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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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acteur

jean richard

Publié à 11:09 par fandeloup Tags : belle homme enfants amis cadre mort animaux art mer voiture dessin écran chevaux loisirs
jean richard

Jean François Henri Richard est un acteur et directeur de cirques français né le 18 avril 1921 à Bessines (Deux-Sèvres) et mort à Senlis (Oise), le 12 décembre 2001.Jean Richard est le fils de Pierre Richard, marchand de chevaux, et de Suzanne Boinot. En 1945, il épousa en premières noces Anne-Marie Lejard dont il divorça six ans plus tard, en 1951. Il s'est marié en secondes noces, le 3 décembre 1957, à Annick Tanguy (* le 6 octobre 1930 à Aubervilliers ; † le 24 juillet 1999 à Ermenonville), comédienne. enfants : Élisabeth (* le 22 août 1946) de son premier mariage, Jean-Pierre de son second mariage. Son fils Jean-Pierre Richard (né en 1958), qui travaillait avec son père au cirque et qui présentait des numéros d'animaux (avec des poneys en 1975 et des dromadaires en 1977-1978), est mort le 19 juin 2009 à Toulon. Lycéen, il est passionné par le dessin alors que sa famille le destine à devenir Notaire. Il travaillera en tant que caricaturiste dans plusieurs journaux de sa région. Après avoir échoué à l'examen d'entrée à la prestigieuse école du cadre Noir de Saumur, il monte sur la scène de cabarets lyonnais où, dans la tradition du comique troupier, il incarne un ahuri sympathique au parler pittoresque qui fleure bon le terroir. Il crée ensuite avec des amis une compagnie de théâtre amateur. Après avoir suivi les cours du Conservatoire national supérieur d'art dramatique en 1947, Jean Richard exerce ses activités dans le cirque, le cabaret, le cinéma et la télévision. Son premier grand succès au cinéma, belle mentalité date de 1952, et Jean Renoir lui offre l'un de ses meilleurs rôles dans Elena et les Hommes. Sa passion pour les animaux le pousse à se constituer une véritable ménagerie. Celle-ci devient si imposante qu'il crée au milieu des années cinquante un zoo à Ermenonville, où il s'installe en 1955. En 1963, il crée dans cette ville La mer de sable, le premier parc de loisirs à thème français, profitant d'une grande étendue sablonneuse qui lui permet de reconstituer des décors du Far West américain. Passionné par le cirque, il participe à des galas avec le cirque Medrano, puis présente en 1957 et 1958 le premier "cirque Jean Richard" grâce à la collaboration des familles Grüss et Jeannet et de leur propre cirque. Il rachète le 29 janvier 1972 le cirque Pinder qu'il confiera à son fils en 1978 après des soucis de gestion administrative et financière. Pour financer ses projets coûteux, il s'est résigné à tourner dans beaucoup de films à l'accueil souvent mitigé et dans des pièces de théâtre de qualité inégale, à tourner en province avec les galas Karsenty-Herbert. Il dira être « le seul homme à nourrir des lions avec des navets ». En 1962, 1965, 1972, il joue aux côtés de Georges Guétary dans des opérettes signées par Marcel Achard (1962 - La Polka des lampions), Charles Aznavour (1965 - Monsieur Carnaval) et Françoise Dorin (1972 - Monsieur Pompadour). Il est devenu célèbre pour avoir incarné pendant plus de vingt ans, à partir d'octobre 1967, le Commissaire Maigret à la télévision, sous la direction de Claude Barma et René Lucot, dans 92 épisodes dont dix-huit en noir et blanc. Sa stature imposante, son côté naturellement bourru et lent, sa démarche assurée, et le fait qu'il fumait la pipe depuis longtemps, lui ont sans doute permis de décrocher ce rôle, en dépit du nombre très important de candidats en lice. Georges Simenon prodigua alors ses conseils à son interprète qui buvait ses paroles et s'imposa très vite dans le rôle. C'est le seul acteur au monde à avoir tourné l'ensemble des Maigret de Georges Simenon, le dernier ayant été diffusé sur le petit écran en juin 1990. En 1973, alors qu'il se trouvait au sommet de sa popularité, il est victime d'un terrible accident de voiture, qui le laissera six semaines dans le coma. Il collabore alors aux magazines pour enfants Pif Gadget et Pif Poche en 1974, démêlant de petites enquêtes, sous le titre Jean Richard enquête et en 1976, il raconte des histoires dans Jean Richard raconte. Il reçoit en 1980 le Grand Prix national du cirque après avoir obtenu de l'État la reconnaissance du cirque comme une activité culturelle à part entière, puis est fait chevalier de la légion d'honneur en 1995. En 1999, il perd son épouse, la comédienne Annick Tanguy, qui a incarné Madame Maigret à la télévision. Il meurt deux ans plus tard. Il est inhumé à Ermenonville dans l'Oise.

