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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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animaux ...les maladies..habitude de vie

Le ver Dicrocoelium dendriticum

Publié à 08:37 par fandeloup Tags : nuit vie animal animaux
Le ver Dicrocoelium dendriticum

Le cycle de vie du Dicrocoelium dendriticum est particulièrement compliqué et bien rempli.

Première étape : s’introduire dans l’estomac d’une vache ou tout autre animal ruminant. Les vers se mélangent avec les restes du repas de ces animaux, pondent leurs oeufs qui sont éjectés en même temps que les excréments.

Deuxième étape : un escargot innocent vient se nourrir des excréments. Il avale avec eux les oeufs du ver parasite. Une fois éclos, les larves viennent parasiter les glandes digestives et s’y reproduisent. Mais le système immunitaire de l’escargot ne leur laisse pas de temps de répit et fait migrer les vers jusqu’à la surface du corps de l’escargot avant d’en être expulsés par des gouttes de liquide gluant. Mais ce n’est pas fini !

Troisième étape : une fourmi vient manger ces boules gluantes. Les vers activent alors leurs capacités de manipulation et attendent la nuit pour forcer la fourmi à se placer tout en haut d’une herbe et d’attendre d’être mangée…

Le protozoaire Toxoplasma gondii

Publié à 20:32 par fandeloup Tags : vie monde amis chat chats
 Le protozoaire Toxoplasma gondii

Les rats et les chats ne sont pas vraiment les meilleurs amis du monde, c’est le moins qu’on puisse dire.

Cela est dû à une particularité des rats qui fait que dès qu’ils sentent l’odeur de l’urine d’un chat, ils s’enfuient aussitôt.

Plus que du simple dégoût, donc.

Mais là où le protozoaire appelé Toxoplasma gondii est remarquable, c’est que si on l’injecte dans l’organisme d’un rat, cette sensation de répulsion disparaît complètement.

Pire encore, dans certains cas elle peut même se transformer en attirance sexuelle pour cette odeur si particulière.

L’objectif du parasite est de faire en sorte que le rat soit mangé par le chat pour continuer son cycle de vie dans l’organisme du félin.

Le nématomorphe Spinochordodes tellinii

Publié à 19:58 par fandeloup
Le nématomorphe Spinochordodes tellinii

Il existe de nombreux parasites aux tailles et aux formes très diverses.

Certains se contentent de vivre aux crochets de leur hôte, d’autres décident tout simplement de les faire mourir une fois qu’ils n’ont plus besoin d’eux.

Certains sont même capables de contrôler le cerveau de leurs victimes jusqu’à les mener au suicide.

1. Le nématomorphe Spinochordodes tellinii

-effroyables-parasites qui-prennent controle du corps de leur hote pour accomplir leur sombre dessein.Ce ver infecte les criquets et sauterelles.

À l’état adulte, ces vers infestent certains plans d’eau dans lesquels viennent s’abreuver les insectes.

Là, ils ingèrent sans le savoir les oeufs de larves de ces vers qui commencent à se développer dans l’organisme de leur hôte. Grâce à des agents chimiques, les larves prennent alors le contrôle de l’insecte…

Et le forcent à se suicider en plongeant dans une flaque d’eau et en s’y noyant. Les larves survivent et s’échappent pour répéter ce cycle.

compilation

Publié à 15:03 par fandeloup
compilation

Ils nous paraissent tellement mignons quand ils éternuent qu'on a décidé d'en faire une compil' !! Une vidéo top cute à regarder en famille

statut

Publié à 09:18 par fandeloup Tags : france vie société création nature animal animaux oiseaux chiens
statut

Comment défendre les animaux sans se faire traiter d’idiot ?

Difficile d’évoquer la question du droit des animaux sans se faire traiter au mieux d’idéaliste, au pire de frustré hyperémotif. Les clichés sont bien ancrés : la défense animale est une affaire de sentiments et on est forcément un clone de Brigitte Bardot ou un cousin de Paul Watson. Mais si les intellectuels s’y mettent aussi, dénigrer les défenseurs de la cause animale va devenir un exercice compliqué.

