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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Le Liban prévient la France: imminence d’un attentat « plus violent » que celui de Charlie Hebdo HEBDO-IDENTITES
Les Renseignements libanais ont alerté les autorités françaises de l’imminence d’un attentat « plus violent » que Charlie Hebdo, rapporte le quotidien libanais as-Safir dans son édition de vendredi.
Selon le journal libanais, « des préparatifs sont en cours pour une nouvelle opération terroriste sur le sol français, qui pourrait être plus violente que celle contre Charlie Hebdo ».
as-Safir indique également que les services de renseignements libanais et syriens ont mis en garde, durant les derniers mois, les autorités européennes contre le risque d’attentats spectaculaires sur le sol français.
Une femme de 24 ans met un enfant au monde et ce qu’elle tente de lui faire est horrible!
Âgée de 24, une femme, nommée Li Zhenghua, a commis une chose complètement horrible!
C’est une infirmière qui a fait la tragique découverte en faisant une ronde de sécurité, elle est tombée sur la femme avec sa mâchoire plantée dans le bras du bébé qu’elle venait de mettre au monde quelques jours auparavant.
Elle a rapidement déclenché l’alarme pour signaler qu’il y avait un urgent problème dans cette chambre, des médecins se sont rendus dans la chambre afin de déloger le pauvre bébé.
Ils lui ont rapidement administré des sédatifs afin de la calmer.
Crise des complémentaires : le Medef veut retarder la retraite à 67 ans
Le régime de retraite complémentaire spécifique des cadres , en grave difficulté financière, vit peut-être ses dernières années.
Le Parisien
Le régime de retraite complémentaire spécifique des cadres, en grave difficulté financière, vit peut-être ses dernières années. Face aux menaces qui pèsent sur le régime des retraites complémentaires, le patronat dévoile ses batteries avant une séance de négociation avec les syndicats prévue mercredi. La petite bombe a été lachée avant le week-end de la Pentecôte.
Le patronat a bouclé ses nouvelles propositions pour sauver les régimes de retraite complémentaire Agirc-Arrco et elles ne sont pas moins audacieuses ou provocantes, selon le point de vue, que les dernières. L'échéance approche. Une séance de négociation avec les syndicats est prévue mercredi.
Au menu du plan d'action patronal : décote sur les pensions pour les départs avant 67 ans, réversions plus tardives et fin de la caisse des cadres…
Révélée vendredi par le quotidien «L'Opinion», cette liste de mesures drastiques pour renflouer les caisses formulées par le Medef, la CGPME et l'UPA devait être transmise dans la journée aux syndicats. L'Agirc (caisse des cadres) et l'Arrco (celle de tous les salariés du privé) sont en graves difficultés financières.
Face aux menaces qui pèsent sur le régime des retraites complémentaires, les partenaires sociaux disposent de trois leviers d'action pour empêcher l'épuisement des réserves de l'Agirc, prévu pour 2018, et celle de l'Arrco d'ici à 2027 : l'âge de départ à la retraite, les cotisations et les pensions.
Anti-gaspillage alimentaire : zoom sur des initiatives intelligentes
À l'unanimité, l'Assemblée nationale a voté jeudi soir des mesures contre le gaspillage alimentaire de la grande distribution. Certains Français n'ont pas attendu que les députés se décident.
Des applications pour mobiles permettent aujourd'hui de bien gérer ses stocks alimentaires. Des applications pour mobiles permettent aujourd'hui de bien gérer ses stocks alimentaires.
Si les grandes surfaces sont de grandes championnes du gaspillage, il en va souvent de même à la maison. Le gaspillage alimentaire représente 20 à 30 kilos de produits jetés par an et par foyer.
De nombreuses actions de sensibilisation et de communication sont menées aujourd'hui dans le monde.
Parmi elles, des opérations comme celle des «Gueules cassées», sur une idée des producteurs de fruits et légumes, des cantines de mieux en mieux gérées, une multiplication des «doggy bags» dans les restaurants ou encore des frigos en libre-service à Berlin.