isabelle adjani

isabelle adjani

Isabelle Yasmina Adjani, née le 27 juin 1955 à Paris, est une comédienne française, cinq fois lauréate du César de la meilleure actrice. Elle débute sa carrière à 14 ans au théâtre, puis entre à 17 ans à la Comédie-Française, elle devient célèbre au milieu des années 1970 grâce au cinéma. Elle y interprète fréquemment des personnages fragiles, mystérieux, perturbés ou psychologiquement instables, dans des genres divers : polars, films dramatiques, comédies et films à costume.isabelle Adjani naît le 27 juin 1955 à Paris 17e, d'un père algérien originaire de Djelfa et Constantine, Mohammed Chérif Adjani, soldat dans l'armée française durant la Seconde Guerre mondiale, et d'une mère allemande, Augusta, décédée en février 20071,2,3. Elle grandit avec son frère cadet Éric Hakim (qui deviendra plus tard photographe) à Gennevilliers dans la banlieue nord-ouest de Paris et va au collège Paul Lapie à Courbevoie. Elle passera ensuite ses années de lycée au lycée Jean-Jaurès, à Reims. Elle obtient un premier rôle à 14 ans dans un film pour enfants, Le Petit Bougnat. Elle entre à la Comédie-Française en 1972. Sa carrière cinématographique et théâtrale est prolifique depuis 1972. En 1996, fatiguée, elle quitte la capitale française et s'établit en Suisse, à Genève. Elle déclarera lors de son arrivée : « lorsqu'on a la possibilité d'offrir à ses enfant une meilleure qualité de vie, il ne faut plus hésiter ». Mais elle reviendra un temps en france afin de présider le jury du 50e Festival de Cannes en 1997. Elle a deux fils : le premier du chef opérateur et réalisateur Bruno Nuytten, Barnabé Saïd, né en avril 1979 et le second de l'acteur Daniel Day Lewis, Gabriel-Kane, né le 9 avril 1995. Barnabé Saïd est chanteur et musicien dans le groupe Makali, qu'il a créé avec ses amis, et se produit sur scène régulièrement. En 1972, isabelle Adjani joue avec la troupe de Robert Hossein, La Maison de Bernarda de Federico García Lorca, au côté d'Annie Ducaux. La pièce, qui est un triomphe, sera reprise plus tard au Théâtre de l'Odéon. Annie Ducaux recommande alors sa partenaire à Jean-Paul Roussillon qui prépare une mise en scène de L'École des femmes de Molière à la Comédie-Française et cherche l'Agnès idéale. Elle prend le rôle, dans lequel elle fait sensation. Hossein retravaille avec Adjani et lui offre le rôle principal d'Ondine de Jean Giraudoux. Au cinéma, elle est révélée au grand public en 1974 par La Gifle de Claude Pinoteau dont le succès la propulse au rang des jeunes actrices françaises les plus en vue. Plusieurs cinéastes de premier plan l'engagent : François Truffaut avec L'Histoire d'Adèle H., André Téchiné avec Barocco et Les Sœurs Brontë, roman Polanski avec Le Locataire ou encore Werner Herzog avec Nosferatu, fantôme de la nuit . En 1981, elle est à l'affiche de Possession d'Andrzej et de Quartet de James Ivory, deux films pour lesquels elle remporte le Prix d'interprétation féminine du Festival de Cannes. Ces deux succès, joints à celui, immense, de L'Été meurtrier de Jean Becker en 1983 en font, dans les années 1980, la star féminine française la plus populaire et la plus adulée. Dans Possession, elle interprète un double rôle sulfureux, halluciné et extrême qui fera d'elle le type même de l'héroïne romantique, tumultueuse et passionnée. Elle reçoit pour son interprétation sur le fil du rasoir un premier César en 1982. Vingt ans plus tard, en pleine promotion de La Repentie de Laetitia Masson, elle déclare à Studio Magazine détester ce film : « je dois à la "mystique" d'Andrzej ?u?awski de m'avoir révélé des choses que je ne voudrais jamais avoir découvertes... Possession, c'était un film infaisable, et ce que j'ai fait dans ce film était tout aussi infaisable. Pourtant, je l'ai fait et ce qui s'est passé sur ce film m'a coûté tellement cher... Malgré tous les prix, tous les honneurs qui me sont revenus, jamais plus un traumatisme comme celui-là, même pas... en cauchemar ! ». Avec Serge Gainsbourg, elle s'essaye à la chanson en 1974. Il lui fait enregistrer pour un show télévisé de Maritie et Gilbert Carpentier Rocking Chair. En 1983, elle réalise un album entier sous sa direction et se retrouve en tête des ventes de 45-tours avec Pull Marine, dont le vidéo-clip est réalisé par Luc Besson. Quelques années plus tard, elle sort un single, écrit sans Gainsbourg, La Princesse au petit pois, qui n'obtient qu'un succès très faible. Un album écrit et composé par Pascal Obispo était prévu pour l'année 2007 mais n'est finalement jamais sorti dans les bacs. Après Possession, elle obtient quatre autres Césars du meilleur premier rôle : en 1984, en 1989, en 1995 et en 2010. Ils ont distingué respectivement son interprétation d'Elle, la jeune femme mystérieuse et provocante de L'Été meurtrier; son incarnation de la sculptrice, sœur de l'écrivain Paul et maîtresse d'Auguste Rodin, Camille Claudel dans le film homonyme; sa prestation en truculente et passionnée Marguerite de Valois dans La Reine Margot et enfin son rôle de professeur de français fragile de Z.E.P., Sonia Bergerac, qui perd pied et prend sa classe en otage dans La Journée de la jupe. Elle a en outre aussi été nommée deux fois à l'Oscar de la meilleure actrice : en 1976 et en 1990 respectivement pour ses rôles d'Adèle Hugo dans L'histoire d'Adèle H. et de Camille Claudel dans le film éponyme qu'elle a par ailleurs produit. Lors de la réception du troisième César de sa carrière, elle fait sensation en lisant un passage du roman Les Versets sataniques de Salman Rushdie, alors victime d'une fatwa. isabelle Adjani à la 35e cérémonie des César en 2010. Après Camille Claudel en 1988, isabelle Adjani se fait plus rare sur les écrans. Elle ne retrouve les plateaux de cinéma qu'en 1993, pour les besoins du film Toxic Affair. Cette comédie, pour laquelle elle touche un cachet de 10 millions de francs, ce qui représente alors un record dans le cinéma français, est cependant un lourd échec public4. La Reine Margot lui offre l'année suivante le rôle principal dans un nouveau film de prestige. Diabolique, film tourné au États-Unis, ne rencontre pas les faveurs du public. Ses prestations à l'écran se raréfient à nouveau ensuite. Après quatre ans d'exil suisse, isabelle Adjani revient à Paris à l'automne 2000 pour jouer sur la scène du Théâtre Marigny La Dame aux camélias. En 2002, La Repentie, film écrit spécialement pour elle, est un échec commercial. En 2002, elle interprète la Comtesse Ellénore dans Adolphe de Benoît Jacquot, l'adaptation cinématographique du chef d'œuvre de Benjamin Constant. En 2003, elle devient une star de cinéma hystérique et mythomane, prise dans la débâcle de 1940 dans Bon voyage de Jean-Paul Rappeneau. Aucun de ses rôles ne lui permet cependant de retrouver le succès commercial des années 19804. isabelle Adjani fait un retour sur les planches du Marigny à l'automne 2006, pour incarner le rôle titre de la pièce de Wolfgang Hildesheimer: La Dernière nuit pour Marie Stuart, reine d'Écosse et de france, exécutée en 1587. Du 11 juin au 16 juillet 2007, elle tourne dans la région de Fontainebleau une nouvelle adaptation télévisée du Mariage de Figaro de Beaumarchais intitulée simplement Figaro et réalisée par Jacques Weber, où elle reprend le rôle de la comtesse Almaviva. Durant le printemps 2008 Adjani tourne dans un film pour Arte La Journée de la jupe où elle incarne une professeur de banlieue qui perd ses moyens et prend sa classe en otage. Ce film fait sensation au Festival de La Rochelle. Il est diffusé sur Arte le 20 mars 2009 en avant-première (record d'audience historique de la chaîne avec 2,2 millions de téléspectateurs), puis dans les salles de cinéma à partir du 25 mars 2009. Le César qu'elle reçoit pour ce film en 2010 fait d'elle la personnalité française la plus récompensée de la cérémonie (avec 5 statuettes gagnées sur 8 nominations).

