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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Histoire tragique des Galgos martyrs !!!!!!!!!!!!!!!!! Le Pianiste: cette histoire qui a fait le tour malheureusement de tous les sites est une réalité et je le transmet pour les non initiés encore. Nous devons relayer et sensibiliser les gens autour de nous sur le sort qui leurs est réservés chaque années pour des milliers d'entre eux en Espagne.
C' était un bout de terrain presque plat, une saignée dans la forêt, les hommes étaient là, en groupe. Ils fumaient des cigarettes mal odorantes qu'ils roulaient tout en plaisantant. Nous, les galgos, on était au pied. Les oreilles agitées, attirées par les mille bruits de la forêt. Un peu excités aussi, par l'odeur du lapin qui était là, à quelques pas, dans la cage grillagée. On sentait sa peur. Elle nous attirait, comme un aimant. Les hommes se sont mis en rang, chacun avec un galgo serré entre leurs cuisses, les colliers de corde ou de fil de fer étaient solidement tenus.
Le mien entrait douloureusement dans la peau de mon cou. Puis, ils ont ouvert la cage. Affolé, il a surgi à la vitesse de l'éclair. Au signal, les galgueros ont lâché les colliers. J'ai ressenti une vive douleur à la queue. Pour me faire " démarrer " plus vite, mon maître l'a entaillée avec son couteau. Comme mes frères de course, je porte des dizaines de stigmates de ces coupures. Cela ne me fait pas courir plus vite, mais mon maître ne semble pas s'en rendre compte.
Alors, j'ai couru. Couru de toutes mes forces, couru de tout mon être. Je voulais l'attraper cette petite boule de fourrure beige qui s'agitait frénétiquement devant nous, changeant sans cesse de trajectoire pour nous tromper. Le sang battait à mes tempes et je sentais l'air s'engouffrer dans ma large poitrine après les premières secondes où j'avais retenu mon souffle. Mais je suis un coursier. Un chasseur et un coursier, et je ne le quittais pas du regard. Je percevais son affolement. Les hommes criaient, tapaient dans les mains, criant les noms des chiens qui couraient pour eux. J'étais presque sur lui, je recevais de minces giclées de poussière soulevées par ses pattes.
Et puis, il y a eu cette motte de terre qui a cédé sous ma patte, j'ai perdu l'équilibre un instant, mais je ne suis pas tombé. Blas, un grand galgo noir en a profité, il m'a devancé et a attrapé le lapin. Il l'a secoué dans sa gueule, en sautant en l'air de plaisir. Je me suis approché, mais il a grogné. Il était le vainqueur. Les hommes sont arrivés en courant, ils ont retiré son trophée à Blas. Il a aboyé. Il a reçu un coup de fouet.
Mon maître était furieux, je l'ai vu donner des morceaux de papiers au maître de Blas. Il m'a attrapé par le collier, méchamment et a serré. J'ai gémi. Il m'a donné des coups de poings et des coups de pied. Ce n'était pas ma faute, je ne l'avais pas vu cette motte de terre, et puis, le plus important c'était bien que le lapin qui s'était échappé ait été rattrapé. Même par Blas ! En revenant vers les voitures, j'ai aperçu Libra. Elle se traînait sur trois pattes. Elle était tombée. L'os sortait de sa patte arrière droite, juste au-dessus de la cheville. Son propriétaire, un gros chasseur du coin l'a insultée, puis il l'a rouée de coups de pieds. Chaque fois que les coups atteignaient sa patte brisée elle hurlait. Il riait et il tapait encore plus fort. Puis il a donnée un coup de talon sur son dos. Elle n'a plus bougé. Plus gémi. Mais j'ai vu ses yeux. Elle était encore vivante. Ils l'ont laissée là.