Faire passer l’actrice Penelope Cruz pour une hypersensible sous prétexte qu’elle pose contre la fourrure passe encore. Expliquer que Paul McCartney s’implique auprès de l’association de défense animale Peta parce qu’il prend de l’âge, pourquoi pas. Mais accuser le philosophe Alain Finkielkraut, l’ancien ministre Luc Ferry, le sociologue Edgar Morin ou l’astrophysicien Hubert Reeves de sensiblerie… ça commence à devenir ridicule.

Jeudi, la Fondation 30 millions d’amis a publié un manifeste signé par 24 intellectuels – penseurs, philosophes, écrivains, historiens, scientifiques, etc. – pour demander que les animaux bénéficient d’un régime juridique conforme à leur nature d’êtres vivants. Et que le code civil leur ménage donc une catégorie spécifique entre celle des objets et celle des humains. Un statut juridique qui reconnaisse à l’animal sa sensibilité (à la différence d’un fauteuil ou d’une table par exemple).

Descartes en faisait des automates

Si le législateur accède à cette revendication et modifie notre vieux code civil qui date de 1804, il pourrait ainsi bien améliorer la condition des poules de batterie et des rats de laboratoire comme celle des chiens de salon. Sans les mettre au même rang que les hommes. Mais sans non plus laisser ces derniers les traiter n’importe comment. Au pays de Descartes qui assimilait les animaux à des automates, l’appel des 24 prend tout de suite des allures de révolution.

QUE DIT LA LOI ?

L’article 528 du code civil assimile les animaux à des biens dits meubles, c’est-à-dire des objets que l’on peut déplacer comme des chaises ou des boîtes de conserve. Ils sont considérés comme des objets sur lesquels l’homme peut exercer son droit comme il l’entend. Mais le code rural définit déjà l’animal comme un « être sensible », tandis que le code pénal punit de deux ans de prison et 300 000 euros d’amende au maximum les actes de cruauté et les sévices graves envers les animaux. La création d’un statut juridique propre aux animaux serait donc avant tout symbolique et permettrait d’amorcer un changement des mentalités. Car selon les associations de défense des animaux, les peines prévues au code pénal sont rarement appliquées. Car en France, où les lobbys de la chasse et de l’élevage restent très puissants, le droit des animaux est un sujet qui fâche. Même si de nombreuses études scientifiques ont montré que les animaux peuvent ressentir de la douleur, qu’ils ont des capacités de réflexion méconnues leur permettant par exemple d’élaborer des stratégies parfois complexes, ils sont encore globalement considérés comme des outils au service de l’humain.

Dans le grand public toutefois, la cause animale trouve de plus en plus de soutiens. Alors qu’un Français sur deux possède un animal de compagnie, nos concitoyens commencent à s’intéresser au sort que les hommes leur réservent. Les images diffusées par les associations de la défense animale sur les conditions de vie des poules de batterie ou celles des visons d’élevage ont commencé à pénétrer les esprits.

Certes, on n’a pas vraiment envie de les voir, mais on a de plus en plus de mal à les ignorer. Hélas, dans les instances décisionnaires, les mentalités peinent à se mettre au diapason de la société. C’est ce qu’a constaté l’année dernière Allain Bougrain-Dubourg, président de la Ligue pour la protection des animaux, en déposant un avis auprès du Conseil économique, social et environnemental. Il voulait alors faire évoluer le code civil dans le sens du manifeste actuel. Mais comme il l’explique aujourd’hui, les lobbys de chercheurs, pêcheurs et agriculteurs ont alors stoppé net la saisine du Conseil sur son avis.