Tour d'horizon de ces initiatives parfois étonnantes mais très utiles. L'opération « Gueules cassées » La chaîne de grande distribution Intermarché avait la première trouvé le bon filon (y compris marketing) pour lutter contre une partie du gâchis alimentaire dans ses rayons primeurs : mettre en vedette, avec humour, les fruits et légumes difformes.
Ainsi, les producteurs français ont lancé le label des «Gueules cassées» pour promouvoir leurs pommes de terre aux formes biscornues, leurs carottes à deux jambes, leurs tomates dissymétriques et autres fruits et légumes à la forme altérée, qui n'arrivent jamais sur nos étals, mais sont pourtant parfaitement consommables.
Avec une campagne de communication ludique et innovante, des spots TV qui font sourire et attirent l'attention des ménages, l'opération encourage à acheter ces fruits et légumes moches, vendus à prix discount. 300 points de vente partenaires soutiennent les «moins jolis et pourtant exquis».
L'opération a depuis été adoptée par les magasins Leclerc, Auchan et Monoprix. Le spot Intermarché « Les Fruits et Légumes Moches » : « La carotte démotivée » Des cantines « Zéro Gaspi » On a souvent les « yeux plus gros que le ventre ».
Mille et un repas, l'entreprise de restauration scolaire, l'a bien compris et a récemment fait la promotion d'une nouvelle organisation des repas limitant le gaspillage alimentaire souvent engendré par l'abondance de choix et les quantités copieuses proposées dans les selfs scolaires.
Le principe ?
L'élève se sert d'abord une entrée, à volonté, puis revient se servir un plat chaud, dont l'accompagnement est aussi à volonté. L'intérêt de ce système est évident : non seulement chacun mange à sa faim, mais en plus le plat reste toujours chaud.
En contrepartie, les jeunes participants s'engagent à ne rien laisser dans leurs assiettes. Avec cette initiative, les restes ont pu passer de 167 grammes par repas (la moyenne nationale) à moins de 10 grammes.
C'est toujours ça de gagné ! Des frigos en libre service à Berlin Lebensmittelretten, une association allemande, a proposé récemment aux Berlinois de la nourriture gratuite dans toute la capitale via une dizaine de réfrigérateurs mis à disposition dans les rues, pour y déposer des denrées ou pour en prendre.
Le succès a été au rendez-vous : l'association a récupéré plus de produits qu’espéré, notamment grâce aux commerçants qui se sont volontiers prêtés au jeu en déposant leurs invendus. Non seulement yaourts, viandes et autres denrées périssables sont mis à disposition de personnes dans le besoin, mais en plus les Berlinois peuvent ainsi se figurer les quantités astronomiques d'ordinaire gaspillées.
Instructif et malin, lorsqu'on sait qu'en France, prendre de la nourriture (même périmée) dans une poubelle est considéré comme un vol. Le pain gaspillé en vitrine Début avril, Sodexo, un des acteurs de la restauration collective, a lancé sa troisième édition de l'opération « Moins de miettes, c'est plus d'assiettes ! »
Ainsi, deux semaines par an depuis 2012, le restaurateur récupère le pain laissé sur chaque plateau à la fin du repas, et l'expose dans des sacs transparents le lendemain. La semaine suivante, l'opération est renouvelée.
La quantité de pain économisée entre les deux ramassages est ensuite redistribuée aux Restos du Cœur sous forme de dons de repas (à savoir : un sac économisé équivaut à deux repas offerts).
Des applications intelligentes
Afin de parvenir à réduire le gaspillage à l’échelle d’un foyer, une start-up a eu l’idée de créer un moteur de recherche participatif : Gaspifinder, outil qui se présente comme un moteur de recherche classique (pour tablettes et ordinateurs jusqu’à présent), dans lequel il suffit de taper le code-barres du produit recherché et qui permet de savoir précisément comment interpréter sa date de péremption. Relativement fastidieux au départ mais infaillible.
Vous avez accès à une fiche du produit, complétée par les internautes, avec un encadré sur les conseils de consommation, que le produit soit entamé ou intact. En bas de la page, une partie est réservée aux avis et astuces.
Le site, participatif, permet aux consommateurs d’échanger des commentaires. Dans le même esprit, Checkfood, une application gratuite dont la devise est « je mange, je donne, je ne jette plus » alerte sur la date de péremption des produits qu’il suffit de scanner au moment où on les range dans son frigo ou ses placards.
