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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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un cadavre de cétacé

Publié à 10:06 par fandeloup Tags : mer photos coeur
 un cadavre de cétacé

Mimizan-Plage (40) : au milieu des déchets de la tempête, un cadavre de cétacé

Des tas de déchets jonchent la digue. Parmi les détritus rejetés par l'océan, le cadavre d'un cétacé.

Les habitants de la commune n'ont "jamais vu ça". Appareils photos en main, les habitants ou habitués de Mimizan-plage n'en reviennent pas. "C'est impressionnant, c'est hallucinant" temoigne Isabelle, 43 ans. Originaire du massif central, elle habite ici depuis 25 ans. "C'est la première fois que je vois ça, ça fait mal au coeur. On se demande d'où ça vient".

Bouteilles, morceaux de plastique, cotons tiges, chaussures... des tas de déchets se sont échoués sur la digue avec les fortes vagues des derniers jours.

A mesure que l'on avance, une odeur nauséabonde se répand. Celle d'un cachalot échoué avec la tempête.Par endroits, la mer a grignoté la dune. Des escaliers d'accès à la plage ont été emportés

On était venu en janvier, après les précédentes tempêtes. Cette fois-ci, c'est encore plus impressionnant" racontent Régine et Francis, du Tarn. Le couple de sexagénaires qui dispose d'une résidence secondaire sur place, exprime "un sentiment de déception". "Quand on marche seul, on se sent obligé de se parler à voix haute. C'est une catastrophe"..

décés

Publié à 20:34 par fandeloup Tags : monde internet animaux homme coeur mort vie
décés

Selon nos informations, le décès du premier patient ayant reçu un ♥ artificiel Carmat n'est pas lié à une thrombose. Le premier patient greffé par un ♥ artificiel Carmat, décédé dimanche à l’hôpital Pompidou, 75 jours après son opération, n’est pas mort d’une thrombose. Selon nos informations, c’est l’un des premiers résultats de l’autopsie, pratiquée lundi avec accord de la famille sur le corps de cet homme de 76 ans, premier au monde à s’être vu implanter un ♥ bioartificiel.

Les causes précises de sa mort, 75 jours après l’opération sont encore soumises à analyses, mais pour les médecins, comme pour Carmat, ce premier résultat est capital. Le professeur Carpentier, qui a mis 25 ans à mettre ce prototype au point, recouvert de biomatériau, issus de tissus animaux, tenait en effet à ce qu’il s’affranchisse notamment des deux inconvénients majeurs, qui rendent jusqu’ici les greffes de coeur artificiel périlleuses : le risque de rejet, contre lequel les patients doivent habituellement prendre de lourds traitements, et le risque de voir se former des caillots, ce qui les contraint à prendre des anticoagulants à vie. L’autopsie n’a révélé aucun caillot dans le corps du patient, alors qu’il ne se trouvait plus sous anticoagulants depuis un mois. Le Pr Daniel Duveau (CHU de Nantes), qui a participé à l'implantation en décembre avec le Pr Christian Latrémouille, a expliqué sur le site internet du journal La Dépêche que le patient avait «souffert de difficultés sur le plan respiratoire». «Je pense que tout cela a malheureusement abouti au décès», a déclaré le spécialiste, suggérant que le coeur artificiel n'était pas la cause directe du décès du patient.

L’ONU dit non à la présence d’enfants

Publié à 07:39 par fandeloup Tags : photo vie enfants article france cadre animaux patrimoine
 L’ONU dit non à la présence d’enfants

Tauromachie -

L’ONU dit non à la présence d’enfants aux corridas

Il y a quelques jours, dans le cadre d’une session sur le thème des droits de l’enfant, l’ONU* a exprimé son opposition à la présence et à la participation d’enfants lors de corridas.

Une position défendue et saluée par la Fondation 30 Millions d’Amis. « Une telle pratique est contraire à la Déclaration des droits de l’enfant ».

Ce sont les mots du Comité international des droits de l’Enfant pour qualifier la corrida (5/2/14). Cet organe international de l’Organisation des Nations Unies (ONU) vient en effet de rédiger une recommandation adressée au Portugal, seul pays devant rendre compte cette année de la mise en œuvre de la Convention relative aux droits de l’enfant (CIDE) à ce sujet.