Il y avait de la bière, les hommes ont bu en plaisantant. Le soleil commençait à chauffer. Mon maître m'a attaché au bout d'une corde et il m'a entraîné vers la voiture. Je suis monté à l'arrière, aidé d'un bon coup de pied dans les reins. Tout en conduisant, très vite malgré l'état de la route, il n'a pas arrêté de hurler après moi. De m'insulter. De temps en temps il se retournait et me frappait avec un bâton qu'il a toujours avec lui. Arrivé à la ferme, il m'a attaché. Très court. Je ne pouvais pas atteindre la vieille bassine pleine d'eau sale dans laquelle je bois habituellement. Il est rentré. Je l'ai entendu hurler encore.
Puis il est sorti, avec un fouet et il a commencé à me frapper. Je ne pouvais pas m'enfuir, tout au plus me rouler en boule. Le fil de fer m'étranglait et je suffoquais tandis que les coups pleuvaient sur mon dos, sur mes flancs.
Pourquoi ?
Au bout d'un moment il s'est calmé. Il est rentré. Le soleil cuisait mes plaies, les mouches se posaient sur moi, mais je n'avais même plus la force de les chasser.
Nina, une petite galga est venue lécher mes plaies. Je n'ai pas réagi. Cela apaisait un peu la brûlure. Mais elle ne pouvait rien faire pour ma gorge serrée et desséchée par la soif. Nina est là depuis longtemps, elle fait souvent des petits. Ils partent très vite. Elle est vieille maintenant, elle est très maigre. Elle est là depuis au moins cinq saisons de chasse. La journée a été longue. Le maître est parti à la chasse, avec Nina. Au soir il est revenu. Seul. Je ne disais rien, je ne faisais aucun mouvement, comme si j'avais voulu me confondre avec le sol. Mais il est revenu vers moi. Il m'a craché dessus et donné un coup de sa botte ferrée. Toute la nuit, j'ai grelotté, de froid, de fièvre, de douleur. Les tiraillements de ma peau déchirée rendaient chaque mouvement douloureux. Même respirer devenait un calvaire.
Au matin, il est venu vers moi, il avait une longue corde. Il m'a détachée, a passé la corde dans le fil de fer qui me sert de collier et il m'a traîné. Je pouvais à peine me tenir debout. Il m'a attrapé par le cou et par une patte et m'a jeté dans la voiture. J'ai hurlé. Il a ri. J'avais mal. Mais son rire m'a rassuré. En général, quand il rit, il ne frappe pas trop longtemps. Ou moins fort. Il a pris un chemin de montagne, un de ceux que nous prenons quand il m'emmène chasser. Mais jamais je n'aurai la force de chasser. Je ne peux même pas me remettre debout dans la voiture. J'ai glissé entre les sièges, sur le plancher et je ressens tous les cahots de la route empierrée. Il fait beau. Au loin j'entends des oiseaux chanter. Une abeille est venue se poser sur ma truffe. Je ne pouvais même pas la chasser. Elle s'est envolée. Il doit y avoir pleins de lapins par ici. Je sens l'odeur de leurs crottes. Il arrête la voiture. Il sort et fume une cigarette. Par la fenêtre j'aperçois la fumée bleutée qui s'élève, mais je ne le vois pas, ma tête posée sur le plancher de la voiture. J'entends sa botte qui racle le sol. Il écrase sa cigarette. Il fait toujours cela. Il ouvre sa porte et se saisit de la corde et il tire d'un coup sec. La douleur est fulgurante. Mon souffle est coupé. Il empoigne sans ménagement la peau de mon dos, comme le faisait ma mère lorsque j'étais chiot. Mais il me fait mal. Je ne suis plus un chiot. Il me jette part terre et il me traîne en me tenant par les pattes. Ma langue sort de ma bouche, je n'ai plus de salive et la douleur de ma gorge est comme un fer rouge. Il s'arrête enfin. Je sens alors les cailloux coupants du chemin qui ont ravivé mes plaies. Il me regarde. Me donne un coup de pied dans la mâchoire.
Pourquoi fait-il cela ?
