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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Diesel et cette vache ne sont pas mortes pour vous ou pour moi, elles n'ont pas donné leur vie pour vous ou pour moi, elles ne sont pas mortes non plus pour un pays. Elles sont mortes car elles ont toutes les deux été exploitées par les humains. Elles ont toutes les deux été assassinées par des humains.
En dehors de mes heures de travail, j’allais, le matin, le soir ou la nuit, derrière l’abattoir, parfois dans un froid glacial. Je guettais caché derrière les parois en béton. J’assistais à des mauvais traitements que le personnel ou les chauffeurs des camions infligeaient aux animaux . Les vaches qui n’avançaient pas étaient frappées, à coups de bâtons sur les os des pattes, sur la croupe jusqu’à l’éclatement de la chair, à coups de bâtons sur les naseaux qui se mettaient à saigner de façon profuse, à coups de fourches, ou par la torsion de la queue…
Journal de Jean-Luc Daub, enquêteur dans les abattoirs français.
La paix n'est pas que l'absence de guerre, la paix c'est la présence de justice
Tout abattage est violent parce que même avec un étourdissement préalable, il y a le lieu, l’odeur du sang, les cris des autres animaux, les bruits métalliques, les cadences de production qui font que le personnel pousse, coûte que coûte, d’une façon ou d’une autre, les animaux dans le piège où se passe la mise à mort. Recevoir une décharge électrique derrière les oreilles, avoir la tête plongée dans un bac d’eau à électrolyse ou le crâne perforé jusqu’à la cervelle en guise d’étourdissement, est une violence. Ce sont là les techniques d’étourdissement que j’ai pu voir dans les abattoirs.
Journal de Jean-Luc Daub, enquêteur dans les abattoirs français.
Ce n'est pas votre droit, basé sur vos traditions, vos coutumes et vos habitudes, de bafouer leur liberté afin de leur faire du mal, de les asservir et de les tuer. Ce n'est pas une histoire de droit, c'est une injustic
Dans un abattoir de l’Ain, alors que je me trouvais dans le hall regroupant les porcs en attente d’être abattus, il y avait dans une case des coches (truies) ; elles étaient nombreuses.
L’une d’entre elles avait mis bas. Pas moins de douze porcelets étaient nés. Elle venait de donner la vie dans l’endroit le plus macabre qui soit, un lieu où l’on tue et dont la loi interdit à tout animal de sortir vivant.
Les pauvres porcelets à peine nés étaient déjà condamnés à mort. Le personnel s’en chargea. Une fois mis dans un caisson roulant, ils furent conduits au poste d’abattage.
Avec la pince électrique, un employé les électrocuta tous en même temps, puis il les saigna un après l’autre. Il les chargea dans le caisson, avant de les jeter dans une benne. Triste naissance, triste fin. Et que dire de la coche qui était obligée de mettre au monde ses petits sans pouvoir faire un petit nid de paille, sans pouvoir s’isoler de ses congénères.
Les autres truies, par maladresse et à cause de l’exiguïté de la case, la bousculaient et piétinaient les nouveaux-nés. Lugubre endroit que l’abattoir pour donner la vie… Un peu comme les vaches qui pour donner du lait sont inséminées artificiellement.
Elles mettent bas des veaux qui leur sont retirés dès la naissance. Ainsi, l’éleveur peut bénéficier du lait que fournit la vache pendant plusieurs mois. Les femelles sont généralement gardées, tandis que les mâles s’en vont dans des centres d’engraissement pour finir en viande.
Conformément à un texte de loi de la protection animale, les animaux sur le point de mettre bas ne doivent pas être transportés.
Comment l’éleveur n’a-t-il pas vu que la coche était pleine ?
Il l’a envoyée à l’abattoir pensant qu’elle ne serait plus jamais gestante. Il l’a réformée en somme. Il y en a qui disent qu’ils aiment leurs animaux, mais quand ils ne rapportent plus ou ne produisent plus, ils les envoient à l’abattoir.
Drôle de façon d’aimer les animaux!
Journal de Jean-Luc Daub, enquêteur dans les abattoirs français.
Dans un abattoir de Moselle, un veau de quatre à cinq mois était attaché dehors, près du local où se trouvait le box rotatif.
Il semblait intéresser trois employés, qui fumaient une cigarette en faisant une pause.
L'un lui tordait les oreilles, le rudoyait en lui donnant des coups de genoux dans les côtes, au niveau des poumons. Les autres riaient (« Il faut bien se détendre », me dirent-ils !).