michel blanc

Publié à 10:47 par fandeloup Tags : isabelle film vie
michel blanc

Michel Blanc, né le 16 avril 1952 à Courbevoie, est un acteur et réalisateur français longtemps spécialisé dans les rôles d'hypocondriaques râleurs ou de dragueurs maladroits.Michel Blanc rencontre au lycée Pasteur de Neuilly-sur-Seine ses futurs partenaires de comédie : Thierry Lhermitte, Christian Clavier, Gérard Jugnot. Ils forment ensemble la troupe du Splendid et jouent avec succès des sketches de café-théâtre et des pièces qu'ils écrivent eux-mêmes, notamment Amours, coquillages et crustacés (devenu le film Les Bronzés), Bunny's Bar et Le Père Noël est une ordure. Longtemps cantonné aux comédies, Michel Blanc se risque à interpréter un personnage sombre et ambigu dans Monsieur Hire (1989) avant de se glisser dans la peau d'un communiste épurateur dans Uranus (1990) et surtout en homosexuel dans Tenue de soirée de Bertrand Blier (1986). Passant derrière la caméra, il réalise Marche à l'ombre en 1984. Dans les années 1990, il se consacre au théâtre et réalise deux films : Grosse fatigue (1994) dans lequel il se fait "voler" sa vie par son sosie et Mauvaise passe (1999), un film de mœurs sombre avec Daniel Auteuil qui traduit son humeur du moment. Sa dernière apparition au cinéma remonte à 1996 avec le film Les Grands Ducs de Patrice Leconte. Après Monsieur Hire, le réalisateur des Bronzés lui offre le rôle mineur d'un producteur véreux1. Michel Blanc vit mal le tournage de cette comédie2 et, pour couronner le tout, le film est un échec commercial. C'est en 2002, qu'il renoue avec le succès en tant que réalisateur et acteur avec le long-métrage Embrassez qui vous voudrez dans lequel il s'offre un rôle sur-mesure3 et trouve deux rôles dramatiques importants à la télévision en 2003 et 2004. Sa carrière de comédien au cinéma trouve un second souffle à partir de 2005 avec un succès public dans le premier film d'Isabelle Mergault Je vous trouve très beau. Suivent les retrouvailles avec les Bronzés et le personnage de Jean-Claude Dusse (plus de 10 millions d'entrées) et, entre autres, deux films d'André Téchiné.