Un véritable rappel à l'ordre international -  « Violence physique et mentale »

C’est à la suite de la remise d’un rapport présenté par la Fondation Franz Weber - un organisme suisse spécialisé dans la protection des animaux - dans le cadre de sa campagne Enfance sans violence que l’ONU a exprimé, pour la première fois, une position officielle sur la présence des enfants lors des corridas.

Dans son article 19, la Convention garantit en effet « le droit pour tous les enfants âgés de moins de 18 ans (garçons et filles) à un niveau de vie favorable à leur développement physique, psychologique, moral et social ainsi que l'obligation pour les Etats parties d'adopter les mesures assurant cette protection de l'enfant ».

Pour Sara Oviedo, vice-présidente du Comité, « la participation d’enfants et d’adolescents à des activités liées à la tauromachie constituait une violation grave des articles de la Convention relative aux droits de l’enfant ».

Le Comité demande par ailleurs au Portugal de prendre des mesures législatives et administratives afin de protéger tous les enfants impliqués dans la formation et les spectacles de tauromachie, ainsi qu’en leur qualité de spectateurs.

Il conseille aux autorités lusitaniennes - car il ne s’agit que d’une recommandation - de relever l’âge minimum de 6 à 12 ans pour assister aux corridas. Il préconise également la mise en place de « mesures de sensibilisation en rapport à la violence physique et mentale liée à la tauromachie et son impact sur les enfants ».

Position hautement symbolique Ce véritable rappel à l’ordre international a particulièrement résonné aux oreilles des anti-corrida français :

« Cette convention légitime le combat que nous menons depuis de longues années, explique Thierry Hély, porte-parole de la Fédération des Luttes pour l'Abolition des Corridas (FLAC). Elle montre que l’ONU, organisme suprême des droits de l’homme et du progrès social, reconnaît et condamne sans équivoque la violence de la corrida ».

Une position hautement symbolique qui pourrait être de bon augure : alors que l’Espagne souhaite faire reconnaître la corrida au patrimoine mondial de l'Unesco*, comment l’organisme culturel de l’ONU pourrait-il désormais exprimer une position contradictoire ?

«C’est en inculquant aux enfants le respect de la vie sous toutes les formes (...) qu’ils deviendront des adultes meilleurs.

 Comme le souligne le journal espagnol El Diario , ce positionnement pourrait en outre s’adresser à d’autres pays où la corrida s’exerce toujours en toute légalité : dans le collimateur des opposants à la corrida, les écoles taurines « où sont formés les tortionnaires de demain » rappelle Thierry Hély.

En Espagne, où l’on dénombre plus de 40 écoles tauromachiques, aucun âge n’est requis pour intégrer ces dernières. Seule une autorisation parentale suffit. En France, il faut être âgé de 7 à 8 ans pour rentrer dans l’une des 8 écoles taurines :

« Ces enfants sont exposés à une forme d'activité violente qui en outre présente des risques pour leur intégrité physique », rappelle la Sri-Lankaise Hiranthi Wijemanne, membre du Comité des droits de l’Enfant. Une condamnation sans appel de ces structures « éducatives » qui subsistent également dans certains pays d’Amérique Latine.

« C’est en inculquant aux enfants le respect de la vie sous toutes les formes et le rejet de toutes les maltraitances et les cruautés envers leurs semblables et les animaux qu’ils deviendront des adultes meilleurs » s’est félicitée Reha Hutin, Présidente de la Fondation 30 Millions d’Amis.

La Fondation 30 Millions d’Amis, qui œuvre pour l’interdiction de ce spectacle barbare aux cotés de la FLAC, salue un positionnement responsable et courageux de l’ONU. Elle invite par ailleurs chacun à signer la pétition demandant le retrait de la tauromachie du patrimoine culturel immatériel de la France, qui a déjà réuni à ce jour près de 160 000 signatures.

tire

Publié à 19:36 par fandeloup Tags : heureux histoire homme oiseaux chien
tire

Voici une histire des plus surprenantes! Un homme passionné de chasse et son chien se trouvaient à bord d’une embarcation similaire à un canoë. Une fois dans un marais peu profond, le maître quitta son poste afin de placer des pièges. Il avait laissé son fusil sur la proue du bateau selon l’auxiliaire du shérif du comté de Box Elder, Kevin Potter.

