Le deuxième plus grand lac de Bolivie a disparu Le Lac Poopo en Bolivie, victime de la sécheresse.

 Le lac Poopó s'est totalement asséché au cours des dernières années. Des milliers d'animaux sont morts dans cette catastrophe écologique qui contraint les habitants de la région à migrer. C'était le deuxième plus grand lac de Bolivie, il n'en reste presque rien. Le lac Poopó s'est totalement asséché et offre aujourd'hui une panorama de désolation.

Amorcé il y a plusieurs années, ce désastre écologique s'est accéléré ces deux derniers mois, note le site Actulatino. "Il n'y a rien, encore moins de la vie" "Nous avons un lac asséché. Aujourd'hui, c'est une pampa, un désert où l'on ne peut rien semer, rien produire. Il n'y a rien, encore moins de la vie", a confié un habitant rural de la zone à l'agence de presse EFE.

Des barques de marins sont coincées sur le lac, situé dans la région de l'Oruro, au sud de La Paz, la capitale du pays. L'assèchement a provoqué la disparition de 200 espèces d'oiseaux, de mammifères, de poissons. Trois espèces de flamants roses en voie d'extinction ont dû migrer, selon Actulatino.

Le père sauvé par son fils de 5 ans s'est suicidé

Le 6 janvier, le petit Kévin-Djéné avait pris son vélo en pleine nuit pour alerter les secours.

L'homme avait survécu à un malaise cardiaque, grâce à l'alerte lancée par son fils de 5 ans. Moins d'une semaine après, il s'est donné la mort.

La belle histoire a viré à la tragédie. Un père de famille de Saint-Pierre-la-Cour (Mayenne) s'est suicidé dans la nuit de samedi à dimanche au domicile familial, rapporte ce lundi Ouest-France.

Il s'agit de l'homme de 58 ans qui avait miraculeusement survécu grâce au courage et la vivacité d'esprit de son fils de 5 ans. Selon le quotidien local, il était "fragile psychologiquement".

Le 6 janvier dernier, ce père a été victime d'un malaise cardiaque alors qu'il était en compagnie de son garçonnet. Malgré l'heure tardive -près de 22h30- et son jeune âge, ce dernier enfourche sa bicyclette pour donner l'alerte. Il tente de rejoindre l'entreprise où sa mère travaille de nuit. Un automobiliste le repère sur une route de campagne au bout de quelques kilomètres, "en pyjama et en tongs", "trempé et frigorifié". "Je croise de nombreuses voitures et l'une d'elles me fait des appels de phare. Je continue ma route prudemment et j'aperçois ce qui ressemble à un enfant à vélo", expliquait-il à Ouest-France.

Un petit garçon "incroyable"

Prévenus, les gendarmes parviennent à localiser le domicile et retrouvent le père, inconscient. Après une courte hospitalisation, il avait été sauvé et avait pu sortir jeudi dernier. L'histoire avait fait le tour de la France et ému les internautes, qui ont loué la bravoure du fils. "Ce petit garçon est incroyable", s'exclamait l'automobiliste dans les colonnes du quotidien local.

UN ENFANT VOIT UN TRUC DANS UN ÉTANG, LES HABITANTS NE S'ATTENDENT PAS À SORTIR ÇÀ DE L'EAU !

La vie nous réserve parfois de drôle de surprises et ce n’est sans doute pas le jeune Estonien de l’histoire qui suit qui nous dira le contraire. En effet, alors qu’il se baladait tranquillement dans la forêt, il remarque quelque chose d’étrange dans un lac. Conscient qu’il ne parviendra pas, seul, à savoir ce qu’il y a réellement dans l’étendue d’eau, il décide d’aller chercher du renfort...

