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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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santé

coeur

Publié à 14:45 par fandeloup Tags : vie france
coeur

L’INSUFFISANCE CARDIAQUE

L’insuffisance cardiaque est une maladie chronique et évolutive. En France, elle touche plus d’un million de personnes et reste difficile à diagnostiquer. Les symptômes principaux sont souvent confondus avec les signes du vieillissement : essoufflement, prise de poids, apparition d’oedèmes, fatigue. Ils engendrent des difficultés à réaliser les tâches du quotidien. Des solutions adaptées existent pour ralentir la progression de la maladie et améliorer la qualité de vie.

 Prendre le temps de discuter de sa maladie avec son médecin est essentiel pour que celui-ci puisse évaluer la prise en charge la mieux adaptée. Cependant, il n’est pas toujours simple de décrire ses difficultés au quotidien et d’expliquer précisement ce que l’on ressent. Pour vous accompagner dans la préparation de votre consultation médicale, voici un guide qui vous aidera à mieux comprendre et décrire vos symptômes.

méthodes

Publié à 11:30 par fandeloup Tags : blog image sur vie chez article belle soi internet
méthodes

Cigarette : Un hypnothérapeute, ex-fumeur, étonne grâce à une nouvelle méthode pour arrêter de fumer vite, sans effort et sans sortir de chez soi !

Tous les fumeurs s'accordent à le dire : fumer coûte cher, mais en même temps, arrêter fait peur ! Que l'on ait déjà essayé ou non de se délivrer de cet impôt, on pense souvent que cela va être une épreuve tant sur le plan physique que psychologique.

Les fumeurs ont souvent peur de l'état de manque, de la prise de poids ou tout simplement de ne pas y arriver... Alors est-ce que les fumeurs sont condamnés à se ruiner la santé et le portefeuille toute leur vie ?

Certaines méthodes, comme celles de David Barbion (vidéo en bas de l'article), apportent heureusement une solution radicale au problème et se libérer de la cigarette pourrait bien devenir une simple formalité!

 

 

Une méthode inédite à domicile

Contrairement à ce que l'on entend souvent, l’addiction à la cigarette n'est pas due au manque physique de nicotine mais plutôt à ce qui se passe dans le cerveau du fumeur !

David Barbion, hypnothérapeute et auteur d'un blog sur le cerveau est un ex-fumeur. Il reçoit chaque jour des dizaines de personnes dans son cabinet, qui comme lui auparavant, ont tout essayé en vain!

"Il y a cinq ans, je ne recevais en consultation que deux personnes par semaine pour l'arrêt du tabac. Aujourd'hui, c'est dix par jour !" raconte David. Il y a quelques mois, aux vues des demandes croissantes via Skype pour les patients ne pouvant pas se déplacer, David a eu un déclic !

Pourquoi se cantonner à la ville dans laquelle il consulte ?

Pourquoi ne pas dévoiler sa méthode et permettre à un maximum de personnes de Lille à Perpignan de retrouver la santé et se libérer de la cigarette ?

Seul internet permettait cela ! David a alors "formaté" ses séances habituelles au cabinet en produits numériques audio et vidéo pour permettre à chaque fumeur de se libérer seul, à son rythme et facilement de son addiction en 21 jours maximum.

 Sur plusieurs semaines ou plusieurs mois, ils s'attendent à souffrir, à ressentir une grande frustration sans avoir la certitude d'arriver au résultat escompté... La prise de substituts nicotiniques (nicorettes©, patches, cigarettes électroniques), les traitements médicamenteux (Champix© ou Zyban©) ou la consultation d'un tabacologue pendant des mois ne font parfois qu'alourdir la facture sans enrayer de façon définitive cette addiction.

Ces solutions ne traitent pas le problème mais le masquent, car le mécanisme de l'arrêt du tabac se trouve dans le cerveau! Avec l'approche originale de David, tout est plus simple et beaucoup plus économique.

"La méthode agit là où est niché le problème, là, où seule la volonté ne suffit pas" affirme-t-il. Il faut créer de nouveaux déclics dans le cerveau car c'est bien lui le patron qui amènera la libération. Un peu à l'image d'un ordinateur qui bénéficierait d'un RESET, le cerveau du fumeur peut se reprogrammer pour apprendre à se libérer de la cigarette. Ne plus acheter de produits coûteux, ne plus dépendre de médicaments, ne plus aller voir des spécialistes du tabac et s'offrir la santé en faisant des économies sans sortir de chez soi : voilà la belle promesse de David! Et les résultats sont là ! "70% de mes patients arrêtent dans les premières heures ou les premiers jours. 20% ont besoin d'un peu plus de temps.

