Précarité énergétique: elles racontent l’enfer du froid chez soi

Mots clés : Logement, pauvreté, précarité énergétique, chauffage,

La santé de Véronique et Jacqueline reste fragile après des années sans chauffage. Car comme le démontre une étude de la Frondation Abbée Pierre, les foyers qui peinent à se chauffer sont en plus mauvaise santé.

Aidées par des associations, ces deux femmes témoignent de l’impact de leur précarité énergétique sur leur quotidien.

Jacqueline Boulet, 53 ans, Le Pouget (Hérault)«?Je vais passer l’hiver avec un “Joli Mec”(rires)?! C’est la marque d’un poêle à granulés que m’a donné l’association Gefosat. Enfin, je vais pouvoir respirer. J’habite un mas hérité de mes parents, dont les murs sont fissurés, et que je ne pouvais plus chauffer depuis des années. Après ma séparation, j’ai fait une dépression et je me suis retrouvée au RMI. Impossible de payer jusqu’à 140?euros de facture d’énergie par mois. Ma fille a fait des bronchiolites en série et moi, une grave infection pulmonaire. Je fais toujours des apnées du sommeil, et je dors avec un masque à oxygène. Vivre à la campagne dans une maison froide et humide, c’est dur. On s’isole. On ne voit plus personne, on se renferme dans sa coquille. C’est encore dur pour ma fille de venir me voir dans cette maison où elle a trop de mauvais souvenirs.?»

Véronique Manouvrier, 48 ans, Flers-en-Escrebieux (Nord) «?Notre maison est pleine de courants d’air. Ça devient un vrai congélateur. Actuellement, il y fait 11 degrés. Mon mari a un emploi, mais, avec 1?900?euros par mois, on n’y arrive pas. J’ai arrêté les chauffages électriques, après avoir payé des factures de 3?000?euros par an. L’an dernier, j’ai dû verser 1?500?euros pour six mois à EDF dont les services ne sont pas très arrangeants. J’ai installé des feux à pétrole. Mais, même le fioul, c’est difficile de le payer en fin de mois. Je ne chauffe plus les chambres. Je me lève plus tôt pour allumer les chauffages d’appoint pour que mes quatre enfants se lèvent dans un peu de chaleur, et nous avons toujours des couvertures dans les pièces à vivre. Mon petit-fils d’un an, que je garde la journée, a les doigts gelés. Nous allons tout le temps chez le médecin, car mon fils asthmatique n’arrête pas d’éternuer. Le froid et l’angoisse m’empêchent de dormir. J’ai pris du poids, et j’ai mal au dos. Il faudrait que je fasse un régime, mais j’ai trop de soucis pour m’occuper de ça.?»

En Islande, une entreprise permet aux volcans de faire rouler les voitures.

Du volcan à la voiture: un carburant nouvelle génération

Les biocarburants sont généralement produits à partir de plantes. D’autres ont choisi d’innover, en produisant des carburants à partir d’excréments, de déchets, de poisson ou d’algues.

En Islande, les habitants ont une source d’énergie peu facilement exploitable à première vue mais très présente : les volcans.1500 volcans actifs dans le pays, pour une moyenne de 60 éruptions par an.

Du méthanol à partir des volcans

Le volcanisme dégage beaucoup de dioxyde de carbone, très concentré. Une entreprise islandaise a donc eu l’idée de s’en servir. Carbon Recycling International capture les émissions de CO2 et les transforme en méthanol, gaz qui présente la particularité de ne pas dégager de monoxyde de carbone en brûlant.

Ce carburant liquide, appelé Vulcanol, peut être utilisé pour fabriquer d’autres produits, ou alimenter une voiture. Une dizaine de milliers de voiture pourrait déjà rouler de cette manière. Une aubaine pour le pays qui y voit une source d’énergie verte très intéressante, en plus de la géothermie déjà bien développée.

Thomas Chambers vient d’être mis en accusation devant la justice après l’accident mortel de sa petite fille Zuri (3 ans).

Il avait laissé traîner son arme. Le drame s’est produit le 13 février dernier à Lake Worth (Floride).

Zuri a pris un revolver chargé, laissé à l’abandon sur une table et a appuyé sur la gâchette.

La balle s’est logée dans la tête. La fillette est décédée dans un hôpital à proximité. Thomas Chambers a expliqué qu’il avait préparé son pistolet pour aller travailler car il devait faire un dépôt à la banque.