Ainsi, l'état de ses stocks est géré en temps réel, les alertes s’affichent sur le téléphone pour penser à consommer ou distribuer boîtes de conserves et produits frais.
En l'état, les Français jettent environ 13% des denrées qu’ils achètent. De festives « Disco Soupe » Conçus pour valoriser les denrées alimentaires jetées, depuis 2012, les événements «Disco Soupe» sont régulièrement organisés pour sensibiliser au gaspillage.
Le concept est simple : cuisiner des fruits et légumes au rebut ou invendus dans une ambiance musicale et très festive. Les soupes, salades ou smoothies ainsi confectionnés sont ensuite redistribués gratuitement ou à prix libre.
Un succès fulgurant puisque 180 Disco Soupes ont été organisés dans 86 villes et 10 pays différents. Ce sont pas moins de 25 tonnes de fruits et légumes qui ont échappé à la benne.
Des ateliers de chef pour cuisiner les restes C'est encore dans la capitale que se trouve la plus simple, voire ancestrale, des solutions anti-gaspi. A Paris, il existe plusieurs organismes et associations dont celle de Salé Sucré dans le 11e arrondissement, qui propose des cours de cuisine à tester en famille.
Des chefs vous font cuisiner des recettes réalisées à 100% avec des restes : croquettes apéritives, tempuras d'épluchures, mousses de fruits très mûrs, rouleaux de printemps revisités... autant de recettes astucieuses et originales.
Renseignez-vous dans votre mairie, d'autres ateliers sont en effet organisés à travers toute la France, en Loire-Atlantique, dans le Nord-Pas-de-Calais ou encore dans les Hauts-de-Seine. Enfin, à Sarcelles, un grand concours annuel de recettes réalisées à partir de restes de repas remporte un grand succès.
Un Top Chef responsable, en somme. Une redistribution intelligente Le chaînon manquant, association créée en 2014 et installée à Paris, récupère les restes alimentaires des grandes distributions, des restaurants, et traiteurs, et les redistribue aux associations comme les Restos du Cœur, Aurore, la Mie de Pain, ou encore Emmaüs.
L'équipe, formée d'une quinzaine de bénévoles, sillonne les rues de Paris, avec une camionnette électrique, le mercredi et le vendredi, pour collecter les produits alimentaires mis de côté par les professionnels de l'alimentaire afin de les distribuer aux associations.
Il redouble sa classe, son papa l'oblige à détruire tous ces jeux vidéo
On voit un gamin, forcé à détruire tous ses jeux vidéos avec une massue. Il n'a pas pu valider son année alors son père a trouvé le moyen de le punir.
Certains diront que c'est très radical comme punition, par contre d'autres ont trouvé que c'est un bon moyen s'il veut à nouveau ces jeux va falloir travailler dur et une fois qu'il les aura à nouveau, il saura les préserver
Épidémie de médicaments retirés d'urgence
Selon plusieurs experts, les problèmes de qualité ont bondi depuis que les sociétés pharmaceutiques fabriquent leurs médicaments à moindre coût, dans des pays en voie de développement, comme l'Inde.
Un approvisionnement plus sûr des médicaments réclamé par les pharmaciens
La Presse Le nombre de médicaments retirés de toute urgence du marché canadien a quadruplé en huit ans, selon des données obtenues par
La Presse en vertu de la Loi sur l'accès à l'information. À tel point qu'un rappel urgent - fait pour éviter de graves conséquences, voire la mort de patients - survient maintenant chaque semaine, en moyenne.
Mais le mystère plane au sujet du nombre d'inspecteurs à l'oeuvre. Le nombre de médicaments retirés de toute urgence... (
Et si vos somnifères, vos anxiolytiques ou vos comprimés antidouleur étaient plus concentrés qu'ils ne le devraient, au point de pouvoir provoquer un arrêt cardiaque ?
Et si, en croyant prendre votre antibiotique, vous avaliez en fait un puissant sédatif ?
Et si votre flacon d'antidépresseurs contenait un antibiotique auquel certaines personnes sont mortellement allergiques ?