A l'image de Catherine, Nans, David, Francis et bien d'autres qui partagent leur fierté d'être redevenus non-fumeurs (témoignages dans la vidéo ci- dessous). Une méthode qui ne fait grossir que le porte-monnaie! C'est bien connu : arrêter de fumer, ça fait prendre du poids. En effet, quand on arrête la cigarette, on supprime le geste mais on ne traite pas l'addiction au tabac. Et cette addiction va alors se déplacer naturellement vers une autre domaine, comme la nourriture par exemple. D'où les kilos en plus...

"Avec ma méthode, il n'y a pas de prise de poids car on supprime totalement le phénomène d'addiction en traitant le problème à la racine! La seule chose qui grossit, c'est le porte-monnaie! " Plaisante David. Dans sa croisade contre le tabac, David Barbion a enregistré une courte vidéo qui a déjà été visionnée par plus de 300 000 personnes et qui explique le caractère entièrement novateur de sa solution.

émotions

Publié à 09:16 par fandeloup Tags : texte sur vie moi bonne chez enfants mort annonce
émotions

Comprendre nos émotions face à la maladie

 L'annonce du diagnostic d’une maladie grave est rude à encaisser. ©Istock Le diagnostic d’une maladie grave comme l'annonce d'un cancer, c’est rude à encaisser et les réactions sont extrêmement variables : les pleurs, le repli, l’agressivité.

 

Comment surmonter une épreuve difficile ?

Toutes ces émotions, même très négatives, ont leur rôle à jouer pour surmonter cette période douloureuse.

Réaction face à la maladie : à chacun son expression « Il m’arrivait de sangloter deux heures sans interruption, même parfois dans la rue, en essayant de me cacher. Je pensais que ça n’allait jamais s’arrêter et que je me viderais, à pleurer comme ça ! Tout ce que je voulais, c’est que ça cesse. »

Trois ans déjà que Sabine a appris qu’elle souffre de sclérose en plaques, et le souvenir de sa réaction au diagnostic est vif. À l’heure où est grande l’injonction à tout "gérer" y compris ses émotions, l’annonce d’une maladie grave est un cataclysme qui se double d’une question.

Le désespoir, les larmes en continu, est-ce vraiment normal ? Ne devrais-je pas me faire soigner pour couper court à ma tristesse ? Pourtant, le chagrin, comme d’autres émotions, est non seulement normal, mais aussi utile.

« Un diagnostic de maladie grave est un traumatisme qui met dans un état émotionnel particulier, explique Rebecca Dernelle-Fischer, psychologue. Tout comme lors d’un accident, ou lors d’une après-midi bloqué dans un ascenseur, nous réagissons tous différemment à l’annonce d’une maladie. » Et de décrire : « Certains patients se mettent en marche pour "vaincre le crabe" et suivre leur traitement assidument.

D’autres sont dans une crainte si grande qu’ils nient la gravité de la maladie. D’autres encore réagissent par une tristesse extrême, beaucoup de larmes, de troubles du sommeil. Toutes ces réactions sont normales face à une réalité choquante, effrayante, écrasante ».

 

Diagnostic grave : les phases du deuil

Recevoir un diagnostic grave revient à faire face à un deuil : celui de la bonne santé que l’on avait, celui de la vie sans soins, sans inquiétude d’une mort proche… Les réactions des personnes qui encaissent une annonce de maladie grave correspondent d’ailleurs à ce que la psychiatre Elisabeth Kübler Ross a étudié en détail dans les années 60, les "cinq phases du deuil" : déni, colère, marchandage, dépression, acceptation. Les médecins le savent et en sont d’ailleurs informés. La Haute autorité de santé a même édité à destination des soignants le guide « Annoncer une mauvaise nouvelle », qui explique que « Le déroulement de ce processus n’est pas uniforme, il varie selon les personnalités et les situations. Ce qui est constant chez le patient : le besoin d’être entendu, compris et accompagné à son rythme ».

Une écoute et un accompagnement que Laurence Deflem garde en souvenir de sa bataille contre le cancer du colon, diagnostiqué à 35 ans alors qu’elle était enceinte et maman de deux enfants.

« Ce qui m’a beaucoup touchée : tomber sur des infirmières ou des médecins hyper respectueux qui ne m’ont jamais gênée, au contraire. » Un réconfort alors qu’elle préférait garder pour elle ses angoisses face à son entourage, perdu et inquiet. « Il m’est arrivé de pleurer, mais seule… J'ai une certaine pudeur émotionnelle et pour moi il était plus facile de gérer ma maladie sans la tristesse des autres en plus. Au final, j’ai beaucoup parlé de mes traitements, des aspects techniques, mais pas de ce que j’ai ressenti. C’était mon moyen de défense ».

Car c’est bien de stratégie de défense qu’il s’agit, avec la colère, la fuite ou désespoir. Elles sont un moyen de faire face, même si « comme un caillou dans la chaussure qui nous rend la marche difficile, les émotions peuvent nous déranger», souligne Rebecca Dernelle-Fischer. Pourtant, il est bon de prendre le temps d’écouter ce qu’elles nous disent : s’autoriser à pleurer, à la colère, à nier la réalité un temps… puis prendre l’émotion en main, la réfléchir et essayer d’en faire notre alliée. »

 

Réaction à l'annonce d'une maladie grave : se faire aider ?