Il l’avait déposé sur une table à proximité de l’entrée pour ne pas l’oublier en partant. Il se préparait dans sa chambre lorsqu’il a entendu la détonation avant de découvrir sa fille.

La police lui reproche de ne pas avoir mis son pistolet en lieu sur alors qu’il avait reçu une formation sur l’utilisation des armes. Selon la loi en Floride, l’arme doit être entreposée dans une boîte fermée ou être à portée de main. De plus, l’enquête a montré que c’était la troisième fois que Zuri jouait avec une arme découverte à la maison.

En photo: un phénomène météorologique unique au monde, ça s’est produit cette semaine à Sydney après de très violents orages.

Porter assistance, une opération qui peut tourner au drame...

SAINT-BRIEUC. - « C'est une histoire hors norme. Avec cette affluence sur la RN12, on a frôlé une catastrophe plus grande encore.

 Le procureur adjoint, Bastien Diacono et les secouristes restent marqués par la scène qu'ils ont découverte, samedi, peu après 13 h, à la hauteur de Plérin (Côtes-d'Armor).

« Deux corps allongés de chaque côté de la quatre voies, il nous a fallu un peu de temps pour comprendre. »

Quelques dizaines de minutes plus tôt, une ambulance de la toute jeune société Urge ambulances revenait du centre hospitalier de Saint-Brieuc pour véhiculer un patient vers l'hôpital psychiatrique de Bégard, à 50 km. Un homme âgé de 27 ans doit y être transféré à la demande de sa famille.

Quelques heures auparavant, il a tenté de mettre fin à ses jours, en voulant sauter d'un pont. Alors que le véhicule est en route, le malade bouscule l'ambulancier installé à l'arrière.

Les deux hommes sont projetés, par l'arrière, sur la voie express. Lourde chute pour l'ambulancier Cyrille Haquevaux, 24 ans, qui reste à terre.

Le patient, lui, se relève et entreprend de traverser la route. « Un témoin l'a saisi par le bras pour l'arrêter dans son élan », raconte un automobiliste. Mais l'homme réussit à traverser le rail de sécurité et à se lancer dans le flot de circulation. Une voiture le heurte brutalement.

L'intervention des secours ne permettra pas de le réanimer. Le jeune ambulancier est, lui, transporté au centre hospitalier de Saint-Brieuc puis à Pontchaillou, à Rennes, où il était dimanche en état de mort cérébrale.

Sa conjointe doit accoucher dans quelques jours. Son collègue, conducteur, a, lui aussi, été hospitalisé, en état de choc.

En Ghana, une fillette de 13 ans paralysée après des viols à répétitions

Une jeune Ghanéenne de 13 ans se retrouve paralysée et condamnée à se déplacer en fauteuil roulant après avoir été violée à plusieurs reprises par son père dans la ville de Téma à l’est de la capitale Accra.

La jeune femme qui vivait seule avec son père raconte qu’elle était régulièrement enfermée dans une pièce par ce dernier qui la forçait ensuite à avoir des rapports sexuels violents et à répétions.

Son père lui avait interdit de raconter son calvaire à qui que ce soit. Cependant, elle n’a dû sa délivrance qu’à sa mère qui après une visite ayant constaté que sa fille ne pouvait plus marcher a alerté les services de protection de la femme.

La jeune femme est désormais paralysée et incontinente, elle est condamnée à se déplacer en fauteuil roulant et porte des couches à longueur de journée.

La mère de la jeune fille qui ne vit plus avec son mari, a porté plainte contre ce dernier et demandé l’aide des bonnes volontés afin de pouvoir prodiguer des soins appropriés à sa fille.

HISTOIRE VRAIE QUI S'EST PASSÉ AU CANADA

Un petit garçon, David est née il ya quelque mois. Un jour, elle a laissé dormir David dans la chambre et est parti dans le jardin. Quelques minutes plus tard, la maison prit feu et elle courut pour sauver son fils unique à l’intérieur. Les gens ont essayé de l'arrêter, mais ils n'ont pas réussi. Elle est allée et a sauvé son enfant

Le garçon a grandi et est devenu très riche. Un jour il a quitté le pays pour aller vivre à l’extérieur. En réalité, la cause de son départ est que sa maman n'avait plus de cheveux et en plus elle avait des cicatrice au visage , ce qui la rendait vilaine et David avait juste honte de sa mère.

Quand les gens lui demandaient si c'etait sa mère, il leur répondait :« Il n'ai quelqu'une si laid dans notre famille comme ma mère ».

