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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Laissez son chien en pension se prépare ...moi je demande aux propriétaires de venir a la pension avec leur chien pour visiter et voir comment se passe.Ont discute ,ont joue avec le chien et ont fait connaissance ....Tout en sachant que le chien ne réagi pas du tout pareil quand : il est avec son maitre ,en laisse et dans un environnement clos et inconnu et de plus avec d'autres congénères .Et le primordial ......des caresses ,des jeux pour faire oublier la séparation .
ATTENTION !!!! PAS TOUCHE A MON NONOS …..
L’agressivité chez les chiens peut être dangereuse si elle n’est pas traitée chienagressif.
Les comportements agressifs comme le grondement et les morsures peuvent se manifester dans toutes les races, qu’il s’agisse d’un Cocker (Épagneuls), de Pitbulls, voire de Caniches.
Il est extrêmement difficile de corriger un comportement agressif, et il faut y mettre des efforts et de la patience.
Il faut d’abord déterminer si le comportement agressif est causé par la peur ou s’il est lié à son tempérament naturellement dominant, car le traitement sera différent selon la cause.
Tenter de résoudre le problème sans l’aide d’un vétérinaire est, au mieux, difficile. L’agression liée à la dominance (ou hiérarchique) est courante.
Le chien qui manifeste ce type de dominance tend à fixer du regard un autre animal en gardant les oreilles droites et portées vers l’avant.
Il se tient la tête haute et adopte une posture rigide avec sa queue haute ou à l’horizontale. Ce langage corporel tranche avec celui d’un chien soumis, qui tend à éviter le contact visuel, à baisser la tête et la queue, à coucher les oreilles et à adopter une posture accroupie.
Les problèmes surviennent généralement quand les humains décodent mal les signes de dominance chez le chien. Ainsi, il peut arriver qu’en signe d’affection et sans mauvaise intention, un enfant dévisage intensément son chien. Ce dernier interprétera cette attitude comme un signe de dominance ou d’agression de la part de l’enfant et il pourra réagir en devenant agressif et en mordant.
L’agression hiérarchique peut se produire chez des sujets de n’importe quelle race, des deux sexes et à tout âge. Toutefois, ce sont surtout les mâles non castrés pour qui on consulte le plus souvent et davantage les chiens de race pure que les croisés.
La correction de l’agression hiérarchique est difficile, non seulement pour le propriétaire moyen, mais aussi pour les dresseurs professionnels.
Un vétérinaire peut vous aider à entreprendre un programme de correction ou vous aiguiller vers un spécialiste du comportement.
Pour réussir à corriger le problème d’agressivité, on doit :
1) commencer par éviter les situations qui déclenchent l’agression;
2) éviter les punitions (la douleur provoque l’agressivité); le fait, par exemple, de forcer un chien à s’accroupir ne fait qu’empirer la situation;
3) appliquer des techniques de désensibilisation (c.-à-d. mettre graduellement le chien dans diverses situations);
4) habituer le chien aux signaux de dominance de la part de son propriétaire (comme lui retirer son bol de nourriture ou le dévisager);
5) obliger le chien à obéir à des commandements avant de le récompenser (en jouant avec lui ou en le caressant, par exemple);
6) utiliser diverses techniques de contre-conditionnement. Puisque la majorité des chiens qui ont un comportement d’agression de hiérarchie sont des mâles non castrés, la castration devrait aussi être utile. En dernier recours, chez un petit nombre de chiens, les médicaments ou l’euthanasie seront peut-être et malheureusement les seules solutions
HÉ BIEN OUI, çA EXISTE !
Les humains n’ont pas le monopole des allergies ! Ainsi, des chiens peuvent être allergiques, le plus souvent aux aliments ou aux puces, mais parfois aux chats ( bon ça c’est pas nouveau…on sait que, en règle générale, chien et chat ne font pas bon ménage .
Bref , Passons ! ). Les chiens sont plus exactement allergiques aux poils de chat ainsi qu’aux squames de peau de leur maître ! Assez répandues, les allergies version canine ( plus rarement féline ), peuvent rendre la vie infernale à nos compagnons.
Le plus souvent, ils en sont quittes pour des démangeaisons, au point de se lécher en permanence ou de se mordiller les extrémités des pattes, ou encore, de se frotter la tête sur le sol.