« Insupportable de connerie »

Le chaton de la rédaction : Copypasta (Denis Marcaux/Rue89) Les signataires du manifeste, eux, courent peu de risques de se voir dénigrer ou insulter. Et les intérêts économiques défendus par les lobbys n’ont pas de prise sur eux. Comme le souligne l’écrivain Didier van Cauwelaert :

« Traiter un animal de meuble est insupportable de connerie. Reconnaître les capacités des animaux à souffrir ne relève pas du domaine de la sensiblerie, mais de la sensibilité, il y a nuance. Les questions que l’on pose sur le statut et le droit des animaux sont autant d’occasions de faire avancer le savoir des hommes. Mais elles impliquent aussi une remise en question de la prédominance de l’espèce humaine sur les autres vivants de notre planète, prédominance qui ne repose sur rien puisque nous sommes tous issus d’un ancêtre commun qui est la bactérie initiale… »

Même dans les milieux scientifiques, le débat sur la question est devenu incontournable. S’il y a dix ans, il n’était pas envisageable de parler « d’intelligence animale » (on employait le terme de « cognition »), certains éthologues acceptent aujourd’hui de reconnaître des émotions aux espèces qu’ils étudient et certains jeunes médecins prônent le développement des méthodes alternatives à l’expérimentation animale en labo.

« Contre le statut du moustique »

Pour d’autres intellectuels, le statut et le droit de l’animal ont quand même besoin d’une définition. Le physicien Albert Fert (prix Nobel), sollicité sur le sujet, pose une question essentielle. « Il faut déterminer ce que l’on appelle les animaux et où on place la barrière entre les bactéries et les grands singes, par exemple. Il sera difficile de tracer la frontière dans la grande famille du vivant et, personnellement, si je suis pour que l’on accorde un statut propre aux chiens ou aux oiseaux, je suis contre le statut du moustique. »

toxique

Publié à 09:32 par fandeloup Tags : chez article mort divers chien chiens
toxique

14 aliments toxiques pour le chien – dangereux et interdits

Malgré les recommandations de divers experts pour éviter de donner des aliments toxiques ou dangereux à nos chiens, parfois on oublie ou tout simplement on ne veut pas les croire. Dans cet article, nous allons voir ensemble les 14 aliments toxiques pour le chien, apprendre sérieusement en considération. Certains vous semblerons évident. Ceux qui sont bons pour l’être humain ne l’est pas forcément pour nos chiens, voici ci-dessous une liste d’aliments toxiques pour le chien : aliment toxique chien Voici les 14 aliments toxiques pour le chien, mais aussi dangereux :

1 – Les os :

Les os cuits sont dangereux pour les chiens. Les os deviennent cassants une fois qu’ils sont cuits ce qui forme des esquilles lorsqu’ils se cassent. Les esquilles ont des bords tranchants et peuvent rester coincés dans les dents, causer un étouffement ou une perforation des parois stomacale et intestinale. Ne donnez jamais d’os de poulet ou de lapin. Donnez-lui de préférence un cartilage de boeuf.

2 – Le chocolat :

Parce qu’il contient de la théobromine, un composant qui agit comme stimulant cardiaque et comme diurétique. Un gros morceau de chocolat peut provoquer des vomissements, la diarrhée et surtout une hyperactivité d’abord. La théobromine va soit augmenter le rythme cardiaque soit provoquer des battements irréguliers. La mort est même possible, surtout si le chien fait de l’exercice. De grandes quantités de chocolat peuvent empoisonner ou même tuer un chien de taille moyenne ou grande.

3 – L’alcool :

La consommation d’une petite dose d’alcool peut désorienter le chien, le rendre nerveux et sur certains agressifs. Une dose élevée peut inhiber le système nerveux central, la respiration et du rythme cardiaque, conduisant à la mort.

4 – Le lactose :

Bien que les petits consomment du lait de vache, les chiens adultes sont intolérants au lactose, il génère des vomissements et de la diarrhée. Bien qu’ils aiment, donnez leurs du lait sans lactose.

