La redoutable fourmi de feu, capable de dévorer ses victimes jusqu'à l'os

Le sol de la forêt amazonienne est jonché d'un redoutable nuisible : la fourmi de feu, dotée d'une « piqûre ardente » et capable de dévorer ses victimes jusqu'à l'os.

Solenopsis invicta, plus communément appelée fourmi de feu, est originaire d’Amérique du sud. Par le biais des cargos de marchandises, cette espèce a fortuitement migré dans différents pays du monde, comme les Etats-Unis en 1930 ou l’Australie en 2001.

Elle y est aujourd’hui considérée comme une espèce invasive et nuisible pour l’Homme et les espèces locales, et est extrêmement difficile à éradiquer. Les fourmis de feu sont l’une des 266 espèces de fourmis Solenopsis, un genre très commun de fourmis, mais sont beaucoup plus agressives que la plupart d’entre elles.

Elles sont réputées pour posséder l’un des venins les plus irritants au monde. Ses piqûres « ardentes » provoquent en effet de fortes douleurs, des démangeaisons, voire plus dans certains cas. Mortelle pour les petits animaux comme les oiseaux, la piqûre de la fourmi de feu n’est en principe pas létale pour l’Homme, mais certains rapports médicaux ont signalé plusieur décès causés par un choc anaphylactique suite à une piqûre de Solenopsis invicta.

LA REDOUTABLE FOURMI DE FEU ET SA PIQÛRE ARDENTE

Les fourmis de feu attaquent en groupe. Lorsqu’elles s’en prennent à une proie, elles grimpent dessus et libèrent des phéromones qui attirent le reste de la colonie. Des centaines voire par milliers d’individus arrivent alors dans le but de protéger leur colonie. Cette armée d’insectes suit aveuglément ces phéromones, qui constituent un véritable chemin chimique dessiné par les fourmis « éclaireuses ».

Contrairement à de nombreuses autres espèces, Solenopsis invicta ne mord pas, elle pique. Si son attaque débute par une morsure qui, grâce à de puissantes mandibules, va lui permettre de s’agripper à sa victime pour la piquer plusieurs fois, les fourmis de feu possèdent un dard semblable à celui des guêpes.

C’est cet attribut physique qui va lui permettre d’injecter son venin sous la peau de sa proie, qui va alors attaquer et détruire les cellules lors d’un phénomène appelé « lyse ». Le contenu des cellules détruites se propage ensuite, permettant au venin de se diffuser et d'en détruire davantage. Les fourmis de feu, en plus d’être une espèce invasive, sont des prédatrices très dangereuses pour les œufs d’autres insectes, voire d'autres fourmis. Les ouvrières rouges agitent leur abdomen afin de diffuser ce venin destructeur dans l'air sous forme de gouttelettes. Les cestodes sont des parasites qui vivent dans les intestins des humains et des animaux, notamment ...

 Solenopsis invicta est une espèce très complexe à éradiquer et les scientifiques recherchent encore aujourd’hui différentes techniques biologiques pour les éliminer. L’on estime que la reine pond en moyenne un œuf par minute, et peut pondre jusqu’à 2 000 œufs par jour, ce qui permet à de nombreuses colonies de se créer et s’étendre très rapidement sur un nouveau territoire. Elles sont de plus extrêmement résistantes au froid ; elles peuvent survivre à des températures atteignant les -10°C.

Une photo de fourmis buvant des gouttes d’eau remporte le premier prix d’un concours international

‎ PROTÉGEONS LES ABEILLES elles nous le rendront bien…

Insecte commun, volant dans nos jardins durant toute la belle saison, l’abeille s’avère pourtant indispensable à la survie des espèces animales et végétales du monde entier.

Véritable acharnée du travail , elle passe ses journées à butiner le nectar nécessaire à la vie de la ruche. Pouvant collecter jusqu’à 500 000 grains de pollen sur une de ses pattes arrières et visiter 250 fleurs en une heure, l’abeille est relayée au rang de meilleur pollinisateur.

Problème majeur, les nombreux traitements dans les champs ou les jardins sont susceptibles de tuer les insectes venant se poser sur les plantes, tandis que la raréfaction des fleurs sauvages ou l’arrachage des haies a voué les colonies d’abeilles privées d’habitat et de nourriture à une mort certaine.