Après qu’ils eurent repris leur poste dans l’abattoir, je m’approchai du veau et le caressai. Malgré tout, le petit animal ne se sentait pas rassuré. Un employé est alors venu le chercher et l'a installé près du box rotatif, une autre personne l'a étourdi au pistolet à tige perforante et l'a suspendu.
Mais d'autres bovins suspendus attendaient déjà d’être saignés. Le veau n'a donc pas pu être saigné tout de suite. Il se débattait tellement qu'on a dû lui donner un autre coup de pistolet.
Quelqu'un m'a dit que, d'habitude, on ne s'embêtait pas à faire passer les veaux à côté du box (quand il y en a plusieurs, les employés les font passer dans le box rotatif tous en même temps).
Comme beaucoup de bovins étaient en attente d'être saignés, et probablement pour avancer le travail d'une autre personne sur la chaîne de découpage, un employé coupait les deux pattes avant des animaux , alors même qu'ils n’étaient pas encore saignés, et qu’il aurait dû attendre la mort complète et effective des bovins avant toute intervention de découpe !
Journal de Jean-Luc Daub, enquêteur dans les abattoirs français.
Elles courent derrière le tracteur qui emmène leurs bébés. La suite brise le coeur.
Une nouvelle enquête entache à nouveau la blancheur du lait. Après avoir vu cette vidéo, vous comprendrez pourquoi des millions de personnes ont décidé de dire non aux produits laitiers. Ces scènes se passent en Nouvelle-Zélande, mais elles exposent une vérité qui concerne autant la France que le reste du monde : pour obtenir du lait, les vaches sont inséminées et séparées de leur bébé à la naissance
. Les veaux (mâles notamment) sont des “sous-produits”, des marchandises de peu de valeur dont on se débarrasse rapidement, après quelques jours ou quelques mois d'engraissement.
Sur ces images tournées par les associations SAFE et Farmwatch, des vaches courent désespérément derrière le tracteur qui emmène leurs petits, quelques heures seulement après leur naissance.
Ces nouveaux-nés sont violemment jetés dans les camions, trainés au sol, comme des déchets. Parce qu’ils ne représentent aucun intérêt financier, peu importe le cauchemar qu’ils vont vivre. Ils n’ont que 4 jours et vivent leurs derniers instants.
Sous les coups.
Balancés comme des sacs, poussés, frappés. Puis c'est un coup de masse sur le crâne, la lame d'un couteau dans la gorge, et une lente agonie. Nous ne laisserions pas ces actes se dérouler sous nos yeux.
Mais si nous ne pouvons pas intervenir pour retenir la main d'un boucher, nous pouvons en revanche cesser de financer le malheur immense des veaux et des vaches, en nous alimentant autrement. Ouvrez les yeux et votre coeur.
Lancez la vidéo. Les animaux en valent la peine, ne les abandonnons plus. ########
Le lait et la viande ne sont pas indispensables pour vivre en bonne santé. De nombreux produits alternatifs sont désormais disponibles dans les grandes surfaces et les magasins bio (lait de soja, de riz, d'avoine, d'amande, de noisette, steaks végétaux...).
Des alternatives au fromage ou au cuir sont en vente dans un nombre croissant de magasins, comme en témoigne notre sélection de boutiques en ligne.
Vers un effrayant clonage en série des animauxen Chine ?
Adieu veaux, vaches, cochons ! En Chine, une usine prévoit de cloner des animaux qui seront ensuite revendus à… l’échelle industrielle.
La Fondation 30 Millions d’Amis s’indigne qu’un tel projet puisse voir le jour !
Une usine géante qui clone des millions de vaches, chiens et chevaux : ce n’est pas un film de science fiction, mais bientôt la réalité en Chine.
En effet, « le plus grand site mondial de clonage d'animaux est en cours de construction en Chine, avec pour ambition de fabriquer en série chiens, chevaux, et jusqu'à un million de vaches par an, selon la presse chinoise » explique l’AFP (24/11/2015).
L'usine se concentrera principalement sur le clonage d'animaux domestiques, de chiens policiers, de chevaux de course et de vaches, pour être ensuite commercialisés à une échelle industrielle.
La production devrait démarrer l'an prochain dans la ville portuaire de Tianjin (nord), métropole côtière située à 150 km à l'est de Pékin, la capitale.
En 2013, cette industrie défrayait déjà la chronique et les journalistes de l’émission 30 Millions d’Amis avaient pu pénétrer dans le tout premier laboratoire au monde à proposer aux particuliers de cloner leur animal de compagnie en Corée du Sud.
Emission 30 Millions d'Amis diffusée sur France 3.