Dans ce cas, les signes cutanés perte de poils, formation de croûtes sont au premier plan. Parfois encore, nos animaux allergiques font des otites et des conjonctivites à répétition, ou bien ils sont sujets aux troubles digestifs à répétition. Il est ainsi impossible de ne pas s’en rendre compte. Pour autant, le plus dur reste à faire: trouver ce qui provoque l’allergie !!!!
LA FAUTE À QUI ?
La liste des coupables potentiels est longue, mais certains sont plus souvent mis en cause que les autres.
Les puces par exemple, sont fréquemment responsables de la Dermatite par Allergie aux piqûres de Puces ( DAPP) : une fois sensinilisé à la salive de ces indésirables, il suffit d’une seule autre piqûre de puce pour provoquer des démangeaisons généralisées.
Autre cause d’allergie :
les protéines des aliments d’origine animale ( viandes ) ou végétale ( céréales ) . Enfin, les allergènes présents dans l’air — pollen, acariens, poils d’autres animaux , squames de peaux, etc. — peuvent provoquer des réactions allergiques chez le chien, mais c’est déjà moins fréquent…..
QUAND ON CHERCHE, ON TROUVE !
Pour démasquer le ou les coupables, les tests cutanés sont les plus fiables. Une quinzaine de petites piqûres superficielles sont pratiquées chacune contenant un allergène différent comme les acariens, des moisissures, des pollens, etc. sur une peau préalablement rasée et, au bout d’une vingtaine de minutes, le vétérinaire regarde celles qui ont donné naissance à une plaque rouge ou un bouton.
Il revoit le chien 48 heures après, car des réactions allergiques tardives au niveau des autres points d’injection ont pu apparaître. Les allergènes injectés en regard de toutes ces rougeurs sont alors considérés comme suspects.
Ils le sont d’autant plus qu’une prise de sang pour doser les anticorps produits contre ces allergènes montre qu’ils ont augmenté. C’est plus compliqué quand on soupçonne une allergie alimentaire: il n’y a pas d’autre choix que de mettre l’animal au régime » sans » ( donc pas de boeuf si on soupçonne une allergie au boeuf ) pendant au moins 3 mois . En cas d’allergie avérée à cet aliment, son état s’améliore, alors que si on s’est trompé, ce régime ne change rien ……. testcutaneflacons.
UN TRAITEMENT DE LONGUE HALEINE !
L’idéal, c’est d’éradiquer l’allergène coupable. C’est faisable s’il faut juste empêcher que votre chien mange du boeuf. Mais c’est mission impossible s’il s’agit de pollens ou de puces, omniprésents dans la nature !
En cas d’allergies aux acariens, les acaricides vendus en pharmacie pour tuer ces indésirables dans notre environnement sont intéressants.
On n’y pense pas assez, alors qu’une étude vétérinaire a montré une amélioration de 85 % des signes cutanés, avec ce seul traitement ( journal » Veterinary Dermatology » , février 2004 ).
Toujours en cas d’allergie aux acariens, les vétérinaires peuvent proposer une désensibilisation, avec de bons résultats ( 80 % d’efficacité ou d’amélioration nette ).
Il faut juste que le propriétaire apprenne à faire des injections sous-cutanées d’acariens, à des doses d’abord très diluées, puis de plus en plus concentrées, à raison d’une ou deux injections par semaine pendant 2 ou 3 ans.
Pour les allergies aux autres allergènes, soit les résultats de la désensibilisation sont moins bons, soit la désensibilisation n’est pas faisable ( notamment si l’allergie est multiple ).
Il faut alors passer aux médicaments. En médecine vétérinaire allopathique, il existe bien des traitements comme les immunomodulateurs ( plus efficaces et mieux tolérés que les corticoïdes ), mais ils sont coûteux !
LE » PLUS » DES MÉDECINES DOUCES
De plus en plus de vétérinaires se tournent vers l’homéopathie, mieux tolérée. En cas de crise d’eczéma en rapport avec une allergie, on peut donner Histaminum 9 CH, 3 granules, chaque soir, pendant 10 jours. De son côté, le vétérinaire homéopathe peut compléter avec Sulfur 9 CH ( 3 granules 3 fois par jour pendant 10 jours ) en cas d’eczéma ayant tendance à la surinfection et Graphites 9 CH ( même dosage ) si ça suinte.
