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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Konstantínos Gavrás dit Costa-Gavras est un réalisateur de cinéma grec de nationalité française, né à Loutra-Iraias (Arcadie) le 12 février 1933. Chacun de ses films est pour lui l'occasion de témoigner de son engagement dans ses idées et de délivrer un message à propos du pouvoir. Hier thriller politique et drame sentimental ; aujourd'hui, social-fiction. Il est le père de Romain Gavras, co-fondateur de la société de production Kourtrajmé, et de Julie Gavras, assistante et réalisatrice (La Faute à Fidel !, 2006). Quand il quitte Athènes pour venir à Paris, il débute par une licence de littérature, puis il entre à l'Institut des hautes études cinématographiques (IDHEC) et travaille comme assistant pour Henri Verneuil, Jacques Demy et René Clément. Le film Le Jour et l'Heure, pour lequel il travaille comme assistant, lui permet de rencontrer Simone Signoret et Yves Montand, avec lesquels il deviendra très ami. Découvrant le livre Compartiment tueurs de Sébastien Japrisot, il en fit le scénario et réussit à y intéresser le producteur Julien Derode ; le film eut du succès en france et même aux États-Unis, où il reçut des critiques dithyrambiques. C'est lors d'un séjour en Grèce, qu'il découvre le livrede Vassilis Vassilikos, Z, retraçant l'assassinat du leader de la gauche organisé par la police et camouflé en banal accident. Dès son retour il en écrit le scénario en collaboration avec Jorge Semprún. Ne trouvant pas le financement, il en parle à Jacques Perrin, qu'il connaissait depuis le film Compartiment tueurs. C'est à cette occasion que Jacques Perrin va créer sa propre maison de production pour monter le film et utiliser ses contacts, en particulier en Algérie, où sera tourné le film. Jean-Louis Trintignant a accepté un faible cachet et Yves Montand a accepté de participer. Le film a été un succès à travers le monde et les gens applaudissaient à la fin des séances; il a été récompensé par le « prix du Jury » à Cannes, l'Oscar du « meilleur film étranger » et celui du « meilleur montage ». Lors du montage de Z, au cours du dîner de Noël, Claude Lanzmann lui parle de Lise et Artur London qui avait été vice-ministre des Affaires étrangères de Tchécoslovaquie et était un des trois rescapés des procès de Prague qui s'étaient tenus en 1952. Beaucoup d'intellectuels de sa génération s'étaient enthousiasmés pour le stalinisme « parce qu'il ouvrait des perspectives qui paraissaient formidables. Jusqu'à ce que, peu à peu, on prenne conscience de l'envers du décor. » Yves Montand adhère aussi au projet de L'Aveu, et les financements se débloquent grâce au succès de Z. L'Aveu est sorti après Z, dans une époque assez manichéenne : on lui a reproché d'attaquer la droite puis la gauche, alors qu'il ne voulait que dénoncer les totalitarismes. Certains personnes ne lui pardonnèrent pas d'avoir levé le voile sur le stalinisme et l'évitaient ostensiblement. Le film a connu un succès considérable et devint un véritable phénomène politique et culturel qui a bouleversé son époque. Le film Clair de femme (1979) est tiré d'un roman de Romain Gary qui estima que c'était la première fois qu'il était content de l'adaptation d'une de ses œuvres à l'écran. Costa-Gavras fut séduit dans cette histoire par le fait qu'il s'agissait d'une « tentative de profanation du malheur, d'un hymne à la vie et d'une réhabilitation du couple ». Dustin Hoffman considéra ce film comme la plus belle histoire d'amour qu'il connaisse et, lors du tournage du film Mad City, suggéra à Costa-Gavras d'en faire un remake. Le scénario du film Porté disparu (Missing) (1982) est adapté du livre de Thomas Hauser : L'Exécution de Charles Horman, lui-même inspiré d'une histoire vraie. Le film raconte l'histoire de la disparition d'un jeune journaliste américain durant le coup d'État du général Augusto Pinochet en 1973. Ce qui l'avait touché dans cette histoire, était « beaucoup moins le contexte politique du putsch que le thème du père qui, accompagné par sa belle-fille, recherche son fils coûte que coûte dans un pays en plein chaos. » Le film a été très controversé aux États-Unis car il met en lumière l'action des agents du gouvernement américain et leur responsabilité dans ce coup d'État. L'extrême-droite américaine demanda « Mais que vient faire ici ce communiste européen ? ». Cependant le film reçut la Palme d'or et le prix d'interprétation masculine au festival de Cannes, et l'Oscar du « meilleur scénario », et il est toujours montré et présenté comme un film majeur dans les grandes universités américaines. Les musiques sont d'un autre Grec fameux, Vangelis. Dans les années 1980, il occupe le poste de président de la Cinémathèque française. Il est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence et du comité de soutien de l’Association Primo Levi (soins et soutien aux personnes victimes de la torture et de la violence politique). Le 13 juin 2007, il est nommé président et administrateur de la Cinémathèque française.