Puis il saisit le bout libre de la corde et il le lance dans un arbre, en travers d'une branche. Je ne comprends pas ce qu'il veut faire. Puis il se met à tirer. J'essaie de bouger, de me mettre sur mes pattes, mais je suis trop faible et je retombe, sans force. Il tire toujours, je sens ma tête qui s'élève, la pression sur ma gorge est horrible. J'essaie d'aboyer mais je ne peux pas. Il tire encore, mes pattes de devant quittent le sol, je sens mes vertèbres tendues à se rompre. Ma tête est rejetée en arrière. Et j'aperçois Nina. Elle est là. A quelques mètres. Son corps noir et blanc tournoie à un mètre du sol. Sa langue sort entre ses lèvres et des babines retroussées lui font un rictus menaçant, elle qui n'a jamais résisté.
Mes pattes arrière touchent le sol. La souffrance est de plus en plus horrible. Mes antérieurs griffent désespérément l'air, je me débats, en vain. Mes cuisses sont tendues.Je veux vivre ! Je sens la tétanie qui les gagne, mes muscles tremblent. Le maître a allumé une cigarette. Il regarde. Il parle. Il me demande quel air je suis en train de lui jouer sur mon piano. Je ne comprends pas. L'air passe de plus en plus difficilement dans ma gorge. Une de mes pattes arrière vient de céder. La pression se fait encore plus forte sur mon cou. Je sens l'odeur des arbres, de la sève. Mais aussi l'odeur de l'homme, sueur, alcool, tabac et essence. Une odeur que j'ai appris à craindre. Il rit. Ma vision s'obscurcit. L'air ne passe plus. Je ne sais pas depuis combien de temps je suis là. Les oiseaux qui s'étaient tus se sont remis à chanter. Le soleil est haut dans le ciel. Je sens sa chaleur. Mais je ne le vois plus. Je n'en peux plus. Trop mal.
La délivrance.
Pour bien comprendre le titre de ce texte, il faut savoir que lorsqu'un galguero pend son chien, s'il a bien chassé ou bien couru, il s'arrange pour que sa mort soit rapide. Si, au contraire, le chien a mal chassé ou l'a déshonoré en perdant une course, il doit souffrir le plus longtemps possible. Le chien, pendu avec les postérieurs touchant le sol, pourra mettre des heures à agoniser. Ses antérieurs qui s'agitent évoquent, pour les galgueros, les mouvements d'un Pianiste sur son clavier. Ils utilisent aussi le terme de " Dactylo "
C'est une "otarie ?" qui a été sauvée d'un filet de pêcheur et qui depuis 3 mois,crèche à l'hôtel, tout en retournant, de temps en temps ,à la mer; elle s'appelle Panchita, attend un petit et quand elle est trop fatiguée , comme tout le monde, elle bulle
Un bébé chien trouvé au combat en Afghanistan et quelques mois plus tard
QUAND UN LEZARD PEUT LE FAIRE, ALORS POURQUOI PAS NOUS?
Il s'agit d'une histoire vraie qui s'est passé au Japon.
Afin de rénover sa maison, un japonais brisa les murs.
Les maisons japonaises ont normalement un espace creux entre les murs en bois.
Pendant la démolition des murs, il remarqua qu'il y avait un lézard coincé entre les mur parce qu'un clou de l'extérieur été martelée dans l'une de ses pattes.
Voyant cela, il eu de la pitié, et en même temps curieux, quand il vérifia l'etat du clou, il su alors qu'il a été cloué il y a 10 ans quand la maison a été construite.
Qu'est-il arrivé? .....................? ..........!
Le lézard a survécu dans une telle position depuis 10 ans! Dans cette obscurité pendant 10 ans sans bouger, c'est impossible et ahurissant.
Puis il se demandait comment ce lézard a survécu pendant 10 ans! Sans se déplacer - parceque l'une de ses pattes a été cloué!
Alors, il interrompit son travail et observa le lézard, pour savoir comment il se nourissait.
Plus tard, ne sachant pas d'où il venait, apparaît un autre lézard, avec de la nourriture dans sa bouche, vu que ses joues etaient gonflés.
Ah! Il a été assommé et profondément touché par cette scene. Pour le lézard qui a été paralyzé par ce clou, un autre lézard le nourrissait pendant ces 10 dernières années ... Imaginez! cela a été fait inlassablement pendant 10 longues années, sans renoncer à l'espoir de voir son compagnon enfin libre.