Ou bien Arsenicum album 9 CH en cas d’eczéma sec ou Mezereum 9 CH en cas de grosses croûtes dues à des lésions de grattage en raison de démangeaisons intolérables, surtout la nuit….. homopathie.Un bon complément du traitement homéopathe, c’est l’argile verte ( Montmorillonite, en cataplasme ), connue pour ses propriétés cicatrisantes et recommandée en cas d’eczéma suintant. Ou encore, les onguents au Calendula aux vertus apaisantes, pour les eczémas très secs…. ça soulage ! ça cicatrise. Et c’est à la portée de toutes les bourses !
QUELQUES INFOS EN SUPPLÉMENT
Pourquoi payer ses médicaments plus chers ?
Certains médicaments vétérinaires, en particulier parmi les antibiotiques et certains anti-inflammatoires, ont un équivalent en médecine humaine. Or, la seule différence entre les deux est le prix, bien plus élevé en médecine vétérinaire ! Votre vétérinaire ayant le droit de prescrire un traitement à usage humain à votre animal, une fois vérifié qu’il s’agit bien de la même molécule, conditionnée à un dosage similaire, demandez-lui si l’équivalence existe et vous économiserez ainsi des dizaines d’euros !!
La peur des orages chez les chiens est très difficile à vaincre
La peur des orages est très répandue chez les chiens. Chez certains chiens, elle peut être si intense qu’ils peuvent prévoir quand un orage surviendra et se mettre à trembler bien avant qu’il ne commence. Dans la plupart des cas, c’est le bruit que le chien redoute, même si chez certains d’entre eux, les éclairs et le bruit semblent associés.
Pour éliminer cette phobie, il faut beaucoup de temps et l’application de certaines techniques de dressage bien connues. Pour habituer un chien au tonnerre, on peut utiliser une technique appelée « désensibilisation systématique ».
Elle consiste à exposer le chien à des bruits d’orage assez faibles pour ne provoquer aucune réaction chez lui (vous pouvez utiliser des enregistrements commerciaux de tonnerre ou faire vos propres enregistrements).
Avant de commencer, faites jouer l’enregistrement assez fort, pour voir si votre chien y réagira.Vous augmentez le volume graduellement jusqu’à ce que le chien ait une réaction de peur. Ne le réconfortez pas, car vous renforceriez alors le comportement de peur. Réduisez plutôt le volume et continuez d’appliquer cette technique, mais encore plus graduellement.
Après quelque temps (généralement des semaines), vous pourrez monter le son assez fort sans que votre chien ait peur. Si votre animal craint aussi les éclairs, utilisez un stroboscope pour les simuler. Une autre technique, appelée « contre-conditionnement », peut être combinée au dressage. Elle consiste à distraire votre chien pendant un orage simulé en lui faisant faire des exercices faciles de dressage (par ex., « assis », « couche », « reste » ou « au pied ») et à le récompenser quand il obéit. Vous remplacez ainsi la peur par la satisfaction et le plaisir.
Si ces techniques échouent, consultez votre vétérinaire. Il peut vous recommander d’autres techniques de dressage et, au besoin, il pourra prescrire des médicaments qui modifient le comportement ou des tranquillisants
Il faut enseigner aux enfants comment se conduire avec les animaux
Beaucoup d’enfants, surtout les plus jeunes, ne se rendent pas compte que les animaux sont des êtres vivants et non des jouets.
Omettre d’enseigner aux enfants comment se conduire avec les animaux risque de causer des souffrances à l’animal et, parfois, des blessures aux enfants.
Pour prévenir les blessures, il est sage d’enseigner aux enfants à bien traiter les animaux.
Quand un animal de compagnie fait son entrée dans une famille qui compte de jeunes enfants, la surveillance des parents est primordiale, jusqu’à ce qu’ils sachent que les enfants sont capables de se conduire avec l’animal de manière responsable et sans lui faire mal.
La surveillance permet aussi aux parents de s’assurer que l’animal est inoffensif pour les enfants, surtout ceux âgés de moins de cinq ans.
Il faut enseigner aux enfants comment montrer leur affection aux animaux. La plupart des enfants ont tendance à rudoyer les animaux plutôt qu’à les caresser, et certains animaux ne peuvent le supporter.
On doit leur montrer à faire preuve de douceur et à éviter de pousser, de donner des coups et d’agacer l’animal de quelque façon que ce soit. Ils doivent aussi apprendre comment le caresser et le prendre.
