35 chiens séquestrés dans des conditions précaires ont été sauvés

La Fondation 30 Millions d’Amis a secouru 35 chiens qui vivaient enfermés en permanence dans des abris minuscules chez un couple à Tillard (60).

Les chiens vivaient dans des abris de fortune à l'extérieur. © Fondation 30 Millions d'Amis Courir, jouer, se rouler dans l’herbe fraîche, goûter à la douceur d’un foyer…

Des expériences jusque-là inconnues pour 35 chiens secourus par la Fondation (23/11/2015).

Enfermés en permanence dans des petits abris de fortune dans la cour d’une maison à Tillard, ces chiens de chasse croisés étaient détenus dans des conditions déplorables.

Répartis en petits clans, ils vivaient, mangeaient, faisaient leurs besoins et dormaient dans ces enclos. Alertée par le refuge de Beauvais (60), la Fondation 30 Millions d’Amis est intervenue pour les sauver de leur triste vie.

Peu habitués au contact de l’homme, ils sont asociaux et craintifs. Aucun chien n’étant stérilisé, ces animaux se sont reproduits impunément et certains sont donc consanguins.

La moitié d'entre eux ne sont pas identifiés et la majorité n’est pas vaccinée. Certains ont également des maladies de peau comme la teigne.

APPEL À L’ADOPTION

Les propriétaires ont signé une cession à l’amiable de leurs animaux qui sont donc confiés définitivement à la Fondation 30 Millions d’Amis.

La Fondation a toutefois accepté de leur laisser quatre chiens qui vivaient dans la maison avec eux, à condition de pouvoir à tout moment s’assurer qu’ils sont bien traités. Ils seront soignés et stérilisés avant d’être rendus à leurs propriétaires.

Quant aux 31 autres chiens, ils seront recueillis dans divers refuges de la région et la Fondation prendra en charge leurs soins vétérinaires et leur stérilisation.

Si vous souhaitez offrir une nouvelle vie à l’un de ces chiens, vous pouvez contacter le Refuge de Beauvais au : 03 44 48 02 50.

C’est le respect de nos différences qui crée le sublime, le magnifique, le grandiose. Le miracle de la vie ne peut exister qu’au travers de l’amour, se nourrissant de l’abondance illimitée de toutes nos diversités, des richesses infinies qui nous permettent de nous émerveiller, de nous diversifier, de remplir nos vies de toutes les couleurs, de toutes ces saveurs merveilleuses que nous offre nos différences. Nous sommes nés pour nous enrichir de nos différences, non pas pour les exclure ou les dénigrer.

Un jour, je m’échapperai de cette jungle de béton où le verre scintille par défaut, Je m’envolerai par-delà les murs sans expression pour rejoindre la nature en écho,

Parfois, il arrive qu'on se souvienne. Sans le vouloir, sans faire aucun effort de réflexion. Je ne peux pas être le seul à qui ça arrive. Comme si des neurones reclus dans une partie sombre de votre cerveau soudain s'allument après des années et renvoient devant vos yeux une image, une scène de votre enfance, un morceau de pellicule jauni prouvant la véracité d'une époque devenue irréelle par l'effet du temps.

Chienne violemment maltraitée à Marseille : le propriétaire condamné

Le Tribunal correctionnel de Marseille (13) a condamné l’auteur des terribles coups portés à une jeune chienne staff dont la vidéo avait choqué les amis des animaux (17/11/2015).

La Fondation 30 Millions d’Amis se félicite de ce jugement. Une vidéo de la maltraitance subie par cette chienne avait été tournée par un témoin.

Une interdiction de détenir un animal à vie, la confiscation de la chienne, 6 mois de prison avec sursis et une mise à l’épreuve de 2 ans au cours de laquelle il sera soumis à une obligation de soin et l’indemnisation des victimes.

C’est la sanction prononcée par le Tribunal correctionnel de Marseille (17/11/2015) à l’encontre d’un jeune homme qui avait battu avec une violence inouïe sa chienne staff.

La Fondation 30 Millions d’Amis, qui avait secouru l’animal, s’était constituée partie civile (14/09/2015) lors du procès pour « sévices graves » contre ce jeune homme.

Une peine jugée « juste et légitime » par Maître Eva Souplet, avocate de la Fondation 30 Millions d’Amis, qui défendait la cause de l’animal lors du procès.

« Ce procès a été mené avec un grand professionnalisme par le tribunal qui a par ailleurs souligné le courage du témoin et l’efficacité des services de police » ajoute-t-elle.

Désormais la chienne est choyée grâce à la Fondation 30 Millions d’Amis. Découvrez les photos à la fin de l'article.

RAPPEL DES FAITS

Le 14/09/2015, la Fondation 30 Millions d’Amis était prévenue du calvaire que vivait tous les jours une jeune chienne staff nommée Ivory. Grâce au signalement d’une voisine qui avait filmé plusieurs fois des scènes de maltraitance, la Fondation et les forces de l’ordre avaient pu intervenir rapidement à Marseille.

Après la confiscation de la chienne, le suspect avait été interpellé immédiatement.

Je partage la photo de ce galgo ou cette galga récupéré dans un état épouvantable car il faut monter dans quel état les bénévoles les récupèrent .

Un randonneur découvre des chiots pris au piège dans un aquarium scellé avec du ciment.

Je n'arrive pas à croire que quelqu'un ait pu faire cela. Dans le Mississippi, un randonneur a découvert quelque chose d’horrible : deux chiots enfermés dans un aquarium.

