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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Là où je suis, tu n'est pas là ou tu es, je ne serais plus. Dit moi pourquoi vivre est important si cela nous disperse aux quatre vents
Qu'adviendra-t-il des animaux du labo Elanco?
Plusieurs centaines d'animaux sont menacés par la suppression de 80 postes de travail au sein de la filiale fribourgeoise de l'entreprise pharmaceutique Elanco.
Pas moins de 800 animaux sont présents sur le site et servent de cobayes.
L'entreprise pharmaceutique américaine Elanco, active dans la santé animale, veut fermer son site de Saint-Aubin, selon une information communiquée fin octobre.
Pas moins de 80 postes de travail à plein temps sont menacés par cette décision. Mais la Ligue suisse contre la vivisection craint également que plusieurs centaines d'animaux soient euthanasiés. «Nous voulons un plan social aussi pour les animaux», a revendiqué mardi la Ligue suisse contre la vivisection (LSCV) dans un communiqué.
Car si 80 emplois risquent de passer à la trappe, pour les animaux, la décision de fermer le site de Saint-Aubin signifie l'abattoir, les fermes d'engraissement ou l'euthanasie.
«De la part d'une importante entreprise pharmaceutique qui génère chaque année plusieurs milliards de dollars de bénéfices nets, le procédé qui consiste à éliminer brutalement des animaux devenus inutiles choque», poursuit la ligue.
Selon les estimations de la LSCV, environ 800 grands animaux sont présents en moyenne sur le site et servent dans des expérimentations pour des nouvelles formulations antiparasitaires. Outre des moutons, porcs et bovins, 350 chiens et 150 chats seraient concernés, sans compter un bon millier de rongeurs.
Offres spontanées
«Nous avons déjà reçu quelques offres spontanées de refuges pour recueillir des chats et des chiens», précise à l'ats Luc Fournier, président de l'association.
Et de citer notamment les Sociétés protectrices des animaux de Genève et Neuchâtel pour les chiens et SOS Chats dans la commune de Meyrin (GE). La LSCV propose de mettre sur pied un programme de reclassement pour les toutous.
«Imaginons qu'Elanco mette mille francs par chien, ce ne serait certainement pas un souci de sauver les 350.»
Selon la LSCV, Elanco fait la sourde oreille pour l'instant. Mardi en fin d'après-midi, l'entreprise n'avait pas pu être contactée pour une prise de position. «En général, les chiens de laboratoire sont de toute façon euthanasiés au bout de quatre ou cinq ans», rappelle Luc Fournier. Elanco étudie plusieurs options Du côté du Service de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires (SAAV) de Fribourg, on indique être en contact avec Elanco.
«Plusieurs propositions concrètes ont été faites par l'entreprise.»
Parmi elles, l'euthanasie des animaux n'est pas la première option, précise le service. L'idée de la reconversion des animaux proposée par la LSCV est en revanche jugée «peu réaliste», notamment pour les chiens. Car ils ont vécu toute leur vie en circuit fermé, sans contact avec l'extérieur. Pour les chats, «ce serait déjà plus envisageable.»
Le SAAV ne souhaite cependant pas entrer dans les détails des options envisagées, car des consultations sont encore en cours jusqu'à fin novembre. Elanco devrait communiquer à ce sujet le 1er décembre.
Le service vétérinaire rappelle que les droits et les obligations concernant les animaux incombent à l'entreprise propriétaire. Actions en vue Si rien n'est fait par l'entreprise, la LSCV se dit prête à envisager des actions de protestation.
«Elanco est-elle vraiment prête à écorner son image de marque pour quelques centaines de milliers de francs», s'interroge Luc Fournier. Elanco a annoncé en octobre vouloir fermer son site de St-Aubin. Vingt à trente collaborateurs se verront proposer un transfert vers les laboratoires bâlois.
La firme, qui emploie quelque 350 personnes en Suisse, est une division du groupe pharmaceutique américain Eli Lilly. En janvier dernier, elle a achevé le rachat de la division Santé animale du groupe bâlois Novartis.