À quel moment est-ce "trop" et doit-on craindre la dépression nerveuse ? Pas de réponse miracle ou chiffrée, l’important est d’échanger, avec ses proches ou un médecin. « Il peut être utile de prendre des anti-dépresseurs avant qu’un épisode dépressif soit évident, pour retrouver un certain niveau de bien-être et diminuer l’angoisse », précise la psychologue. Là encore, la décision a du sens au cas par cas et « dans le dialogue avec l’équipe médicale que se trouvera le soutien le plus adapté. » Et si on le souhaite, avec d’anciens malades. Laurence soutient aujourd’hui d’autres personnes souffrant de cancer. « J’ai une grande capacité à les écouter et les comprendre… Peut-être que si j’en avais connu avant, pendant ma maladie, c’aurait été différent. »

Rougeole, scarlatine, scorbut, syphilis

Publié à 11:21 par fandeloup Tags : photo littérature sur vie france chez enfants saint mort
Rougeole, scarlatine, scorbut, syphilis

Rougeole, scarlatine, scorbut, syphilis... Le retour de maladies "oubliées"

 Ces derniers temps, plusieurs maladies dont on n’entendait moins parler refont surface. Ces derniers temps, plusieurs maladies dont on n’entendait plus vraiment parler refont surface : rougeole, scarlatine, scorbut, tuberculose, syphilis, gonorrhée, chlamydiae...

Eclairage.

La rougeole En février dernier, une famille originaire du Var en vacances a réintroduit la rougeole au Costa Rica, pays qui n'avait plus connu de cas importé depuis 2014 et de cas autochtone depuis 2006.

 De manière globale, une recrudescence de cas de cette maladie très contagieuse touche actuellement plusieurs pays européens, et la France ne fait pas exception. A tel point que le ministère de la Santé s'est fendue d'un communiqué assez alarmiste le 20 mars :

"L’augmentation rapide du nombre de cas et l’identification de foyers épidémiques dans plusieurs régions font craindre une épidémie sur l’ensemble du territoire. Dans ce contexte, les autorités sanitaires rappellent que la vaccination est la seule protection individuelle et collective contre la rougeole. Une protection efficace correspond à deux doses de vaccin. Pour toute personne âgée d’au moins 12 mois et née après 1980, il est donc urgent de vérifier sa vaccination et de consulter son médecin traitant en cas de doute".

 D'après les données de l'INVS, le nombre de cas de rougeole a augmenté de manière importante depuis novembre 2017.

Depuis le 1er janvier 2019, 405 cas de rougeole ont été déclarés (contre 1156 cas sur la même période en 2018), dont 127 (31%) hospitalisés (8 en réanimation), 34 (8%) compliqués de pneumopathies, 1 décès (encéphalite). 93% des cas sont survenus chez des sujets non ou mal vaccinés, et 58 départements ont déclaré au moins un cas au cours de la période. Les plus gros foyers épidémiques actifs se situent en Auvergne-Rhône-Alpes (55 cas -38 suspects et 17 confirmés- à Val Thorens en Savoie et 3 cas dans les vallées voisines), à La Réunion (43 cas déclarés depuis décembre 2018 suite à des transmissions "importées" de Madagascar, Comores ou Mayotte, Maurice) et en Provence-Alpes-Côte d'Azur (17 cas -6 confirmés, 11 probables- chez des enfants d’une école primaire et maternelle dans le Var).

CE QU'IL FAUT SAVOIR

Le vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole) est obligatoire depuis le 1er janvier 2018. Il faudrait que 95% de la population soit vaccinée pour éradiquer le virus.

 

La rougeole peut survenir à n'importe quel âge, si vous n'avez pas été vacciné ou si vous ne l'avez pas déjà eue. Chez les plus de 15 ans, dans un cas sur deux de rougeole, une hospitalisation est nécessaire. Vérifiez avec votre médecin si votre vaccination est à jour : pour les personnes nées après 1980, deux doses de vaccins sont recommandées. Le vaccin est remboursé à 100 % pour les enfants et les jeunes jusqu'à 17 ans révolus. Seule "bonne" nouvelle : une fois qu’on a eu la rougeole, on est protégé à vie.

