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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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8 condamnés à mort fusillés

Publié à 13:53 par fandeloup Tags : nuit monde france mort
8 condamnés à mort fusillés

Indonésie : 8 condamnés à mort fusillés malgré la mobilisation internationale

Condamnés à mort pour trafic de drogue, sept étrangers et un Indonésien ont été exécutés mardi vers minuit sur l'île isolée de Nusakambangan.

Le président indonésien a refusé de céder à la mobilisation internationale lui demandant d'épargner ces vies, le procureur général justifiant par la nécessité pour l'Indonésie de mener «la guerre contre la drogue».

Le cas du Français Serge Atlaoui reste en suspens. Des croix portant les noms des condamnés à mort à l'église de Cilacap en Indonésie le 28 avril 2015 alors que l'exécution imminente de 8 condamnés à mort pour trafic de drogue était annoncée.

 Ils sont bien passés devant un peloton d'exécution malgré les nombreux appels à la clémence. L'Indonésie a confirmé mardi soir l'exécution de huit condamnés à mort, dont sept étrangers. Une Philippine a obtenu un sursis au dernier moment.

Exécutions en Indonésie : «Une torture psychologique», témoigne Sabine Atlaoui Exécutions en Indonésie :

 les condamnés ont chanté avant d'être passés par les armes Indonésie : les condamnés ont chanté avant d'être passés par les armes

Deux Australiens, un Brésilien, trois Nigérians, un Ghanéen et un Indonésien, tous condamnés pour trafic de drogue, ont été fusillés au complexe pénitentiaire de l'île isolée de Nusakambangan dans la nuit de mardi à mercredi, peu après minuit heure locale (19 heures en France), comme c'est traditionnellement le cas.

Les premières réactions diplomatiques ne se sont pas fait attendre. Dans la soirée, le Premier ministre australien a annoncé que son pays allait rappeler son ambassadeur.

«Nous déplorons ce qu'ils ont fait et cela ne peut pas être considéré comme une simple affaire de routine», a déclaré Tony Abbott. De même la France «rappelle son opposition à la peine de mort, en tous lieux et en toutes circonstances», a indiqué mardi soir le porte-parole du ministère des Affaires étrangères.

Dans un communiqué, Romain Nadal a assuré que Paris était «solidaire avec les pays des ressortissants» étrangers exécutés et rappelé que « les autorités françaises demeurent totalement mobilisées en faveur de Serge Atlaoui, dont la situation reste très préoccupante».

«Nous menons une guerre contre les horribles crimes liés à la drogue qui menacent la survie de notre nation», a justifié quelques heures plus tard le procureur général d'Indonésie Muhammad Prasetyo, soulignant qu'une «exécution n'est pas une tâche plaisante».

Quant au volet diplomatique, «nous ne faisons pas des ennemis de pays d'où venaient les exécutés. Nous luttons contre les crimes liés à la drogue», a-t-il souligné, voulant croire que la décision australienne de rappeler son ambassadeur n'était que provisoire. Ils ont été fusillés dans une clairière Dans les heures qui ont précédé la mort des condamnés, des ambulances transportant des cercueils blancs se sont rendues sur l'île de la prison.

Les familles des détenus ont rendu une dernière visite à leurs proches, dans une atmosphère empreinte d'angoisse, de tristesse et d'émotion. En Indonésie, les condamnés à mort sont extraits de leur cellule à l'isolement, conduits dans une clairière, attachés à un poteau et fusillés par un peloton d'exécution de 12 tireurs. Condamné à mort lui aussi pour trafic de drogue, le Français Serge Atlaoui, 51 ans, avait été retiré quelques heures plus tôt de cette liste en raison d'un recours devant la justice.