SATISFAIRE LA DEMANDE
Dans un premier temps, environ 100.000 embryons de vaches seront produits annuellement puis à terme, un million selon le président de biotechnologie Boyalife, l’une des sociétés à la tête de ce projet chinois.
Et ce, uniquement pour satisfaire la demande en viande des consommateurs selon cet interlocuteur :
« En Chine, les agriculteurs ont des difficultés à produire suffisamment de vaches à viande pour répondre à la demande du marché. »
Toutefois, de nombreux internautes ont émis des doutes à propos de cette hypothèse, arguant qu’ils doutaient de l'appétit des consommateurs pour de la viande issue d'animaux clonés.
LA FONDATION INDIGNÉE
Pour la Fondation 30 Millions d’Amis, ce projet est révoltant. La Fondation sait d’expérience que l’élevage industriel est toujours synonyme de conditions indignes, et bien loin de respecter les besoins les plus élémentaires des espèces. C’est pourquoi elle se bat en faveur des animaux de ferme.
De surcroît, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a souligné le taux de mortalité associé au clonage :
« Il apparaît que, dans une proportion significative d’animaux clonés – principalement pendant la période juvénile chez les bovins et la période périnatale chez les porcins – la santé et le bien-être étaient sévèrement altérés, souvent avec des conséquences graves, voire fatales. »
Quant à l’idée qu’un tel projet puisse s’implanter en France, c’est fort heureusement impossible ! En 2009, le Parlement européen s’est prononcé contre le clonage des animaux pour l'alimentation et la commercialisation d'aliments ainsi obtenus.
Dulcinéa, podenca à parrainer via LSF/
Trouvée dans un caniveau avec de multiples fractures/ Ecija Elle a tout juste un an, et sa vie a bien failli se terminer dans un caniveau quelque part non loin d’Ecija…, car quelqu’un avait pris soin de la recouvrir d’un carton alors qu’elle était encore vivante, comme pour cacher son agonie. Non, cette personne n’a pas jugé nécessaire de lui porter secours… À quoi bon !!
Les podencos tout comme les galgos ne valent rien en Espagne. Ils ne sont absolument pas considérés comme des êtres vivants, et la population en général n’est absolument par sensibilisée à leur souffrance ni à leur triste sort.
NON la pitié ça n'existe pas !
Un galgo ou un podenco ne mérite même pas la mort à leurs yeux, elle serait plus douce pour certains que cette lente agonie... Même ce cadeau, les galgueros ne le feront pas, à aucun moment ils n'éprouveront la moindre compassion.
A Ecija les galgueros sont partout, fonctionnaires, propriétaires, commerçants, employés, rares sont les hommes qui ne pratiquent pas la chasse.
De génération en génération la tradition sera perpétrée, dès leur plus jeune âge les garçons seront initiés à consommer du galgo et du podenco, et conditionnés à n’avoir aucun sentiment. Un galguero digne de ce nom ne fera jamais preuve de pitié, non jamais. Les bénévoles d’Ecija l’ont appelée Dulcinéa, ça lui va comme un gant, et nous l’aimons tous déjà.
Nous supposons qu’elle a été percutée par une voiture, elle souffre de multiples fractures et a été prise en charge en urgence par un vétérinaire, certaines lésions sont anciennes. Samedi, nous partons en Espagne et nous hâte d’embrasser notre petite Dulcinéa. Je vous dennerai d'autres nouvelles à mon retour.
Elle remontera en France le 16 janvier lors de notre premier transport de la nouvelle année. Dulcinéa est à parrainer, et nous espérons que vous serez nombreux à nous aider à financer son intervention ( facture à venir).
À son arrivée en France elle sera prise en charge par le Dr Baron. Dulcinéa va être rajoutée dans notre rubrique « Parrainages » où elle rejoindra notre longue liste de « cassés ».
http://www.levriers-sans-frontieres.com/pages/parrainer-un-galgo/
Si vous désirez la parrainer dès aujourd’hui, vous pouvez remplir le formulaire ci-joint et le retourner au siège de l’association avec votre participation.
http://www.levriers-sans-frontieres.com/medias/files/bulletin-de-parrainage-1.pdf LSF 43, rue de Paris 10700 Villette-sur-Aube
Vous pouvez également faire un donc ponctuel par PayPal sécurisé, via le site de Lévriers sans frontières.
http://www.levriers-sans-frontieres.com/
C’est Valérie, notre déléguée des Yvelines, qui s’occupe de nos anges cassés proposés en parrainage, c’est elle qui vous donnera des nouvelles régulièrement.
N’hésitez pas à la contacter pour plus d’informations. Val.lsf78@yahoo.fr / 0134745148