aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
La Ferté-Gaucher
Les deux soeurs tortionnaires du chien Lucky à court d'explications à la barre du tribunal
Aucune émotion apparente à la barre pour les 2 sœurs de La Ferté-Gaucher qui avaient affamé leur labrador Lucky, et laissé mourir un Jack Russel décharné avant de l’enterrer.
L’audience s’est tenue mardi 27 octobre devant le tribunal correctionnel de Meaux, qui rendra sa décision mardi 10 novembre. Elles se tiennent debout, côte à côte, sans répondant, comme assommées à la barre, décrivent nos confrères du Pays Briard.
Elles n’en mènent pas large et semblent prendre conscience de la portée de leurs actes.
Les deux sœurs Perrault restent impassibles. Laura (26 ans, mère de 3 enfants) et Priscilla (19 ans) étaient jugées mardi 27 octobre pour ’’abandon volontaire d’un animal domestique apprivoisé ou captif’’. À leur domicile de La Ferté-Gaucher, pendant plusieurs mois, elles ont laissé deux chiens « dans un état déplorable, sans alimentation », explique la juge Christine Chasse.
Les muscles avaient fondu Début juillet, l’un des deux animaux , un croisé Jack Russel nommé Nala, est mort, avant d’être enterré par ses maîtresses.
« L’autopsie a révélé que Nala n’était pas décédé d’une maladie, mais de faim, poursuit la juge. Il était d’une maigreur telle que ses muscles avaient fondu, et n’avait plus que les os sur la peau. A la même période, le labrador Lucky est, lui, passé à deux doigts de la mort, après avoir vécu un an durant en décrépitude sous le joug de ses ex-maîtresses.
Il avait été confié au refuge de Villevaudé, sur décision judiciaire, après avoir été retiré par les gendarmes de Rebais à ses propriétaires.
Le chien squelettique pesait alors 13 kg. Aujourd’hui, il a pris 10 kg et a une nouvelle maîtresse. Âgé de 2 ans et demi, il a repris du poil de la bête.
« Dans vos témoignages, vous dîtes que ces chiens étaient ’’difficiles, qu’ils ne mangeaient pas, qu’ils n’aimaient pas les croquettes…’’ Prisicilla a été la plus franche en avouant ne pas avoir les moyens de les nourrir. On ne vous reproche pas vous problèmes financiers, mais le fait d’avoir gardé ces chiens dans ces conditions », s’adresse la juge aux deux sœurs qui vivent de petits boulots saisonniers.
Du bout des lèvres, presque inaudible, Priscilla concède tout juste : « C’est vrai, on aurait pu faire quelque chose… »
« Vous ne nourrissiez pas vos chiens. À aucun moment, ça n’a fait ’’tilt’’ ? Pourquoi avoir gardé ces animaux? », relance la juge.
« Par attachement », lâche Priscilla, sans conviction. Nala agonisait sous leurs yeux L’avocate de l’association ’’30 millions d’amis’’, qui était intervenue à temps pour porter secours à Lucky en détresse, prend la parole.
« Le labrador squelettique puisait dans ses ressources musculaires pour survivre, et ne présentait aucune pathologie. Les prévenues ont assisté jour après jour au délabrement de leurs deux chiens qui devaient sûrement se battre pour manger.
Elles ont vu Nala, âgé de 2 ans, agoniser sous leurs yeux. On ne meurt pas de faim en France, car il est toujours possible de se nourrir. Elles ont laissé dépérir leurs animaux en parfaite connaissance de cause, et n’expriment aucun remord. »
Un être humain faisant preuve de sensibilité Le substitut du procureur Karim Badène n’a pas été tendre non plus avec les sœurs fertoises, blondes.