michel serrault

michel serrault

Michel Lucien Serrault est un acteur français né le 24 janvier 1928 à Brunoy (Essonne) et mort le 29 juillet 2007 à Équemauville (Calvados). Marié le 27 janvier 1958 avec Juanita Saint-Peyron, qu'il avait rencontrée au conservatoire Maubel à Paris alors qu'il prenait des cours de comédie, avec pour témoins Jean Poiret et Françoise Dorin, Michel Serrault a eu deux filles : Caroline morte accidentellement en 1977, âgée de 19 ans, et Nathalie. Juanita, dite Nita, morte le 15 novembre 2008, aura été jusqu'à la fin l'amour de sa vie. C'était un des acteurs les plus populaires et atypiques de sa génération1, apprécié aussi bien par l'intelligentsia que par le grand public pour s'être coulé avec aisance et authenticité, tout au long d'une carrière forte de cent trente-cinq longs métrages, dans des rôles très différents et originaux: du boulevard (La Cage aux folles), de la comédie absurde ou délirante (Buffet froid, Le Miraculé, Rien ne va plus) à un registre plus sombre (Garde à vue, Les Fantômes du chapelier, Mortelle randonnée, Docteur Petiot) en passant par une palette d'interprétations dramatiques nuancées (Nelly et Monsieur Arnaud, Le Monde de Marty). Il est le seul comédien à avoir obtenu le César du meilleur acteur à trois reprises. Entré à 14 ans au petit séminaire de Conflans à Charenton-le-Pont, il souhaite devenir prêtre et proclame avoir deux passions : « faire rire et m'occuper de dieu ». C'est le père Van Hamme qui l'oriente alors vers son métier de comédien. Michel Serrault dira plus tard qu'il n'aurait pas aimé le vœu de chasteté. Dans les années 1950 et 1960, il fait les belles heures des cabarets parisiens en duo avec Jean Poiret, qu'il rencontre en 1952. Il fait alors également partie de la troupe de Branquignols. Il débute au cinéma par un petit rôle dans Les Diaboliques (1955) d’Henri-Georges Clouzot, puis avec les Branquignols dans Ah ! les belles bacchantes. Il participera à leurs nombreux autres films. Il se lance dans une longue aventure dans le film comique : Assassins et Voleurs (1957) de Sacha Guitry, avec Jean Poiret, Le Viager (1972) de Pierre Tchernia, qui le fera jouer dans plusieurs autres films, où il a pour partenaire Michel Galabru, avec lequel il participera à un grand nombre de films comme Les Gaspards, Room service. Il tourne aussi avec Louis de Funès, alors encore peu connu : Nous irons à Deauville, Des pissenlits par la racine, Carambolages, ou encore avec Jean Lefebvre et Bernard Blier : Quand passent les faisans (1965), Le Fou du labo 4 (1967), C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule (1974). Figure du théâtre de boulevard, avec ses rôles dans des pièces télévisées de Au théâtre ce soir, il triomphe en 1973 dans le rôle de l'excentrique travesti « Zaza Napoli » de La Cage aux folles, qu’il rejouera plus tard avec un succès international3 dans ses adaptations au cinéma et dont le premier opus lui vaut le César du meilleur acteur en 1979. Puis arrive L'Ibis rouge (1975) de Jean-Pierre Mocky avec Michel Simon. C'est un grand ami du cinéaste avec lequel il tourne un grand nombre de films dont le plus gros succès reste Le Miraculé (1987) où il joue pour la dernière fois avec son vieil ami Jean Poiret et donne la réplique à Jeanne Moreau qu'il retrouve pour un autre face à face truculent dans La Vieille qui marchait dans la mer (d'après Frédéric Dard) de Laurent Heynemann en 1991. Il reviendra à la comédie incisive avec Rien ne va plus (1997) de Claude Chabrol où il forme avec isabelle Huppert un couple d'arnaqueurs à la petite semaine pris dans les mailles du filet d'un parrain des Antilles interprété par Jean-François Balmer. Serrault a également servi le comique grinçant, absurde et ubuesque de Bertrand Blier en l'espace de trois collaborations: Préparez vos mouchoirs (1978), Buffet froid (1979) et Les Acteurs (2000) : dans ce dernier, comme le reste de la prestigieuse distribution, il interprète son propre rôle. L’adaptation de la pièce La Cage aux folles au cinéma étant un succès international, il est un des rares acteurs français à pouvoir se permettre de tourner à la fois dans de grosses productions mais aussi des films d’art et essai, souvent moins grand public. En 1977, il perd sa fille Caroline (alors âgée de 19 ans) dans un accident de la route à Neuilly-sur-Seine. Nita