Attention à ce geste dangereux : Voici la raison pour laquelle il ne faut jamais tirer le bras de votre enfant

Les enfants adorent ce jeu un peu brutal parfois, l’avion!: on les tire par les bras et hop !c ‘est l’accident : une fracture du poignet ou la subluxation du coude !

Cet incident est très fréquent avant l’âge de 6 ans car le os de l’avant- bras ne sont pas encore ossifiés ; donc quand on tire sur le bras de l’enfant un peu brutalement ,ou quand on le tire par le poignet vers le haut, on risque de provoquer une fracture du poignet ou la subluxation(pronation) du coude.

L’enfant ne peut plus bouger son bras qui est douloureux. Dans ce cas- là il faut directement consulter votre médecin ou aller aux urgences pédiatriques.

Pour éviter cet accident :

- Ne tirez pas votre enfant par la main ou par le bras, ne le soulevez pas, ne le balancez pas et ne le faites pas tourner en le le tenant par les poignets ou les mains (jeu de l’avion)

- Quand vous le soulevez pour traverser un obstacle (trottoir ou flaque d’eau) prenez-le sous les bras et non par les poignets.

- Si votre enfant vous échappe en traversant la rue, retenez –le par l’épaule ou le haut du bras, et non par la main ou le poignet.

Savoir dire adieu : la plus difficile des conversations à avoir avant de mourir

La mort est un passage obligé dans la vie de tous les êtres vivants. Même si on en a conscience, nous, les êtres humains, nous vivons dans une bulle.

Nous nous convainquons du fait que l’on ne quittera jamais ce monde . Cependant, la réalité ne prend pas toujours la tournure que l’on aurait espéré.

Parfois, la vie n’est pas très coopérative. Un jour, notre compagon/compagne peut s’en aller, on peut tomber malade, ou notre meilleur ami peut avoir un accident.

De toutes les situations possibles, la plus compliqué à gérer est celle où on sait que la mort d’un proche est latente. Dans ces moments-là, on se fiche de la raison.

Le vrai choc a lieu avant même que ne se présente l’idée de devoir faire face au processus de la mort, sans qu’aucune alternative ne soit envisageable.

Comment se préparer à dire adieu ?

«Garde tes bons souvenirs pour les mauvais moments, et écoute… Sois l’acteur de ta vie, dis ce que tu ressens, montre ce que tu vaux, rêve des choses auxquelles tu aspires, et n’oublie pas d’apprécier ce que tu as.»

De nos jours, dans cette société dans laquelle nous vivons, on prend rarement du temps pour nous. Peut-être est-ce pour cette raison si les techniques de méditation sont si populaires. En fait, on voudrait vivre sans interruption. Quand vous devez dire adieu à un être cher, il est important que vous preniez du temps pour vous. Isolez-vous, et concentrez-vous sur vous. Donnez-vous le temps de ressentir la tristesse, la colère et la frustration. Passez toutes les étapes nécessaires, et finalement, acceptez que cette personne ne soit plus à vos côtés.

Que ressentez-vous ?

Qu’avez-vous besoin de dire à cette personne ?

Devez-vous vraiment lui dire tout ce que vous pensez ?

Ne vous y trompez pas, ce sera un moment de grande souffrance, mais cela vous donne aussi la possibilité de changer certaines circonstances. Il est important de pleurer, de s’énerver, et d’accepter le changement qui se prépare.

Vous ne devriez vous présenter à l’autre qu’après avoir médité sur la situation. Probablement que la personne sur le point de mourir aura davantage besoin de parler que d’écouter. Donnez-lui du temps, permettez-lui de dire ce qu’elle a besoin de dire, et montrez-lui que vous êtes là pour elle et que vous l’accompagnez.

En revanche, donnez-lui de l’espoir seulement si la réalité le permet. Ne lui donnez pas de faux espoirs en lui faisant miroiter de possibles traitements miraculeux.

Si de telles possibilités existent, alors elles doivent être mentionnées telles qu’elles sont, sans être enjolivées ou exagérées. Aider l’autre personne à accepter sa condition «Après tout, la mort, ce n’est qu’un signe montrant qu’il y a eu de la vie»

Une part très important de cette conversation difficile consiste à s’assurer que la personne comprend sa situation. Voici quelques phrases qui peuvent vous y aider :

Comprends-tu ton diagnostic ?