 Rapidement, il convainc plusieurs promeneurs de se joindre à lui pour venir constater qu’il y a bel et bien quelque chose dans le lac. Tous s’affairent sur les lieux où le jeune garçon a identifié quelque chose d’anormal

 Les plus téméraires commencent à remuer la boue afin de comprendre de quoi il s’agit. Mais ils comprennent très vite que, ce qui a été enfoui dans ce lac, est volumineux et lourd . Rapidement, à la demande des promeneurs, un engin de chantier vient à leur aide pour tenter de sortir « le mystère » du lac

Les promeneurs commencent à deviner de quoi il s’agit puisque les formes se dévoilent, à mesure que l’engin de chantier tire a vie nous réserve parfois de drôle de surprises et ce n’est sans doute pas le jeune Estonien de l’histoire qui suit qui nous dira le contraire. En effet, alors qu’il se baladait tranquillement dans la forêt, il remarque quelque chose d’étrange dans un lac. Conscient qu’il ne parviendra pas, seul, à savoir ce qu’il y a réellement dans l’étendue d’eau, il décide d’aller chercher du renfort... .

Et c’est une grande surprise pour tous de découvrir un tank de l’époque soviétique . Toutes les personnes présentes essaient de contribuer comme elles le peuvent à l’extraction de l’engin de l’eau 8. Finalement, après de longues heures de labeur, le tank est enfin sorti de l’eau .

Désormais, celui-ci doit être remonté au niveau de la route où l’attend un camion pour le transport . Là encore, la tâche s’annonce périlleuse car le terrain est en pente ! La vie nous réserve parfois de drôle de surprises et ce n’est sans doute pas le jeune Estonien de l’histoire qui suit qui nous dira le contraire. En effet, alors qu’il se baladait tranquillement dans la forêt, il remarque quelque chose d’étrange dans un lac.

Conscient qu’il ne parviendra pas, seul, à savoir ce qu’il y a réellement dans l’étendue d’eau, il décide d’aller chercher du renfort... . La bonne surprise est que le tank semble parfaitement conservé – alors qu’il a probablement été enseveli il y a plus de 50 ans par les troupes soviétiques, afin qu’il ne tombe pas entre les mains des ennemis .

Pour l’heure, personne ne sait où sera entreposé ce tank, mais il y a fort à parier qu’après une belle restauration, il trouvera toute sa place dans un musée du pays 

Cet hôpital permet à votre chien de vous visiter, parce que les câlins sont le meilleur médicament

Une maladie grave est l’un des évènements les plus stressants qu’un humain puisse vivre, et être confiné dans un hôpital augmente sérieusement le niveau d’anxiété.

Un centre de traitement canadien, The Juravinski Hospital, a fait un grand pas vers la réduction de ce stress et l’amélioration du moral de leurs patients amateurs d’animaux.

Grâce à un remarquable jeune homme , appelé Zachari Noble, et sa tante, Donna Jenkins, l’hôpital a ainsi adopté un programme pour permettre aux chiens et chats de visiter leurs propriétaires gravement malades.

Quand Zachari était un patient au Juravinski Hospital se battant contre le cancer, il a supplié de voir ses chiens. Même s’il est mort de cette maladie, ses visites avec ses chiens ont toujours amélioré sa condition.

Jenkins honore la mémoire de Zachari et s’assure qu’elle vive à travers sa fondation, Zachary’s Paws for Healing. Avec les directeurs de l’hôpital et le staff médical, Zachary’s Paws for Healing est devenue la première organisation au Canada qui autorise aux patients hospitalisés des visites d’animaux de compagnie.

Les chiens de thérapie ont été utilisés pendant des années avec d’excellents résultats, mais ce programme permet aux patients d’interagir avec leurs animaux bien-aimés.

En plus de remonter le moral des patients, le programme est aussi bénéfique pour les animaux qui peuvent vivre une anxiété liée à la séparation à cause de l’absence de leurs humains.

Jusque là, 25 visites ont eu lieu entre les patients des soins intensifs et leurs animaux. Avant chaque visite, les animaux sont bien nettoyés pour ne pas introduire de germes à l’hôpital. Ils sont ramenés dans des chariots couverts et tenus loin de tous les autres patients durant leur visite hebdomadaire d’une heure.

 Jenkins est fière de l’impact qu’a eu le programme de Zachary’s Paws for Healing et espère le voir se généraliser à d’autres hôpitaux. En plus des visites à l’hôpital des animaux de compagnie, le programme 100% bénévole compte aussi offrir une maison d’accueil aux propriétaires qui vont à l’hôpital pour traitement.