« À ce moment, le chien a fait quelque chose qui a permis au fusil de se décharger. Je ne sais pas si le cran de sûreté était en place. Ce n’est pas impossible que le chien ait enlevé la sûreté », a-t-il expliqué.

L’animal était heureux de rejoindre son maître dans le marais. Dans son élan d’enthousiasme, il aurait sauté sur le bateau et accroché le fusil.

L’homme de 46 ans a été touché dans les fesses par 27 balles de petitcalibre servant à tuer des oiseaux, du moins en temps normal. Grâce à ses cuissardes, « des bottes ayant la possibilité de s’étendre au-dessus de la jambe », ainsi que son appel au service d’urgence 9-1-1, la victime a pu éviter une blessure sérieuse

plantation

Publié à 16:48 par fandeloup Tags : vie homme chez enfants nature animaux fleurs oiseaux
plantation

A lui tout seul, Jadav Payeng a fait pousser une vaste forêt sur un banc de sable de 550 hectares situé au milieu du fleuve Brahmapoutre.

Le site compte désormais plusieurs animaux dont l’espèce est en voie de disparition, dont au moins cinq tigres. Une femelle a eu deux petits récemment. L’endroit se situe à Jorhat, à 350 kilomètres de route de Guwahati, et il n’est pas facile d’accès.

Il faut quitter la voie principale et prendre une petite route sur une trentaine de kilomètres pour arriver au fleuve. Là, avec de la chance, on trouve des bateliers pour passer sur la rive nord.

Après 7 kilomètres de marche, on arrive près de chez Payeng. Les gens du coin appellent cet endroit Molai Kathoni (“le bois de Molai” – d’après le surnom de Payeng).

Tout a commencé en 1979. Des crues avaient rejeté un grand nombre de serpents sur le banc de sable. Après le retrait des eaux, Payeng, qui n’avait que 16 ans, trouva le site couvert de reptiles morts. Ce fut le tournant de sa vie.

“Les serpents étaient morts de chaleur, il n’y avait pas d’arbres pour les protéger. Je me suis assis et j’ai pleuré sur leurs corps sans vie. C’était un carnage. J’ai alerté le ministère des Forêts et leur ai demandé s’ils pouvaient planter des arbres. Ils m’ont répondu que rien ne pousserait ici et m’ont dit d’essayer de planter des bambous. C’était dur mais je l’ai fait. Il n’y avait personne pour m’aider”, raconte Payeng, qui a désormais 47 ans. Le jeune homme quitta ses études et son foyer, et se mit à vivre sur le banc de sable. Contrairement à Robinson Crusoé, il accepta volontiers cette vie d’isolement.

Et non, il n’avait pas de Vendredi. Il arrosait les plants matin et soir et les taillait. Au bout de quelques années, le banc de sable est devenu un bois de bambou. “J’ai alors décidé de faire pousser de vrais arbres. J’en ai ramassé et je les ai plantés. J’ai aussi rapporté des fourmis rouges de mon village : les fourmis rouges changent les propriétés du sol. J’ai été piqué plusieurs fois”, raconte Payeng en riant. Bientôt, toute une série de fleurs et d’animaux s’épanouirent sur le banc de sable, y compris des animaux menacés, comme le rhinocéros à une corne et le tigre royal du Bengale.

“Au bout de douze ans, on a vu des vautours. Les oiseaux migrateurs ont commencé à arriver en masse. Les daims et le bétail ont attiré les prédateurs”, déclare Payeng, qui s’exprime comme un écologiste chevronné. “La nature a créé une chaîne alimentaire : pourquoi est-ce qu’on ne s’y tient pas ? Qui protégera ces animaux si nous, les êtres supérieurs, nous nous mettons à les chasser ?”

Le ministère des Forêts de l’Assam n’a entendu parler de la forêt de Payeng qu’en 2008, lorsqu’un troupeau d’une centaine d’éléphants sauvages s’y est réfugié après avoir ravagé les villages voisins. Ils ont aussi détruit la cabane de Payeng. C’est là que Gunin Saikia, conservateur assistant des forêts, a rencontré Payeng pour la première fois. “Nous avons été surpris de trouver une forêt aussi dense sur le banc de sable.