Mais le parquet général indonésien a réaffirmé mardi qu'en cas de rejet de sa procédure administrative, il serait exécuté seul et que les autorités n'attendraient «pas très longtemps». La mobilisation internationale n'a pas été entendue

Dans un ultime communiqué commun publié à quelques heures seulement du peloton d'exécution, l'UE, la France et l'Australie ont appelé Jakarta à «stopper les exécutions», et à «réfléchir à l'impact de la position de l'Indonésie dans le monde et à sa réputation internationale». L'ONG Amnesty International a vivement critiqué les nouvelles exécutions «totalement répréhensibles» et appelé le président indonésien à «abandonner immédiatement les projets de nouvelles exécutions».

En janvier, l'Indonésie avait déjà fusillé six condamnés pour trafic de drogue (dont cinq étrangers), provoquant des critiques internationales. Depuis qu'il a remporté la présidentielle l'été dernier et pris ses fonctions en octobre, le président Joko Widodo a rejeté toutes les demandes de grâce de condamnés à mort pour trafic de drogue, estimant que son pays avait besoin d'une «thérapie de choc» pour faire face à ce fléau qui fait des milliers de morts chaque année.

Depuis 1999 et l'avènement de la démocratie, le pays a mis à mort 27 condamnés. En 100 jours de présidence, Joko Widodo a déjà fait fusiller 14 personnes.

QUESTION DU JOUR.

Faut-il sanctionner l'Indonésie après l'exécution de sept étrangers pour trafic de drogue ?

la fillette n'a pas le droit d'avorter

Publié à 10:45 par fandeloup Tags : photo vie enfants société fille bébé
la fillette n'a pas le droit d'avorter

Paraguay : enceinte après un viol, la fillette n'a pas le droit d'avorter

Asunción, la capitale du Paraguay, où une fillette de 10 ans a été hospitalisée pour une grossesse de presque cinq mois après avoir été violée par son beau-père.  

La Paraguay s'émeut de la grossesse d'une fillette de 10 ans, enceinte de presque cinq mois après avoir été violée par son beau-père. L'avortement est en effet interdit par les lois du pays, même en cas de viol. La fillette a été admise mardi dernier dans un hôpital d'Asunción, la capitale.

En l'examinant, les médecins ont constaté une «croissance de l'abdomen». Ils ont «d'abord pensé qu'il s'agissait d'une tumeur», avant qu'une échographie ne révèle une grossesse. «La grossesse peut mettre sa vie en danger, ainsi que celle du bébé, car l'utérus n'est pas suffisamment développé», a indiqué la procureure Monalisa Muñoz.

La fillette a confié aux médecins qu'elle avait été abusée par son beau-père. La mère, employée d'une cantine scolaire, a été arrêtée pour entrave à la justice, car elle savait que sa fille était régulièrement violée.

Son compagnon soupçonné du viol, un employé de garage de 42 ans, a pris la fuite. «Je n'y suis pour rien, je n'étais au courant de rien (...) Que celui qui a fait ça à ma fille soit arrêté et qu'il paye pour le mal qu'il lui a fait, car elle souffre, comme moi», s'est défendue la mère.

En janvier 2014, la mère de la fillette, qui a deux autres enfants de 8 et 13 ans, avait rapporté aux autorités judiciaires de Luque, banlieue d'Asuncion, des rumeurs d'agressions sexuelles de la part de son concubin, sans pour autant déposer plainte.

Le procureur avait ordonné une expertise psychologique. L'affaire avait été classée sans suite. 19% des grossesses concernent des mineures Pour l'instant, la grossesse de la fillette se déroule «normalement», selon Ricardo Oviedo, directeur de l'hôpital des enfants d'Asunción, «mais au fil des semaines les risques vont augmenter».

Lors d'une grossesse précoce, les risques de complications sont cinq fois supérieurs. «Une enfant n'est pas en condition d'avoir un enfant, a expliqué le Dr Oviedo. C'est une grossesse à haut risque, de 22 semaines, pour la mère et l'enfant.

