Des stagiaires maltraitent des pensionnaires d'une maison de retraite et postent les vidéos

Après la mise en examen de trois jeunes filles pour avoir diffusé sur le réseau social Snapchat des vidéos de brimades, les associations dénoncent le manque d'encadrement des stages.

Les trois jeunes filles âgées de 16 à 17 ans devaient faire un stage d'apprentissage professionnel d'une semaine dans une maison de retraite d'Annet-sur-Marne en Seine-et-Marne.

Cette formation courte a démarré lundi 18 janvier mais a été vite interrompue à la suite d'alertes lancées par certains de leurs camarades de classe. Ces derniers ont été choqués par la violence de films courts postés par les stagiaires sur le réseau social Snapchat.

Scandalisées, les associations dénoncent le manque d'encadrement des stagiaires par le personnel soignant : "Cela paraît énorme que des jeunes filles en stage en arrivent à violenter des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer", a réagi Joëlle Le Gall, présidente honoraire de la Fédération nationale des associations de personnes âgées et de leurs familles (Fnapaef).

"Si le personnel de l'établissement, aides soignants, infirmiers, médecins coordinateurs ne sont pas en capacité de bien encadrer les stagiaires, de prendre du temps pour les former, c'est un véritable problème", a-t-elle poursuivi.

"Les moyens dans les EHPAD (établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) sont très largement insuffisants et c'est là le problème", a souligné la représentante d'associations. En tout, les trois jeunes filles ont partagé 33 vidéos sur la plateforme, "montrant des personnes handicapées ou atteintes de maladies type Alzheimer", indique la gendarmerie.

Des brimades, moqueries et attaques physiques qui ont été rapportées à leurs professeurs qui ont immédiatement mis fin à la formation en milieu de semaine et averti la direction de l'établissement de santé. En garde à vue Les trois mineures ont été interpellées par les gendarmes et placées en garde à vue en fin de semaine.

Le parquet de Meaux a annoncé qu'elles avaient été mises en examen pour violences en réunion avec préméditation, diffusion sur internet de scènes de violence et atteinte à la vie privée, et placées sous contrôle judiciaire. L'application Snapchat permet de partager des vidéos courtes qui ont une durée de vie limitée sur le réseau social.

Cette affaire ressemble étrangement à un scandale similaire découvert il y a quelques semaines aux États-Unis. Le site internet ProPublica a révélé que de 2012 à 2015, plus de 35 cas de photos ou films de violences sur personnes âgées commises par des employés de maisons de retraite avaient été partagés sur les réseaux sociaux, dont 16 sur la plateforme Snapchat.

Voici ce gros s......d qui a massacré cette pauvre minette de 13 ans à st esteve 66240.

Pauvre Vega battue à mort!!!!!! que la tronche de cette pourriture !!!! fasse le tour des blogs.  

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Une retraitée serbe démunie hérite de 600.000 euros... et les donne Maria Zlatic, 86 ans, dans sa maison d'une région montagneuse de l'est de la Serbie.

L'octogénaire vit avec une retraite de 65 euros par mois. Maria Zlatic, 86 ans, dans sa maison d'une région montagneuse de l'est de la Serbie.

vit avec une retraite de 65 euros par mois.Elle aurait pu profiter de tout cet argent tombé du ciel pour couler des jours heureux . Une Serbe de 86 ans vivant dans des conditions précaires a récemment hérité de plus de 600.000 euros, mais a aussitôt décidé de les offrir à plusieurs personnes qui l'aident à vivre au quotidien.

Marija Zlatic, qui habite une région montagneuse près de Boljevac (est), a été informée qu'elle était l'héritière de 940. 600.000 dollars australiens (611.000 euros) de son mari décédé en Australie en 2011, rapporte le quotidien serbe Vecernje Novosti.

De quoi rêver alors qu'elle vit avec une retraite de 65 euros par mois. Mais Marija a préféré poursuivre sa vie dans ses conditions modestes dans sa maison délabrée depuis longtemps et donner l'argent aux quelques personnes qui l'ont aidée depuis des années. Ces personnes, qui habitent un village voisin à deux heures de marche du hameau de Marija, lui apportent régulièrement des vivres et du bois de chauffage.

«Je n'ai pas besoin d'argent, alors je l'ai donné. Eux, ils en ont besoin. Ma retraite (mensuelle) de 8.000 dinars (65 euros) me suffit largement», a-t-elle expliqué. Avec son mari Momcilo, qui était menuisier, elle avait quitté son village en 1956 pour s'installer en Australie.