Antoine Duléry est un acteur, scénariste, imitateur et dialoguiste français. Il est né le 14 novembre 1959 à Paris.Petit-fils d'Albert Duléry, tragédien et pensionnaire de la Comédie-Française sous le nom de scène d'Albert Reyval, Antoine suit les traces de son ailleul et après une formation au Cours Florent, il débute en 1980 une carrière au théâtre, à la télévision et au cinéma. Au cinéma, il s'illustre dans plusieurs films de Claude Lelouch : Tout ça... pour ça !, Les Misérables, Hommes, femme,mode d'emploi… mais aussi dans Jean-Philippe de Laurent Tuel ou encore les très populaires Camping et Camping 2 de Fabien Onteniente.En 1994, après un divorce avec une styliste et une liaison avec l'actrice Mathilde Seigner, il rencontre Pascale Pouzadoux avec qui il a eu deux garçons (Raphaël et Lucien)
Mélanie Doutey est une actrice française née le 22 novembre 1978 à Paris. Elle est la fille des comédiens Alain Doutey et Arielle Séménof.Après un Deug d’anglais, elle étudie au Cours Périmony puis au Conservatoire, et débute au cinéma dans Les Gens qui s’aiment de Jean-Charles Tacchella. En 2001, elle tient le rôle principal du film Leïla de Gabriel Axel, puis enchaîne l’année suivante avec Le Frère du guerrier de Pierre Jolivet pour lequel elle obtiendra une nomination au César du meilleur espoir féminin. Elle ressort diplômée en 2002 du Conservatoire national supérieur d'art dramatique de Paris. En 2003, elle joue dans La fleur du mal, une chronique bourgeoise de Claude Chabrol. Elle obtient cette même année le Prix Suzanne-Bianchetti. En 2004, on la retrouve dans le film espagnol El Lobo aux côtés d’Eduardo Noriega. En 2005, Mélanie Doutey joue le rôle titre dans la série télévisée Clara Sheller, qui la révèle concrètement au grand public. Malgré le grand succès de cette série (six millions de téléspectateurs sur france 2), elle ne reprend pas son rôle pour une deuxième saison, préférant privilégier sa carrière au cinéma et au théâtre. En 2006 on la retrouve sur le grand écran dans Président de Lionel Delplanque aux côtés d’Albert Dupontel, dans Fair Play avec Marion Cotillard et Benoît Magimel ainsi que dans la comédie musicale On va s'aimer d’Ivan Calbérac. En 2007, Mélanie Doutey revient au théâtre dans la pièce Confidences trop intimes aux côtés de Jacques Gamblin. Elle est aussi à l’affiche de la comédie romantique Ce soir je dors chez toi ainsi que du téléfilm allemand Troie, la cité du trésor perdu, diffusé sur Sat.1, et qui fut entièrement tourné en anglais. En 2008, Mélanie Doutey tourne dans Une femme à abattre, puis participe aux films Le Bal des actrices de Maiwenn et Rien de personnel de Mathias Gokalp (2009) qui furent bien reçus par la critique. Fin 2009, Mélanie Doutey partage l’affiche avec Kad Merad pour le film d’aventures R.T.T. Elle est à l'affiche du film Une petite zone de turbulences en 2010 d’Alfred Lot, avec Michel Blanc et Miou-Miou puis participe en tant que jury au Festival Premiers plans d'Angers. Depuis 2002, Mélanie Doutey vit avec le comédien Gilles Lellouche. Ils ont eu une petite fille, Ava, née le 5 septembre 2009 à Paris