Quand c’est possible, les enfants devraient contribuer à donner des soins à l’animal, à le nourrir, à le brosser et à le dresser. La participation des enfants aux soins quotidiens d’un animal leur inculque le sens des responsabilités, tout en leur montrant que la santé de l’animal dépend d’eux.
Les parents peuvent dresser une liste de tâches quotidiennes que les enfants peuvent cocher une fois qu’elles sont accomplies. Par ailleurs, les parents doivent veiller à ce que les tâches soient bel et bien exécutées, sinon c’est l’animal qui en souffrirait. Le vétérinaire peut appuyer ces efforts en expliquant aux enfants l’importance des soins de santé, du brossage et d’une bonne alimentation.
Il faut aussi inculquer aux enfants le respect de l’intimité de l’animal. Les animaux de compagnie devraient avoir leur « oasis » dans la maison, où ils peuvent s’isoler des enfants de temps à autre. Les enfants doivent respecter ce besoin d’isolement et l’espace privé de l’animal. Les enfants doivent savoir que les mouvements brusques ainsi que les bruits intenses et les cris risquent de surprendre ou d’effrayer les animaux.
Il faut leur enseigner que les animaux préfèrent être traités avec douceur et calme. Autrement, ils peuvent être effrayés et ne pas vouloir se laisser approcher ou toucher, ou pire, ils risquent de mordre.
Les enfants doivent apprendre qu’avant de toucher un animal inconnu, ils doivent demander la permission à un parent. Tous les animaux ne sont pas nécessairement amicaux et certains peuvent considérer les enfants comme menaçants.
De fait, la plupart des incidents de morsures mettent des enfants en cause. Dans le cas des chiens, il faut montrer aux enfants à ne pas les fixer dans les yeux, car l’animal peut interpréter cette attitude comme une menace.
Les animaux de compagnie s’avèrent un outil précieux pour enseigner aux enfants le respect, l’empathie, le sens des responsabilités et la douceur. Ces qualités leur seront utiles toute leur vie durant. Le lien qui unit un enfant et un animal dure toute la vie et il est le plus riche qui soit.
Les animaux peuvent eux aussi souffrir d’angoisse de séparation
Il n’est pas inhabituel que les animaux de compagnie soient angoissés dans certaines circonstances, par exemple lors d’une visite chez le vétérinaire ou de l’immersion dans un nouveau milieu.
Cependant, lorsqu’un animal laissé seul affiche une angoisse ou une détresse excessive, il s’agit d’angoisse de séparation, la forme d’angoisse la plus fréquente chez les chiens.
Peu importe les manifestations de l’angoisse de séparation, vous devriez consulter votre vétérinaire. Cette condition peut généralement être traitée avec succès grâce à la modification du comportement jumelée à l’administration d’anxiolytiques.
Le vétérinaire voudra établir les antécédents médicaux de votre chien, se renseigner sur son comportement et procéder à un examen médical complet pour s’assurer de tenir compte de tous les facteurs possibles.
Pour corriger l’angoisse de séparation, les propriétaires devraient demander l’aide d’un gardien qui peut s’occuper de leur chien et le distraire en leur absence.
Le chien ne se concentrera plus sur ses comportements destructeurs et se désensibilisera progressivement à l’absence de ses maîtres.Les chiens qui souffrent d’angoisse de séparation devraient aussi suivre un cours de dressage afin d’augmenter leur confiance en eux et en leur maître.
Il faut éviter à tout prix de punir le chien. Cependant, il faut aussi éviter de récompenser le chien angoissé en le réconfortant et en le rassurant une fois de retour à la maison. Le retour devrait être paisible et calme.
Les propriétaires devraient aussi réduire le temps qu’ils passent avec leur chien jusqu’à ce que celui-ci dépende moins d’eux pour sa stimulation. Ils peuvent, par exemple, demander à des amis ou des voisins de participer aux activités quotidiennes du chien.
Ces personnes pourront jouer plus souvent avec le chien, lui faire faire des marches qui l’éloignent de la maison et passer du temps avec lui afin qu’il devienne plus indépendant.
Enfin, il faut apprendre au chien qui souffre d’angoisse de séparation à être à l’aise dans différents environnements, avec ou sans son maître. En l’accoutumant à toutes sortes de situations, on peut le dresser à accepter celles qui se présenteront en l’absence du maître.