Certains patients ont refusé des thérapies qui pouvaient leur sauver la vie parce qu’ils n’avaient pas à qui confier leurs animaux . Zachary’s Paws for Healing espère alléger cette inquiétude afin que les patients puissent se concentrer sur leur santé.

Il faut baisser le SMIC de 300 euros !

La semaine dernière, The Economist a consacré un papier au salaire minimum, se demandant s'il en fallait un et si oui, à quel niveau il fallait le mettre.

Une plongée glaçante dans la pensée néolibérale. Les penseurs néolibéraux ont au moins un mérite. Ils osent tout. L'économie n'est qu'une science abstraite faite de chiffres, totalement désincarnée et déshumanisée.

C'est bien ce qui ressort de ce papier de la bible des élites mondialisées sur le salaire minimal. The Economist cite Milton Friedman, pour qui il est « une forme de discrimination contre les travailleurs sans qualification ».

Qualifier de « discrimination » le fait d'empêcher de payer un salaire de misère en dit déjà long... Mais l'hebdomadaire souligne que d'autres économistes affirment que quand les employeurs ont un fort pouvoir, ils peuvent fixer les salaires à un niveau trop faible, ce qui a poussé les gouvernements à instaurer un salaire minimal dans un nombre grandissant de pays.

La Nouvelle-Zélande a été la première en 1894, suivie par les Etats-Unis de Roosevelt en 1938, la Grande-Bretagne patientant jusqu'en 1999. Le SMIC étasunien, très bas, a été relevé de 40% depuis 2007. L'oubli de l'homme Les économistes ont mené des études divergentes sur le niveau du salaire minimum aux Etats-Unis, du fait des différences entre Etats.

Deux économistes ont démontré que les différences de niveau du salaire minimum n'ont pas d'impact sur le niveau de l'emploi dans la restauration entre 1990 et 2006 mais deux autres ont démontré l'inverse.

En Grande-Bretagne, les études sont plutôt positives et soulignent un effet d'entraînement pour les salaires supérieurs au SMIC. Ce qu'il y a de terrifiant dans ce papier, c'est son aspect clinique, froid et finalement inhumain.

Aucune question n'est posée sur le niveau du seuil de pauvreté, oumême de l'évolution du salaire médian (qui baisse), base contre laquelle il faudrait fixer le SMIC. Réfléchir à l'impact que tout cela a sur les travailleurs pauvres ne semble pas effleurer une seconde l'auteur du papier.

La conclusion est glaçante : « Quels que soient leurs défauts, les salaires minimums vont persister ». Il est difficile de ne pas y voir un regret de la part deThe Economist, comme s'il indiquait qu'il n'était malheureusement pas possible politiquement de les supprimer...

Mais le pire est à venir au sujet du niveau souhaitable du SMIC. L'hebdomadaire néolibéral indique que pour l'OCDE et le FMI, « un salaire minimum modéré fait probablement plus de bien que de mal », avant de préciser que la définition d'un salaire minimum modéré signifie entre 30 et 40% du salaire médian.

The Economist reconnaît que le cas britannique (à 46% du salaire médian) démontre que l'on peut aller un peu plus haut. Les Etats-Unis et le Japon restent sous le cap des 40% alors que la France se distingue avec le niveau le plus élevé de la sélection avec un SMIC à 60% du salaire médian.

Bizaremment, pas d'information sur les pays scandinaves. En clair, pour The Economist, en France notre SMIC est trop élevé de 25 à 30% ! Cela veut dire qu'avec un SMIC à 1118 euros nets par mois, ils recommandent une baisse d'environ 300 euros. Voilà le fond de la pensée néolibérale...

Voilà sans doute pourquoi Pierre Moscovici valorise la miniscule hausse du SMIC de juin, pourtant trois fois moins importante que celle de Jacques Chirac en 1995. On aimerait que les donneurs de leçon néolibéraux essaient de vivre ne serait-ce que quelques semaines avec le SMIC qu'ils recommandent...

D'étranges sons entendus dans plusieurs villes du Royaume et du monde

Plusieurs journaux locaux ont relayé l'information qui a éveillé la curiosité des gens. Il y en a qui ont comparé ces sons à ceux des avions ou des trains.