Lou Doillon est une actrice et mannequin française, née le 4 septembre 1982 à Paris.Fille du réalisateur Jacques Doillon et de l'actrice Jane Birkin, elle a quatre demi-sœurs, Charlotte Gainsbourg et Kate Barry du côté de sa mère, et Lola Doillon et Lili Doillon, du côté de son père1. Elle a effectué sa scolarité au lycée Victor-Duruy, à l'Ecole Maigret, puis à l'École active bilingue. Elle a un fils, Marlowe Jack Tiger, né le 12 juillet 2002.2 En parallèle de sa carrière d'actrice, elle poursuit également, et avec succès, une carrière de mannequin. Elle fut l'égérie de Givenchy, mais aussi de Morgan. À la demande de son amie Milla Jovovich, elle pose pour la collection de vêtements que cette dernière réalise pour MANGO3. En 2007, Lee Cooper, célèbres pour leurs blue-jeans, ont nommé Lou à leur partenaire créatif pendant les trois années à venir.4 Lou Doillon est représentée par l'agence Next Management à Paris, et a collaboré avec des marques comme Vanessa Bruno, La Redoute, H&M, ou Hogan by Karl Lagerfeld. Elle a également fait une apparition dans la série américaine Gossip Girl lors du tournage de la saison 4 à Paris.
Nora Arnezeder, née le 8 mai 1989 à Paris, est une actrice française. Son père est autrichien et sa mère est egyptienne de confession juive1. Ils se sont rencontrés à Bali. À l'âge de deux ans, elle quitte Paris avec ses parents pour Aix-en-Provence. À 14 ans, elle part vivre à Bali pendant un an. Une fois revenue à Paris, elle prend des cours de danse et de chant avec Myrtille Buttner, à l'Académie internationale de danse et de théâtre, au sein de l'école de théâtre de Cabriès. Après plusieurs stages de comédie au cours Florent, elle apparaît dans Les Deux mondes (2007) et les séries R.I.S. Police Scientifique et Commissaire Valence. En 2008, elle obtient son premier grand rôle dans Faubourg 36 de Christophe Barratier. En 2009, elle devient l'égérie du parfum ''Idylle'' de Guerlain et chante dans sa publicité une reprise de Singin' in the Rain2. Elle prépare également un album, s'apprête à jouer aux cotés de Denzel Washington, et elle sera prochainement la voix de Katia dans le dessin animé Louis la Chance.
Juliette Arnaud est une actrice, scénariste et dialoguiste française née le 6 mars 1973 à Saint-Étienne.Juliette Arnaud a été formée au cours Florent, où elle rencontre Christine Anglio et Corinne Puget avec qui elle joue dans la pièce Arrête de pleurer Pénélope. Elle est la partenaire, l'ex-compagne et l'amie de l'acteur humoriste Michaël Youn.