« Je connais bien cette affaire. Découvert par les gendarmes, Lucky ressemblait à un lévrier. Jamais nourri, il avait à peine la force de se tenir debout. Je suis déçu par l’attitude des deux prévenues qui ne semblent pas se rendre compte de la gravité des faits, et qui n’ont jamais réfléchi à l’incidence d’avoir un chien, cet être humain qui demande des soins et qui fait preuve de sensibilité. Certes, elles ont des problèmes financiers : mais dans ce cas, il faut renoncer à acquérir un chien, ou alors le confier à une association. »
Cette affaire a suscité un « élan de solidarité, avec des dons. L’opinion a été touchée ».
Réquisition pour chacune des deux soeurs : « Six mois d’emprisonnement avec sursis, 1 000 euros d’amende, interdiction de détenir un chien, et confiscation du chien (Lucky) ». Invitées à prendre la parole une dernière fois, Laura et Priscilla sont quasiment restées de marbre. La décision du tribunal correctionnel sera rendue mardi 10 novembre à 13 h 30, à Meaux.
Seraing (Liège): des chihuahuas affamés et enfermés pendant 2 semaines découverts dans une habitation!
Une Sérésienne de 33 ans vient d’écoper d’une peine d’amende de 600 euros ou 15 jours de prison pour avoir « oublié » ses deux chiens, des chihuahuas, enfermés seuls chez elle pendant deux semaines.
Ce sont des voisins de la trentenaire qui, entendant les aboiements et remarquant que personne ne semblait plus résider dans la maison, avaient prévenu la SRPA.
L’inspecteur de la SRPA s’était rendu sur les lieux le 18 septembre et avait laissé un marqueur sur la porte d’entrée. Il était revenu le 22 septembre, et le marqueur était toujours là.
Il avait alors prévenu la police du fait qu’il entendait des animaux à l’intérieur de cette maison désertée, mais qu’il ignorait si ceux-ci disposaient d’eau et de nourriture.
Le 29 septembre, les services de police constataient que le marqueur placé par la SRPA n’avait toujours pas bougé. La Sérésienne avait alors été convoquée sur place et avait fini par admettre que cela faisait un moment qu’elle habitait chez une parente à Ougrée et qu’elle n’avait plus mis les pieds chez elle. Les chiens avaient été découverts en très mauvais état, affamés et déshydratés.
Il nous faut prendre soin de chacun d'entre nous..... Peu importe les conditions , il faut aider
11 chiots jetés à la rue, et retrouvés jeudi soir 22 octobre dans un carton devant une maison à GUIPASSE, sur la commune de ST ELOI.
Le bruit d’une voiture qui freine violemment, la portière qui claque et la voiture qui repart en accélérant. Voici ce qu’a entendu la personne qui s’est précipitée pour voir ce qui se passait et qui a retrouvé sur le pas de sa porte, une boîte contenant 11 chiots nés il y a à peine 4 semaines.
Nous avons été contactés le lendemain matin par la mairie et nous sommes allés chercher les chiots. Un refuge, n’étant pas l’endroit idéal pour accueillir des chiots si jeunes, nous avons fait appel à la pension animalière ANIMA de Challuy qui a tout de suite répondu présent pour les héberger et leur apporter tous les soins et l’affection nécessaires (4 à 5 repas par jour !) jusqu’à ce qu’ils aient l’âge d’être adoptés.
Nous lançons un appel pour obtenir des renseignements sur les personnes qui ont lâchement abandonné ces chiots qui ont été séparés beaucoup trop tôt de leur maman, ce qui risque d’avoir des conséquences sur leur état de santé, leur développement et leur comportement.
Nous tenons à remercier la pension Anima d’avoir accepté de leur offrir l’environnement qui leur permettra d’avoir toutes les chances de s’en sortir.(ne les appelez pas pour voir où adoptér les chiots, ils ne sont pas visibles pour le moment)
Si quelqu’un a des renseignements qui pourraient nous aider à retrouver les auteurs de l’abandon de ces chiots, veuillez contacter le refuge au 03 86 58 41 44 ou par mail à l’adresse : refugedethiernay@free.fr
Eh oui, ça y est, au grand désespoir de tous ceux qui tentent tant bien que mal d'endiguer la misère animale, voici revenue, comme chaque année, la "saison froide" et son lot de chats et chatons morts gelés faute d'accueil et de finances pour les sauver.