D'étranges bruits auraient été entendus dans les villes marocaines de Casablanca, Tanger, Marrakech et Agadir. Sur les réseaux sociaux circulent les vidéos de ces bruits suscitant des interrogations de la population sur la nature de ces sons.

Plusieurs journaux locaux ont relayé l'information qui a éveillé la curiosité des gens. Il y en a qui ont comparé ces sons à ceux des avions ou des trains.

Après prospection, il s'est avéré que ces bruits bizarres ont été aussi entendus en Russie, aux États-Unis, au Mexique et en Grande-Bretagne.

Scientifiquement, la presse internationale a expliqué le phénomène par "des gémissements du ciel" et que ces bruits ne peuvent être entendus par tout le monde.

A noter que les sons entendus dans différentes villes du Royaume n'ont pas encore été expliqués et le mystère reste entier sur la provenance du bruit...

La faute qui fait tache sur la plaque commémorative aux disparus de "Charlie Hebdo"

GROSSE COQUILLE – Mardi 5 janvier, François Hollande et Anne Hidlago ont dévoilé une plaque commémorative "à la mémoire des victimes de l'attentat terroriste contre la liberté d'expression perpétré dans les locaux de 'Charlie Hebdo' le 7 janvier 2015", rue Nicolas-Appert, à Paris.

Parmi les noms gravés des dessinateurs assassinés, une coquille s'est cachée... La plaque avec la faute de la honte... La plaque avec la faute de la honte...

Une fois gravé dans le marbre, c'est difficile à effacer. La faute est pourtant là, fixée pour l'éternité. La plaque dévoilée en présence des familles des victimes est apposée sur l'immeuble de la rue Nicolas-Appert, dans le XIe arrondissement, où se trouvait le siège de Charlie Hebdo. Les noms des victimes y sont inscrits par ordre alphabétique : "Frédéric Boisseau, Franck Brinsolaro, Cabu, Elsa Cayat, Charb, Honoré, Bernard Maris, Mustapha Ourrad, Michel Renaud, Tignous, Georges Wolinsky".

Aïe, ça fait mal à l'œil. Car ça s'écrit Wolinski...

Une faute qui n'a pas échappé aux smartphones présents Le président François Hollande et la maire de Paris Anne Hidalgo ont déposé une gerbe et marqué une minute de silence devant la plaque, apparemment pas troublés par cette faute d'orthographe que même une bouteille entière de Tippex ne saurait masquer.

Quelques personnes présentes l'ont remarquée, elles, et vite immortalisée via Twitter.

Un Pitbull meurt poignardé en protégeant sa famille

A Fort Myers, en Floride (Etats-Unis), une femme rentrait à son domicile lorsqu’elle a surpris son ancien compagnon à l’intérieur de sa maison.

Il s’est précipité sur elle et a commencé à la rouer de coups, avant de sortir un couteau. Lucy, le Pitbull de la famille, s’est alors jeté sur l’agresseur.

L’ex concubin a poignardé l’animal au cou. Les trois fils de la mère de famille ont ensuite sauté sur l’homme et l’ont maîtrisé au sol.

Quant au chien, il est décédé sur place des suites de ses blessures.

« J’ai demandé une serviette et j’ai pressé autant que j’ai pu sur la blessure, pour essayer de lui sauver la vie. » a indiqué la mère de famille. Mais l’animal est mort dans ses bras. « Si elle n’avait pas agi ainsi, il aura probablement pu nous poignarder tous. Elle nous a sauvé la vie. » a rajouté Lisa.

L’auteur des coups de couteau est actuellement en détention provisoire.

Un père écrit une lettre à son fils…. Attendez de voir elle vous brisera le ♥.

Plusieurs pays occidentaux dont particulièrement le Québec et le Canada sont aux prises avec un grave problème de vieillissement de la population et les aînés sont parfois négligés lorsque vient le temps de leur apporter des soins quand ils sont en perte d’autonomie.

Ce vieillissant père de famille qui commençait à être malade a donc écrit une lettre très touchante à son fils pour lui demander de s’occuper de lui d’une manière respectueuse dans ces temps difficiles.

Comment auriez-vous réagi en recevant un lettre similaire de la part de votre part?