Marilou Berry, née le 1er février 1983 à Paris, est une actrice française.Marilou Berry est la fille de Josiane Balasko et du sculpteur Philippe Berry, et donc la nièce de l'acteur Richard Berry et cousine de Joséphine Berry. Elle fait sa première apparition à l'écran à l'âge de 8 ans dans Ma vie est un enfer, une comédie réalisée par sa mère et dans laquelle joue avec son oncle Richard Berry. Peu intéressée par les études, elle quitte le lycée en seconde puis s'inscrit au Conservatoire du VIIe arrondissement de Paris. Par la suite, elle enchaîne les stages sur les plateaux de tournage. Marilou Berry s'impose comme l'une des révélations de l'année 2004, grâce à deux rôles d'adolescente ronde et complexée, qui trouvent leur salut dans la musique : Lolita, jeune fille en mal de reconnaissance, écrasée par la notoriété de son père auteur, et férue d'art lyrique, dans Comme une image, et Hannah, enfant de la banlieue parisienne, féministe avant l'heure et virtuose de la contrebasse, dans La Première fois que j'ai eu 20 ans. Comme sa mère, elle s'oriente rapidement vers la comédie avec Il était une fois dans l'oued puis Nos jours heureux. Elle est l'actrice principale du film Vilaine sorti en novembre 2008. Elle y joue le rôle de Mélanie une fille trop gentille et hideuse qui travaille en tant qu'employée dans une station-service.
Michel Boujenah, né le 3 novembre 1952 à Tunis (Protectorat français de Tunisie), est un acteur, réalisateur et humoriste français d'origine tunisienne.Michel Boujenah passe sa petite enfance en Tunisie. Son père, Joseph Boujenah, est médecin. En 1963, âgé de 11 ans, il rejoint la france avec ses parents, et s'installe dans la cité de la Croix d’Arcueil à Bagneux, dans la banlieue modeste du sud de Paris. Il souffre beaucoup de cette rupture avec sa terre et sa culture natale1. En 1967, âgé de 15 ans, il décide de réaliser son rêve d'enfance : devenir acteur. Il intègre le théâtre à l’École alsacienne du 6e arrondissement. Après avoir passé son bac, il passe le concours de l’École Supérieure d’Art dramatique du Théâtre national de Strasbourg, mais il est recalé. En 1972, après quelques stages de comédie, il monte sa propre compagnie de théâtre La Grande Cuillère, avec Paul Allio et Corinne Atlas. Il joue pour les enfants pendant six ans et interprète ses propres textes dans des cafés-théâtres. Il écrit et met en scène tous ses one man shows. Son premier spectacle, Albert créé au théâtre du Lucernaire à Paris, avec une musique originale de Michel Valensi et Geneviève Cabanes, remporte un grand succès. Il y incarne son propre personnage, et prend pour thème la vie des juifs tunisiens immigrés en france. Lors d'une interview pour Dvdrama, Michel Boujenah revient sur ce premier spectacle. Il y explique que ses origines juives sont fondamentales pour lui, en temps qu'élément personnel constitutif de de son identité, mais qu'il ne souhaite pas construire son humour sur cette identité, ce qui le pousse plus tard dans sa carrière à en partie renier ce premier spectacle. Ses origines juives et tunisiennes, son enfance d'immigré forment pour lui une situation personnelle complexe, où il évolue entre reniement et acceptation de sa différence. Il juge néanmoins qu'elles sont sans importances pour son humour, que ce qui compte pour lui c'est que son humour soit sincère. Son second spectacle Anatole est un échec. Le suivant, Les magnifiques, une série de portraits de juifs franco-tunisiens est à nouveau un grand succès. Il est alors reconnu par le public, les médias et le monde du spectacle, et sa carrière est lancée. Il poursuit avec L'Ange Gardien, Elle et moi, Le petit génie, etc. En 1979, il débute avec succès une carrière d'acteur comique