Les gens du coin dont la maison avait été détruite par les pachydermes voulaient abattre ce bois, mais Payeng leur a dit qu’il faudrait le tuer d’abord. Il traite les arbres et les animaux comme si c’étaient ses enfants. Quand on a vu ça, on a décidé de contribuer au projet, raconte-t-il. Payeng est incroyable. Ça fait trente ans qu’il est là-dessus. Dans n’importe quel autre pays, il serait un héros.” "

A deux doigts, elle se faisait happer

Publié à 11:27 par fandeloup Tags : monde femme
A deux doigts, elle se faisait happer

A deux doigts, elle se faisait happer par le train Quand les barrières de sécurité s’abaissent, il ne faut pas tenter le diable pour gagner une pauvre minute. a2doigtsellesefaisaithapper2 La scène s’est produite aux Pays-Bas. Un groupe de voyageurs ont traversé les voies alors que les barrières s’abaissaient. Mais une femme est arrivée après tout le monde et a tenté à son tour de traverser les voies.

maltraitance

Publié à 15:59 par fandeloup Tags : femme animal homme mort animaux
maltraitance

Vincent rentre dans une animalerie… pour tuer un hamster

Vincent Caracci, 21 ans, a été condamné à deux ans de probation et 80 heures de travaux d’intérêt général pour cruauté envers les animaux.

Le jeune homme était accusé d’être entré dans une animalerie… pour tuer un hamster.

Vincent Caracci, habitant de Metairie, en Lousiane, est ainsi rentré dans l’animalerie Lakeside Pets, ce samedi, et a pris plusieurs animaux par le cou.

Quand le gérant de l’établissement lui a demandé d’arrêter, le jeune homme de 21 ans a pris un hamster et a continué à l’étrangler jusqu’à ce qu’il arrête de respirer, explique :

Il a finalement été arrêté par la police locale et condamné à 80 heures de travaux d’intérêt général.

Un homme de Louisiane a plaidé coupable mardi au serrant volontairement un hamster à mort à une animalerie. Vincent Carrache, 21, a été condamné à deux ans de probation et 80 heures de service communautaire pour l'accusation de cruauté aggravée envers les animaux, WVUE signalé.

 

Elle force sa fille adoptive de 14 ans à tomber enceinte

Publié à 17:02 par fandeloup Tags : femme internet fille femmes bretagne enfants
Elle force sa fille adoptive de 14 ans à tomber enceinte

Une femme a contraint sa fille adoptive à tomber enceinte via du sperme acheté à l’étranger sur internet, selon un rapport du conseil britannique de protection de l’enfance (SCB).

L’affaire a été jugée l’année dernière mais avait été jusqu’ici tenue secrète par la justice.

Elle a finalement été rendue publique par le quotidien « The Guardian ».

La mère purge actuellement une peine de prison de cinq ans pour cruauté envers son enfant, a rapporté la BBC.

Elle a adopté trois filles dont une illégalement et a tenté d’en adopter une quatrième mais les autorités britanniques lui ont refusé cette adoption.

« On sait désormais » que la mère « souhaitait avoir un autre enfant en obligeant » sa fille de 14 ans « à avoir une insémination artificielle », selon le rapport du Conseil de protection des enfants.

Selon les rapports, la jeune fille a réalisé elle-même sept inséminations grâce à des seringues fournies par sa mère et achetées sur internet via la banque de sperme danoise Cryos.

La protection de l’enfance a tardé à réagir Enceinte à 16 ans, la jeune fille a finalement accouché à 17 ans, non sans avoir déploré auparavant au moins une fausse couche.

Avant que la jeune fille ne donne naissance à un petit garçon, les services locaux de protection de l’enfance ont été contactés à plusieurs reprises, mais ils n’ont pas accordé « suffisamment de poids » à des « allégations inquiétantes » sur la façon dont la mère s’occupait de ses enfants, a relevé le rapport.

Les sages-femmes avaient notamment remarqué que la mère de la jeune maman l’empêchait d’allaiter. « Je n’ai pas eu le courage de lui dire que je ne voulais pas le faire », a témoigné la jeune fille lors du procès de sa mère, stipulant qu’elle l’aimait et se sentait reconnaissante vis-à-vis d’elle.

L’auteur de ce document a rendu visite à la mère en prison, qui a estimé que les raisons ayant conduit à sa condamnation étaient justifiées.