Je martèle, serine, bisse, confirme, réaffirme, insiste, souligne, persévère, radote, redis, réitère, ressasse, remémore, rappelle... que, si l'on prétend aimer les chats, on les stérilise.
Ce n'est pas négociable, rien ne peut justifier qu'on laisse son propre animal se reproduire.
Pourquoi ?
Je vais tenter de répondre à cette question en examinant le point de vue des différents protagonistes. Le propriétaire : Si le chat vit en appartement, il va falloir supporter le comportement collant pour les femelles et collé à la fenêtre pour les mâles, les miaulements, les griffades et autres marquages urinaires...
Concernant le marquage urinaire, j'ai hébergé quelques chats mâles récupérés à la va-vite, donc très récemment castrés, et dont l'organisme était donc encore saturé par les hormones, je peux te garantir que l'odeur est insupportable !
Un seul "pipi" dans un coin suffisait à empester l'atmosphère de mon appartement qui fait pourtant 76 m² !
Je peux t'affirmer que l'odeur imprègne tout, même quand tu as bien décapé et traité au vinaigre blanc. Qui n'a pas connu, dans son enfance, une maison habitée par une personne âgée qui hébergeait un nombre de chats incroyable (non stérilisés) et dont l'odeur était suffocante ?
Et bien, avec un chat non castré à la maison, tu auras le plaisir de retrouver cette odeur de ton enfance ! Si le chat peut sortir, tu vas me dire que ces inconvénients sont nettement moindres et tu auras raison, sauf que...
Si ton chat à accès à l'extérieur, mâle ou femelle, il ne résistera pas à son instinct et ta femelle reviendra à coup sur gestante, ton mâle rentrera peut-être blessé de s'être battu avec d'autres mâles et peut-être même ne reviendra t-il pas du tout. L'un comme l'autre court le risque d'être contaminé par l'un des virus félins transmissibles par voie sanguine ou sexuelle.
J'entends aussi quelquefois l'argument "ce n'est pas naturel", mais, quiconque a déjà approché un chat né dehors, hors de tout contact humain s'aperçoit très vite que les manipulations, caresses et tripatouillages en tout genre ne sont pas innés et naturellement peu appréciés chez les animaux qui n'ont eu aucun contact "humain" pendant leur croissance.
Les tripatouillages non plus ne sont donc pas "naturels" mais comme ils sont importants pour nous, nous décidons qu'il est "naturel" d'imposer les caresses, mais pas "naturel" de stériliser (pas "naturel" de vacciner non plus pour certains propriétaires !).
Nous pourrions nous contenter de nous lier d'amitié avec des chats errants à qui nous offririons un abri et de la nourriture pour les amener à nous fréquenter mais sans jamais rien leur imposer, voilà qui serait respecter totalement leur nature...
J'en arrive donc au point de vue du chat lui-même : En plus des virus potentiellement mortels que le chat peut facilement contracter en se reproduisant avec des chats contaminés et des blessures plus ou moins graves qui le feront souffrir, il faut oublier tout anthropomorphisme et admettre que le chat ne retire absolument aucun plaisir de sa sexualité.
Il obéit à un impératif biologique, un point c'est tout. Profitons-en pour oublier également tous les clichés ridicules sur la stérilisation : les mâles ne deviennent pas de grosses peluches molles et les femelles ne deviennent pas irascibles !
Les chats se moquent bien d'avoir une descendance, ils n'ont pas de patronyme à transmettre et encore moins d'héritage ! Le raisonnement qui consiste à dire de sa chatte :
"Je lui fais faire une portée pour qu'elle materne au moins une fois puis je la stérilise" ne tient pas debout. Si on suppose que j'ai tord, et que la chatte rêve d'avoir des bébés (!?) lui laisser goûter aux charmes de la maternité pour ensuite l'en priver est cruel ; si on suppose que j'ai raison, à quoi sert cette unique gestation ?
