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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
L’animal, un compagnon qui aide à vivre
Le rôle de l’animal de compagnie est également primordial dans l’aide apportée aux enfants « en souffrance », qu’ils soient malades ou handicapés.
Ses fonctions sont multiples et vont de sa présence à domicile, à l’établissement de soins, en passant par l’école ou d’autres terrains d’activités propres à enfant.
Comme nous le verrons au travers de quelques exemples concrets, elles offrent de réelles opportunités à une époque où les thérapies se veulent plus douces, plus attentives à la qualité de vie, à la sensibilité et aux émotions des individus.
L’aide des animaux de compagnie aux enfants handicapés L’animal de compagnie a entre autres la réputation de venir en aide aux enfants handicapés.
C’est notamment le cas pour les autistes, refermés sur eux-mêmes par une insurmontable difficulté à communiquer et à établir des relations sociales.
Une longue enquête, menée par des chercheurs de l’Université de Warwick en Grande-Bretagne, a montré de façon indiscutable que l’enfant autiste entretient avec l’animal des rapports différents de ceux qu’il entretient avec les êtres humains.
Il lui dit bonjour, le cajole, essaie de le soigner s’il est malade ou blessé, cherche réconfort et se confie à lui. L’étude a également révélé une plus grande sensibilité aux besoins et aux sentiments de l’animal, ainsi que l’absence de colère et d’agressivité. En effet, l’animal fonctionne souvent comme un catalyseur de relations sociales, voire de guérison pour les patients souffrant de troubles de la communication.
Il offre un support affectif, une source de motivation et de jeux, une oreille attentive. Il constitue également une grande source d’attachement. L’animal peut aussi aider des enfants handicapés physiques à sup
porter leurs faiblesses, à dépasser leur douleur physique, à se responsabiliser et parfois, à se valoriser à leurs propres yeux. Le chien ou le chat, de par leur domestication, ont tendance à s’attacher à l’être humain qui prend soin d’eux.
Cette dépendance à l’homme valorise ce dernier puisqu’elle le rend responsable d’une vie. Le chien
Le Leucochloridium paradoxum est un ver plat très particulier.
Il se développe dans le corps de certains oiseaux qui ne semblent pas être vraiment dérangés par cette présence.
Ils se reproduisent dans le corps de l’oiseau et y pondent leurs œufs. Ceux-ci sont ensuite expulsés à l’extérieur avec les excréments du volatile… Pour y être mangés par un escargot !
C’est là que le calvaire du mollusque commence puisqu’une fois que les larves parasitaires ont éclos, celles-ci se développent et se reproduisent pour former une sorte de long tube jaune verdâtre qui ressemble étrangement à une chenille.
Ce tube vient ensuite se loger dans un ou plusieurs des yeux de l’escargot… Et attirent les oiseaux.
Pour avoir encore plus de chance de se faire repérer par un oiseau, le ver plat oblige l’escargot, qui préfère pourtant sortir la nuit, à se déplacer en plein jour.
Quand on voit toutes ces preuves que la nature peut être extrêmement vicieuse, on est heureux de savoir qu’il n’existe pas de parasite qui soit capable de contrôler notre corps de cette façon (du moins, on l’espère) ! chez DGS, beaucoup de ces situations ont donné une peur bleue aux rédacteurs (et rédactrices), la nature a des aspects parfois terrifiants ! Quel est le parasite qui vous a le plus impressionné ?
La viede ce ver commence en tant que parasite d’un type d’escargot à cornes aquatiques que l’on peut trouver dans les eaux du sud de la Californie.
L’hôte devient stérile pendant que le ver se reproduit par centaines. Les larves quittent le mollusque pour chercher une maison plus confortable chez le fondule barré.
Il entre dans son organisme par les branchies avant d’aller s’installer dans la boîte crânienne du poisson, juste à côté du cerveau.
La larve libère des phéromones qui jouent avec les sens du poisson et son système nerveux.
Il en résulte un comportement suicidaire qui pousse le poisson à se faire remarquer par les prédateurs et à se faire manger.
Une fois dans l’oiseau, les larves pondent des œufs qui sont extraits par les excréments et qui attendent patiemment qu’un escargot aquatique passe par là…
Ce ver plat parasite les oiseaux.
Mais comme beaucoup d’autres parasites dans cette série, il aime bien changer d’hôte très souvent.
Ainsi, à l’âge adulte, il se reproduit dans l’estomac d’un oiseau mangeur de poissons.
Les œufs sont ensuite rejetés dans l’eau avec les excréments. L’étape d’après est que les œufs sont ingérés par une petite espèce de crustacés appelée copepoda avant que ceux-ci ne soient ensuite mangés par des épinoches.
C’est à ce moment que le schitocephalus solidus montre son vrai visage : il force l’épinoche à chercher des eaux plus chaudes pour pouvoir se développer plus rapidement dans le ventre du poisson.