et leur fille cadette ne surmonteront jamais vraiment cette tragédie. Ce drame familial est parallèle à un changement de cap artistique : c'est désormais dans des rôles dramatiques que l'acteur va exceller, soulevant parfois au passage de vives polémiques comme en 1997 lors de la présentation à Cannes d'Assassin(s) de Mathieu Kassovitz. Après l'obtention d'un deuxième César pour Garde à vue (1981) de Claude Miller, où il campe un notaire cynique et équivoque, soupçonné d'être l'auteur d'un double viol et homicide sur mineures, son dialoguiste Michel Audiard déclare à son sujet : « il est le plus grand acteur du monde ». Ce huis-clos policier où il se confronte à Lino Ventura marque sans conteste un grand tournant dans sa carrière puisque s'ouvre devant lui la porte d'interprétations plus ténébreuses : il apparaît en 1982 au côté de Charles Aznavour en petit commerçant provincial voué aux meurtres de vieilles dames dans Les Fantômes du chapelier de Claude Chabrol (adapté de Georges Simenon) ou devient, dans Mortelle randonnée (1983) de Claude Miller, un père qui croit reconnaître sa fille disparue en la personne d'une jeune meurtrière (interprétée par isabelle Adjani) qu'il suit et dont il efface les traces laissées sur les scènes de crime. Il affronte ensuite, paralysé et aphone, sa bru adultère campée par Nathalie Baye dans En toute innocence (1988) d'Alain Jessua et endosse, pour Christian de Chalonge, les oripeaux du criminel de guerre Marcel Petiot dans Docteur Petiot (1990). C'était par ailleurs ce réalisateur qui avait révélé ses capacités à endosser des rôles ambigüs avec L'Argent des autres en 1978 où il était un inquiétant banquier. En 1995, Nelly et Monsieur Arnaud, le film testament de Claude Sautet, est une autre étape décisive pour Serrault puisqu'il y fait preuve d'une nuance dramatique qu'il avait peu manifestée auparavant. Il y interprète un militaire retraité, désenchanté, solitaire et mélancolique, sollicitant les services d'une jeune femme délaissée (jouée par Emmanuelle Béart) pour rédiger ses mémoires. Sa prestation est unanimement reconnue comme sa composition la plus aboutie. Elle lui permet de remporter un ultime César en 1996. En 1999 dans Le Monde de Marty de Denis Bardiau, il tient le rôle d'un vieillard muet et paralysé, atteint de la maladie d'Alzheimer mais dont la voix commente en off les récits de son amitié naissante avec un jeune garçon souffrant de leucémie. Michel Serrault en 2003 à l'émission Le Fou du roi À la fin de sa vie, l'acteur jouait plutôt des rôles de « pépé » campagnard à la française, bougon, un peu rustre, mais avec un grand cœur, comme dans Les enfants du marais (1999) de Jean Becker, avec Jacques Villeret et Jacques Gamblin, Une hirondelle a fait le printemps (2001) de Christian Carion, Le papillon (2002) de Philippe Muyl, Albert est méchant (2003) ou Les enfants du pays de Pierre Javaux. Peu de temps avant sa mort, on a pu le voir aux obsèques de Jean-Claude Brialy, à Paris. Il mettait également la dernière main à un ouvrage dans lequel il souhaitait raconter ses souvenirs, en se retournant sur sa carrière exceptionnelle. Cet ouvrage, qui s'intitule À bientôt, est paru le 12 novembre 2007 chez Oh! Editions. Il envisageait aussi de porter à l'écran la vie de monsieur Pouget, prêtre de Paris que nombre de personnes illustres consultaient pour sa vaste science et ses conseils. Michel Serrault rêvait d'interpréter un jour la vie de ce prêtre qu'il admirait beaucoup. Il est mort chez lui, à Équemauville, le 29 juillet 2007, à l’âge de 79 ans, des suites d’un cancer, un jour avant Ingmar Bergman et Michelangelo Antonioni. Le 2 août 2007, de nombreux amis du monde du cinéma et quelques représentants officiels ont assisté à ses obsèques en l'église Sainte-Catherine de Honfleur. Il est inhumé au cimetière Sainte-Catherine de Honfleur, et sa dépouille est transférée en 2009 au cimetière de Neuilly auprès de son épouse et de l'une de ses filles. Il a écrit trois ans avant sa mort une œuvre autobiographique : Vous avez dit Serrault ?, et un journal : Les Pieds dans le plat !, dans lequel il fait part des remarques, pensées et critiques qui s'offrent à son regard de comédien et à son cœur de chrétien. Dans son autobiographie, il a expliqué combien la foi chrétienne avait marqué son existence et donné un sens à sa vie.