5 – Les oignons :

Les oignons sont toxiques pour les chiens, car il contient d’allyle disulfure de propyle, qui endommage les globules rouges dans le sang et peut causer la mort, ce qui signifie que les globules rouges sont détruits prématurément dans le sang, tandis que leur taux de production demeure normal. L’empoisonnement peut se produire soit par l’ingestion de grandes quantités, soit par l’ingestion répétée de plus petites quantités. Le chien peut avoir une respiration courte car le nombre des globules rouges (qui transportent l’oxygène) se retrouve réduit.

6 – Viandes salées ou jambon :

Riche en matières grasses et de conservateurs, ils sont tous basés sur le sel et les saucisses de viande salés sont très dangereuses pour les chiens. Ils produisent des douleurs à l’estomac et la pancréatite. Parce que le sel de ses viandes, peut causer une consommation inhabituelle d’eau et provoquer des gaz qui peut tuer l’animal.

7 – L’ail :

Contient une substance toxique, le thiosulfate, il semblerait que celui-ci soit moins toxique que les oignons et que de grandes quantités devraient être absorbées pour causer une intoxication.

8 – La caféine :

Comme le chocolat, la caféine stimule le système nerveux central et les systèmes cardiaques et dans les heures qui suivent, celle-ci peut causer des vomissements, une agitation, des palpitations cardiaques, et même la mort.

9 – L’avocat :

L’avocat est riche en matières grasses. Il génère des douleurs à l’estomac, des vomissements et une pancréatite. La coquille est toxique pour le chien et peut bloquer l’intestin.

10 – Le thon :

Le thon fournis de l’oméga 3 et 6, mais ne contiennent pas un acide aminé appelé taurine qui maintient la force du muscle cardiaque.

11 – Les raisins et raisins secs :

Ils peuvent endommager les reins ou de générer des effets indésirables.

12 – L’aspirine :

Ne jamais donner un aspirine aux chiens, Il est très toxique pour les chiens.

13 – Le blanc d’oeuf :

Contient de l’avidine, qui détruit la biotine, vitamine B8, utile au métabolisme des protéines et des graisses.

14 – Le champignon :

Tout comme chez l’être humain, l’empoisonnement par des champignons peut être fatal. Ils peuvent causer de graves problèmes au foie et des dérèglements neurologiques. Consultez immédiatement votre vétérinaire si vous soupçonnez que votre chien a mangé des champignons.

froid

Publié à 11:12 par fandeloup Tags : chats neige hiver chat chien animaux nature mode chez bonne vie chiens
froid

~ Chien et chat : pour passer un bon hiver ~

Tous les chiens et chats ne sont pas égaux face à la rigueur de l’hiver. Cela dépend de la race à laquelle ils appartiennent, leur mode de vie, âge ou encore état de santé.

Tous les chiens et les chats ne sont pas égaux face au froid de l’hiver. Il y a ceux que cela ne gêne nullement et, de l’autre côté, ceux qui le supportent moins bien, voire pas du tout. Tout dépend de la race du chien ou du chat, et tout d’abord de la nature de son poil et/ou sous-poil le cas échéant.

Leur robe les protège, selon les cas, plus ou moins bien des intempéries. La peau constitue aussi une bonne barrière protectrice. Un manteau pour les plus fragiles C’est pourquoi pour les animaux plus fragiles que d’autres, âgés voire convalescents, l’utilisation d’un manteau peut être envisagée.

Le mode de vie de l’animal tout au long de l’année est aussi un critère à prendre en compte. Un chat d’appartement sera certainement moins à l’aise qu’un chat qui vit à l’extérieur. Il en est de même chez le chien. Certaines races peuvent à vivre dehors, dans une niche confortable et bien protégée.

La ration alimentaire pourra être adaptée en fonction de cette saison. Chez un chien vivant à l’extérieur, ses besoins énergétiques (suivant aussi les efforts qu’il peut fournir) seront plus élevés.