 

La scarlatine Cette maladie infectieuse de la peau est caractérisée par une éruption cutanée et buccale. Elle touche surtout les enfants de 5 à 10 ans et sévit en majorité pendant l’hiver, causant de petites épidémies qui se propagent à l’école. Les adultes sont rarement concernés. Une résurgence de la maladie a été relevée en Angleterre entre 2014 et 2016, d'après la revue médicale britannique The Lancet. En France , plusieurs cas de scarlatine ont été signalés en juin 2018 dans un établissement d'Antibes (Alpes-Maritimes), selon Nice-Matin. Tout récemment, c'est dans des classes à Agen (Lot-et-Garonne) que cette affection a été détectée, d'après Sud Ouest, mais aussi dans une crèche de Sèvres, en région parisienne, selon nos informations. Il est toutefois difficile d'avoir une idée précise du nombre de cas car il ne s'agit pas d'une maladie à déclaration obligatoire. Elle se manifeste par une forte fièvre, une angine et une éruption cutanée qui débute sous les aisselles, aux plis du coude et de l’aine. La langue sera blanche avant de virer au rouge au bout de quelques jours. La scarlatine se traite au moyen d’antibiotiques.

 

Le scorbut Le scorbut, la "maladie du marin", est une pathologie surtout rencontrée dans les pays en voie de développement, et actuellement en recrudescence dans les pays développés du fait de modifications de nos habitudes alimentaires. Plusieurs cas ont été signalés en Australie en 2016, 20 à 30 cas aux Etats-Unis depuis 5 à 6 ans, et 10 cas ont été identifiés par les médecins du CHU de Limoges entre 2014 et 2015. "Le scorbut est aujourd’hui sous-diagnostiqué ; seulement 37 rapports de cas ont été décrits dans la littérature entre 1965 et 2013" estiment les chercheurs français dans ce rapport. Peau rugueuse, chute des cheveux, troubles hémorragiques, saignements de gencives, grande fatigue et œdèmes périphériques pouvant entraîner la mort : ces symptômes apparaissent au bout de trois à quatre mois d’un régime très pauvre en vitamine C (moins de 2 mg par jour) que l'on trouve dans les fruits et légumes, conséquence de malnutrition.

 

La tuberculose En moyenne, plus de 10 millions de personnes contractent cette maladie pulmonaire chaque année. En France, près de 5000 nouveaux cas par an et environ 900 décès chaque année sont déclarés. La Guyane, Mayotte et l’Île-de-France sont les régions les plus touchées. Contagieuse, elle est transmise par voie aérienne, via des gouttelettes expectorées par la toux des malades. L’inhalation d’un petit nombre suffit à infecter un individu. Elle se manifeste par de la toux avec parfois des crachats de sang, une fièvre persistante, des sueurs, de la fatigue... Une association d’antibiotiques est utilisée pour soigner les tuberculeux, mais ce traitement est efficace à condition de le suivre au minimum six mois.

 

La syphilis, la gonorrhée, la chlamydiae La syphilis (ou grande vérole) tout comme la gonorrhée (appelée aussi blennorragie, gonococcie, ou encore "chaude pisse") n'appartiennent pas aux vieux manuels de médecine. Au contraire, ces infections sexuellement transmissibles (IST) reviennent en force dans les services de maladies infectieuses avec d'autres, comme la chlamydiae -quelque 77 000 cas par an, selon l’INVS-, à des stades parfois très avancés. En France, la syphilis n'est pas rare : 400 à 500 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année, en particulier chez les hommes homosexuels -ils représentaient 84 % des cas déclarés en 2014. Toutefois, le nombre de cas est en constante augmentation parmi la population hétérosexuelle, notamment en région parisienne, depuis les années 2000. "En 1995, nous avions, à l’hôpital Saint-Louis, quatre cas par an de syphilis.

Aujourd’hui, nous en sommes à 200 par an", a déclaré en février le professeur Michel Janier, dermato-vénéréologue à l’hôpital Saint-Louis et à l’hôpital Saint-Joseph, à Paris. Elle se manifeste par l'apparition de taches rouges au niveau du point d'entrée de la maladie (vagin, bouche, anus...) avant une éruption cutanée et des symptômes grippaux. Contre la syphilis, le port du préservatif est la seule prévention réellement efficace. Elle se traite à l’aide d’antibiotiques. L'été dernier, un rapport de l'INVS faisait également part d'une recrudescence d’infections dues aux bactéries chlamydia et gonocoque : le nombre de diagnostics de ces deux IST en 2016 a été multiplié par 3 par rapport aux estimations de l’année 2012. Les infections à chlamydia et à gonocoque se transmettent lors de rapports sexuels non protégés.

Très contagieuses et fréquentes, elles peuvent être asymptomatiques et entraîner des complications (infertilité…). Le dépistage est l’unique moyen d’établir un diagnostic.