Clé d'une vie oublier, perdue dans cette immensité tordue de frayeurs et de peines fendue des mémoires qu'elle ramène
Il ne ne pleut pas encore dehors, mais des gouttes tombent sur moi. Mon corps ne les ressent pas mais elles glissent les une après les autres sur mon âmes. Elles lavent doucement les vestiges de ces émotions refoulées comme mon identité
Voici l'histoire déchirante de ce petit chien laissé des jours entiers sous la pluie les autorités ont etait prevenue mais personne ne veut rien faire sachant que les propriétaires ne sont pas là alors de nombreux bénévoles lui ont rapporté une couverture et à manger en attendant une forte mobilisation stop aux massacres animaliers se porte volontaire pour donner notre voix contre cet acte merci de partager au plus grand nombre de personnes que vous connaissaient Aucun animal ne mérite d'être traité comme ça. Il suffit de regarder son visage, il est clairement malheureux!
L'adresse est 189 Davis Road, Albertville, le comté de Marshall, Alabama.
Lien pétition : http://www.stopauxmassacresanimaliers...
Tout commence au fin fond d'une cave l'obscurité règne en se lieu ou personne n'aimerais se retrouver. Pourtant, le silence laisse deviner que cette pièce est loin d'être vide quelque chose vis ici mais nul ne sais comment ni même qui.
Ivresse de souvenirs que me partage le vent ..Je veut me reconstruire ailleurs et autrement
J'ai mis longtemps à comprendre qu'il ne fallait pas confondre l'espoir et l'espérance
Des animaux massacrés dans un jardin à Millas, le propriétaire choqué.
Le chien, Lucki a été sorti de sa cage, attaché au casot et sauvagement tué.
Antoine Noguerra, 69 ans, a fait une macabre découverte dans son jardin privé à Millas : son chien décapité et brulé. Ses douze poules ont subit le même sort.
Depuis, il n'a plus le courage de se rendre à son casot, il en est malade. L'horreur pour un habitant de Millas! Antoine Noguera, 69 ans, vit dans l'angoisse depuis que jeudi matin, il a retrouvé son jardin privé vandalisé.
Son chien et ses douze poules ont été sauvagement tués. Lui et sa famille ont été énormément choqués. Jeudi, comme tous les matins, Antoine Noguera se rendait à son jardin. En arrivant, il a remarqué que le cadenas de la porte avait été forcé.
Devant lui, sur le sol, il a vu ce qu'il croyait être un bout de bois brulé. En fait c'était son chien. Il avait un patte et la tête tranchée. A côté du corps il y avait une hache. Devant cette scène terrible, l'homme de 69 ans se fige de panique, il se rend directement chez sa fille, et ils vont tous les deux voir les gendarmes de Millas.
Au jardin, les enquêteurs constatent alors que la hache n'a pas seulement servie à tuer le chien, mais douze poules, elles aussi décapitées, certaines même éventrées.
Depuis hier, Antoine Noguera a du mal à dormir, il est tendu, en colère, il sert les poings et dit avoir mal partout. Il se sent menacé, mais ne comprend pas du tout qui a pu s'en prendre à lui, à ses animaux.
"J'ai l'habitude du vandalisme, dit-il, je me fais souvent voler des outils dans le casot, ce matin encore, je me suis fait piquer un vélo devant la porte, mais là! c'est horrible, ce n'est pas qu'un simple vol, c'est un acte barbare! Je ne trouve pas les mots". Un acte de barbarie inexpliqué_ _
Ce Millassois a beau se creuser les méninges, il ne sait pas qui aurait pu commettre un acte aussi grave, selon lui, ça ne peut pas être des personnes du village. Il a porté plainte à la gendarmerie. Les enquêteurs se sont aussitôt rendus sur place. Ils ont pris des photos, effectué des prélèvements.
Il n'y a aucun témoin puisque les faits se sont déroulés dans la nuit, dans une zone de jardins privés, à 500 mètres des premières habitations. Personne n'a revendiqué l'acte. Les malfaiteurs n'ont laissé aucune inscription.
Pour les gendarmes, il ne s'agit donc a priori pas d'un rituel sectaire, ce serait un acte isolé qui ne vise pas le propriétaire des animaux. Pourtant, ce n'est pas la première fois que des animaux sont tués sauvagement de la sorte dans le département. Il y a deux ans, un âne avait été découpé à la tronçonneuse, sur la commune de Pia, mais c'était certainement pour sa viande, car des parties du corps avaient été emportées.
Là, le chien a été brûlé, les poules laissées mortes dans le poulailler et rien n'a été volé, sauf un bidon d'essence.