Quelles sont tes principales inquiétudes ?

Veux-tu faire quelques changements ou arrangements ?

Comment veux-tu occuper ton temps, à partir de maintenant ?

Qui aimerais-tu voir prendre les décisions à ta place quand cela sera nécessaire ?

Cette conversation n’est pas facile, mais il est important d’écouter quelqu’un qui s’apprête à mourir. En lui montrant que son opinion compte pour nous, on lui donne le pouvoir sur sa vie, et c’est une chose à laquelle personne ne doit renoncer.

Si vous ne vous sentez pas capable de rendre le processus plus supportable à l’autre, alors contentez-vous d’être là. La compagnie des êtres chers est très importante.

L’importance de cette conversation

«La mort ne nous vole pas les gens qu’on aime. Au contraire, elle nous les garde et nous les immortalise dans le souvenir.C’est au contraire la vie qui nous vole souvent, et définitivement».

 La plupart d’entre nous cherchons toujours à retarder cette conversation. On essaie de nous convaincre du fait qu’il y a encore du temps, mais il n’en est pas toujours ainsi. Les choses peuvent se produire bien plus rapidement que ce que l’on croit.

Souvent, ceux qui ont préféré éviter cette conversation se sentent mal, ou coupables de ne pas avoir su dire ce qu’ils avaient à dire quand il était encore temps.

Si vous avez peur d’aborder le sujet, alors commencez simplement par écouter ce que la personne a à dire. Peu à peu, vous saurez s’il y a quelque chose que vous aimeriez partager avec elle, ou pas. Certaines de ces conversations peuvent durer quelques minutes, alors que d’autres sont interminables.

Ne vous inquiétez pas, vous n’êtes pas obligé de dire ou de faire plus que vous ne le vouliez.

Année bissextile : comment ça marche ?

Tous les quatre ans, le 29 février fait son apparition dans les calendriers. Voici pourquoi.

Si ce mois de février 2016 gagne vingt-quatre heures c'est parce qu'il faut remettre les compteurs à jour. « Pour beaucoup de Français, tout ça reste assez énigmatique », résume Pascal Descamps, astronome à l'Institut de mécanique céleste et de calcul des éphémérides, rattaché à l'Observatoire de Paris .

Explications : une année correspond au temps nécessaire à la Terre pour faire un tour complet autour du Soleil. Nos douze mois ont retenu le chiffre de 365 jours. Mais en réalité, il en faut un tout petit peu plus pour effectuer une révolution, précisément 365,2422.

« Cette fraction de jour fait toute la différence », souligne l'expert. Alors pour synchroniser au mieux notre calendrier avec le rythme des saisons (sans pour autant atteindre la perfection), un jour est ajouté tous les quatre ans. C'est Jules César, au temps de l'Antiquité romaine, qui a eu l'idée d'introduire dans le calendrier julien ce jour intercalaire il y a plus de deux millénaires. Le système actuel a été défini en 1582 à l'initiative du pape Grégoire XIII qui, dans le calendrier grégorien, a opté pour le 29 février comme jour de rattrapage. Le décalage avec la réalité de la rotation devient alors minime. Jusqu'en 1922, des spécialistes au sein d'une commission de l'Union astronomique internationale ont réfléchi à des réformes permettant encore d'améliorer notre calendrier. Mais depuis, plus aucune proposition ! « Les réticences au changement se basent sur la tradition. Notre calendrier, c'est de l'acquis mais il n'est pas le plus optimal possible », analyse Pascal Descamps.

Il existe en effet selon lui un système encore plus précis imaginé par les Perses au XIe siècle. Il ne considère pas une année bissextile sur un cycle de 4 ans, mais 8 sur 33. Autrement dit, sur une période de trente-trois ans, vous choisissez 8 années qui feront non pas 365 jours mais 366.

Enfants, nous allions dans des voitures sans ceinture de sécurité, ni airbags !

Nos berceaux étaient peints avec des couleurs brillantes à base de plomb.

Pas de bouchons de sécurité sur les bouteilles de médicaments ni sur les tiroirs et les portes !

Quand nous partions à vélo nous n'avions ni casque ni protection pour les coudes et les genoux !