En dernier recours, votre vétérinaire peut prescrire des anxiolytiques que vous pourrez utiliser en combinaison avec la modification du comportement. Le but ultime de la modification du comportement est de permettre de réduire ou de supprimer progressivement les médicaments une fois corrigé le comportement anormal du chien.
Avoir des petits, ce n’est pas nécessaire à son équilibre psychique, comme on l’entend souvent dire. Et, chez la femelle, une stérilisation avant la puberté peut même lui éviter des maladies graves ! Alors forcément, ça mérite réflexion…..
Demandez à un français s’il accepte de castrer son chat ou son chien et d’office, il répond que non !
Les Américains, qui préfèrent parler de » neutralisation » , ne donnent pas dans l’anthropomorphisme. Chien ou chienne, chat ou chatte, la très grande majorité de ce petit monde y est opéré.
Or, depuis que la stérilisation s’est généralisée Outre-Atlantique, les cancers des mamelles chez la chienne et la chatte ont quasiment disparu.
Quant aux animaux abandonnés pour cause de portée non désirée, ils ont aussi cessé d’alimenter leurs refuges.
Autant d’arguments en faveur de la stérilisation qui ne peuvent laisser insensibles les amoureux des animaux, même s’il est vrai que le premier réflexe serait de laisser faire la nature.
DANS LA GENTE FELINEChez la chatte : A moins d’avoir une chatte que vous destinez à la reproduction, par exemple, parce qu’il n’y a plus beaucoup de spécimens de sa race et que vous souhaitez préserver la biodiversité, la question question de la stéréliser ou pas ne devrait plus se poser. En effet, les avantages sont multiples. Déjà, si votre chatte a accès à l’extérieur, vous allez l’empêcher d’avoir des chatons non désirés. Vous allez aussi protéger votre chatte des métrites ( infections utérines graves ) , des tumeurs mammaires et même augmenter son espérance de vie, puisqu’un chat — mâle ou femelle— a moins de risque de s’éloigner de chez vous, une fois stérilisé.
Enfin, vous allez vous assurer une certaine tranquillité, car il faut bien avouer que le défilé de chats prêts à se battre au beau milieu de la nuit pour votre dulcinée n’a rien d’une valse de Strauss ! La stérélisation d’une chatte consiste à lui retirer ses ovaires sous anesthésie générale. Pour prévenir les risques infectieux, le vétérinaire donne des antibiotiques avant l’intervention et parfois dans les jours qui suivent. Le plus souvent, il est possible de la récupérer dans la demi-journée : ayez le réflexe Arnica ( 3 granules en 4 CH , 3 fois par jour pendant 24 heures ) , vous faciliterez d’autant la cicatrisation !
Ensuite, il suffit de la garder chez vous, avec interdiction formelle de sortir pendant au moins 48 heures. Comptez de 100 à 180 € pour l’intervention. Les dispensaires des SPA proposent cette opération à moindre coût pour les personnes à revenus modestes.
Chez le chat : L’espérance de vie d’un chat non stérilisé étant trois fois moindre que celle d’un chat castré ( du fait des risques d’accidents de la voie publique, de bagarres, etc.), le stériliser est un bon moyen de le protéger. L’intervention est encore plus simple que pour la femelle: les testicules sont retirés après incision au niveau du scrotum. Là encore, pensez à l’Arnica dans les suites de l’opération. Il n’y a qu’à le laisser 48 heures au calme et le tour est joué. Comptez de 60 à 120 € pour l’intervention.
VERSION CANINE Chez la chienne : Comme pour la chatte, le but de l’opération est d’éviter que votre chienne ne fasse des tumeurs mammaires et des métrites quelques années plus tard, deux causes fréquentes de décès prématuré, de limiter les risques de grossesse nerveuse et d’éviter certaines nuisances, comme les pertes de sang et surtout, une meute de chiens à ses trousses!
Seul bémol : de toutes les stérilisations, c’est la plus complexe. D’où l’intérêt d’une bonne préparation homéopathique. Donnez-lui le matin même de l’opération : Arnica 9 CH ( 1 dose ) . L’intervention dure environ 1 heure et le vétérinaire prescrit des antalgiques par voie orale, à donner pendant les 4-5 jours qui suivent. De votre côté , rajoutez Pyrogenium 9 CH ( 1 dose ) juste le soir de l’intervention pour prévenir aussi l’infection.