Un jour, sa maman a entendu ce que son fils racontait d'elle et elle a fut très déçue.

Malheureusement, un jour la maman prit un bus qui eu un accident et elle mourut sur le coup. Le garçon a apprit la nouvelle et s'est senti très heureux. Puis, il se précipita vers le village et trouva des gens tristes. Il les dépassa et alla directement dans la chambre de sa défunte mère pour rechercher des documents importants.

Il a été choqué de trouver un vieux livre, le journal intime de sa mère. Il ouvre aussitôt et lis ceci:

DATE: 5 septembre 1980. J'ai été gagnante au concours MISS de beauté TORONTO

DATE: 14 janvier 1982. Mon mari Tonny Gateson est décédé dans l'accident de la route et m'a laissée enceinte de six mois.

DATE: 2 juillet 1983. J'ai sauvé mon fils unique David d'un incendie, mes cheveux étaient brulés et depuis elles ne repoussent jamais. j'ai aussi eu des cicatrices au visage.

David a commencé à pleurer, mais il était trop tard ! TROP TARD !

Veuillez noter : Ne jamais essayer d'abuser ou d'ignorer vos parents, peut importe comment ils sont. Ils sont une bénédiction pour nous.

Maintenant, vous avez deux choses à faire.

1----Partager cette histoire à des amis (es) si elle vous a touchée.

2---- IGNORER comme si de rien n'était.

Une femme d’une cinquantaine d’années a été brûlée vive, mercredi 5 mars, à l’entrée de son appartement, à Calais (Pas-de-Calais), rapporte La Voix du Nord ce jeudi. Les circonstances du drame ne sont pas encore déterminées.

C'est vers minuit que des voisins du dernier étage de l'immeuble, situé rue Edgar-Quinet, ont été alertés par une odeur de fumée. Ils descendent alors pour voir d'où elle provient et découvrent sur le palier du premier étage le corps immolé de Christine, «devant la porte de son appartement, entièrement brûlée».

Selon le journal, la Calaisienne, qui habitait cet immeuble depuis «plus de vingt ans», serait décédée à l'hôpital quelques heures plus tard.

«La Voix du Nord» raconte qu'une amie dans l’immeuble, Albertine, l’a vue le soir même :

«Christine est montée chez moi vers 20 heures, témoigne-t-elle. On a pris une petite goutte, mais elle avait trop bu, elle arrivait même pas à parler, alors je lui ai dit rentre chez toi, je te verrai demain».

Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame.

A 12 ans, il viole sa sœur (7 ans) après avoir vu un filme x sur le web Aujourd’hui âgé de 13 ans, un garçon est ressorti libre du tribunal de la jeunesse devant lequel il était poursuivi pour le viol de sa petite sœur.

Les services sociaux vont maintenant s’employer à l’aider pour qu’il réintègre sa famille dans les prochains mois.

Devant le juge, il avait plaidé coupable. Au tribunal sa petite sœur a expliqué qu’elle était triste pour ce qu’il avait fait, mais qu’elle voulait qu’il revienne à la maison parce qu’elle l’aime. Elle veut qu’ils puissent à nouveau jouer ensemble.

Les faits se sont produits entre mars et mai de l’année dernière, mais n’ont été connus qu’à l’automne. Le garçon avait visionné de la pornographie avec des amis chez un copain.

Il avait voulu ensuite « essayer » par lui-même… surtout que ses potes semblaient plus en avance que lui en matière de sexualité. Le jeune garçon a abusé de sa sœur à six reprises.

 Retenue prisonnière par sa mère au milieu des immondices La police italienne a sauvé Chiara (36 ans) retenue par sa mère dans un appartement-dépotoir depuis huit ans.

Au moment de sa découverte, la jeune femme était nue et tentait de se réchauffer avec un sèche-cheveux ; le local n’étant pas chauffé.

 L’appartement se trouve dans une zone résidentielle de Naples. La mère (69 ans), une enseignante à la retraite, a été arrêtée ainsi que sa sœur, la tante de la victime, et le concierge de l’immeuble.

Des voisins avaient alerté la police à cause d’une odeur pestilentielle émanant des lieux. Chiara est dans un très mauvais état de santé et souffre de malnutrition.

Elle a néanmoins souri en sortant de l’appartement envahi par les détritus.

Sa mère venait la voir deux fois par semaine et lui laissait de la nourriture dans des sacs sur le sol.

Elle vivait avec sa sœur non loin de là.