Nos parents ne portaient pas plainte contre la mairie parce qu'il avait un trou dans le goudron qui nous avait fait tomber !

On buvait de l'eau du robinet, du jardin ou là ou on en trouvait jusqu’à ce qu'on n'ait plus soif !

On n'avait pas de bouteille minérale .

On mettait des heures à construire des voitures avec des caisses et des tuyaux qui ne respectaient pas mes normes AFNOR ou CEE Après quelques chocs on avait appris à résoudre le problème !

On se laissait tomber contre un arbre ou par terre ! Le SAMU n'intervenait pas à chaque chute !

On sortait jouer à la seule condition de rentrer pour l'heure du repas.

On allait à l'école pour travailler et apprendre et non pour développer notre potentiel de créativité ou notre popularité !

Lorsqu'on ne travaillait pas, l'instituteur nous donnait des punitions ou des coups de règles sur les doigts !

Nos parents ne sont jamais aller porter plainte ni frapper l'instit', on savait qu'on l'avait mérité !

On n'avait pas de portable, on écrivait des lettres et des cartes postales !

On se coupait, on se cassait les os, on perdait des dents, mais il n'y avait jamais de plainte déposée pour ces accidents . Personne n'était coupable sauf nous mêmes !

On jouait aux gendarmes et aux voleurs, on jouait avec des pétards, on n'a jamais fait brûler des voitures !

On partageait un coca à 4 (quand on pouvait se l'acheter car c'était la bouteille en verre de 1 litre).

On buvait tous à la même bouteille et personne n'est mort de le faire !

On n'avait pas de Playstation, Mp3, Nintendo, 99 chaines de tv par le câble Par contre on avait de vrais amis, on sortait, on prenait nos vélos ou on marchait jusqu'à chez nos copains.

On sonnait ou on entrait tout simplement et on allait jouer !

On jouait avec des bâtons, avec des balles de tennis , à cache cache, aux football, au ballon prisonnier, à la poupée, aux petites voitures et non au SIM'S et SECOND LIFE.

Certains n'étaient pas de très bons élèves ils devaient simplement redoubler l'année quand ils ne réussissaient pas. Personne n'allait chez les psychologues ou les pédopsychiatres !

On a fait l'expérience de la liberté, du succès et des échecs des responsabilités ! Et on a appris à se débrouiller !!!

Êtes-vous aussi de cette génération ? Si oui, partagez ... et méditez dessus !

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Voici les marques d’eau en bouteilles qui possèdent le plus de polluants

On a pu détecter des pesticides ou polluants chimiques dans quelques marques d’eau en vente dans les magasins . Selon l’étude menée conjointement par France libertés et 60 millions de consommateurs, des polluants ont été retrouvés dans 10 bouteilles d’eau sur les 47 examinées.

Des micro-traces qui ne seraient pas nuisibles pour la santé de l’homme mais c’est une situation qui pose cependant la question de la pureté de l’eau en bouteille. Ce qui a été retrouvé, ce sont des traces de pesticides et de médicaments. Mais alors quelles sont les marques concernées par les résultats de cette étude? Voici les 10 marques d’eau en bouteilles incriminées avec les particules de pollution concernées.

Hépar

Buflomédil (médicament, vasodilatateur)

Mont Roucous

Tamoxifène (hormone de synthèse utilisée pour lutter contre le cancer du sein)

Saint Amand

Tamoxifène et Naftidrofuryl (médicament, vasodilatateur)

Vittel

Hydroxyatrazine (pesticide)

Volvic

trazine (pesticide)

Carrefour discount

Tamoxifène

Cora

 Atrazine

Cristaline

(pesticide)

La Salvetat

Saint-Yorre

Tamoxifène Parmi les eaux en bouteille sans aucune trace de polluant, on retrouve les eaux minérales Evian, Contrex, Courmayer, Thonon, Montcalm, Wattwiller, les eaux minérales des marques Auchan, Carrefour, Leclerc et Leader Price, et les eaux minérales gazeuses Perrier, Badoit, San Pellegrino ou Quezac.

23 eaux de source en bouteille n’avaient également aucune trace de substance toxique. Seules ces 10 références d’eau en bouteille présentaient des microtraces de polluants d’après 60 Millions de consommateurs.