Ensuite, pendant 10 jours, il faut vraiment tenir votre chienne au calme: seules les promenades hygiéniques, en laisse courte, sont autorisées. C’est important pour éviter que la suture ne lâche. Si vraiment votre jeune chienne ne tient pas en place, n’hésitez pas à lui donner un calmant homéopathique comme PVB Sédatif Nerveux ® ou Nervosyl ®. Le coût de l’opération est de 300 à 450 €.
Cela peut sembler élevé, mais comme il n’y a pas de risque ultérieur de tumeurs mammaires et pas de risque de métrite en cas de stérilisation précoce, cela revient finalement moins cher, à long terme, que de ne rien faire.
Chez le chien : Finalement, c’est le seul pour qui une stérélisation avant l’âge adulte est sans intérêt pour la santé. Elle n’a pas non plus d’utilité dans la régulation des portées, car votre chien n’est pas censé vagabonder.
Il n’y a donc pas lieu de l’opérer, sauf cas particulier où vous possédez une femelle que vous destinez à la reproduction, mais avec un autre que lui !
Pour les quelques chiens stérilisés, l’intervention repose sur une incision le long du pénis en avant du scrotum, afin de faire sortir les testicules. Les suites sont simples ( surtout avec Arnica ), comme pour les chats. Comptez entre 200 et 300 €.
LE TRAITEMENT HORMONAL, LA PIRE DES SOLUTIONS Il existe bien des comprimés ou des piqûres à base d’hormones progestatives, pour chiennes et chattes, mais leurs performances n’ont rien à voir avec la pilule utilisée par des millions de femmes !
Déjà avec un comprimé, le risque est grand que votre animal aille le recracher quelques mètres plus loin. Et comme comprimés et piqûres se donnent à des périodes bien précises de l’année ( à calculer en fonction de ses dernières chaleurs ), bon nombre de propriétaires y perdent leur latin.
Enfin, la pilule semble augmenter les risques de diabète, d’infection graves de l’utérus et de tumeurs mammaires.
Pire: si vous en donnez à une femelle gestante, vous mettez carrément sa vie en danger. Pour toutes ces raisons, la contraception orale ne doit vraiment être utilisée que comme solution de dépannage
.
Chien ou chat, ils n’ont pas forcément la notion du danger.
Pour eux aussi, un accident est bien vite arrivé. Alors, en cas de plaie, de choc, de brûlure, de malaise, etc…, ON FAIT QUOI ?
C’est plus facile si on a assisté à l’incident, car on sait tout de suite de quoi il s’agit et on ne perd pas de temps. Mais, bien souvent, notamment avec un chat qui va où bon lui semble, on ne sait même pas qu’il a rencontré un problème. C’est pourquoi le moindre comportement anormal doit éveiller notre attention. Mieux vaut consulter pour » rien » que passer à côté d’une urgence…
On n’a rien vu! Si on retrouve son chien très agité, agressif ou au contraire prostré dans un coin— il refuse même de manger ou de venir à votreappel — ce peut être le signe qu’il souffre. Comme on ne sait pas ce qui lui est arrivé, on ne peut pas écarter une lésion grave et on doit consulter d’urgence. C’est encore plus compliqué avec un chat accidenté, car il se cherche volontiers un coin tranquille, où personne ne viendra le déranger. C’est donc le fait de ne pas le voir rentrer aux horaires habituels — alors qu’il ne découche jamais — qui doit nous alerter. Il faut donc tout mettre en oeuvre pour le retrouver et vite ….
Il a reçu un chocUne collision entre un chien et un cycliste en herbe, ça arrive. Un chat qui tombe de son point de mire en dormant, aussi ! Si l’un ou l’autre se relève comme si de rien n’était, c’est la preuve qu’il n’y a pas de fracture, ni de lésion grave. Pour autant, la douleur pourrait se réveiller un peu plus tard. Aussi, pour limiter l’oedème et l’hématome, on donne vite Arnica 5 CH , 5 granules ou bien un complexe homéopathique à usage vétérinaire comme Traumasédyl ® par voie orale, à renouveler une heure plus tard.Enfin, s’il boite ou s’il a toujours mal, on le montre au vétérinaire.