Au Paraguay, on ne peut pas interrompre une grossesse à moins qu'il y ait un risque pour la vie de la mère». Dans cet hôpital de la capitale paraguayenne où naissent 2.000 enfants par an, le médecin a recensé au cours de l'année écoulée quatre grossesses d'adolescentes de 13 ans, douze de 14 ans, une trentaine de 15 ans.

C'est la première fois qu'une grossesse à 10 ans est constatée dans cet hôpital. Selon les chiffres officiels, 19% des grossesses concernent des mineures au Paraguay, pays de 7 millions d'habitants.

Le Dr Oviedo regrette que ce sont les professionnels de la santé qui découvrent les cas d'abus sexuels : «C'est triste pour notre société, indigne, mais cela doit nous obliger à agir contre ce fléau. Chaque citoyen doit dénoncer les abus pour que les enfants soient protégés».

Il meurt après une altercation

Publié à 15:48 par fandeloup Tags : revenu nuit mort homme
Il meurt après une altercation

Il meurt après une altercation au commissariat de Saint-Denis

L’IGPN, l’Inspection générale de la police nationale vient d’ouvrir une enquête après la mort d’un homme dans la nuit de samedi à dimanche après une altercation avec des policiers au commissariat de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).

Dans la nuit de vendredi à samedi, tout est parti d’un simple contrôle routier sur l’autoroute A1.

Les CRS ont verbalisé un automobiliste qui circulait en état d’ébriété. Le véhicule est immobilisé et l’homme est reparti libre mais dans un taxi, du fait de son fort taux d’alcoolémie.

Selon le parquet de Bobigny, l’automobiliste ivre s’est présenté au commissariat de Saint-Denis, semble-t-il pour réclamer des papiers laissés à l’intérieur du véhicule immobilisé.

Les policiers lui ont expliqué qu’ils ne pouvaient répondre à sa demande, la procédure ayant été diligentée par les CRS, en charge de la sécurité routière sur l’autoroute.

Toujours selon le parquet de Bobigny, « l’homme est reparti puis est revenu dans l’enceinte du commissariat. Il s’est énervé et l’un des policiers en faction l’a repoussé, ce qui a occasionné sa chute. Sa tête a heurté le sol. »

Hospitalisé dans un état critique, il est mort dans la nuit de samedi à dimanche. « Il est décédé des suites de cette blessure dans la nuit », confirme-t-on au parquet de Bobigny.

des étudiants turcs réclament

Publié à 10:59 par fandeloup Tags : monde annonce internet carte
des étudiants turcs réclament

Plutôt qu'une mosquée, des étudiants turcs réclament un temple jedi

Une statue de Yoda, le personnage de « Star Wars », à San Anselmo en Californie. Construire au sein de l'université un temple à la gloire des jedis, ces chevaliers à sabres laser de la saga Star Wars.

Loufoque, cette proposition se veut une réponse à l'annonce de la construction d'une mosquée au sein de l'Istanbul Technical University (?TÜ). Le lieu de culte musulman était demandé par près de 200 000 signataires d'une pétition, rapporte le journal turc Hurriyet Daily. De quoi inquiéter la communauté estudiantine du pays.

« Rétablir la force »

Plusieurs groupes d'étudiants ont riposté en lançant leur propre mouvement visant à parodier la pétition originale. La pétition lancée à l'université d'Izmir, à l'ouest du pays, joue la carte du second degré en demandant l'édification d'un temple jedi, tout droit sorti de l'univers de George Lucas. Ses auteurs expliquent que de nombreux « padawan » inexpérimentés sont « attirés vers le côté obscur de la force », et que le temple permettra de « recruter de nouveaux jedis et rétablir la force ».

Un objectif qui a réuni plus de 6 000 soutiens sur internet en une semaine. A l'ITÜ d'Istanbul, les étudiants ont préféré exiger la construction d'un lieu de culte bouddhiste, recueillant près de 20 000 signatures.

« Je ne peux souscrire à mes obligations religieuses, car le temple bouddhiste le plus proche est à 2 000 kilomètres, impossible d'y aller à l'heure du déjeuner », ironise l'un de ses signataires.