Article sur http://www.onsaitcequonveutquonsache.com/2016/02/voici-les-marques-deau-en-bouteilles-qui-possedent-le-plus-de-polluants/

En savoir plus sur http://www.lesartisansdufrais.com/pages/actu/pesticides-ogm/voici-les-marques-d-eau-en-bouteilles-qui-possedent-le-plus-de-polluants.html#R6So1KQbumUurqD6.99

Le Sénat refuse d'interdire les insecticides tueurs d'abeilles

Lors de l’examen en séance de la loi pour la reconquête de la biodiversité, les sénateurs ont voté à une large majorité contre l'interdiction de l’usage des pesticides néonicotinoïdes pour enrober les semences au 1er septembre 2017 malgré les recommandations de l’ANSES et un avis favorable du gouvernement.

Ces insecticides qui agissent sur les systèmes nerveux des abeilles. Jean-Mars Bonmatin fait partie d’une équipe de chercheurs, la « Task force on systemic pesticides », qui a effectué une revue exhaustive de la littérature scientifique sur le sujet des néonicotinoïdes pendant quatre ans.

Leurs conclusions :

« Les néonicotinoïdes affectent les abeilles ainsi que tous les invertébrés terrestres et aquatiques, qui sont la base de la chaîne alimentaire. Ces produits toxiques sont lessivés par l’eau en raison de leur solubilité, et se retrouvent dans toute la biodiversité. Ils représentent donc une menace systémique, et on court à la catastrophe »

Comment faire pousser un citronnier avec une graine chez soi ?

Nous savons que les citronniers poussent à l’air libre pendant toute l’année, surtout dans les régions où le climat est chaud et ensoleillé la plupart du temps.

Cependant, peu de gens savent qu’il est également possible d’avoir un citronnier chez soi à l’intérieur ou à l’extérieur, comme n’importe quelle plante, et bien sûr pourvoir bénéficier des magnifiques fruits qui sont si bons pour notre santé.

Quand nous avons la possibilité de planter une branche ou une bouture de citronnier, le cultiver est quelque de très simple et vous pourrez avoir des fruits en peu de temps.

Cependant, les branches sont difficiles à obtenir et requièrent un soin spécial pour des résultats rapides. Faire pousser notre citronnier à partir du pépin peut nous faire vivre une expérience très gratifiante même si cela peut durer entre 3 et 6 ans pour obtenir un fruit.

Les agrumes comme le citron nous offrent de multiples propriétés pour la santé et ont le grand avantage de pouvoir être cultivés chez soi. De plus, les fruits que nous pouvons obtenir à long terme sont plus frais, de plus grand qualité et sans produits chimiques. Vous aimeriez apprendre à planter un citronnier chez vous à partir des pépins ? Dans cet article, nous vous donnons un guide qui vous aidera dans cette tache.

Ce dont vous avez besoin pour planter et faire pousser un citronnier

Un citron

Il est très important que vous trouviez un citron biologique car les pépins de citron non biologiques peuvent être stériles. Tous les types de pépins de citron biologique fonctionneront, mais si vous avez une limite de climat ou d’espace, nous vous conseillons de choisir la variété appelée citron Meyer. Ce type de citron est plus petit et s’utilise en général à des fins ornementales. Il est donc plus facile de le semer dans un pot à l’intérieur.

De la terre pour pot

Tous les types de terres biologiques peuvent fonctionner, mais nous vous conseillons d’utiliser un mélange de tourbe, de coton perlé, de vermiculite et de fertilisant biologique. Un pot Pour la germination, il suffit d’un récipient avec des trous pour le drainage d’environ 12 ou 15 centimètres de profondeur et quelques centimètres de diamètre. Prenez en compte que par la suite, vous devrez replanter l’arbre quand il aura germé, et que les citrons préfèrent un contenant qui soit un peu plus large que profond.

La lumière du soleil

Les citronniers ont besoin de beaucoup de lumière du soleil, surtout quand ils sont en train de pousser. L’idéal est de le mettre près de la fenêtre ou dans le jardin pour qu’il reçoive les heures de soleil nécessaires. Dans tous les cas, si vous ne vivez pas dans une région où le climat est approprié, vous pouvez acheter une lumière artificielle pour la pousse.