Il s’est brûléGourmands, les chiens se font piéger en tentant d’attraper une grillade sur le barbecue. Curieux, les chats se font surtout avoir en marchant sur une plaque chauffante, lors de leur inspection de la cuisine. Dans tous les cas, il faut arroser la partie brûlée au jet d’eau froide pendant 15 minutes, montre en main, en maintenant le jet à environ 15 cm de la peau. Si on a un tube de Biafine ® ou d’Homéoplasmine ®, il faut en appliquer une couche épaisse à ce niveau ( par-dessus les poils ) et recouvrir d’une compresse imbibée d’un antiseptique transparent et sans alcool ( type Diaseptyl ®). On la fait tenir par une bande( surtout pas trop serrée) et on file chez le véto pour lui montrer. C’est valable pour toute brûlure, même petite en apparence, car si on n’intervient pas, le risque de surinfection est grand.
Il s’est » ouvert « le coussinet Un bout de verre, un coquillage tranchant et c’est la blessure. Les chiens sont les premières victimes, à fortiori s’ils sont lourds. Le plus simple est de remplir une bassine d’eau tiède et d’y tremper la patte blessée pendant au moins une minute, puis de frotter légèrement pour écvacuer les saletés, sauf s’il y a un morceau de verre fiché dans la plaie, auquel cas c’est une urgence vétérinaire. Ensuite, il faut désinfecter et essuyer avec une serviette propre avant de l’emmener chez le vétérinaire en vue d’un pansement ( indispensable le temps de la cicatrisation).
Il s’est fait piquer par une guêpeComme les chats et les chiens ont tendance à les exciter, les guêpes, et parfois les abeilles, peuvent piquer. Si un dard est visible, on doit le retirer et si on a une pompe à venin ( type Aspivenin ®), vite s’en servir pour l’aspirer. Une fois le bouton désinfecté et une pommade au Calendula appliquée, on peut donner Aspis 5 CH , 5 granules toutes les dix minutes ( ça soulage). Attention, s’il respire mal car il a été piqué à la gorge, c’est une urgence vétérinaire.
Il s’est mordre par un serpent Les chiens peuvent être touchés, notamment à la babine ou à la patte. L’oedème est parfois impressionnant et en y regardant bien, on voit 2 points rouges. Une fois désinfecté avec un antiseptique sans alcool, il faut aspirer avec une pompe à venin, si besoin après avoir rasé les poils. Asperger le membre blessé à l’eau froide ou mettre une poche de glaçons pour ralentir la circulation sanguine et donc la diffusion du venin. Il n’y a plus qu’à porter son chien jusqu’à la voiture ou, s’il est trop lourd, à le faire marcher tout doucement et l’amener chez le vétérinaire. En attendant, on peut lui donner Vipéra Redi 5 CH , à raison de 5 granules, pour réduire l’oedème.
Il est victime d’un coup de chaleur Les chiens y sont particulièrement sensibles et 15 minutes dans une voiture au soleil, en été, ça peut les tuer. Il faut vite le mettre dans un lieu sombre et frais. Humidifier son corps petit à petit, en commençant par le cou et la tête. Puis l’envelopper dans une serviette humide. Lui donner un peu à boire s’il tient debout et, dans tous les cas, l’amener d’urgence chez le vétérinaire afin qu’il soit réhydraté par perfusion.
Il est inconscient S’il ne répond pas lorsqu’on l’appelle et ne réagit pas au toucher, c’est qu’il a perdu connaissance. Afin qu’il ne soit pas gêné pour respirer, on doit le tourner délicatement sur le côté droit ( mais sans le déplacer, sauf danger imminent comme un incendie ) et l’allonger en plaçant sa tête en extension dans le prolongement du corps. On doit retirer tout ce qui pourrait le gêner : collier, harnais, etc. et entrouvrir sa gueule, puis tirer légèrement sur sa langue car ce geste va stimuler sa respiration. Même s’il se remet sur pattes, l’avis d’un vétérinaire est incontournable pour comprendre ce qu’il s’est passé.
Comment les chiens communiquent-ils?
Les animaux n’ont pas accès au langage, et pourtant ils ont les outils nécessaires pour communiquer.
En tant que mammifère social (qui vit en groupe), le loup dispose de toute une palette de comportements orientés vers les échanges entre individus et donc, la survie du groupe grâce à sa cohésion. Les interactions sont fréquentes et variées (jeux, poursuites, simulations de combats…), et les alliances indispensables afin d’assurer l’apport de nourriture et la protection du territoire.
Aujourd’hui nos chiens domestiques sont libérés de bon nombre de ces contraintes :
ils n’ont plus à chasser pour assurer leur subsistance et ils disposent d’un territoire pour eux tous seuls, la maison ou l’appartement dans lequel ils vivent. Cela ne les empêche pas d’avoir besoin de communiquer, même si l’objectif de cette communication ne correspond plus tout à fait au but premier.