La notion de deux chiots enfermés dans une cage de verre est, en soi, déjà choquante, mais la drame ne s’arrête pas là. Car le couvercle de l’aquarium n’était pas seulement remis en place, il était scellé avec du ciment.

Heureusement, l’homme a découvert les animaux juste à temps. Les chiots ont aussitôt été libérés de leur prison de verre, et ont été déposés dans une clinique vétérinaire.

 Lorsque Allie Ware a tenté de caresser le chiot qui était couché, la soeur de l’animal a placé sa patte autour de ce dernier afin de le protéger. Bien que quelqu’un ait clairement enfermé les animaux dans cet aquarium afin de les noyer, le vétérinaire a déclaré qu’ils étaient en assez bonne santé, compte tenu de l’épreuve qu’ils venaient de traverser.

Un fauve de cirque enchaîné à un camion pendant 20 ans fait ses premiers pas de félin libre.

Mufasa le puma a passé plus de 20 ans enchaîné à l’arrière d’un camion, entre deux éléments rouillés du cirque auquel il appartenait.

Malgré l’interdiction formelle faite aux cirques péruviens d’utiliser des animaux sauvages dans leurs numéros, Mufasa avait peu de chances d’échapper à son sinistre destin, alors que son cirque continuait son oeuvre, toujours sur la route, en déplacement entre plusieurs villages éloignés.

Mais, au cours d’une opération dramatique menée plus tôt cette année, l’association Animal Defenders International (aidée de représentants des autorités péruviennes) a sauvé ce félin âgé, qui était apparemment le dernier animal sauvage encore en captivité dans un cirque péruvien.

Jan Creamer, Président de l’ADI, a dirigé cette opération au Pérou, et a déclaré :

“Voir Mufasa ainsi enchaîné entre les éléments du cirque, à l’arrière d’un camion, c’était vraiment bouleversant. Un harnais pesant et des chaînes entouraient son corps, et lorsque nous l’avons détaché, il s’est étiré, enfin libre, pour la première fois de sa vie. Le voir se déplacer entre les arbres de sa réserve forestière personnelle, ça a quelque chose de magique. Mufasa a été arraché à la vie sauvage, et a souffert les pire traitements imaginables : il aura besoin de soins particuliers, aussi j’espère que le public nous aidera à lui offrir une retraite confortable en faisant dès aujourd’hui un don.”

Mufasa a été débarrassé de ses chaînes, et a été emmené au refuge animalier Spirit of Freedom de l’ADI, près de Lima, pour qu’il se remette. Son appétit et l’état de sa fourrure se sont grandement améliorés après qu’il ait reçu les soins d’un vétérinaire spécialisé. Apparemment, Mufasa a été arraché à la vie sauvage alors qu’il n’était encore qu’un bébé.

Après avoir été remis en bonne santé, Mufasa a fait un voyage de 72 heures en camion et en bateau, jusqu’à sa nouvelle demeure, en bordure de la réserve Tambopata, au coeur de la forêt amazonienne. Si vous souhaitez faire un don pour offrir à ces animaux la vie qui leur a été refusée vous pouvez le faire ici.

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Ile-de-France : ils adoptent des chiens maltraités venus d’Espagne

Une trentaine de familles attendait avec impatience l’arrivée de leurs futurs compagnons en provenance de l’enclave espagnole de Ceuta au Maroc.

Plaisir, samedi. Une trentaine de familles attendait avec impatience l’arrivée de leurs futurs compagnons en provenance de l’enclave espagnole de Ceuta au Maroc.

Des larmes de joie et des photos souvenirs du camion en attendant les premières caresses. Samedi matin, près de trente familles venues des quatre coins de l’Ile-de-France et même au-delà, attendaient avec impatience le fameux engin en provenance d’Espagne.

A l’intérieur, autant de chiens qui après un long périple de près de trente-cinq heures vont enfin trouver un véritable foyer. Originaires de l’enclave espagnole de Ceuta sur la côte marocaine, tous ont d’abord été pris en charge provisoirement par un refuge sur place après des abandons ou des maltraitances.

C’est l’association Alerte SOS qui se charge de les faire adopter en France moyennant des dons en croquettes - 1,5 t cette fois-ci - en couvertures ou en médicaments au refuge espagnol.

« On peut se demander pourquoi accueillir des animaux étrangers quand il y en a déjà à adopter en France. La réponse est que la misère n’a pas de frontière. Ce sont un peu nos réfugiés à nous. Certains ont vécu des choses horribles », explique Nicole Petiau, la présidente de l’association, tout en précisant que « les chiens sont tous identifiés, pucés et vaccinés ».

La fin d’une longue attente pour les familles d’accueil Du côté des familles d’accueil, c’est souvent la fin d’une longue attente de plusieurs mois, comme pour Edith, aux anges de pouvoir enfin prendre dans ses bras la jeune berger allemand qu’elle avait choisie, ou comme Muriel, Patrick et Aurore qui ont « hâte de rentrer à la maison avec Lulu et de voir s’il s’entend bien avec le chat ».

Pour éviter que les animaux ne soient trop dépaysés, leurs maîtres se voient remettre un lexique de quelques mots clés en espagnol. « On assure aussi un suivi en vérifiant que l’animal est bien portant et bien traité », conclut Nicole Petiau. Son association permet l’adoption, chaque année, de près de 500 animaux.