Reflechissez. Pourrez-vous en faire autant pour votre epouse/epoux ou vos proches?
Reflechissez. Pouvez-vous endurer les souffrances que votre mère a vecu avant votre naissance pendant neuf longs mois? Ou pour votre père, amis, frères et sœurs?
Imaginez ce que une petite créature peut faire comparer a une autre créature dotée d'une grande intelligence ne peut pas faire. Comme la technologie informatique et la communication progressent, notre accès à l'information devient plus rapide et plus efficace. Mais la distance entre l'être humain. . . peut-il se rapprocher ainsi?
"S'il vous plaît ne jamais abandonner vos PROCHES .Ne dites jamais que vous êtes trop occupé quand ils ont vraiment besoin de vous " "Vous pouvez avoir le monde à vos pieds ..... Mais pour eux, vous etes leurs univers" Un moment de négligence peut briser leurs coeur même envers ceux qui vous aime telles que vous etes... Avant de dire quelque chose, souvenez vous de ceci... "CELA PREND UN SEUL INSTANT POUR TOUT DETRUIRE, MAIS PREND UNE ETERNITE POUR TOUT RECONSTRUIRE." «Pour survivre utilisez votre cerveau, mais pour vivre, Utilisez votre cœur».
MAGIC SAUVE DE LA MORT : Bravo et merci aux grands ♥♥ qui ont sauvé ce pauvre chien martyre ..................
MAGIC, Sauvé d'une mort certaine ... Le câble a été retiré de la chair, la plaie nettoyée et des médicaments lui ont été administrés pour l'infection qui était énorme. L'histoire du sauvetage de MAGIC: MAGIC, un Podenco rescapé avec un câble autour du cou coupant la peau et la chair, déshydraté, sous alimenté, la tête gonflée à cause de l'infection, avec d’énormes douleurs. Il va mieux. Au bout de plusieurs jours, il a voulu que les bénévoles le sauvent. Il a encore peur des personnes, mais il a seulement besoin de temps pour recommencer à avoir confiance...
Vidéos de MAGIC : http://youtu.be/ACGX0ZY6wtY http://youtu.be/xCv6RJeuOsA
MAGIC est à l'adoption. Par : Passion Lévriers.
PÉTITION A SIGNER DEMANDANT LA FERMETURE DE CET ÉLEVAGE
"http://actuable.es/peticiones/exige-cierre-la-granja-cerdos-escobar-por"
après celui de la ferme de Harling en Angleterre , c'est maintenant la honte dénoncée, en caméra cachée, d'un autre élevage porcin se trouvant cette fois en Espagne à Fuente Alamo de Murcia.
ATTENTION LA VIDÉO EST TRÈS DURE
Dans cette élevage les employés n'hésitent pas à taper à coups de barre de fer les porcs sur la tête, quant à ceux qui ne serviront à rien sont supprimés à l'aide de grandes épées dont ils transperceront le flanc des pauvres bêtes les laissant agoniser sur place. Pire encore: certaines truies sur le point de mettre bas seront frappés à coups de barre de fer avant de leur ouvrir le ventre alors qu'elles sont encore conscientes et sortir à la main les petits et les intestins, les laissant là encore à agoniser des minutes entières. Les petits seront tués en les frappant contre le sol, une pratique habituelle dans d'autres fermes d'élevages.