Mais elle était rentrée moins de deux ans plus tard pour s'occuper de sa mère malade et n'était plus jamais repartie. Elle était en contact de temps en temps avec son mari qui avait, croit-on, plusieurs fermes de bovins, a raconté au journal une des personnes proches de Marija Zlatic.

Ils ont trouvé une grotte si vaste qu’elle contient une forêt et un fleuve! Dans cette grotte, il y a un fleuve de 2,5 km de long!

Han Son Doong fait partie du parc national de Phong Nha-Kẻ Bàng, près de la frontière avec le Laos. Elle est actuellement considérée comme la plus vaste galerie souterraine au monde.

On pourrait y édifier tout un quartier d’immeubles de quarante étages. C’est l’une des vingt nouvelles grottes découvertes au Viêt Nam ces dernières années. Elle fait partie d’un réseau de quelque 150 grottes dans la cordillère annamitique.

Une rivière souterraine l’a creusée voilà deux à cinq millions d’années. (src). Magnifique, je vous propose quelques minutes d’images splendides …. Dans cette vidéo, au début, il y a une modélisation de la grotte… à voir!

3 Galgos dont deux noirs de la Fondation Benjamin Mehnert invités au défilé de la nouvelle collection de mode flamande de la designer Carmen Fitz ....

Rumeur : cette femme âgée de 101 ans est-elle la mère de cet enfant ?

Publié dans Insolite aujourd'hui par La Rédaction

Elle serait devenue la plus vieille maman du monde ! Selon le site internet World News Daily Report, une femme âgée de 101 ans d'origine italienne, aurait donné à un sacré petit bout de chou de 4 kilos.

La femme en question, Anatolia Vertadella, aurait reçu une transplantation des ovaires en Turquie afin de permettre ce miracle de la vie.

L'information semble incroyable, voire impossible. L'article en question cite des noms et offre le témoignage du médecin. Cette opération illégale (si elle a bien eu lieu) a fait polémique.

Anatolia a expliqué aux journalistes présents pour :

Je suis très reconnaissante envers toute l'équipe médicale qui a maintenu l'opération. Je suis tellement reconnaissante d'avoir donné naissance à mon 17ème enfant. C'est une vraie bénédiction et un témoignage de la puissance de Dieu.

Malgré les controverses qu'aurait soulevé cette opération, le docteur Popolicchi aurait déclaré que la décision finale revenait au patient. Il aurait même ajouté qu'il n'avait en aucun cas le droit de la juger et de choisir ce qui lui semblait le mieux à faire.

En Turquie, l'opération étant légale, le médecin aurait alors déclaré :

La patiente est en parfaite santé pour son âge et a encore bien des années à vivre et à partager avec son enfant. Alors que pleins de naissances sont involontaires voire non-désirées, n'est-ce pas magnifique que de permettre à une femme de donner naissance à un enfant qui sera aimé ?

Veuve depuis 1998, l'Italienne aurait trouvé un donneur âgé de 26 ans sur internet. Il est catholique, c'est tout ce qui m'importait. [...] J'aime toujours mon défunt mari et je désire rester seule jusqu'à mon dernier souffle. Mais j'avais besoin de cet homme catholique afin d'accomplir les volontés de Dieu. Anatolia détrônerait le record détenu jusque-là par Malegwale Ramokgopa, une Sud-Africaine qui aurait donné naissance à des jumeaux juste après avoir fêter son quatre-vingt-douzième anniversaire. Serait-ce un "faux buzz" ?

La photo utilisée par World News Daily Report est exactement la même photo que celle de Rosa Camfield, cette fameuse grand-mère décédée en 2015 à l'âge de 101 ans qui a fait le buzz sur les réseaux sociaux anglais. La photo extrêmement touchante de la vieille femme et de son arrière-petite-fille a su émouvoir le coeur des internautes et c'est pourquoi elle a fait le tour du monde. Du coup, on se demande si l'histoire de la maman italienne de 101 n'est pas un fake. N'est-ce pas étrange qu'un événement de cette ampleur n'ait pas fait un plus grand tollé auprès des médecins ? Qu'en pensez-vous ?