La ration journalière pourra être augmentée de 10-15 à 20 %. Le vétérinaire pourra conseiller le maître de ce point de vue.

Bien sécher l’animal au retour de sortie

Certains chiens et chats ne craignent pas de marcher sur un sol mouillé ou enneigé. D’autres refusent de sortir dès qu’ils sentent que le temps est à la pluie ou qu’il fait frisquet ! La première des précautions à prendre est de bien sécher le ventre et les pattes de l’animal au retour de sortie ou de promenade. Le vétérinaire pourra conseiller le maîtres sur des produits permettant également de protéger les coussinets. Ces produits spécialement conçus assurent l’hydratation tout en évitant les fissures et gerçures. Cela peut être particulièrement recommandé pour le chien que l’on emmène à vacances de neige, par exemple.

Il existe bien entendu des « chaussures » pour chiens, mais elles ne sont pas toujours du plus pratique ni du plus bel effet ! Attention au sel de déneigement et à l'antigel Les jours de neige (ou de glace), si le sol a reçu un traitement au sel de déneigement, celui-ci peut irriter les coussinets.

En se léchant les pattes et coussinets le chien ou le chat peut aussi en ingérer et souffrir de troubles gastriques, car ce produit est assez toxique. C’est pourquoi là aussi un bon nettoyage des pattes au retour est recommandé tout comme une protection avant les sorties.

Le produit antigel dont on se sert pour le lave-vitres des voitures a pour sa part un goût sucré appètent pour les chiens et chats. Il faudra veiller à placer ce genre de produit toxique dans un endroit où l’animal ne pourra pas y avoir accès.

Enfin, durant l'hiver, ne baissez pas la garde en ce qui concerne la lutte contre les puces, toujours présentes, et parfois bien dissimulées dans l'habitat.

Chiens et chats peuvent-ils s’enrhumer ?

Le chien est sensible à certains virus, même s’ils ne sont pas semblables à ceux que peuvent contracter les humains. D’ailleurs ces derniers ne peuvent pas transmettre leur rhume à leur compagnon. Le chien peut aussi souffrir d’affections respiratoires touchant les poumons, les voies nasales, le larynx, etc.

Le chat peut aussi souffrir d’affections de ce type. Il peut également être atteint de coryza, que l’on appelle d’ailleurs le ‘’rhume du chat’’. La meilleure des préventions contre le coryza chez le chat est la vaccination. En cas de doute ou de symptômes (tous, difficultés à respirer, yeux rouges ou larmoyants, état de faiblesse, fièvre…) chez le chien ou le chat, il faut consulter le vétérinaire.

La ronronthérapie

Publié à 20:07 par fandeloup Tags : france sourire animal animaux chat chats
La ronronthérapie

La ronronthérapie

Un mot qui prête à sourire.Pourtant, une enquête très sérieuse menée par l'association de protection des animaux Animal Voice, atteste des vertus apaisantes du ronronnement des chats.

C'est la nouvelle thérapie pour guérir les maux du XXIe siècle : stress, troubles cardiovasculaires et hypertension !

Comment ça marche ?

Les ondes émises par le ronronnement du chat sont étagées sur de basses fréquences (25 à50 hertz) et auraient des effets thérapeutiques non négligeables :

> Caresser l'animal permet de se relaxer et de diminuer le stress. Ainsi la fréquence cardiaque ralentit, et le tension artérielle diminue.

> Le ronronnement agit sur la respiration, qui se pose et devient plus profonde. Cet état de relaxation produit une activation de la circulation du sang dans le corps, accompagnée des sensations caractéristiques de picotements dans les pieds et les mains.

> Des études ont aussi montré que les ondes à basses fréquences émises par le ronronnement faciliteraient la consolidation des os après une fracture et amélioreraient la cicatrisation des tissus...