Des milliers d'étudiants avaient manifesté à Istanbul au printemps 2013 pour dénoncer notamment l'islamisation du système éducatif. En fin d'année dernière, le gouvernement a annoncé sa volonté de construire 80 mosquées dans les différents campus du pays.

Un cinéma en plein air

Publié à 10:02 par fandeloup Tags : film air mode
Un cinéma en plein air

Un cinéma en plein air qui marche à l’énergie des cyclistes !

 Un cinéma en plein air, 20 bicyclettes, des cyclistes cinéphiles : le « Pedal Effecto » qui signifie en français « l’effet de la pédale » peut commencer !

L’événement, organisée par la ville de Santiago du Chili, à pour objectif de sensibiliser les citoyens à la capacité et l’efficacité des énergies renouvelables en projetant un film uniquement grâce à la force des mollets des cinéphiles présents dans un cinéma en plein air !

Le Parc des Sculptures est un parc renommé à Santiago du Chili pour accueillir de nombreux événements culturels, notamment un cinéma en plein air, mais cette fois-ci ce n’est pas le film la vedette mais son mode de projection.

Ele, le vélo électrique qui marche à l’énergie solaire En effet, pour avoir la chance de le regarder, les spectateurs n’ont pas pu rester tranquillement allongé dans l’herbe, mais ont dû pédaler sur des vélos électriques.

20 bicyclettes étaient reliées à des transformateurs électriques sur lesquels le matériel cinématographique était branché. Les cinéphiles (pour les plus sportifs et courageux d’entre eux) ce sont donc relayés toute la soirée pour donner quelques coups de pédales et profiter du cinéma en plein air.

Pédaler pour regarder un film semble avoir eu beaucoup de succès auprès des habitants, la ville voudrait donc renouveler l’événement ! Par ailleurs, Diego Parodi, directeur de Efecto Pedal, l’entreprise à l’origine du concept a développé des projets de cinéma itinérant également en Uruguay et dans d’autres pays d’Amérique du Sud.

L’idée de proposer la diffusion de films et documentaires dans un cinéma en plein air a connu un succès continental ! Un bel exemple d’entreprise 100 % socialement responsable.

la terrible avalanche de l'Everest filmée

Publié à 09:14 par fandeloup Tags : moi monde homme mort divers nuit neige vie
la terrible avalanche de l'Everest filmée

Les hélicoptères commençaient à atterrir dimanche au camp de base du mont Everest pour y secourir les victimes d'une avalanche qui a fait au moins 14 morts après le séisme intervenu au Népal.

 Ce dimanche, le bilan de l'avalanche provoqué par le séisme au Népal sur le camp de base de l'Everest fait état de dix-huit morts, une vidéo publiée par un rescapé allemand, l'alpiniste Jost Kobusch montre la rapidité et la violence à laquelle la neige a fondu sur les membres de l'expédition sur le toit du monde.

On peut y voir, l'alpiniste filmer au moment du tremblement de terre et voir les gens courir se réfugier tant bien que mal. Le «cadreur» lui-même se réfugie in extremis dans une tente qui lui sauve la vie. George Foulsham, un autre rescapé n'en revient toujours pas d'avoir survécu au gigantesque mur de neige qui a dévalé le mont Everest juste après le séisme. Pour lui, cette dernière catastrophe est un signe : le Toit du monde ne veut plus voir des alpinistes.

La directrice du bureau de l'AFP au Népal, Ammu Kannampilly, était en train de faire un reportage au camp de base, à environ 5.500 mètres d'altitude, quand la montagne a tremblé samedi, faisant 18 morts et une soixantaine de blessés.

Elle a pu parler à des survivants. En ce début de saison, environ 800 alpinistes se trouvaient disséminés en divers endroits de l'Everest, d'après les estimations du président de l'Association d'alpinisme du Népal, Ang Tshering Sherpa.