Parce qu'ils risquaient d'entraîner ces « conséquences indésirables graves pour la santé, voire la mort », tous ces médicaments ont dû être retirés de toute urgence du marché canadien au cours des dernières années.
Le nombre de cas du genre a même quadruplé, selon des données obtenues par La Presse en vertu de la Loi sur l'accès à l'information. En 2013, les rappels de médicaments urgents, dits de type I, se sont grosso modo produits au moins une fois par semaine, contre moins d'une fois par mois en 2006.
Dans l'intervalle, le nombre total de médicaments retirés de la circulation - sans être chaque fois ultra-risqués - a doublé. Tout comme les « incidents » relatifs à des médicaments soupçonnés d'être défectueux ou dangereux.
Des problèmes sont maintenant rapportés deux ou trois fois par jour au ministère fédéral de la Santé (par ses propres inspecteurs, des professionnels de la santé, les fabricants eux-mêmes ou le public). «Préoccupant» « Avant, les rappels de type I étaient rarissimes.
Les professionnels de la santé sentent très bien la hausse. C'est préoccupant », affirme Jean-François Bussières, président du comité des pharmaciens du plus grand groupe d'achat de la province, Sigmasanté.
Les retraits visent souvent des médicaments en vente libre ou très souvent prescrits. Mais les remèdes qui servent à traiter des maladies graves ne sont pas épargnés.
En 2009, un solvant utilisé en chimiothérapie (la carmustine) était contaminé par des bactéries pouvant causer des septicémies et des méningites - ce qui aurait pu tuer des cancéreux au système immunitaire affaibli.
Trois ans plus tard, des fioles trop remplies du même produit auraient pu endommager les poumons, les reins ou le foie des malades. Jusqu'ici, la vigilance des professionnels a toujours permis d'éviter le pire.
En préparant un médicament pour un patient ou pour un médecin, les pharmaciens peuvent repérer à temps la présence éventuelle de particules (vitre, plastique, etc.) et sonner l'alarme, souligne Jean-François Bussières, qui est aussi chef du département de pharmacie à l'hôpital pour enfants Sainte-Justine.
Et en cas de surdoses ou de réactions allergiques - dues à la présence cachée du mauvais médicament - , « si ça se passe à l'hôpital, on va pouvoir réagir », dit-il.
Santé Canada est enfin alertée lorsqu'un médicament se révèle soudain inefficace (un possible indice de piètre qualité). Souvent, par les fabricants eux-mêmes, qui repèrent certains problèmes lors des tests de stabilité requis par la loi.
La course des prix
Mais pourquoi cette hausse fulgurante ? Selon plusieurs experts, les problèmes de qualité ont bondi depuis que les sociétés pharmaceutiques fabriquent leurs médicaments à moindre coût, dans des pays en voie de développement - comme l'Inde ou la Chine - , où elles reçoivent très rarement la visite d'inspecteurs.
Aujourd'hui, 25 % des usines d'où proviennent les médicaments importés ici sont situées dans des pays avec lesquels Santé Canada n'a aucune entente de reconnaissance mutuelle, ni même de collaboration, s'est inquiété l'automne dernier un comité sénatorial.
Autre explication possible : « Santé Canada a peut-être resserré les règles et les applique peut-être plus strictement », avance M. Bussières. Aux États-Unis, la Food and Drug Administration l'a fait et multiplie de façon encore plus spectaculaire les rappels de médicaments.
(Ceux-ci n'y ont pas simplement doublé, mais plutôt décuplé, pour atteindre 1225 en 2013.)
Submergés « Il y a tellement de rappels qu'on peut se demander comment les professionnels de la santé font pour absorber tout ça. Quand je les interroge au sujet des alertes, dans le cadre de mon travail de chercheur, ils en ont rarement eu connaissance », s'inquiète Alan Cassels, spécialiste de la politique des médicaments à l'Université de Victoria et auteur de Selling Sickness.
« À la longue, cela pourrait devenir un peu ingérable », confirme Jean-François Bussières, puisque les pharmaciens sont déjà ébranlés par des pénuries de plus en plus fréquentes.