irene jacob

Publié à 10:28 par fandeloup Tags : actrice amour france fille film bleu bande vie enfants
irene jacob

Irène Jacob, est une actrice française née le 15 juillet 1966 à Paris, en france.Née à Paris, Irène Jacob, fille du physicien Maurice Jacob, passe son enfance à Genève, où ses parents s'installent alors qu'elle n'a que trois ans. Passionnée par le théâtre, elle revient à Paris en 1984, l'année de ses 18 ans. Elle doit sa première apparition au cinéma à Louis Malle qui lui confie le rôle d'une professeur de piano pour quelques scènes du film Au revoir les enfants en 1987. L'année suivante, Jacques Rivette la retient pour un petit rôle dans La bande des quatre. En 1991, elle incarne l'héroïne de La Double vie de Véronique de Krzysztof Kieslowski. Pour ce rôle, elle obtient le prix d'interprétation féminine à Cannes. Elle a alors 24 ans. En 1993, le réalisateur polonais lui confie le premier rôle féminin de Rouge, le dernier volet de Trois couleurs. Elle y donne la réplique à Jean-Louis Trintignant et y côtoie Juliette Binoche et Julie Delpy, les héroïnes de bleu et Blanc, dans la scène finale. Malgré la reconnaissance de la critique, son début de carrière est consacré à des films confidentiels. Polyglotte, Irène Jacob se construit, dans un second temps, une carrière internationale. C'est ainsi qu'elle joue sous la direction de Michelangelo Antonioni et Wim Wenders dans Par-delà les nuages en 1995, et obtient un rôle dans U.S. Marshals aux côtés de Tommy Lee Jones et Wesley Snipes. L'année suivante, elle apparait, sportive et sexy portant un pantalon de cuir noir, dans un film d'espionnage finlandais Spygames en jeune et ambitieuse recrue du KGB. Par ailleurs, elle n'oublie pas le théâtre où elle concrétise quelques projets. Sa filmographie est très éclectique allant du drame à la comédie en passant par les films d'action, sous la caméra de réalisateurs de toute nationalité, reconnus ou confidentiels. Parallèlement à sa carrière de comédienne, elle a également chanté en duo avec - entre autres - Vincent Delerm et avec l’Orchestre National de Jazz. Irène Jacob est également la voix française de l'attraction Studio Tram Tour à Disneyland Paris. Irène prépare la sortie de son album “Je sais nager” - composé avec son frère Francis Jacob, guitariste de jazz. Le chanteur Jean-Luc Le Ténia lui a dédié une chanson intitulée: "Irène Jacob", sur son album: "l'amour et/ou la poésie".

jean pierre leaud

Publié à 10:25 par fandeloup Tags : humour amour chez homme film enfant
jean pierre leaud