N’hésitez pas à partager cette magnifique lettre avec tous vos amis.

Lettre d’un père vieillissant à son fils.

Si un jour tu me vois vieux, si je me sali quand je mange et que je ne réussi pas à m’habiller, sois compréhensif, souviens toi du temps que j’ai passé pour t’apprendre.

Si quand je parle avec toi je répète toujours les mêmes choses, ne m’interromps pas, écoute moi, quand tu étais petit je devais te raconter chaque soir la même histoire avant que tu ne t’endormes.

Quand je ne veux pas me laver ne me fais pas honte, souviens toi quand je devais te courir après en inventant milles excuses pour que tu ailles au bain.

Quand tu vois mon ignorance pour les nouvelles technologies, donne-moi le temps nécessaire et ne me regarde pas avec se sourire ironique, j’ai eu tant de patience pour t’apprendre l’alphabet. Quand par moment je n’arrive pas à me souvenir ou que je perd le fil de la conversation, donne moi le temps nécessaire à retrouver la mémoire et si je n’y arrive pas ne t’énerve pas, la chose la plus importante n’est pas ce que je dis mais le besoin d’être avec toi et de t’avoir là à m’écouter.

Quand mes jambes fatiguées n’arrivent plus à tenir la cadence de tes pas, ne me considère pas comme un boulet, viens vers moi et offre moi la force de tes bras comme je l’ai fais lorsque tu as fais tes premiers pas. Quand je dis que j’aimerais être mort, ne te fâche pas, un jour tu comprendras se qui me pousse à le dire.

Essaie de comprendre qu’à mon âge on ne vit, pas on survit. Un jour tu découvriras que malgré mes erreurs je n’ai toujours voulu que le meilleur pour toi, que j’ai tenté de te préparer la route. Donne moi un peu de ton temps, donne moi un peu de ta patience, donne moi une épaule sur laquelle poser ma tête de la même façon que je l’ai fais pour toi. Aide moi à avancer, aide moi à finir mes jours avec amour et compréhension, en échange je n’aurais que mon sourire et l’immense amour que j’ai toujours eu pour toi.

Je t’aime mon fils..

La louve, le premier supermarché qui fera travailler ses clients !

Encore une fois, des alternatives naissent tous les jours en France, mais celle-ci va faire parler d’elle, puisqu’il s’agit du premier supermarché alternatif qui fera travailler ses clients et qui va ouvrir ses portes à Paris en 2016.

Ce concept s’inspire du modèle américain « Park Slope Food Coop ». « Il s’agit d’un nouveau modèle pour faire ses courses » explique son fondateur. Retour sur une alternative qui va faire du bruit…

L’origine de ce supermarché est inspirée du modèle de coopérative créé dans un quartier de New York il y a 40 ans — la Park Slope Food Coop — par quelques voisins à la recherche d’alternatives face aux dérives de la grande distribution. Aujourd’hui, cette coopérative compte pas moins de 16 000 membres.

Les New-Yorkais peuvent y acheter fruits et fromages à des prix imbattables, à condition de s’engager à y travailler quatre heures tous les mois. Grâce au nombre important de membres, l’effectif permet de solliciter tous les producteurs locaux de produits frais et bio, de leur donner du boulot et de les rémunérer au juste prix.

En effet, tous les membres doivent s’engager à travailler 4h par mois dans ce supermarché, pour faire du ménage, travailler en caisse, s’occuper de l’administratif, de la comptabilité, de la mise en rayon, des inventaires …

Peu importe le poste, les diplômes ou les compétences : quatre heures d’effort ont la même valeur pour tout le monde. Ainsi, le peu d’employés qui travaillent, et les bénévoles permettent à ce supermarché de fonctionner.

La Louve collabore avec des producteurs dans toute la France qui proposent une large gamme allant du miel du Berry, des bières artisanales, de la viande de boeuf bio, ou encore des fruits et légumes de producteurs régionaux. Ces produits seront vendus entre 15 et 40% moins chers que dans les autres commerces, tout en garantissant un «prix juste» aux producteurs, promettent les cofondateurs.

Des produits d’entretien, d’hygiène et de petit bricolage seront aussi proposés. Une alternative que l’on attend avec impatience !