« Quand on alerte Santé Canada au sujet d'un problème, on crée des ruptures presque instantanément. Il faut s'assurer que c'est bien la fabrication du médicament qui est en cause, parce que si on n'a plus rien pour soigner les patients, c'est parfois pire encore. »
« Tous les problèmes de qualité n'ont pas la même gravité. On reçoit aussi des avis pour une simple lettre manquante sur une étiquette. » Dans certains cas, l'industrie et Santé Canada ont par contre été bien trop lents.
Apotex, de Toronto, a mis 15 jours à aviser le Ministère que ses plaquettes de contraceptif Alysena 2 contenaient un placebo de trop. Santé Canada a attendu trois jours de plus pour alerter la population, au retour du long week-end de Pâques 2014.
Résultat : au moins une cinquantaine de grossesses involontaires, selon deux recours collectifs intentés en Ontario et en Alberta. Une division de Johnson & Johnson a pour sa part sciemment laissé sur le marché des médicaments pour enfants contenant des particules métalliques, et d'autres qui moisissaient après avoir été contaminés par une substance servant à traiter le bois.
En mars, sa première faute lui a valu une amende criminelle de 25 millions. Un système «robuste» « Les médicaments et les vaccins sauvent des vies », a commenté par courriel le porte-parole de l'association
Les Compagnies de recherche pharmaceutique du Canada. Et le Canada possède l'un des systèmes les plus robustes au monde pour l'évaluation et l'approbation de nouveaux produits pharmaceutiques et pour les contrôles des bonnes pratiques de fabrication. » L'association canadienne du médicament générique a pour sa part refusé d'accorder une entrevue sur le sujet.
- Avec la collaboration de William Leclerc, La Presse Un manque de surveillance «alarmant» Il faut resserrer la surveillance des médicaments, car les risques actuellement encourus par les Canadiens sont «alarmants».
C'est la conclusion d'un comité permanent du Sénat, qui a convoqué des témoins pendant trois ans sous la direction du conservateur Kelvin Ogilvie, un scientifique de carrière.
«Le Comité s'inquiète vivement des problèmes soulevés sur des sujets de première importance comme la qualité et la sécurité des médicaments», a-t-il indiqué lors du dépôt de son rapport final, l'automne dernier.
À son avis, le ministère fédéral de la Santé «ne dispose pas des moyens nécessaires pour sécuriser la chaîne d'approvisionnement de façon à protéger les Canadiens».
Sa grande recommandation: augmenter le «nombre d'inspections dans les laboratoires situés dans les pays où le système de réglementation n'est pas équivalent à celui du Canada».
Et exiger que les inspecteurs se rendent sur place plutôt que de se contenter de consulter des dossiers à distance, comme cela se fait actuellement dans l'immense majorité des cas.
Le comité voudrait aussi que le Ministère «s'assure que tous les lots de produits pharmaceutiques importés sont soumis à des tests». Il veut enfin que Santé Canada rende publics les résultats des inspections, y compris tout problème de non-conformité, même décelé par un organisme étranger.
Blâmé à répétition pour son manque de transparence, le Ministère en avait mis certains en ligne l'automne dernier. Mais la semaine dernière, ils avaient disparu du site.
Pas plus d'inspections
Des données obtenues par La Presse révèlent que le nombre d'inspecteurs a augmenté de 71% en 10 ans, mais que ceux-ci ne réalisent pas plus d'inspections au total.
En 2013-2014, chaque inspecteur en a effectué 7,3 en moyenne, contre 12,6 en 2004-2005. «Avec le rehaussement des exigences, peut-être que les inspections prennent plus de temps, avance Jean-François Bussières, président du comité des pharmaciens du plus grand groupe d'achat de la province, Sigmasanté.
Certaines peuvent prendre des mois.» Selon une source de l'intérieur, Santé Canada aurait pourtant sabré le nombre d'inspecteurs de 20 à 30% l'an dernier.
«On accumule de plus en plus de retard. Alors les inspections chez les fabricants qu'on croit le moins à risque sont remises de plusieurs mois. Mais un risque, ça ne se mesure pas si facilement que ça», assure cette source, qui veut garder l'anonymat pour ne pas perdre son emploi.