ROUGEOLE : À NEW YORK, LES ENFANTS NON VACCINÉS BANNIS

Frappé par une épidémie de rougeole, un comté au nord de New York a pris la décision radicale de déclarer l'état d'urgence et de bannir de ses lieux publics -tout endroit censé rassembler plus de 10 personnes, moyens de transport inclus- tout mineur non vacciné contre la maladie. L'interdiction, qui court sur 30 jours, semble être la mesure la plus radicale annoncée aux États-Unis depuis que la rougeole est réapparue dans plusieurs régions, à la suite des mouvements de résistance aux vaccins. Le comté de Rockland compte plus de 300 000 habitants. Une épidémie de rougeole y sévit depuis octobre, lorsque sept voyageurs ayant contracté la maladie sont arrivés dans le comté, soit la plus longue éruption de la maladie depuis son éradication officielle en 2000. Le comté a enregistré au total 153 cas confirmés. Malgré des campagnes de vaccination intensives depuis le début de l'épidémie, quelque 27% des enfants entre un et 18 ans ne sont toujours pas vaccinés.

Dentifrices

Publié à 15:57 par fandeloup Tags : enfants sur place
Dentifrices

Dentifrices : inquiétude sur la présence de dioxyde de titane, un colorant controversé

 Le dioxyde de titane contient des nanoparticules, ce qui soulève l’inquiétude depuis plusieurs années des associations de défense des consommateurs et de l’environnement.

 L’association Agir pour l’environnement dénonce la présence de ce produit au possible effet cancérogène dans deux tiers des dentifrices en vente. Alerte sur les dentifrices. Le dioxyde de titane, controversé car il contient des nanoparticules, est largement présent dans les dentifrices, dénonce jeudi l’association Agir pour l’environnement, qui demande que ce produit ne soit plus utilisé dans les dentifrices et les médicaments.

 L’association a étudié 408 dentifrices, dont 59 pour enfants, vendus dans les grandes surfaces, pharmacies, parapharmacies et magasins bio. Il en ressort que « deux tiers des dentifrices (271 dentifrices sur 408) contiennent du dioxyde de titane », qu’« un dentifrice pour enfants sur deux en contient (29 dentifrices sur 59) » et qu’« aucun des 271 dentifrices ne précise sur son emballage si le dioxyde de titane présent est à l’état nanoparticulaire », selon un communiqué de l’association.

Des nanoparticules qui pourraient être cancérogènes En mai dernier, la secrétaire d’Etat à la Transition écologique Brune Poirson avait annoncé la suspension de l’utilisation du dioxyde de titane (indiqué sur les étiquettes comme TiO2 ou E171) dans les produits alimentaires d’ici fin 2018 - suspension et non interdiction qui dépend de l’Union européenne.

Cette substance contient des nanoparticules - d’une taille inférieure à 100 nanomètres facilitant leur pénétration dans l’organisme - ce qui soulève l’inquiétude depuis plusieurs années des associations de défense des consommateurs et de l’environnement. On craint notamment un effet cancérogène. Mais le ministre de l’Economie Bruno Le Maire avait refusé de signer l’arrêté de suspension, mettant en avant des « évaluations différentes » sur la dangerosité potentielle du produit. Il aurait ensuite fait machine arrière, selon des associations, et se serait engagé à suspendre cette substance à la mi-avril.

 Signal, Aquafresh ou encore Oral-B Agir pour l’environnement, qui doit être reçue ce jeudi après-midi par le cabinet de Bruno Le Maire, demande « l’élargissement de l’arrêté de suspension du dioxyde de titane à tous les produits qui peuvent être totalement ou partiellement ingérés : dentifrices et médicaments (NDLR : le TiO2 est présent dans les excipients de 4000 médicaments) ».

L’association réclame aussi « une enquête de la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) pour vérifier si l’absence de la mention nano sur l’étiquetage des dentifrices est justifiée, ainsi que des sanctions dissuasives pour les fraudeurs ». Elle a mis en place un site dédié, notamment où l’on peut consulter la liste des dentifrices qui contiennent du dioxyde de titane. On y retrouve de grandes marques, telles que Signal, Aquafresh ou encore Oral-B.

pilule

Publié à 09:45 par fandeloup Tags : homme sur presse
pilule

Les tests d’une pilule contraceptive masculine jugés plutôt positifs

 Les hommes qui ont pris le traitement ont noté peu d’effets secondaires. Une équipe de scientifiques américains vient d’annoncer que les tests de la pilule contraceptive pour hommes ont réussi.

Les résultats de cette première étape d’une longue étude ont été présentés voilà trois jours lors de la réunion annuelle de l’Endocrine society à la Nouvelle Orléans aux Etats-Unis.

Ce contraceptif oral pour homme a montré qu’il réussissait à réduire la production de testostérone tout en préservant la libido, décrit le communiqué de presse. Baptisée dodécylcarbonate de 11 beta-methyl-19-nortestosterone ou 11-beta-MNTDC, cette pilule a été testée pendant 28 jours sur 40 hommes. Dix d’entre eux ont reçu des placebos, les autres ont reçu l’hormone à différentes concentrations.