A VOMIR .... de vrais sadiques, des malades !!! Dans cette vidéo, un des employés qui a travaillé trois ans dans cette ferme confirmera que ces pratiques sont habituelles. Miguel Rodriguez Castano, anesthésiste à l'Hopital Vétérinaire de l'Université de Madrid ainsi que Andrew Knight vétérinaire et expert en bioéthique à Oxford sont unanimes pour reconnaître que: "Le traitement que l'on fait subir à ces porcs est l'abus le plus brutal que j'ai vu de ma vie parlant des animaux de ferme. On voit clairement les employés s'amuser de certains de leurs comportements. Le traitement subi par ces porcs est scandaleusement cruel et, de fait, sadique"
Site de IgualdadAnimal réservé à cette enquête :
LAIT / FROMAGE / BEURRE : SOUFFRANCES CACHEES ET INSOUPÇONNÉES
La production de lait nécessite davantage de morts que la production de chair animale : Tout comme les femmes, les vaches produisent du lait uniquement pour allaiter leurs petits. Afin d’accélérer de façon optimale leur lactation, celles-ci sont inséminées artificiellement tous les ans (3 mois après chaque naissance). Si le petit est un mâle, il sera fatalement jugé inintéressant pour la filière du lait, mais rejoindra très vite celle de la «viande». Après avoir été séparé de sa mère quelques heures seulement après sa naissance, il sera parqué dans un box d'engraissement, où ses mouvements seront réduits au strict minimum afin d'optimiser sa prise de poids. Anémié volontairement pour que sa chair soit bien blanche, le veau -ce juvénile- sera abattu à l'âge de quelques mois à peine, alors qu'il aurait du vivre environ 20 ans. Si le petit est une femelle, elle ira rejoindre l'impitoyable circuit de l'industrie laitière, exploitée comme l'aura été sa mère : Inséminée de force, privée de ses petits, poussée à enfanter pour produire encore et toujours plus de lait... Mais si sa croissance n'est pas rapide, si elle est stérile, si elle n'est pas assez productive, ou simplement s'il y a déjà trop de femelles, elle deviendra «viande» plus vite que prévu.
LE LAIT DISSIMULE A LUI SEUL TOUT UN OCEAN DE DETRESSE ET DE SOUFFRANCE ANIMALE.
L'histoire de Ciuchcia Ciuchcia un chien de quatre mois, est un rescapé: ses maîtres l’ont battu et abandonné sur une voie de chemin de fer, avec deux de ses frères, en Pologne. Plusieurs trains lui auraient roulé sur les pattes arrières, mais grâce aux vétérinaires qui l’ont recueilli et qui lui ont fabriqué un déambulateur, il joue de nouveau... une belle victoire pour ce loulou
Incroyable émouvant douze ans après le chien retrouve sa maîtresse ,la SPA a rendu l'animal a sa propriétaire?
Magnum ,un labrador avait été enlevé en Ardéche a 8 mois ,retrouvez 12 ans après la longvic,il a pu retrouver sa maîtresse qui est venue le chercher samedi dernier,histoire peu ordinaire qui se termine bien..
vendredi repéré dans une rue de longvic couché assoiffé et visiblement âgé il a été emmené a la SPA ,pris en charge il a été réconforté soigné et avec le tatouage pas très lisible avec une lampe électrique et en frottant avec de l'alcool ils ont pu lire un le début du tatouage,recherche faite auprès centrale canine a permis de déterminer une liste potentiels pendant plusieurs jours une employée de la SPA a téléphonée et la vrai propriétaire de Magnum a été jointe ,voilà pour le début de l'histoire la propriétaire de ce chien tient a souligner le coté abject des ordures qui ont volé Magnum et qui l'ont abandonné vieux et dans un état lamentable et avec un énorme kyste malgré tout c'est le bonheur et l'espoir que les choses s'arrangent après douze ans elle a expliquée qu'il lui avait fallu beaucoup de temps pour faire le deuil ,entre temps elle en avait repris un autre,ce bon pépère a fait 300 km et dés le lendemain il a montré qu'il pouvait reprendre le dessus voilà je voulais vous faire partager cette belle histoire ,il lui faudras du temps a se réadapter ,se souvenir s'il peut,et surtout il va avoir droit a de bon soins
Une image est plus forte que des mots …
L'histoire se passe aux Etats Unis mais comment ne pas être touché par ce chien surnommé Moot...
Au lieu d'être un chiot joyeux et insouciant, Moot a été trouvé terrorisé...
A peine 3 mois et deja si peur de ce monde... Aucun animal ne devrait vivre dans une telle terreur, ce chiot ne devrait même pas savoir que la peur existe.
Moot a été recueilli par "the Nash County Animal Friends" ou il attend une personne qui saura l'entourer d'amour et le protéger pour lui redonner confiance...