Parce qu'ils sont jugés moins risqués, justement, les médicaments en vente libre sont traités presque sur le même pied que les produits de santé naturels par la même direction, depuis environ un an.
«Mais au jour le jour, affirme notre source, les fabricants de médicaments en vente libre se sont souvent révélés moins bons que les fabricants de médicaments sous ordonnance. Ce n'est pas une bonne nouvelle pour le public.» Sept mois après avoir été interrogé par La Presse à ce sujet, le Ministère n'a toujours pas répondu (voir texte suivant).
- Avec la collaboration de William Leclerc La loi du silence Combien d'inspecteurs compte Santé Canada?
Et combien d'inspections sont réalisées annuellement dans les usines de médicaments?
Le ministère fédéral a refusé de répondre à cette question toute simple. À la fin du mois de septembre, La Presse a déposé une demande d'accès à l'information. Deux mois plus tard, le ministère a écrit qu'y répondre nécessiterait six mois additionnels, et peut-être davantage, «afin de consulter un tiers partageant des intérêts dans ce dossier». «C'est une attitude effroyable!
Cela donne l'impression qu'ils ont des choses à cacher et cela sape la confiance dans le système», dénonce Alan Cassels, chercheur sur la politique des médicaments à l'Université de Victoria.
À force d'insister, La Presse vient d'obtenir des statistiques fournies - il y a déjà cinq mois - à la députée néo-démocrate de Vancouver-Est, Libby Davies. Mais ces données ne couvrent pas l'année 2014-2015, durant laquelle Santé Canada aurait sabré le nombre d'inspecteurs. Défier les sénateurs Même les sénateurs, qui ont enquêté pendant trois ans sur les problèmes liés aux médicaments d'ordonnance, peinent à avoir l'heure juste.
«Le Ministère a échoué, sur certains sujets, à fournir un témoignage fiable», a dénoncé, dans le Huffington Post, le comité permanent des affaires sociales, des sciences et de la technologie, après le dépôt de son rapport final. Lors des audiences, les dirigeants de Santé Canada n'ont par exemple pas dit où sont fabriqués 46% des quelque 16 000 médicaments dont la vente est autorisée au Canada.
«Il est impossible de définir les problèmes et de trouver des solutions sans l'information et les statistiques appropriées. Il en va ainsi pour presque tous les problèmes relevés dans le rapport, a écrit le président du comité, Kelvin Ogilvie, scientifique de formation. Il est urgent de corriger la situation dans les plus brefs délais.»
En Inde, un lac est si pollué qu'il a pris feu !
Si partout dans le monde, en matière de pollution, on ne peut pas dire qu'"il y ait le feu lac", en Inde, en revanche, la célèbre citation a véritablement un sens.
Vendredi soir dernier, à Bangalore, la mousse toxique qui recouvre le lac de Bellandur Varthur depuis des années, a littéralement pris feu, comme on le voit dans cette vidéo choquante.
C'est ainsi qu'en début de semaine les résidents de Bangalore ont été averti qu'un de leur lac avait pris feu, et qu'on avait déclenché l'alerte: il y a le "Feu au lac".
Faut dire que depuis plusieurs semaines, le lac de Bellandur est litteralemnt recouvert de plusieurs mètres d'une mousse toxique, et sous cette épaisse mousse blanche, l'eau a viré au noir, une véritable soupe de produits chimiques et d'eaux usées.
Les experts de la ville ont confirmé qu'une suspension d'huiles et de phosphores provenant de déchets industriels non traités mélangés aux eaux usées ont créé un véritable cocktail Molotov.
A proximité, des zones humidesont d'ores et déjà été détruites par le passage de cette véritable lessive toxique. La pollution du lac est devenue totalement incontrôlable", a déclaré un officier du conseil de contrôle de la pollution locale .
En outre, les habitants ont également signalé des réactions allergiques et une sensation de brûlure éventuellement causées par des toxines libérées par la mousse. Mais pire il semble que cette pollution se soit déjà propagée à un autre lac voisin.
Allemagne : Âgée de 65 ans, elle donne naissance à des quadruplés
HEUREUX EVENEMENT – Une enseignante à la retraite, âgée de 65 ans, a accouché dans la nuit de vendredi à samedi de quadruplés.