de cinéma, avec Mais qu'est-ce que j'ai fait au bon dieu pour avoir une femme qui boit dans les cafés avec les hommes de Jan Saint-Hamont. Il y joue son rôle de prédilection, celui d'un homme profondément gentil et un peu naïf. En 1984, il joue dans Trois hommes et un couffin de Coline Serreau avec André Dussolier et Roland Giraud, et obtient le César du meilleur acteur dans un second rôle et son premier grand succès d'acteur de cinéma. Il joue la suite 18 ans après en 2002. En 1992, il est fait partie de la sélection de candidats pour le César du meilleur acteur, pour son film Le Nombril du monde d'Ariel Zeitoun, où il rompt avec ses rôles de comiques. En 1998, il est le parrain de l'œuvre humanitaire du Téléthon de france 2 pour la recherche sur la myopathie et les maladies neuromusculaires. En 2003, Michel Boujenah écrit et réalise son premier film avec Père et fils avec Philippe Noiret, Charles Berling et son neveu Matthieu Boujenah. Cette comédie a pour sujet un père qui tente de réunir ses trois fils. Les personnalités des quatre personnages sont quatre des facettes de sa propre personnalité. Il est nommé aux César de la meilleure première œuvre de fiction, et remporte un nouveau succès avec son one man show les Nouveaux Magnifiques au théâtre du Gymnase de Paris, avec une nouvelle série de portraits de juifs tunisiens, vingt ans après la création des premiers. En 2007, Michel Boujenah est nommé directeur artistique du Festival de Ramatuelle, succédant à Jean-Claude Brialy, décédé le 30 mai 2007. En 2008, il présente son spectacle Enfin libre !. Dans sa vie privée, il est marié avec isabelle, une artiste styliste coiffeuse du monde du spectacle, dont il a un fils Joseph Boujenah, né en 1998, et une fille Louise Boujenah, née en 2000.
Isabelle Carré est une actrice française, née le 28 mai 1971 à Paris.Elle naît le 28 mai 1971 dans le 12e arrondissement de Paris d'un père styliste réputé et d'une mère secrétaire de direction, puis passe son enfance dans le 7e arrondissement avec ses deux frères. Elle quitte ses parents à l’âge de 15 ans à cause de leur mauvaise entente pour vivre seule et rêve d’une carrière de danseuse, mais y renonce rapidement pour se réorienter vers la comédie. Elle suit de nombreux cours d'art dramatique au Centre américain, au cours Florent et au Studio Pygmalion, tout en suivant sa scolarité au lycée Victor-Duruy. Elle voue une admiration sans limite à Romy Schneider et joue ses premiers petits rôles au cinéma dans le film Romuald et Juliette de Coline Serreau en 1988. Après son bac B obtenu en 1989, elle intègre l’École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre (ENSATT) jusqu’en 1990. De son côté, son frère Benoît entame sa carrière d'artiste chanteur avec son groupe Lilicub. Elle commence rapidement une importante carrière théâtrale et cinématographique, alternant films grand public, films d'auteur, téléfilms et pièces de théâtre. En 2008, elle a donné naissance à un fils, Antoine puis en mars 2010 à une fille, Madeleine. En 1992, elle décroche son premier grand rôle au cinéma dans le film Beau fixe de Christian Vincent pour lequel elle est nommée au César du meilleur espoir féminin. Elle enchaîne dans le film à grand succès Le Hussard sur le toit de Jean-Paul Rappeneau, pour lequel elle est encore nommée au César du meilleur espoir féminin, puis dans Beaumarchais l'insolent en 1995 d’Édouard Molinaro. En 1997, elle réalise une exceptionnelle performance d'actrice dans La femme défendue de Philippe Harel où elle est filmée sous tous les angles, et occupe l'écran durant tout le film. Cette prestation lui vaut le Prix Romy-Schneider (espoir du cinéma français) et une troisième nomination au César du