Ni le nom de la mère, ni la date et les lieux des faits n’ont été révélés. Ces révélations ont relancé la problématique des contrôles d’obtention de sperme en Grande-Bretagne, une pratique qui n’est pour l’heure encadrée par aucune loi.

à 4 ans, elle sauve la vie de son père

Publié à 19:33 par fandeloup Tags : histoire vie enfants fille
à 4 ans, elle sauve la vie de son père

Le 26 février dernier, USA Today consacrait un reportage à la petite Elishia Powers, une jeune américaine qui du haut de ses 4 ans, a sauvé la vie de son papa.

Haute comme trois pommes, elle sauve la vie de son père. Cette histoire , relayée par USA Today le 26 février dernier, est celle d’Elishia Powers, une petite fille de seulement 4 ans qui, grâce à un simple coup de téléphone aux urgences, a pu sauver la vie de son papa.

L’histoire se déroule dans la maison familiale de la petite fille, située en Géorgie aux Etats-Unis, quand le père d’Elishia se blesse avec une machette.

L’arme lui sectionne une artère et le papa de la fillette se met à perdre beaucoup de sang.

Dans l’incapacité de se déplacer, ce dernier est bloqué à terre et ne peut donc pas contacter les secours.

C’est alors qu’Elishia prend son courage à deux mains, s’empare du téléphone portable de son père et compose le numéro des urgences.

Elle place ensuite le téléphone sur l’oreille de son papa, pour qu’il puisse expliquer la situation à son interlocuteur.

Le geste de la petite fille, aussi simple soit-il, a permis de sauver la vie son père.

Ce sont les parents d’Elishia qui lui avait appris à déverrouiller un téléphone portable et à contacter les urgences. « Il n'est jamais trop tôt pour apprendre à vos enfants à appeler de l'aide en cas d'urgence.

Si on ne l'avait pas fait, mes filles auraient perdu leur père » confie la maman de la fillette à USA Today.

incroyable imbroglio autour d'un chihuahua

Publié à 19:02 par fandeloup Tags : animal argent photo bonne homme chien
incroyable imbroglio autour d'un chihuahua

Nîmes : incroyable imbroglio autour d'un chihuahua perdu

Le chien Yoda a pu être rendu à sa propriétaire. Il est en bonne santé.

 Un homme est en garde à vue à Nîmes. Il est soupçonné d'avoir exigé une somme d'argent pour rendre le chien d'une dame âgée. Une bagarre a éclaté lorsque des bénévoles d'un refuge ont voulu récupérer "Yoda" au centre-ville de Nîmes. Le chien a pu être rendu à sa propriétaire.

La Sûreté départementale du Gard enquête.

Une dame d'un certain âge promène son petit Yoda dans l'Ecusson mais en ce dimanche matin, le chien lui échappe. Paniquée elle alerte la police municipale, téléphone à des proches et alerte les refuges du secteur. Mais rien ne marche, l'animal reste introuvable. C'était sans compter le bouche-à-oreille "à la nîmoise", la mise en route des réseaux sociaux pour établir un contact avec un homme qui était au courant qu'un autre homme avait pu récupérer le chien dans un appartement du centre-ville.

Des messages auraient même été échangés dont un avec la photo de "Yoda". Les proches de l'animal étaient rassurés de savoir que le toutou était sain et sauf mais ils ne l'avaient pas encore récupérés.

Mardi, des gens issus d'un refuge animalier de la région auraient tenté une approche avec l'homme qui avait décidé de "chouchouter" le chien. Mais lors du rendez-vous une dispute violente (dont les contours exacts n'ont pas été révélés) a éclaté et les bénévoles ont dû rebrousser chemin.

Plainte déposée mercredi Mercredi, une plainte était déposée au commissariat pour cette affaire. La Sûreté départementale du Gard était chargée de l'affaire qui conduisait au placement en garde à vue d'un homme suspecté d'avoir voulu monnayer le retour du chien.

Selon nos informations, ce quinquagénaire serait actuellement interrogé en garde à vue à l'hôtel de police. En attendant les suites de l'enquête, "Yoda" a été remis à sa propriétaire à qui il manquait terriblement. L'animal est sain et sauf, a-t-on appris ce matin de source proche du dossier.