Nés après 26 semaines, ce sont de grands prématurés, mais présentent de bonnes chances de survie.
Une Allemande de 65 ans, déjà mère de 13 enfants , et grand-mère de sept autres, a donné naissance vendredi à des quadruplés, a annoncé la chaîne de télévision RTL.
La venue au monde de Neeta, Dries, Bence et Fjonn, font de cette Berlinoise la mère de quadruplés la plus âgée au monde.
A 65 ans, déjà mère de 13 enfants , elle attend des quadruplés Les bébés, nés après 26 semaines seulement, ce qui les place en condition de grande prématurité, ont été placés en couveuse et "ont de bonnes chances de survivre", selon un communiqué.
Une grande nécessité, au vu de leur poids – 655 à 960 grammes –, jusqu'à trois à quatre fois inférieur à la masse d'un nouveau-né, et de leur taille – 30 à 35 centimètres.
Déjà une petite fille à l'âge de 55 ans Leur naissance ne doit rien au hasard : Annegret Raunigk, qui voulait faire plaisir à une de ses filles qui lui demandait un petit frère ou une petite sœur, s'est rendue en Ukraine à plusieurs reprises afin d'être inséminée artificiellement.
"Cela a bien sûr été un choc pour moi", avait-elle raconté au quotidien Bild en apprenant que les quatre ovules implantés avaient été fécondés. "J'en ai parlé avec mon gynécologue (...) J'ai réfléchi et j'ai ensuite pris ma décision, que je connaissais déjà au fond de moi".
Cette enseignante de russe et d'anglais à la retraite était déjà connue des Allemands puisque, il y a 10 ans, elle avait accouché d'une petite fille, alors qu'elle était déjà âgée de 55 ans.
Les prix des maisons de repos explosent: 1.366€ par mois… pour une pension moyenne de 1.212€
De toute manière, celui qui ne prévoit rien en plus de sa pension légale pour subvenir à ses besoins après sa retraite manque cruellement de prévoyance et de bon sens.
chez Les tarifs d'accès à une maison de repos ne cessent de grimper ces dernières années.
Alors que l'inflation est proche de zéro, ils ont augmenté de 10,6% entre 2011 et 2014.
Le SPF Economie a calculé qu'un pensionnaire de maison de repos payait en moyenne 1.366 euros par mois au premier trimestre de l'année passée, rapporte Le Soir jeudi.
Ce prix varie en fonction du type d'établissement, des activités et services organisés par ce dernier mais aussi de la Région dans laquelle le retraité est installé.
C'est en Wallonie que la facture est la moins salée. La moyenne mensuelle y varie entre 1.160 euros (en CPAS) et 1.245 euros (dans le privé).
A Bruxelles, les prix sont plus importants et la différence des prix plus large, de 1.291euros en CPAS à 1.657euros dans le privé.
Ces chiffres sont à comparer avec la pension légale moyenne, qui était de 1.212 euros en 2013.
Une grand-mère tue les chats de sa petite-fille pour la punir
La méchanceté d'une grand-mère de l'Illinois semble avoir atteint des sommets. La femme de 71 ans a tué la chatte de sa petite-fille et ses quatre chatons pour lui donner une leçon.
Puisque l'adolescente n'avait pas fait le ménage comme elle le lui avait demandé, Josephine Bell, une résidente de Godfrey en Illinois, a décidé de frapper à mort les cinq chats de l'adolescente de 13 ans avec un marteau, a rapporté CNN.
Comme si cela ne suffisait pas, la femme a ensuite placé les cadavres des animaux dans un sac de papier brun, comme ceux dans lequel on transporte une collation, puis l'a mis dans le réfrigérateur. Quand sa petite-fille a ouvert la porte du frigo en quête de quelque chose à grignoter, elle a trouvé ses animaux morts dans le sac, d'après la police de Madison County.
Horrifiée, sous le choc, l'adolescente a envoyé un texto à un membre de sa famille qui a appelé la police. La septuagénaire aurait même confessé son crime et expliqué ses motivations. Elle a été accusée de cruauté animale et pourrait être condamnée à une peine de 13 ans de prison.