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«Valorisant», «enrichissant», «émancipateur»... l'apprentissage vu par les apprentis

LE SCAN ÉCO / TÉMOIGNAGES

- Ils sont en CAP «Couverture», en bac professionnel «Boulangerie», en brevet des métiers d'arts «Facture instrumentale», ou en école d'ingénieur dans l'aérospatial... Quatre jeunes français racontent la façon dont ils vivent leur apprentissage.

Alors que François Hollande doit faire de nouvelles annonces ce lundi 18 janvier pour relancer l'apprentissage en France, quatre apprentis du réseau Agefa PME -un réseau créé par la CGPME en 1994 pour favoriser l'insertion des jeunes dans le monde de l'entreprise - racontent leur propre expérience.

Louis Fontan, apprenti du Centre de formation des apprentis (CFA) Compagnons du Tour de France

- 20 ans

- Réorientation en CAP Couverture après un parcours par la voie générale Bac puis Université

- Entreprise: AB Couverture à Vaires sur Marne (77)

- En formation depuis 1 an et demi

Les points positifs de l'apprentissage:

«C'est enrichissant à tout point de vue. On passe de la théorie à la pratique avec une partie à l'école et une partie dans l'entreprise. A l'école, j'apprends des techniques à appliquer pour mon futur métier. En entreprise, c'est tout de suite concret. Toutes les situations sont différentes, il faut nous adapter au mieux. L'apprentissage, c'est acquérir une certaine maturité. Je le vois même comme une certaine émancipation par rapport aux parents. La notion d'argent entre en ligne de compte et cela nous fait grandir plus vite. On voit que pour gagner de l'argent et sa vie, ce n'est pas si évident.»

Les points à améliorer:

«Difficile de voir des points à améliorer car pour moi l'apprentissage est une vraie chance. C'est bien structuré. Je m'estime même heureux d'être chez les Compagnons-réseau AGEFA PME. De plus, je n'ai pas eu de difficulté à trouver un contrat d'apprentissage.»

Les attentes de l'apprenti:

«Mes attentes peuvent se résumer à obtenir un diplôme reconnu, apprendre un métier et être qualifié pour ce métier. J'attends aussi la transmission du savoir par des personnes confirmées, à la fois théorique et pratique. Pour cela, la relation avec le maître d'apprentissage est cruciale pour avancer et bien apprendre.»

UN COUPLE ADMIS À L’URGENCE APRÈS AVOIR CONFONDU DE LA COLLE ET DU LUBRIFIANT

Montréal| Un couple de l’arrondissement Hochelaga-Maisonneuve a vécu un moment des plus gênants hier, alors qu’il a dû être admis à l’urgence en arborant une position sexuelle des plus explicites.

Johanne Dubé, 37 ans, et Mario Tanguay, 40 ans, ont dû appeler les services d’urgence après avoir utilisé par erreur, de la colle industrielle comme lubrifiant sexuel.Le couple se trouvait en position très compromettante lors de son arrivée à l’urgence du Centre hospitalier universitaire de Montréal, attirant instantanément l’attention des dizaines de patients présents sur place.

Bien que les ambulanciers aient tenté de les couvrir tant bien que mal à l’aide de couvertures, le couple était visiblement pratiquement nu et coincé ensemble dans la région du bassin. Une opération chirurgicale très délicate de plus de trois heures a été nécessaire pour séparer le couple, qui s’en sort heureusement avec plus de peur que de mal, ne souffrant que de lésions mineures.

Selon un des ambulanciers appelés sur place, l’homme leur aurait expliqué qu’il était un passionné de maquettes et de modèles réduits et que dans l’empressement, il avait confondu une colle cyanoacrylate puissante avec son tube de lubrifiant sexuel qui aurait pratiquement la même forme.

Le couple aurait réalisé l’erreur au bout d’une trentaine de secondes, mais il était malheureusement déjà trop tard. C’est seulement le deuxième couple cette année à être victime d’une erreur semblable dans la région montréalaise, une nette amélioration par rapport aux 31 couples auxquels c’est arrivé en 2013. La campagne de sensibilisation du ministère de la Santé, au coût de 5.1 millions de dollars, a certainement contribué fortement à cette amélioration. 

Des enfants meurent dans les mines pour produire nos smartphones

Des enfants parfois âgés de sept ans travaillent dans des conditions périlleuses dans les mines de République démocratique du Congo (RDC) pour extraire du cobalt utilisé dans les batteries lithium-ion destinées à la fabrication de smartphones ou de voitures électriques.