Méthode pour la germination des pépins de citron

Tout d’abord, vous devez humidifier préalablement la terre du pot. Pour cela, mettez une partie de terre dans un seau et ajoutez-y de l’eau jusqu’à ce que la terre soit bien humide.

Ensuite, humidifiez le récipient et remplissez-le avec la terre. N’oubliez pas de laisser quelques centimètres sans terre en haut du pot. Découpez le citron et choisissez le pépin que vous considérez comme étant le plus vivant.

Ensuite, sucez le pépin jusqu’à ce que le goût de citron ait totalement disparu. Le pépin doit rester humide pour pouvoir germer, ainsi il est important de le garder dans la bouche jusqu’à ce que vous le mettiez en terre.

Plantez le pépin à environ 1,2 cm sous la terre, couvez-le avec de la terre et arrosez doucement avec une bouteille ou un pulvérisateur. Couvrez le pot avec un plastique transpirant qui vous permette de maintenir les pépins chauds et humides.

Vous pouvez utiliser une pellicule plastique (du film transparent) ou un sac poubelle de couleur claire avec quelques trous. N’oubliez pas de mettre le pot dans un lieu chaud et où la lumière du soleil donne.

Il est important de réviser fréquemment puisque vous ne devez pas laisser la terre s’assécher complètement. Sachez que l’excès de chaleur ou d’humidité peut provoquer la pourriture du pépin, il est donc bon d’équilibrer ces éléments.

Après deux ou trois semaines, vous commencez à voir la pousse sortant de la terre.

À ce moment, vous devrez retirer le plastique et mettre la petite plante où la lumière du soleil donne directement.

Finalement, souvenez-vous que vous devez commencer à prendre soin de votre plante tous les jours, lui donner de l’eau, de la lumière du soleil et de l’engrais biologique. Partager

96% des Français plébiscitent la zoothérapie

A l’occasion de la Journée mondiale des malades, l’institut de sondage Opinionway a réalisé une enquête pour dogfidelity – Assur O’Poil sur la perception des Français de la zoothérapie.

Le constat est sans appel : 95% des sondés la plébiscitent !

Nombreuses sont aujourd’hui les nouvelles méthodes thérapeutiques alternatives aux traitements lourds et médicamenteux.

Phytothérapie, aromathérapie, homéopathie ou encore acupuncture sont autant de médecines douces qui ont fait leurs preuves dans le traitement de la douleur, du stress et de nombreux autres symptômes.

Moins connue mais non moins efficace, la zoothérapie ou médiation animale en fonction du contexte, apparaît également comme une nouvelle façon de traverser des étapes difficiles.

En effet, il a été prouvé que la présence des animaux pouvait nous apporter de nombreux bienfaits au quotidien. Et les Français en sont convaincus : l’enquête de Janvier 2016, réalisée par Opinionway pour dogfidelity, 1er réseau social dédié à la communauté canine et Assur O’Poil, l’assureur santé chiens chats, nous révèle que plus de 80 % d’entre eux sont persuadés que les chiens et les chats sont capables de rendre heureux leurs maîtres, qu’ils nous aident à surmonter des étapes difficiles.

Ils nous permettent de nous épanouir, à nos enfants de se responsabiliser, aux personnes handicapées à évoluer dans leur environnement, ou encore aux personnes âgées de lutter contre la solitude.

D’après ce même sondage, ce sont 95% des sondés qui considèrent que les chiens et les chats ont la capacité d’apporter du réconfort aux personnes en difficultés (personnes âgées, malades, en situation de handicap, enfants sujets à des troubles du comportement) !

Les animaux constituent ainsi une véritable source de soutien lorsqu’on est confronté aux difficultés de la vie, maladies, troubles psychologiques ou sociaux, et c’est bien cela la « zoothérapie ».

D’après le sondage dogfidelity – Assur O’Poil, la médiation animale, en cours de développement dans l’hexagone, est un terme connu des Français. Ces derniers sont même majoritairement favorables à une prescription médicale d’un animal. Bien entendu, celui-ci n’a pas vocation à guérir.

Il ne peut qu’accompagner un traitement et vous apporter du réconfort grâce à une meilleure gestion de la douleur et du stress.

Mais qui sait ? Peut-être que demain, votre médecin vous prescrira quelques séances de zoothérapie avec un chien ou bien un chat ?