En France, le vétérinaire Jean-Yves Gauchert a produit un CD de ronrons relaxants.

Même s'il ne vaut pas la présence d'un chat en chair et en os, ceux qui l'ont testé ont constaté un effet réellement relaxant et une plus grande facilité à l'endormissement.

etat

Publié à 17:03 par fandeloup Tags : chevaux heureux chez animal chien aimer cheval concours chiens
etat

L'état de détresse acquise soumis à nos lubies les plus folles, dressés par le biais de méthodes coercitives, non respectés dans leur être et leur identité, nombre de chiens apprennent, dans la douleur, qu’il ne sert à rien de lutter : ils sont en état de détresse acquise, une forme de dépression dont, malheureusement, l’on ne parle guère.

Martin Seligman, chercheur en psychologie, professeur à l’université de Pennsylvanie, formula à la fin des années 60 sa théorie de l’impuissance apprise (learned helpness), depuis largement adoptée par la communauté scientifique internationale.

A l’aide d’expériences menées sur des chiens, il démontra qu’un individu, humain ou animal , placé dans l’incapacité de contrôler les événements survenant dans son environnement, adopte une attitude résignée et passive.

On la dit « apprise » car, même si l’individu a ensuite la possibilité d’agir sur ce qui lui arrive, il reste sans rien faire, comme anesthésie, sidéré.

L’expérience de Seligman (et de son équipe) fut la suivante : il soumit des chiens entravés à des chocs électriques. Les chiens pleurèrent, hurlèrent, tentèrent d’échapper à leur sort. Puis ils renoncèrent et se couchèrent au sol, manifestant des symptômes semblables à ceux de la dépression humaine.

Lorsque Seligman les laissa libres de pouvoir s’échapper, il s’aperçut que les chiens ne tentaient plus de fuir la douleur : ils avaient appris à l’accepter avec résignation.

De nombreuses espèces sont concernées par l’impuissance acquise : il n’y a qu’à penser à cette célèbre scène de « L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux» lorsque, vaincu et rompu, le cheval ploie l’échine devant son bourreau « chuchoteur ».

L’être humain, lui aussi, peut, suite à des traumatismes, du stress ou des situations répétées de double contrainte, perdre sa capacité à rebondir, à s’adapter.

Il subit alors anxiété, apathie, dépression, perte de motivation, parfois de manière irréversible. L’actualité de ces dernières années fournit en nombre des exemples de ces désespoirs parfois mortels.

Des états de détresse acquise plus nombreux qu’on ne le pense Les états de détresse acquise sont plus fréquents qu’on ne l’imagine chez nos chiens de compagnie, forcés de mille manières à se plier à notre volonté : attachés en bout de chaîne, enfermés toute la journée, dressés à l’aide de méthodes irrespectueuses, violentes et coercitives, affublés de colliers anti-aboiement (électriques ou à citronnelle)… autant de situations auxquelles ils ne peuvent pas se soustraire et qui, de fait, les plongent dans la résignation la plus profonde qu’à tort, nous prenons pour un apprentissage positif, du bon tempérament ou du « simple » conditionnement.

Prenons l’exemple du collier anti-aboiements : le chien ne peut pas fuir les décharges puisqu’il a en permanence le boîtier attaché au cou. Et dès qu’il vocalise (comportement naturel pour lui, rappelons-le !, parfois même, de surcroît, encouragé dans certaines circonstances), il se voit délivrer une décharge (électrique ou odorante) à laquelle, inévitablement, il ne peut rien comprendre.

Il va peut-être apprendre à se taire, mais au prix de quelle souffrance psychique ? Certes, le comportement gênant aura disparu, mais pourquoi ? Tout simplement parce que le chien aura appris qu’il ne sert à rien de résister.