Le médicament passe les tests de sécurité Les hommes qui ont reçu la 11-beta-MNTDC ont remarqué quelques effets secondaires comme de la fatigue, de l’acné, des maux de tête, une diminution légère de la libido ou un dysfonctionnement érectile léger.

Mais pas suffisamment pour les pousser à interrompre leur traitement, explique Christina Wang, professeure de médecine à l’université de Californie à Los Angeles. Tous les tests de sécurité ont été réussis.

Par ailleurs, note l’équipe, la faible concentration de testostérone ne cause pas non plus d’effets secondaires importants et les effets du médicament s’interrompent après l’arrêt du traitement.

Prochaine étape de l’étude, des tests sur plusieurs mois sur des hommes, puis sur des couples sexuellement actifs.

cellules

Publié à 17:48 par fandeloup Tags : google femmes sur bonne
cellules

Des chercheurs à Amsterdam ont détruit des cellules cancéreuses du sein en 11 jours sans chimiothérapie

 Toute étude mettant au point un remède potentiel contre le cancer nous réchauffe le cœur. Des chercheurs ont probablement fait une découverte révolutionnaire concernant le cancer du sein, le type de cancer le plus fréquent parmi les femmes. Un essai clinique a potentiellement trouvé une façon efficace de mettre fin une bonne fois pour toutes dans le futur.

Remède révolutionnaire contre le cancer du sein cancer de sein

La recherche présentée par le Professeur Nigel Benny lors de la Conférence Européenne sur le Cancer du Sein à Amsterdam a mis en lumière que l’efficacité de deux médicaments connus sous le nom d’Herceptin ou Herceptine (aussi connu sous trastuzumab) et Lapatinib a été passée au crible.

Les deux médicaments sont généralement utilisés dans le traitement du cancer du sein, mais c’est la première fois qu’ils ont été combinés et utilisés avant la chirurgie et la chimiothérapie. Ces deux médicaments ont eu la capacité d’éliminer certains types de cancer du sein en seulement 11 jours.

La recherche financée par Cancer Research UK avait pour objectif l’utilisation de ces deux médicaments en vue de faire face à une protéine connue sous le nom de récepteur pour les facteurs de croissance épidermiques humains « HER2 », qui affecte la croissance et la division des cellules cancéreuses.

Ce type de cancer a un taux de récidive plus élevé que les autres types de cancer. Les bienfaits de ce traitement résident dans la capacité de se contourner de la chimiothérapie et / ou de la chirurgie dans certains cas. Résultats de la Recherche 257 femmes atteintes du cancer de sein HER2 positif ont été choisies pour l’étude.

En premier lieu, 130 femmes ont été affectées à l’un des trois groupes – certaines femmes ont reçu Herceptine (trastuzumab) et d’autres ont reçu Lapatinib. Les deux groupes ont été traités pendant 11 jours après le diagnostic et avant la chirurgie. Le troisième groupe n’a reçu aucun traitement pharmacologique avant la chirurgie (le groupe témoin).

La recherche a révélé que 7 parmi 66 femmes , ayant reçu une combinaison d’Herceptine et de Lapatinib, n’avaient aucunes cellules cancéreuses en deux semaines et 11 autres femmes avaient des tumeurs considérablement rétrécies. Par rapport au groupe témoin qui a reçu Herceptine uniquement, on a constaté qu’il n’y avait aucune trace de cellules cancéreuses et seulement 3% ont montré une diminution de la taille de la tumeur.

Il est évident que la combinaison des deux médicaments a un effet important sur les cellules cancéreuses du sein plutôt que l’utilisation d’un seul médicament. Le seul problème qui se pose en l’occurrence est que l’homologation d’Herceptine le rend disponible pour la chimiothérapie uniquement et non pour son utilisation seul. Toutefois, les résultats de cette étude pourraient aider à changer cela.

En dépit des efforts considérables qui restent à conjuguer, il s’agit d’une étape majeure dans la lutte contre l’une des maladies les plus mortelles de notre ère. Grâce aux progrès médicaux qui s’améliorent chaque année, le remède peut être trouvé plus tôt que nous ne le croyons!

cigarettes électroniques

Publié à 16:14 par fandeloup Tags : article centre sur bonne chez enfants base
cigarettes électroniques

Une nouvelle maladie a vu le jour chez les fumeurs de cigarettes électroniques

La cigarette électronique est utilisée par 3 millions de français comme une alternative à la cigarette classique, mais son utilisation est devenue controversée en raison du manque de preuves de son efficacité en tant qu'agent anti-tabac. Alors que les fumeurs cherchent des moyens de se débarrasser de leur mauvaise habitude, de nombreuses études ont soulevé des inquiétudes sur les effets de la cigarette électronique sur la santé.

La cigarette électronique est un dispositif qui est créé en chauffant un liquide à la bonne température pour en créer de la vapeur. L’utilisateur inhale la vapeur, ce qui lui confère une sensation très similaire à celle de la cigarette.