A tel point que le parasite pèse souvent plus lourd que l’épinoche une fois que sa croissance est terminée. Une fois que tout est en place, le schitocephalus force le poisson à devenir plus solitaire et à s’éloigner du groupe… Représentant ainsi une proie de choix pour les oiseaux.
Les larves de ce parasite commencent leur vie dans l’eau et sont libres de nager où bon leur semble.
Mais une fois qu’elles ont trouvé un crabe à parasiter ce n’est plus la même histoire!
C’est la larve femelle qui colonise en premier le crabe.
Elle se loge près des organes génitaux du crustacé, formant une bosse sous sa carapace.
Elle déploie ensuite des filaments qui parasitent tout le reste du corps du crabe, le soumettant presque entièrement au parasite.
La bosse grossit petit à petit, jusqu’à ce qu’un sacculina mâle vienne fusionner avec la femelle et la féconder.
Ils se reproduisent alors continuellement pendant que le crabe est utilisé comme mère porteuse, développant par la même occasion un instinct maternel pour les œufs des sacculina carcini.
Mais ce n’est pas tout puisque dans le cas où le bernacle parasite un crabe mâle, celui-ci subit une série de transformations, notamment son ventre qui devient plus plat et plus large pour y accueillir une pléthore d’œufs.
Certaines espèces de fourmis aiment particulièrement bâtir leurs nids en hauteur, dans des arbres.
Mais le fungus Ophiocordyceps unilateralis a la capacité de mettre cette habitude à rude épreuve.
Si une fourmi est infectée par le fungus‚ celle-ci est alors contrainte de descendre des hauteurs vers le sol‚ un endroit plus propice au développement du fungus.
Pendant tout ce temps‚ la fourmi agonise et est forcée d’attaquer le sol de ses mandibules car ce sont les seuls muscles fonctionnant encore.
Pendant ce temps‚ le parasite consomme l’intérieur de la fourmi avant de se libérer du corps de son hôte pour aller infecter d’autres fourmis.
Ce nématode ne fait pas du tout comme les autres parasites de cette liste.
Contrairement à eux qui n’espèrent qu’une chose : être mangés par des prédateurs pour ainsi faire perdurer leur cycle de vie, le Heterorhabditis bacteriophora préfère les éloigner.
En fait, lorsque ce parasite infecte une larve, il fait en sorte que la larve change de couleur pour virer au rouge vif.
Pour les prédateurs, cette couleur est considérée comme un signal d’alerte, notamment pour les rouges-gorges, qui évitent soigneusement de s’en approcher dans certaines études.
Le parasite agit de cette façon car il a besoin de la larve : il fait en sorte qu’elle se liquéfie pendant qu’il s’en nourrit.
Le Heterorhabditis bacteriophora mourrait si la larve venait à être mangée.
Cette guêpe parasitaire infecte souvent certaines espèces de chenilles.
Le cycle de reproduction de cet insecte commence lorsqu’une guêpe pond ses œufs dans un bébé chenille sans défense.
Les œufs éclosent et les larves se développent en même temps que la chenille.
Une fois que les larves ont atteint leur pleine croissance, elles sortent de la chenille pour s’enfermer dans une chrysalide.
Mais ce n’est pas fini puisque la chenille contracte alors une sorte de syndrome de stockholm qui la pousse à ne plus se nourrir et à rester près des chrysalides pour les protéger d’éventuels prédateurs.
Cette guêpe parasite venue du Costa Rica a une capacité très spéciale qui terrorise et zombifie littéralement une pauvre araignée du nom de Plesiometa argyra.
Lorsque vient le temps de procréer, la femelle guêpe choisit une araignée, la paralyse puis pond un œuf à l’intérieur.
Une fois sortie de son œuf, la larve continue de vivre à l’intérieur en se nourrissant de son hôte qui continue sa vie sans vraiment se rendre compte du monstre qui la parasite.
Après plusieurs semaines d’incruste, la larve de guêpe injecte une substance chimique… Qui force l’araignée à construire une toile au design qui ne ressemble pas vraiment à celui d’une toile d’araignée normale.
Une fois le travailterminé, la larve achève son hôte et se fait un cocon au beau milieu de la toile.
Une fois que le nematode Myrmeconema neotropicum s’introduit dans cette fourmi sud-américaine, il transforme son postérieur en une sorte de grosse baie rouge.
Pourquoi donc ?
Tout simplement parce que les forêts vierges de la région regorgent de baies de ce genre dont raffolent certains oiseaux. Vous voyez où le parasite veut en venir : en faisant ressembler la fourmi à une baie mise bien en évidence, le parasite peut ainsi se faire gober par un oiseau à travers la fourmi parasitée. Machiavélique.