Jean-Pierre Léaud est un acteur français, né le 5 mai 1944 à Paris.Il est le fils de la comédienne Jacqueline Pierreux et du scénariste Pierre Léaud. Il est révélé dès son premier film, François Truffaut lui confiant le rôle du héros turbulent dans Les Quatre Cents Coups, son premier long métrage autobiographique. Truffaut l'a choisi malgré son âge (il a 14 ans pour le rôle d'un enfant de 12) après test filmé avec cent autres candidats. Jean-Pierre s'y révèle stupéfiant de spontanéité et de liberté dans l'improvisation et est choisi. Suite à ce film, il fera sensation au festival de Cannes 1959 et Jean Cocteau, son président d'honneur, l'engagera aussitôt pour Le Testament d'Orphée. François Truffaut le réengage à de nombreuses reprises et lui fait endosser de nouveau le rôle d'Antoine Doinel dans Baisers volés (1968), où il tombe amoureux de Christine Darbon alias Claude Jade, son épouse dans les derniers volets d'Antoine Doinel, Domicile conjugal (1970) et L'Amour en fuite (1979). Grâce à lui, Jean-Pierre fait la connaissance d'autres ténors du cinéma et devient, à l'instar de Jean-Paul Belmondo, un acteur fétiche de la Nouvelle Vague. Ainsi Jean-Luc Godard l'engagera pour des rôles plus ou moins importants dans la plupart de ses films entre 1965 et 1969, il est particulièrement visible dans Masculin, féminin (1966) et La Chinoise (1967). Durant cette période il est également assistant réalisateur sur plusieurs films de Truffaut et Godard. Il tournera son premier et unique film en 1974. Sa carrière trouve son aboutissement avec le film de Jean Eustache intitulé La Maman et la Putain, en 1972. En 1985, il tourne en particulier dans Détective, toujours de Godard, en arrière-plan du couple vedette Johnny Hallyday et Nathalie Baye, dans un second rôle marquant de privé fouineur. À la même période, il se concentre, dans des compositions assez agitées, sur un cinéma d'auteur exigeant et confidentiel et fait également beaucoup de fictions télévisées. Malgré quelques seconds rôles intéressants, sa carrière ne reprend réellement un second souffle qu'à partir de 1990. Le Finlandais Aki Kaurismäki, spécialiste de l'humour distancié et de l'expression minimale, en est le premier artisan en lui offrant un très beau rôle dans J'ai engagé un tueur. Il y joue un homme désespéré qui voit échouer plusieurs tentatives de suicide et paye un spécialiste afin qu'il le supprime, avant de changer d'avis en rencontrant l'amour. Sa distance et sa « non-incarnation » y font merveille, et Jean-Pierre Léaud retrouve après une certaine éclipse de vrais grands rôles, notamment chez Philippe Garrel, ou grâce à de jeunes cinéastes. Olivier Assayas fait de lui un père désorienté dont la compagne part avec son fils, dans Paris s'éveille (1991), et Bertrand Bonello lui offre le rôle d'un réalisateur pornographique désabusé dans Le Pornographe (2001, prix de la Semaine internationale de la critique).

edouard baer

Publié à 10:11 par fandeloup Tags : contemporain 2010 france cadre film divers anime isabelle actrice
edouard baer

Édouard Baer (1er décembre 1966, Paris) est un acteur, réalisateur, producteur, scénariste, auteur de pièces de théâtre et animateur de radio et de télévision français.Édouard Baer grandit à Paris, et étudie notamment au Collège Stanislas de Paris. Il est le frère du chanteur Julien Baer. Son don pour la comédie se manifeste très tôt. À 18 ans, il s'inscrit au cours Florent, où il est l'élève de l'actrice et metteur en scène isabelle Nanty, dont il devient l'assistant. Il rencontre Ariel Wizman puis, en 1992, ils commencent à animer ensemble La Grosse Boule, émission diffusée sur Radio Nova jusqu’en 1997. Après un détour par Canal Jimmy pour l’émission Nonante en 1993, ils se font remarquer par Alain de Greef et animent, en 1994, leur propre émission sur la chaîne cryptée : « À la rencontre de divers aspects du monde contemporain ayant pour point commun leur illustration sur support visuel ». Puis Édouard Baer continue seul sur Canal +, et anime la rubrique Centre de visionnage, ovni télévisuel de 3 minutes diffusé quotidiennement à l’issue de l'émission Nulle part ailleurs de 1997 à 1999. En 2000, il écrit et réalise son premier film La Bostella, dont il tient le rôle principal. En 2004, il écrit et réalise Akoibon, où il partage l’affiche avec Jean Rochefort. Il est le maître de cérémonie des festivals de Cannes 2008 et 2009. Le lundi 2 août 2010, sa pièce de théâtre Miam Miam est diffusée en direct sur france 2, dans le cadre du festival de Ramatuelle. En 2010, il chante en duo sur Le Miroir de l'album de Babet, Piano Monstre. En 2011, il est choisi pour incarner Asterix dans "God Save Britannia" dont la sortie est prévue en 2012.

emilie duquenne

Publié à 10:05 par fandeloup
emilie duquenne

Émilie Dequenne est une actrice belge née le 29 août 1981 à Belœil (province de Hainaut, Belgique).En 1989, elle intègre l'académie de Musique de Baudour et suit des cours de diction et de déclamation. En 1993, à l'âge de douze ans, elle prend en plus les cours de l'atelier théatral de l'académie, et rejoint aussi la troupe de théâtre amateur "La relève" de Ladeuze. Elle termine ses humanités en 1998. Elle décroche son tout premier rôle à 18 ans dans Rosetta des frères Dardenne qui lui vaut le Prix d'interprétation féminine à Cannes.

