs et avec une profonde gratitude.»