Nombre d'entre eux tentaient à nouveau leur chance après avoir été privés d'ascension l'année dernière: la saison d'alpinisme avait été annulée après la disparition de 16 sherpas tués dans ce qui était jusqu'alors l'accident le plus meurtrier jamais survenu sur le sommet le plus haut du monde (8.848 m).

J'ai couru, couru, et la vague, semblable à un immeuble blanc de 50 étages, m'a aplati. J'ai essayé de me relever et elle m'a aplati à nouveau», raconte George Foulsham, un spécialiste de biologie de Singapour. «Je n'arrivais plus à respirer, je croyais être mort. Lorsque je me suis finalement relevé, je n'arrivais pas à croire que la vague était passée sur moi et que j'étais quasiment indemne», lâche l'alpiniste de 38 ans. Ce dernier s'était rendu au camp de base pour une seconde tentative après l'annulation de la précédente saison.

«J'ai économisé pendant des années pour l'ascension de l'Everest mais on dirait que la montagne est en train de nous dire qu'elle ne veut pas être gravie pour l'instant», dit-il. «C'est plus qu'une coïncidence de voir ça deux années de suite».

Ellen Gallant, une cardiologue américaine, raconte qu'elle a tenté de venir en aide aux blessés. Mais elle n'a pu sauver la vie d'une des victimes, un jeune sherpa. «Il est mort sous mes yeux» «J'ai couru jusqu'à la tente et je me suis jetée par terre. Lorsque les vibrations ont enfin cessé, la tente médicale m'a demandé, ainsi qu'à un alpiniste indien, un médecin militaire, de m'occuper des personnes blessées à la tête. On a travaillé toute la nuit, on faisait des rondes, on distribuait des médicaments, on installait des intraveineuses», décrit-elle.

«Mais l'un des neuf patients est mort: un sherpa de 25 ans. Sa tension artérielle avait dégringolé. On a rien pu faire», regrette la cardiologue. Les conditions de traitement des blessés étaient rudimentaires, a expliqué l'Américaine. Lorsque les hélicoptères des secours ont pu commencer à atterrir dimanche, après en avoir été empêchés par les chutes de neige la veille, «on a su qu'on était sortis du bois». «Les huit patients ont été évacués. Lorsqu'on va à l'école de médecine, on apprend à se concentrer sur ce qu'on fait. Mais là les choses se sont calmées et le contre-coup se fait sentir. Ce jeune homme de 25 ans qui est mort devant moi, il n'aurait pas dû mourir».

Surprise pour un couple en attente d'adoption

Publié à 18:01 par fandeloup Tags : image bonne annonce fille pouvoir
Surprise pour un couple en attente d'adoption

Surprise pour un couple en attente d'adoption d'une fillette népalaise depuis 4 ans: leur demande accordée quelques heures après le séisme

La petite Dipika devrait bientôt arriver en Belgique. Cette fillette népalaise de 5 ans et demi a été adoptée par un couple de belge en 2011.

Une adoption compliquée puisque notre pays ne l'a jamais validée, à l'inverse du Népal. Vu la situation dramatique causée par le séisme, une amie de la maman a contacté le Palais Royal.

Surprise, le visa tant attendu a pu être accordé en quelques heures. Dipika est née il y a 5 ans et demi. A un mois seulement, elle était abandonnée par ses parents naturels aux pieds d'un temple.

Le Népal accepte mais pas la Belgique Un couple de Belges, originaires de Bruges, avait alors voulu l'adopter. La procédure a été acceptée au Népal mais jamais en Belgique. Un comité de soutien a tout essayé, sans succès. Elle appelle le Palais Royal sur un coup de tête

Mais hier matin, une amie de la maman a tenté sa chance, presque sur un coup de tête, directement auprès du Palais Royal. "Je suis une maman et je me suis dit qu’au Palais Royal, il y avait certainement d’autres mamans qui avaient plus de pouvoir que nous. J’ai dit 'je fonce'".