Je ne parlerai même pas des propriétaires qui "éliminent" les chatons à la naissance laissant leur chatte les chercher partout et supporter des montées de lait dans des mamelles douloureuses qu'aucun chaton ne tètera.
Je ne vais pas non plus épiloguer sur la pilule pour chattes dont les effets secondaires sont catastrophiques pour la santé, même prise sur une très courte durée. Maintenant, examinons le point de vue des chats de refuge, ou pire, des chats de fourrière : Les chats de refuges sont des chats abandonnés.
Eux aussi, un beau jour, ils sont venus au monde dans une portée plus ou moins désirée et distribués au petit bonheur la chance "contre bons soins".
Exceptionnellement, il arrive qu'ils aient appartenu à une personne décédée sans héritiers mais, dans la majorité des cas, ils ont simplement cessé de plaire et sont largués directement au refuge par leurs propriétaires sous des prétextes aussi divers que variés mais systématiquement bidons : grossesse, allergie, déménagement, mutation à l'étranger, agressivité, bêtises à répétition, coups de griffes aux enfants qui ne lui ont rien fait, etc...
Certains sont jetés à la rue ou déposés lâchement sur un "point de nourrissage" par leur propriétaire qui se donne ainsi bonne conscience à peu de frais.
Ces chats là ne survivent pas longtemps s'ils ne sont pas très vite récupérés par une association car entre les dangers de la rue, la circulation automobile, les autres chats (errants ceux-là) qui ne tolèreront pas leur présence, leur incapacité à trouver leur nourriture, les chiens, les humains peu compatissants, seuls les plus costauds ou les plus malins ont une chance.
Au refuge cependant, c'est comme partout : les adoptants veulent des chatons et les adultes, quelles que soient leurs qualités, ont plus de mal à trouver un foyer, mis involontairement hors jeu par les petits. Pour ceux qui sont ramassés par la fourrière, c'est pire, passé le délai de garde de 8 jours, si l'animal n'est pas identifié et/ou pas réclamé : il est exécuté.
A la fourrière, contrairement aux refuges où ils sont traités avec compassion et respect, les animaux comprennent très vite ce qui les attend, certains se blessent sur les barreaux des cages en tentant désespérément de s'échapper, d'autres se déconnectent et sombrent dans l'apathie, d'autres encore multiplient les opérations de charme sur chaque visiteur en espérant le convaincre de les sortir de cet enfer.
Puisqu'il n'y a pas de place pour tout le monde, il ne faut pas perdre de vue que chaque chaton qui vient au monde condamne, bien involontairement, un chat adulte à vivre sans foyer, ou même à mourir.
D'ailleurs, parmi tous ces chatons au charme irrésistible, combien seront jetés, largués, maltraités et rejoindront derrière les grilles leurs frères de misère ?
Baz un chat torturé parce qu’il ressemble à Hitler Baz, un chat de sept ans, a été laissé pour mort dans une poubelle et a perdu un œil après avoir été violemment agressé lundi dernier à Tredworth (Royaume-Uni).
Un acharnement motivé par son étrange ressemblance avec Adolf Hitler, selon sa propriétaire.
La fourrure sous le museau de l’animal de compagnie ressemble à la moustache du dictateur nazi.
Par ailleurs, le poil noir sur le dessus de la tête donne aussi l’impression de cheveux noirs. Kirsty Sparrow a commencé à s’inquiéter quand son chat Baz n’est pas revenu à sa maison à Tredworth, après une fin de semaine à l’extérieur.
C’est un voisin qui l’a retrouvé quelques jours plus tard. La pauvre bête avait été jetée dans une poubelle après avoir été grièvement blessée, rapporte le Daily Mail.