Ces pratiques, qui provoquent depuis quelques années l’effondrement des populations d’insectes pollinisateurs (guêpes, bourdons, papillons mais surtout abeille), induisent, de surcroît, celui de la biodiversité et de l’humanité.

Il faut en effet savoir que 30 % de nos ressources alimentaires dépendent à 80 % de la pollinisation des plantes par les abeilles. Sans elles, nous ne consommerions que des céréales, blé ou riz. Malgré cela, il est possible d’inverser la tendance et de permettre aux abeilles de se redévelopper.

Comment ?

En évitant les produits chimiques dans les jardins et en les diminuant en agriculture ; en semant des fleurs sauvages ou tout simplement en laissant des coins de « mauvaises herbes » dans les jardins, prairies et bords de champs ; en replantant des arbres et des haies refuges qui fleurissent tout au long de l’année.

David Fairchild a utilisé un appareil photo de 3,7 mètres, surnommé le « Long Tom », pour prendre cet agrandissement d’une araignée loup en Californie, destiné à son article « The Monsters of Our Back Yards » [berk] paru dans un numéro de National Geographic en 1913.

J'offre à l'univers ma tristesse , mes craintes , mes peurs , mes colères et je m'imprègne de sa lumière et de sa force .....

La suite du voyage de la goutte de pluie

Elaeomyxa cerifera est une espèce de myxomycète qui ressemble à une galaxie miniature. Ces créatures étranges font partie des protistes, des organismes unicellulaires qu'on ne peut classer ni parmi les champignons, ni parmi les végétaux, ni parmi les animaux.

Les abeilles ne sont pas toujours jaunes et noires : parmi les 20 000 espèces d'abeilles connues, on en trouve aussi des vertes, des blanches, et mêmes des bleues ! Xylocopa caerulea est une espèce d’abeille charpentière qui vit principalement en Asie du Sud-Est. Les femelles sont presque entièrement couvertes de poils bleus, ce qui leur donne cette robe incroyable.

Sois un témoin, pas un juge. Concentre–toi sur  toi–même, pas sur les autres. Ecoute ton ♥, pas la foule.

Elle trouve une magnifique mante orchidée dans son jardin en Afrique du Sud

La nature est splendide, mais beaucoup de personnes ont peur de certains insectes voire pire, ils ont une phobie. Toutefois, certains sont si étonnants et fascinants, qu’on pourrait les admirer pendant des heures. Comme cette superbe mante orchidée qu’une femme a trouvée dans le jardin de sa ferme en Afrique du Sud. Elle ne ressemble à rien de ce que j’’ai vu auparavant.

Elle a trouvé cette superbe mante orchidée dans le jardin de sa ferme dans la vallée de Nkutu, dans le KwaZulu-Natal, une province côtière de l’Afrique du Sud connue pour ses plages. mante orchidée Elle utilise son camouflage pour attirer ses proies mante orchidée La mante qu’a trouvé Margaret Neville a une spirale sur le dos et des structures en forme de fleurs sur son corps. Elle l’a remarqué dans des fleurs de lavande.

La mante a été nommée Miss Frilly Pants mante orchidée Elle a confié à The Dodo avoir été surprise de la voir : « J’ai été émerveillée à première vue. Elle a passé tout le mois de septembre à vivre dans ma lavande. Elle est toujours là actuellement ».

Beaucoup de personnes gardent les mantes orchidées comme animaux de compagnie à cause de leur apparence mante orchidée Elle s’intègre parfaitement parmi les fleurs de lavande mante orchidée La femme a donné un nom bien approprié pour cette majestueuse mante : Miss Frilly Pants. Cette mante orchidée est en fait une sorte de mante religieuse qui se camoufle pour attirer des proies potentielles parmi les fleurs.

Elles grimpent en général sur une plante, restent immobiles jusqu’à ce qu’une proie s’approche, puis l’attaquent, se régalant du pauvre insecte qui n’avait pas compris qu’il était piégé depuis le début. Miss Frilly Pants a conquis le coeur de nombreuses personnes sur internet quand la femme a partagé les photos et le Waterfall Retreat & Environmental Center a mis en ligne une vidéo de l’insecte. La vidéo a été retardée plus de 80 000 fois.