La maman a alors reçu une écoute attentive et les services du palais ont fait remonter la demande au gouvernement. La tante de Dipika lui annonce la bonne nouvelle "Je remercie la Palais Royal et les personnes qui ont accepté de m’écouter.

Ils m’ont écoutée, entendue et ont réagi très vite puisqu’après mon coup de fil, il a fallu deux heures pour que la sœur de la maman de Dipika m’appelle pour me dire que le visa était octroyé."

Quatre ans de déchirements Quatre ans de déchirement, de demandes refusées de visa, d'actions en justices, d'appels à l'aide… résolus en deux heures. Un visa humanitaire a été accordé pour la petite.

Le tremblement de terre a joué dans la décision. Bénédicte, la maman adoptive, partie depuis 3 ans et demi au Népal après l'échec des négociations, va pouvoir revenir au pays avec sa fille.

La bataille n'est pas finie Une bonne nouvelle mais pas encore de happy end. En effet, son adoption n'est pas encore reconnue comme légale. Le dossier sera suivi par le ministère de la Justice.

Incroyable Invasion de Mygales

Publié à 16:50 par fandeloup Tags : france mort nature afrique infos vie
Incroyable Invasion de Mygales

Incroyable Invasion de Mygales dans la Basse-Normandie !

Depuis plus d'une semaine l'infos à circuler sur les réseaux sociaux, en effet elle a était confirmer par les autorités sanitaires de la Basse-Normandie hier matin.

Des cocons ont été retrouver dans la ville de Coutances et aux alentours , celles-ci se sont installer dans des caves d'HLM plus précisément dans les canalisations et dans plusieurs maisons.

Les Mygales ont été importées d'Afrique, de Lipolipo , elles devaient être identifiées par des scientifiques pour aider le Pays à lutter contre c'est monstres à grandes pattes et surtout pour trouver une antidote, car les morsures qu'elles infligent sont tout simplement mortelles.

Malheureusement aujourd'hui elles se promènent dans la nature, on ne sait pas encore comment un tel incident à pu se produire!

A l'heure actuel six personnes sont entre la vie et la mort dans les hôpitaux de la région. Restez vraiment vigilant !!! Ne cherchez surtout pas à les attrapez ou à les tuées !

PRÉVENEZ LES SECOURS (18)

Fermez bien vos fenêtres et vos portes. L'affaire est en cours , vous aurez plus d'information ce soir sur France 3 .

honteux

Publié à 16:12 par fandeloup Tags : article photo google bébé
honteux

Gardanne : un nouveau-né vivant découvert dans une poubelle

 Dimanche matin, cette riveraine a découvert dans un conteneur à poubelles, un nouveau-né, dans une rue à Gardanne (Bouches-du-Rhône). Cette fillette venait probablement de naître rapporte le site de "La Provence".

Après lui avoir prodigué les premiers gestes de secours, la riveraine a alerté les secours.

La fillette a été prise en charge par les sapeurs-pompiers et un médecin du Samu, avant d’être évacuée vers les services pédiatriques d’un hôpital de la région. Son état de santé n’inspire aucune inquiétude.

Une enquête a été ouverte pour tenter de retrouver la mère de ce bébé.

tristesse

Publié à 15:46 par fandeloup Tags : chien heureux homme vie
tristesse

COMPASSION

"Au Danemark, un homme s'est suicidé après que son chien lui a été enlevé et euthanasié. Le chien a été saisi et tué suite à leur législation spécifique de race sur les pitbulls .

Le chien Zanto n`avait rien fait de mal, il était un bon chien, dévoué et heureux , mais il vivait dans un endroit où il était considéré comme une mauvaise race.

Zanto, appartenait à Dan un homme de 27 ans . Dan avait huit jours pour prouver que son chien n'était pas une des races interdites dans le pays.

Incapable de le faire et trop bouleversé pour poursuivre sa vie et le sentiment de perte immense sans son chien, Dan a pris une forte dose de médicaments contre la douleur et est décédé d'une overdose.."