De grandes multinationales comme Apple, Samsung et Sony n’effectuent pas les contrôles élémentaires afin de vérifier que la fabrication de leurs produits n’intègre pas de cobalt extrait par des enfants , pointent les ONG Amnesty International et Afrewatch dans un rapport publié mardi.

Seule une des 16 entreprises contactées dans le cadre du rapport a reconnu utiliser du cobalt en provenance de ces mines. «Des millions de personnes bénéficient des avantages des nouvelles technologies, sans se préoccuper de la manière dont elles sont fabriquées. Il est temps que les grandes marques assument leur part de responsabilité dans l’extraction des matières premières qui rendent leurs produits si lucratifs», explique Mark Dummett, spécialiste de la responsabilité des entreprises en matière de droits humains à Amnesty International.

Certains enfants ont affirmé travailler jusqu’à 12 heures par jour dans les mines, transportant de lourdes charges, pour gagner entre un et deux dollars par jour.

Selon l’Unicef, en 2014, environ 40.000 enfants travaillaient dans les mines dans le sud de la RDC, dont beaucoup dans des mines de cobalt. « Les cadavres restent sous les décombres » Entre septembre 2014 et décembre 2015, au moins 80 mineurs sont morts sous terre dans le sud de la RDC. Aucun chiffre précis n’est cependant connu actuellement: «de nombreux accidents ne sont pas signalés et les cadavres restent ensevelis sous les décombres», selon l’ONG.

«C’est le grand paradoxe de l’ère numérique: des entreprises parmi les plus florissantes et innovantes du monde sont capables de commercialiser des produits incroyablement sophistiqués sans être tenues de révéler où elles se procurent les matières premières incluses dans leurs composants», pointe le directeur exécutif d’Afrewatch, Emmanuel Umpula.

Des chercheurs d’Amnesty International et d’Afrewatch se sont entretenus, en avril et mai 2015, avec 87 mineurs de cobalt, dont 17 enfants, travaillant sur cinq sites miniers dans le sud de la RDC. La RDC est responsable d’au moins 50% de la production mondiale de cobal

ÉTATS-UNIS, Texas: Un couple laisse un nouveau-né affamé et dans ses excréments pendant plusieurs Jours.

Avoir un enfant signifie beaucoup de responsabilités, et coucher avec une autre personne signifie que vous acceptez tous les deux la possibilité d’avoir un enfant.

La plupart des jeunes gens qui couchent ensemble n’aiment peut-être pas ça, mais c’est la vérité. Deux jeunes parents du Texas ont récemment durement appris cette leçon, mais pas avant d’avoir causé du tort au jeune bébé.

Justin et Brittany Alston, âgés de 21 ans, ont reçu quelques amis chez eux pour faire la fête, une jeune de 19 ans a entendu des pleurs venant d’une autre chambre.

Quand elle est entrée et qu’elle a découvert un bébé sale et affamé, elle a fait la seule chose à laquelle elle pouvait penser: appeler un « vrai » adulte à l’aide.

Quand elle est entrée dans la chambre après avoir entendu les pleurs, l’adolescente a trouvé le petit Riley, dans un tas de son propre caca, urine et vomi. Il avait les joues creusées, beaucoup trop maigre pour un enfant et n’ayant pas du tout ces petits bourrelets de bébé caractéristiques.

Un « adulte » est arrivé et a emmené Riley à un hôpital du coin, où les médecins se sont d’abord inquiétés pour la vie du petit garçon. On l’a nourri avec une intraveineuse jusqu’à ce que son estomac soit capable de digérer la nourriture, et ils ont fini par soigner le bébé.

« Ces parents, je ne sais pas s’ils voulaient qu’il meure, mais ils attendaient qu’il meure, et je crois que s’il était mort, ils l’auraient jeté dans les poubelles, » a dit Robert Christian, le procureur du comté de Hood.

Ceci à la suite de quelques terrifiants interrogatoires avec le jeune couple en question. Les parents ont admis avoir dépensé leur temps et leur argent sur l’alcool et les cigarettes, plutôt que pour nourrir le pauvre bébé.

Une nouvelle maman d’accueil prend aujourd’hui soin de Riley, le nourrissant et le traitant comme on devrait traiter un bébé. Regardez-moi ce sourire après seulement quelques mois à être nourri et aimé.