meilleur espoir féminin. Elle remporte la même année le prestigieux Prix Gérard Philipe. En 2000, Clément Sibony charme isabelle Carré dans L'Envol (2000), puis joue le jeune étudiant en médecine fou amoureux d'une Audrey Tautou érotomane dans À la folie... pas du tout, succès de la jeune réalisatrice bordelaise Lætitia Colombani, et dans lequel isabelle Carré joue la compagne avocate de Samuel Le Bihan. Les deux acteurs seront en couple pendant 3 ans après cette rencontre. En 2003, elle reçoit le César de la meilleure actrice pour le film Se souvenir des belles choses de Zabou Breitman, où elle joue le rôle d’une jeune femme atteinte de la maladie d'Alzheimer. En 2004, elle remporte le Molière de la meilleure comédienne pour son rôle dans la pièce de Roland Topor L'hiver sous la table extraordinairement mise en scène par Zabou Breitman. En 2006, elle est nommée pour le César de la meilleure actrice pour le film Entre ses mains de Anne Fontaine, où elle joue aux côtés de Benoît Poelvoorde. Elle joue également de nouveau au théâtre dans Blanc d'Emmanuelle Marie sous la direction de Zabou Breitman, aux côtés de Léa Drucker qui interprète sa sœur au milieu d'une scène du Théâtre de la Madeleine transformée en un champ de blé entourant une maison campagnarde grâce au décor transcendant de Jean-Marc Stehlé, et baigné de la musique d'une violoncelliste scandant le récit en contrepoint. En 2007, elle joue dans Anna M., réalisé par Michel Spinosa avec Gilbert Melki et Anne Consigny. Le film révèle un côté plus sombre. Après À la folie... pas du tout, c'est la deuxième fois qu'elle joue dans un film qui traite le sujet de l'érotomanie
Amira Casar est une actrice française d'origines russe et kurde, née le 1er mai 1971 à Londres Kurde par son père, russe par sa grand-mère, née en Angleterre, Amira Casar a passé son enfance entre la Grande-Bretagne, l’Irlande et la France. Elle est formée au théâtre par Blanche Salant et Paul Weaver et complète sa formation au Conservatoire National d’Art Dramatique, de 1991 à 1994. La carrière d’Amira Casar au cinéma traverse des univers personnels, exigeants et éclectiques ; allant des mythiques Frères Quay en Angleterre à La vérité si je mens 1 et 2 de Thomas Gilou, et des cinéastes tels que Catherine Breillat, Laëtitia Masson, les Frères Larrieu ou Tony Gatlif. Au théâtre elle a joué le rôle de l’unique femme, Ans, dans Les enfants de Saturne d'Olivier Py au Théâtre National de l’Odéon. Elle a interprété le personnage de Hedda Gabler d’Ibsen au Petit Théâtre de Paris et a joué à l’Almeida Theater de Londres Aunt Dan and Lemon de Wallace Shawn mis en scène par Tom Cairns.En 1989, elle s'inscrit aux Cours Florent[réf. souhaitée] où elle est formée au théâtre par Blanche Salant et Paul Weaver. Elle complète sa formation de 1991 à 1994, au Conservatoire national supérieur d'art dramatique de Paris qui accepte quelques stagiaires étrangers chaque année. La carrière d’Amira Casar au cinéma traverse des univers personnels, exigeants et éclectiques ; allant des mythiques Frères Quay en Angleterre à « La Vérité si je mens ! » 1 et 2 de Thomas Gilou, et des cinéastes tels que Catherine Breillat, Laëtitia Masson, les Frères Larrieu ou Tony Gatlif. Récemment, le monde poétique et théâtral de l’Allemand Werner Schroeter avec « nuit de chien », ou encore Carlos Saura où elle interprétera plusieurs rôles de femmes populaires en espagnol. En 2009 nous l’avons vu dans « Gamines » de Eléonore Faucher. En 2011 nous la verrons dans le rôle titre de « Dora Maar : la femme qui pleure au chapeau rouge » et dans « Playoff », tourné en langue anglaise, de Eran Riklis, « La Vérité si je mens ! » 3 et « Let my people go » du jeune cinéaste Michael Buch.