jean becker

Publié à 09:46 par fandeloup
jean becker

Jean Becker est un réalisateur, acteur et scénariste français, né le 10 mai 1933 à Paris.Frère d’Étienne Becker et de Sophie Becker épouse de Pierre Vaneck, il est aussi le fils du réalisateur Jacques Becker. Jean Becker débute sa carrière en tant que stagiaire dans le film de son père, Touchez pas au grisbi en 1953, film qui contribua à relancer la carrière de Jean Gabin. Il resta assistant-réalisateur des films de Jacques Becker pour Montparnasse 19 (1958) et Le Trou (1959). Il fut aussi assistant-réalisateur pour Julien Duvivier et Henri Verneuil. Son père meurt juste après avoir fini Le Trou et Jean Becker se lance dans l’aventure de la réalisation avec Un nommé La Rocca avec Jean-Paul Belmondo (1961), qu’il emploiera dans Échappement libre et Tendre voyou. Ces films obtiendront des succès commerciaux. Après avoir réalisé les épisodes de la série télévisée à succès Les Saintes Chéries et Pas de caviar pour tante Olga, incursion inattendue dans le comique farfelu, il fait une pause de près de vingt ans avant de revenir derrière la caméra pour réaliser L’Été meurtrier avec Isabelle Adjani et Alain Souchon (1983). Le film obtient un énorme succès et se voit nommé au Festival de Cannes pour la palme d’or et aux Césars. En 1986, il obtient le César du meilleur film publicitaire pour Le Clemenceau. Depuis le succès public et critique d’Élisa avec Vanessa Paradis et Gérard Depardieu, Becker tourne régulièrement avec les mêmes acteurs, entre autres, Jacques Villeret, Suzanne Flon et André Dussollier pour les succès Les Enfants du marais (avec Michel Serrault), Un crime au paradis (avec Josiane Balasko), inspiré du film La Poison de Sacha Guitry, et Effroyables jardins (avec Thierry Lhermitte et Benoît Magimel) d’après le livre éponyme de Michel Quint. Il a fait tourner Daniel Auteuil et Jean-Pierre Darroussin dans Dialogue avec mon jardinier, sorti en 2007. Puis c’est au tour d’Albert Dupontel de tenir le rôle principal de Deux jours à tuer où il partage l’affiche avec Marie-Josée Croze et Pierre Vaneck. En septembre 2009, il tourne La Tête en friche, dans sa patrie de Charente-Maritime, avec Gérard Depardieu et Gisèle Casadesus. Il est le Président d'honneur de Un réalisateur dans la ville, en 2010 à Nîmes, festival parrainé par Carole Bouquet et Gérard Depardieu.

martin lamotte

Publié à 02:28 par fandeloup Tags : femme vie amis
martin lamotte

Martin Lamotta (né le 2 juin 1947 à Paris) est un acteur, scénariste et réalisateur français.Après une formation auprès de Tania Balachova, il rejoint la troupe du Café de la Gare au début des années 1970 aux côtés de Patrick Dewaere, Coluche, Miou-Miou, Henri Guybet et Romain Bouteille entre autres. ll obtient son premier rôle au cinéma dans L'an 01, aux côtés de ses camarades. Il fonde le Théâtre de la Veuve Pichard avec Christine Dejoux. Devenu très ami avec Coluche, ce dernier lui permettra de tourner à ses côtés dans L'Aile ou la Cuisse, Inspecteur la bavure et Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine, qu'il réalise lui-même. Par la suite, il décide de se détacher du comique et se lance dans la mise en scène avant de rejoindre la trouple du Splendid, avec laquelle il connaîtra ses plus gros succès, notamment avec Les Bronzés, Le Père Noël est une ordure, Papy fait de la résistance et Les Bronzés 3 : amis pour la vie Il devient dès lors l'un des seconds rôles les plus sollicités et tourne avec les plus grands noms : Claude Zidi, Philippe de Broca, Jean-Marie Poiré, Claude Lelouch ou encore Gérard Oury. On se souviendra de son apparition remarquée, aux côtés d'Alain Souchon dans L'Été meurtrier mais la comédie reste sa principale source de rôles. On peut citer parmi ses rôles remarquables : – Paul Berthellot dans Les Hommes préfèrent les grosses ; – Guy-Hubert Bourdelle, dit Super Résistant dans Papy fait de la résistance ; – Boris Pikov dans Twist again à Moscou ; – Victor Toulis dans Après la guerre ; – le comte de la Blache dans Beaumarchais, l'insolent ; – Gilles dans Les Babas Cool. ; – Bonnaventure dans Sœur Thérèse.com. Il passe derrière la caméra en 1998 avec Ça reste entre nous, qui sera un succès. Il se marie avec Karine Belly en 2002. Depuis les années 2000, il ne fait que de brèves apparitions dans les films, parmi lesquels Ma femme s'appelle Maurice ou plus récemment Erreur de la banque en votre faveur. Mais il est désormais reconnu pour son personnage de l'inspecteur Bonaventure dans la série télévisée Sœur Thérèse.com, aux côtés de Dominique Lavanant, rôle qu'il a tenu à partir de 2002 et jusqu'à la fin de la série, en mars 2011.