Son œil gauche, très touché, a dû être retiré après une délicate opération. «Les vétérinaires ont dit que, vu ses blessures, il n’avait pas été heurté par une voiture. Il a été battu.» s’émeut Kirsty Sparrow encore sous le choc au Daily Mail. Baz aurait été victime de son physique hors normes.
«Beaucoup de gens disent qu’il ressemble à Hitler, mais il est timide et doux. Il est si mignon. Sa moustache fait ce qu’il est. C’est vrai qu’il ressemble à Hitler». Une particularité pas si rare, puisque le site «cats that look like Hitler» («Les chats qui ressemblent à Hitler») en répertorie des milliers.
Tu as le pouvoir de rire et aussi celui de pleurer. Tu as le pouvoir de dire le fond de ta pensée. Tu as le pouvoir de changer ta propre destinée. Mais tu n’as pas le pouvoir de revivre ton passé, ni celui de prévoir tout ce qui va t’arriver. Tu choisiras avec tes rêves tes désirs et tes réalités, en sachant que ton corps peut te limiter. Mais n’oublie pas que plus tu avanceras, plus tu t’éveilleras et plus tu grandiras. Alors cesse d’avancer en regardant derrière toi. Et fait rejaillir avec intensité, toutes les qualités de ton « moi »
DES ÉLEVAGES DE CHIENS INDUSTRIELS EN FRANCE
En France , il existe désormais des élevages industriels d’animaux de compagnie.
Chiens et chats y sont élevés en batterie, au détriment de leur bien être et de leur capacité à devenir des compagnons équilibrés.
L’élevage de chiens en France revêt désormais de drôle de formes. Des pseudo-éleveurs multiplient les races, qui s’entassent dans des locaux rarement adaptés et parfois à la limité de l’insalubrité. Ils les forcent se reproduire sans considération pour les handicaps ou les tares génétiques.
Pire, les animaux sont isolés, craintifs, et ne sont pas sociabilisés du tout. Les chiots qui naissent dans ces conditions, si toutefois ils survivent, ne pourront jamais devenir des adultes équilibrés car il leur manque des bases importantes du comportement de leur espèce…
Pour eux, l’humain est loin d’être un compagnon de confiance. Pourtant ces élevages douteux fournissent les animaleries. Certains sont mêmes les fournisseurs officiels de grandes chaînes de ces magasins.
Contrairement à d’autres, l’argent ne manque donc pas. Pourtant, les chiens ne vivent pas dans de meilleures conditions et leurs besoins en termes de comportement ne sont pas non plus satisfaits.
Les chiots qui naissent là connaîtront une vie de malheur, ponctuée d’abandons quand ils ne seront pas rapidement euthanasiés après avoir mordu…
Un trafic de chiots en pleine rue dans le Vieux-Nice
Des chiots vendus sous le manteau dans le Vie
Sur les trottoirs de la ville, devant les églises du Vieux-Nice, des mendiants avec de petits chiots font la quête. Une manière d'attendrir les passants, mais aussi d'essayer de faire du profit en vendant les pauvres bêtes.
Un trafic de chiots serait opéré par des sans-papiers des pays de l'Est dans le centre de Nice. Ils toucheraient aussi d'autres quartiers de la ville. Les autorité ont, semble-t-il, du mal à trouver la parade pour le faire cesser. Certains n'ont que quelques jours. Pas sevrés, ils risquent la mort.
Et pourtant, ces chiots, qui viennent de naître, sont en vente sous le manteau dans les rues du Vieux-Nice et également rue de France, quartiers Notre-Dame ou Gambetta.
Une habitante du quartier ancien, qui tient à garder l'anonymat par peur des représailles et que l'on nommera Hélène, remue ciel et terre depuis plusieurs mois pour mettre un terme à ce trafic. En vain. «Les trafiquants, ce sont des hommes des pays de l'Est qui font la manche devant les églises», accuse cette «activiste», comme elle se qualifie.