L’on peut aussi citer ces chiens d’exposition, bêtes à concours laquées, talquées, brossées, pomponnées, parfumées, parfois même colorées, et qui, une fois sur le ring de beauté, sont saisis de part et d’autre du corps, une main sur le museau, une main pour redresser la queue à la verticale, mis et remis en place malgré le bruit et la chaleur : n’ont-ils pas, eux aussi, fait l’apprentissage que rien ne sert de se défendre ?

Ces chiens apparemment si dociles sont, en fait, en état de détresse acquise : ils ont capitulé… Que voulons-nous pour nos chiens ? Est-ce réellement ce que nous voulons pour nos chiens que, par ailleurs, nous disons chérir de tout notre cœur ?

Aimer, n'est-ce pas respecter l’autre dans son identité propre, dans sa différence? N'est-ce pas apprendre à le connaître pour ne pas lui demander plus que ce qu’il peut donner ? Aimer, c’est aussi ne plus vouloir, à tout prix, un compagnon parfait, mais plutôt un compagnon heureux et équilibré.

C’est ne pas le forcer à subir nos mille fantaisies coûte que coûte, mais accepter qu’il soit un chien, et non pas un substitut d’humain. Un chien qui exprime son désir, qui réagit, qui interagit, et qui nous « dit » parfois, à sa manière, que ce qu’on lui demande ne lui plaît pas. A nous de tolérer de n’avoir pas systématiquement gain de cause. Et de viser sa coopération et sa collaboration plutôt que sa « soumission ».

espaces

Publié à 09:37 par fandeloup Tags : animaux heureux chat chez chats papier
espaces

POURQUOI LES CHATS AIMENT LES PETITS ESPACES :

Comme les cartons, sacs cabas ? Les chats aiment se cacher dans des petits espaces. Tiroirs, paniers et boîtes sont des lieux qu’ils apprécient à certains moments . Ils grimpent dans les coins des placards, se cachent sous les lits. Vous rentrez de vos courses et avant même que vous ayez fini de déballer , votre chat se retrouve recroquevillé à l’intérieur de l’un de vos sacs .

Déjà vu ,pas vrai?

Vous vous êtes demandé pourquoi?

Pourquoi les chats aiment être dans des espaces aussi restreints ?

Tout simplement , ils se sentent en sécurité , sous protection et installés confortablement . Les chats ont un besoin naturel de sécurité et de protection, leur instinct de félin leur impose de rester attentif aux dangers qui peuvent se produire lors de leur somnolence . Si cet espace a un toit , c’est encore mieux. Vous devez vous assurer que votre chat a une variété d’espaces restreints où il peut se recroqueviller et faire une sieste en toute sécurité !

Les animaleries ou magasins d’articles pour animaux ont une infinité de boites ,de refuges pour que votre chat puisse trouver son bonheur . Vous pouvez même en fabriquer une avec une simple boite en carton dans lequel vous y placez une petite couverture .

Une boîte en carton à l’envers avec des trous percés dans les côtés pourra également faire une « retraite »bien agréable pour votre chat. Ouvrez de temps en temps un tiroir vide, si vous en avez, et vous verrez que votre chat pourra prendre cela comme résidence.

Les sacs en papier (mais pas en plastique) peuvent aussi être une lieu de cachette.

Cages de transport : Certains chats aiment leurs cages de transport , aussi, n’hésitez pas à les mettre à la disposition de votre chat . Placez le dans une pièce où votre chat aime aller et surtout enlever la porte.

Mettez des friandises ou des jouets préférés à l’intérieur de la cage de transport pour l’attirer . Mettez sa couverture préférée dans la cage de transport , l’odeur familière lui permettra encore mieux de l’accepter.

Le grand avantage : quand il est temps pour une visite chez le vétérinaire, il ne sera pas si effrayant pour le chat de se rendre dans sa cage de transport puisque c’est sa maison en toute sécurité. Ce conseil de confort pour votre chat n’est pas difficile à mettre en place et peut vous donner beaucoup de satisfaction en rendant votre chat « heureux»