Des études montrent que les cigarettes électroniques délivrent un cocktail de produits chimiques toxiques dans les poumons capable d’endommager l’ADN dans les tissus pulmonaires.

Les effets de la cigarette électronique sur la santé Les ingénieurs ont mis au point des cigarettes électroniques il y a plusieurs années dans le but de fournir aux consommateurs de tabac une source de nicotine sans fumée ; les appareils chauffent un liquide inhalé par l’utilisateur, Comme les cigarettes électroniques ne brûlent rien, elles ne dégagent pas de fumée.

Le propylène glycol et la glycérine sont les principaux ingrédients de base de ce liquide. L’exposition au propylène glycol peut provoquer une irritation des yeux et des voies respiratoires.

Une inhalation prolongée ou répétée en milieu industriel peut affecter le système nerveux central, le comportement et la rate. Lorsqu’il est chauffé et vaporisé, le propylène glycol peut former de l’oxyde de propylène, un carcinogène de classe 2B du Centre international de recherche sur le cancer, et le glycérol forme de l’acroléine, qui peut irriter les voies respiratoires supérieures.

Des symptômes ont ainsi été détectés chez un groupe de travailleurs d’une usine de maïs, qui produit du pop-corn et qui avait développé une maladie pulmonaire sévère, due à l’inhalation de produits chimiques qui présentent un arôme de beurre et que l’on retrouve dans certaines cigarettes électronique, comme le souligne cette étude.

D’où l’appellation de l’effet pop-corn lié au fait de vapoter. Mais il se trouve qu’il existe d’autres maux liés à l’utilisation de la cigarette électronique. La cigarette électronique endommage l’ADN Watson est l’IA pour votre entreprise. Découvrez comment Watson protège vos données.

Les chercheurs sont parvenus à cette conclusion en exposant 10 souris mâles à de la vapeur de cigarette électronique contenant 10 milligrammes de nicotine, ce qui est comparable à ce que les humains inhalent: 3 heures par jour, 5 jours par semaine, pendant 12 semaines.

Comparés à un groupe de souris témoins ayant inhalé de l’air filtré, ils ont découvert que les souris exposées à la vapeur de cigarette électronique présentaient des lésions de l’ADN dans leur cœur, leurs poumons et leur vessie. Les scientifiques ont ajouté que l’exposition à la vapeur de la cigarette électronique interrompait les processus de réparation de l’ADN dans les tissus pulmonaires des souris.

Ils ont constaté les mêmes résultats en testant l’exposition à long terme à la vapeur de cigarette électronique sur les cellules pulmonaires et de la vessie humaines. Dans un article publié dans Circulation, les chercheurs ont découvert que les cigarettes électroniques libéraient de grandes quantités de nanoparticules, susceptibles de provoquer une inflammation et d’être associées à l’asthme, aux accidents vasculaires cérébraux, aux maladies cardiaques et au diabète.

L’utilisation de la cigarette électronique a également entraîné des blessures et des maladies graves, notamment des explosions et des incendies. Les effets indésirables moins graves comprennent une irritation de la gorge et de la bouche, une toux, des nausées et des vomissements. L’utilisation chez les adolescents est une passerelle directe vers la cigarette traditionnelle. Selon une étude de The official journal of the American Academy of Pediatrics, l’utilisation de la cigarette électronique chez les jeunes qui ne fument pas peut augmenter le risque d’initiation ultérieure de cigarettes et d’autres produits combustibles pendant la transition à l’âge adulte, lorsque l’achat de produits du tabac devient légal.

Préoccupée par une épidémie de consommation de cigarettes électroniques par les adolescents, la FDA a pris des mesures réglementaires à l’encontre de plus de 1 300 détaillants américains et de cinq grands fabricants pour leur rôle dans la perpétuation de l’accès des jeunes à la cigarette électronique. La FDA a alors demandé à ces grands fabricants d’établir des plans pour contrôler les ventes aux mineurs dans un délai de 60 jours ou faire face à une éventuelle action pénale ou civile.

L’agence prévoit également d’examiner de près la contribution des arômes de jus de fruits préférés des enfants à la hausse de son utilisation. Le commissaire de la FDA, Scott Gottlieb a déclaré : « Les cigarettes électroniques sont devenues une tendance presque omniprésente et dangereuse chez les adolescents. La trajectoire d’utilisation accélérée que nous observons chez les jeunes, et le chemin qui en résulte vers la dépendance, doivent prendre fin. Ce n’est tout simplement pas tolérable. »

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Publié à 10:36 par fandeloup Tags : maison sur vie texte carte
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Comprendre le taux d’incapacité 

Pour bénéficier des prestations sociales liées au handicap, il est nécessaire que soit déterminé un taux d’incapacité. Le taux d’incapacité, c’est quoi ?

Qui le détermine ?

Comment ça marche ?