La plupart du temps, nos chiens se retrouvent seuls face à une espèce différente de la leur (l’humain), et à laquelle ils ne comprennent parfois….. rien, ou pas grand chose.
Intéressons nous donc plus précisément à la communication entre les individus d’un groupe, aux outils dont chacun dispose pour se faire comprendre de ses congénères, et tenter de se faire comprendre des humains.
La méconnaissance des rituels de communication du chien peut amener les propriétaires à certaines erreurs.
On introduit un animal dans notre maison, on le fait vivre selon nos habitudes, et s’il n’arrive pas à s’adapter, il arrive qu’on le lui reproche (« après tout ce que j’ai fait pour toi ! »).
Pourtant, c’est souvent de notre responsabilité s’il ne se comporte pas comme on le souhaiterait. Si nous attendons de lui qu’il comprenne ce que l’on attend de lui sans avoir à le lui montrer, en supposant qu’il connaît les us et coutumes humains alors que c’est un chien, nous courrons à l’échec. Il ne faut pas confondre « il refuse d’obéir », ou « il est têtu » avec « il ne comprend pas ». La nuance est énorme !
Notre façon de communiquer n’est pas toujours claire pour lui, puisque ce n’est pas la sienne. Le chien se retrouve alors coupable… de ne pas comprendre ! Notre compagnon n’a pas la possibilité d’apprendre tous nos modes de communication, et pourtant il fait des efforts. En revanche, nous pouvons tenter de le comprendre, essayer de nous comporter d’une façon qui sera compréhensible pour lui, comme nous apprenons à parler une langue étrangère.
Le chien « parle » avec son regard, mais aussi des postures, des attitudes corporelles, des vocalises, grognements ou aboiements, et des phéromones qui ont pour lui, et pour ses congénères, une signification.
- Lorsqu’il vous jette un regard fixe et grave parce que vous vous approchez de l’os qu’il grignote tranquillement, il est en train de vous lancer un avertissement afin de vous inciter à ne pas poursuivre votre avancée vers lui.
- Lorsqu’il pose sa tête sur vos genoux, c’est qu’il attend quelque chose de votre part.
- Lorsqu’il aboie, gémit ou hurle, il adopte une attitude à forte valeur communicative ! Pour l’interpréter, il faut la relier à la situation dans laquelle elle est apparue.
- Lorsque le chien s’arrête en promenade pour flairer les odeurs, il récolte un maximum de renseignements sur l’auteur de l’urine ou l’excrément, alors que celui ci n’est pas présent. comportementchien
Comment mieux comprendre son chien ?
Observez le en situation, lorsqu’il évolue avec d’autres chiens, d’autres animaux, et des humains. Interrogez vous sur la signification possible de telle ou telle attitude sans vous laisser aveugler par l’anthropomorphisme qui nous pousse à rechercher des similitudes avec notre propre système de fonctionnement, et si nécessaire, posez la question à un professionnel. Les animaux utilisent intensément les rituels : ce sont toujours les même signaux qui génèrent les même réponses chez celui –de la même espèce- qui en est le destinataire.
Ainsi lorsque l’un adopte une posture que les éthologistes ont nommé « appel au jeu » (pattes antérieures au sol, aboiements, battements de queue, petits sauts), il obtient forcément une réponse de son interlocuteur, que ce dernier réponde à la demande de jeu, qu’il l’ignore, ou qu’il la refuse. Refuser de communiquer est déjà une marque de communication !
Inadéquation des codes utilisés selon les espèces en présence
Il est amusant d’observer un chien qui essaie de jouer avec un chat : ils ne comprennent pas toujours, et pour cause, ils sont de deux espèces différentes qui ne parlent pas la même langue. On voit alors le chien faire tout son possible pour susciter le jeu chez le chat, qui hérisse le poil et s’enfuit. Quelle que soit sa race, vous pourrez voir les même attitudes chez un chien équilibré et correctement socialisé, car il utilise le code de communication propre à l’espèce canine. Un chihuahua pourra jouer avec un caniche, mais pas forcément avec un terre neuve : la différence de taille et de poids n’étant pas toujours surmontable. Ce n’est pas le mode de communication qui est un handicap, mais bel et bien les lois de la physique…