Animalerie clandestine en plein air Un jour, en se promenant dans le Vieux-Nice, elle est tombée par hasard sur un de ces hommes assis par terre avec un chiot sur un carton. «Il faisait la quête. L'animal était là pour attendrir les passants. Mais pas que. Quand je lui ai parlé du chiot, il m'a dit qu'il était à vendre.»
Depuis, cette femme a vu le quartier se transformer en «animalerie clandestine. C'est un vrai trafic.» D'où viennent ces animaux ? «De trafics avec les pays de l'Est ou de reproduction locale», confirme Françoise Leblanc, enquêtrice de la Société de défense des animaux.
«Un jour, en demandant des explications sur la naissance d'un chiot à un de ces sans-papiers, je suis tombée sur le carnet d'une chienne, qui était toujours au nom de la propriétaire. Elle voulait se débarrasser de son animal. Elle l'a donné et ils l'ont fait se reproduire.
Sa progéniture s'est retrouvée sur le trottoir», incrimine Hélène, qui n'ose imaginer les conditions dans lesquelles vivent ces animaux. «Ils sont souvent porteurs de maladies comme la parvorise, qui est mortelle, voire de la rage», prévient la SDA.
Les prix affichés varient entre 100 et 200 euros, quant aux races, c'est souvent des animaux «croisés portes et fenêtres». Mais Hélène a aussi vu des petits labradors et même dernièrement un jeune bouledogue anglais.
Les autorités se renvoient la balle Quant aux autorités, que ce soit la police municipale, la police nationale, la préfecture, «on dirait qu'elles se renvoient la balle», souffle Hélène, qui a alerté le maire en novembre 2014. Début mars 2015, elle a reçu une lettre du directeur de la police municipale, où il assurait que ses agents portaient «un intérêt particulier» à sa requête.
Le 8 décembre dernier, un fonctionnaire a rencontré Hélène, «afin d'établir un point précis de la situation.» Mais,avance le responsable, «la police nationale ne peut prendre les dépôts de plainte que dans les cas où la maltraitance sur animaux est matérialisée. Nous leur transmettons néanmoins vos informations quant aux suspicieux de trafic animalier.»
La pression est-elle suffisante ?
Les associations s'activent et arrivent parfois à faire bouger les lignes. Mais face aux profits potentiels, les trafiquants, pendant ce temps, prospèrent. Les assoc’ tentent d’impliquer la police niçoise Il y a dix jours, elle a vécu une petite victoire.
Françoise Leblanc, enquêtrice à la SDA, la Société de défense des animaux, avec l’aide de policiers municipaux, a réussi à récupérer quelques chiots auprès d’un SDF qui ne semble pas avoir de problèmes de fin de mois et arrive en ville le matin «en Mercedes noire.»
De son côté, Célia, de l’association Au service des animaux, estime que la police niçoise est «plus efficace et plus sensible ici que dans bien d’autres communes des A-M.»
Pour cette protectrice des animaux, «si on est témoin de tels agissements, il faut alerter une association, même si toutes ne répondent pas toujours présentes.»
Pourquoi ?
Tout simplement, cela permettra à l’association de pouvoir récupérer les chiens et éviter la mise en fourrière. Enfin, dernier conseil à toutes les personnes qui veulent donner leur chien et passent parfois des annonces sur des sites en ligne, « il faut que les femelles soient stérilisées afin de ne pas servir à la reproduction. »
SDA : 04.93.88.71.47. Au service des animaux : 06.61.25.31.72.
Justice pour le chat de Neuilly Saint Front décédé suite à des horribles coups. Merci de signer et partager la pétition pour que les auteurs de cet acte ne restent pas impunis !
Je cite : L'examen de cette procédure ne justifie pas de poursuite pénale. ADRESSÉE À justice PROCUREUR Etat français Justice pour le chat de Neuilly Saint Front décédé suite à des horribles coups.
Pétition change.org