Fixation du taux d’incapacité, tribunal du contentieux de l’incapacité (TCI), restriction substantielle et durable à l'emploi On fait le point. Le taux d’incapacité, c’est quoi ?

Le taux d’incapacité (TI), exprimé en pourcentage, permet d’exprimer le degré de dépendance d’une personne handicapée, malade ou âgée, et l’aide dont elle doit bénéficier dans la vie quotidienne. Pour simplifier, on peut dire qu’une personne valide a un taux d’incapacité 0 % et qu’à l’autre extrême, un taux d’incapacité 100 % correspond à un état comateux ou végétatif. Ce taux est déterminé, dit la loi, « par une analyse des interactions entre trois dimensions » : la déficience (altération de fonctions), l’incapacité (limitation d’activité liée à une déficience) et le désavantage (limitation de l’accomplissement d’un rôle social normal).

Qui détermine le taux d’incapacité et comment ? Ce sont les MDPH (Maisons départementales des personnes handicapées) qui déterminent le TI, et plus particulièrement, en leur sein, les commissions des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH). La commission ne fixe pas un taux précis mais une « fourchette » : incapacité « légère », « modérée », « importante » ou « majeure ».

Les deux derniers seuils correspondent à des taux de plus de 50 %. Le taux est fixé en cherchant notamment à comprendre si la personne est capable d’assurer seule tout ou partie des actes de la vie quotidienne (se repérer, se nourrir, s’habiller, se déplacer…). La commission s’appuie pour cela sur un texte essentiel : le guide-barème pour l’évaluation des déficiences et incapacités des personnes handicapées, dont la dernière version est parue le 6 novembre 2007 et est toujours en vigueur en 2019.

Ce long document, divisé en huit chapitres, balaie tous les champs du handicap (comportement, psychisme, locomoteur, etc.). Pourquoi définir un taux d’incapacité ? La fixation du taux d’incapacité est indispensable d’abord parce que c’est elle qui permet une reconnaissance « officielle » du handicap.

Ensuite parce qu’elle ouvre, ou pas, le droit à certaines prestations sociales (carte d’invalidité, PCH, AAH, allocation d’éducation de l’enfant handicapé, etc.). Seuls les deux « fourchettes » les plus élevées (seuil de 50 % et de 80 %) ouvrent droit, sous condition, à ces prestations.

Peut-on contester le taux d’incapacité fixé par la MDPH ?

Les cas sont fréquents de décisions incompréhensibles – et parfois dramatiques : une personne se voit attribuer un TI de 50 % par sa MDPH, ouvrant droit aux prestations sociales, puis déménage et change de département. Et la nouvelle MDPH, elle, fixe un taux inférieur, avec à la clé la fin des prestations. Il est toujours possible de contester la décision.

Depuis début 2019, le Tribunal du contentieux de l’incapacité (TCI) a disparu et les voies de recours ont changé. Les recours gracieux à la MDPH et contentieux au TCI ont été remplacés par : le recours administratif préalable obligatoire (RAPO) et le recours contentieux auprès du Tribunal de grande instance (TGI).

Le recours administratif préalable obligatoire (RAPO) Il s’agit d’un courrier à adresser à la CDAPH (Commission des droits personnes handicapées) de la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH), de préférence par courrier recommandé avec accusé de réception.

Le recours contentieux auprès du Tribunal de grande instance (TGI) Cela se fait dorénavant auprès du Pôle social du Tribunal de Grande Instance dont vous dépendez. Cette démarche est gratuite et il n’est pas obligatoire de faire appel à un avocat. Pour savoir comment faire en détails, rendez-vous ici, où on vous explique tout dans une infographie sur la décision MDPH !

La question du dossier médical reste cruciale pour permette de comprendre en quoi les différentes pathologies sont handicapantes. Même au-delà de 50 % de taux d'incapacité, il est nécessaire de démontrer une restriction substantielle et durable à l'emploi. C'est-à-dire expliquer en quoi votre handicap complique l’accès à l'emploi en comparaison à une personne ayant le même profil mais sans handicap.

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Publié à 16:20 par fandeloup Tags : hiver france
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Cyprès, bouleau, graminées... voici le calendrier des allergies

L'hiver n'est pas encore terminé que les premiers pollens refont déjà leur apparition, notamment dans le sud de la France. A vos mouchoirs ! Selon le Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA), les premiers risques allergiques liés aux pollens de cyprès, d'aulnes et de noisetiers font leur apparition dans le Sud de la France, en cette fin février. La saison des pollens se poursuivra avec les pollens de saules en mars - avril suivis des pollens de peupliers et surtout, de fin mars jusqu'à fin mai, des pollens de bouleaux, platanes, chênes, hêtres... Pour les graminées, les allergiques le savent, ce sont plutôt les mois de mai, juin et juillet qui posent problèmes... avant l'armoise, en août.