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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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histoire vrai (animaux)

renard

Publié à 11:46 par fandeloup Tags : nature
renard

En pleine nature Honoré apprivoise un renard en le nourrissant souvent.

Urok, Guizmo, Coleen et Cazan

Publié à 16:55 par fandeloup Tags : amitié merci amis
Urok, Guizmo, Coleen et Cazan

Coucou les amis ! Vous avez aimé l’article consacré à mon retour dans les Pyrénées et les retrouvailles avec mon frère Guizmo et ma mère, et bien vous allez adorer les vidéos tournées à cette occasion par Gérald Debiard, mon naisseur. Ne vous privez pas pour vos commentaires. J’adore vous lire… Léchouilles à vous tous et merci de votre amitié !!

Urok, Guizmo, Coleen et Cazan pour 30 Millions d'amis à Payolle et Gino - De La Coleen d'Urok - Le Malamute d'Alaska

lynx

Publié à 08:40 par fandeloup Tags : homme nature anniversaire extrait chats chiens
lynx

Seuls 25% des lynx atteignent l’âge de trois ans auquel ils peuvent se reproduire. Bien qu’aujourd’hui règlementée, la chasse et la destruction de son habitat ont fait des ravages dans la population de ces félins.

Eradiqué d'une grande partie de l'Europe il y a 150 ans, le lynx est facilement reconnaissable à ses favoris et au "pinceau" de poils noirs qui orne ses oreilles pointues. A l’heure actuelle la population de lynx boréal en Europe est estimée entre 7.500 et 8.000 individus, essentiellement en Roumanie, en Scandinavie et dans les pays baltes. Si en Pologne, on évalue à 200 le nombre de ces gros chats sauvages, il a en revanche complètement disparu de Slovaquie.

Le lynx boréal erre en solitaire dans le nord est de la Pologne, limitrophe du Bélarus, de la Lituanie, de l'enclave russe de Kaliningrad, et dans les montagnes des Carpates. C’est ainsi que Benek, un jeune lynx qui a perdu sa mère quand il ne savait pas encore chasser, est sorti de la forêt et a été repéré juste avant Noël par des habitants qui ont alerté le centre de soins. "Il essayait d'attraper des poules dans les fermes de la région mais, pourchassé par des chiens, il a dû se réfugier dans un arbre. Quand nous l'avons trouvé, il était affamé, épuisé, et il avait besoin d'être secouru", raconte Andrzej Fedaczynski, 52 ans, qui s'occupe avec son fils Radoslaw du cabinet vétérinaire rattaché au centre.

Benek est le 5e lynx à avoir été ainsi sauvé en trois ans. "Nous ne voulons pas être un sanctuaire pour les lynx. Notre objectif est qu'ils retournent à l'état sauvage", explique Radoslaw cité par Sciences et avenir. "Ils ont un remarquable instinct de survie". Une fois endormi à l’aide d’un tranquillisant, Benek a été extrait de sa cage et installée à l'écart pour lui éviter de s'habituer à l'homme. "Son poids est bien inférieur à ce qu'il devrait être, donc nous ne pouvons pas déterminer son âge. Mais d'après sa taille et son apparence, il pourrait avoir entre six et douze mois".

Seul un lynx sur quatre parvient à la maturité

Benek retrouve peu à peu son appétit, mais il ne sera relâché que lorsque le centre sera "sûr à 100% qu'il s'en sortira à l'état sauvage". Déjà, si Benek parvient à son troisième anniversaire, l'âge de sa maturité sexuelle, ce sera exceptionnel. "Le taux de mortalité est de 50% la première année, ensuite un sur deux meurent, ce qui signifie qu'un lynx sur quatre seulement parvient à la maturité sexuelle", explique le professeur Urs Breitenmoser de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), organisation basée en Suisse.

Aujourd'hui, la destruction de l’habitat naturel du lynx boréal constitue la principale menace, tandis que le développement du réseau routier, et dans une moindre mesure le braconnage, ont contribué au dépeuplement. Les autorités polonaises ont prévu de réintroduire une quarantaine de lynx d'Estonie dans les prochaines années

histoire d une vache

Publié à 13:28 par fandeloup Tags : amour vie histoire travail mort animaux dieu enfant argent animal chiens
histoire d une vache

LA VACHE QUI PLEURE ...

"J’étais arrivé tôt à mon cours de méditation dans une prison à sécurité minimale. Un criminel que je n’avais encore jamais vu attendait pour me parler. C’était un géant, avec des cheveux en bataille, barbu, et les bras tatoués. Les cicatrices sur son visage montraient qu’il avait dû se trouver à maintes reprises dans de violentes bagarres. Il avait l’air si redoutable que je me demandai pourquoi il venait apprendre à méditer. Ce n’était pas le genre. Bien sûr, je me trompais. Il me raconta que quelque chose s’était passé quelques jours auparavant qui lui avait fait dresser les cheveux sur la tête. Lorsqu’il commença à parler, je notai son accent prononcé d’Ulster [une des quatre provinces d’Irlande]. En guise d’historique, il me raconta qu’il avait grandi dans les rues violentes de Belfast. Il n’avait que sept ans à son premier coup de couteau. Une brute de l’école lui avait demandé l’argent qu’il avait pour déjeuner. Il avait dit non. L’autre avait alors sorti un grand couteau et lui avait demandé son argent une deuxième fois. Il avait pensé que cette brute bluffait et il avait de nouveau refusé de le lui donner. Il n’y eut pas de troisième fois : la brute planta simplement son couteau dans le bras de cet enfant de sept ans, le ressortit et partit. Il me raconta avoir couru jusqu’à la maison de son père, en état de choc et le sang ruisselant le long du bras. Son père, au chômage, regarda la plaie et l’emmena dans la cuisine, mais pas pour panser la blessure. Il ouvrit un tiroir, prit un grand couteau de cuisine, le donna à son fils et lui ordonna de retourner à l’école et de poignarder son agresseur à son tour. C’est ainsi qu’il fut élevé. S’il n’était pas devenu si grand et fort, il y a longtemps qu’il serait mort. La prison était une prison agricole où les condamnés à de courtes peines et les prisonniers qui approchaient de leur libération pouvaient se préparer à la vie extérieure en apprenant un métier dans l’industrie agricole. La production de la ferme de la prison approvisionnait en outre toutes les prisons autour de Perth avec de la nourriture bon marché, ce qui maintenait des prix bas. Les fermes australiennes ne cultivent pas seulement du blé et des légumes, elles élèvent aussi des vaches, des moutons et des cochons et la ferme de la prison faisait de même. Mais au contraire des autres fermes, celle de la prison possédait son propre abattoir sur place. Tous les détenus devaient avoir un travail à la ferme de la prison. Je savais par plusieurs prisonniers que les emplois les plus recherchés étaient à l’abattoir. Ces postes étaient particulièrement populaires auprès des délinquants violents. Et le poste le plus recherché de tous, celui pour lequel il fallait se battre, était le poste de tueur lui-même. Ce gigantesque et redoutable Irlandais était le tueur. Il me décrivit l’abattoir : des grilles en acier inoxydable très résistant, dont la large ouverture se rétrécissait en un simple couloir à l’intérieur du bâtiment, juste assez large pour laisser passer un seul animal à la fois. À côté de ce couloir étroit, sur une plateforme, il se tenait avec le pistolet électrique. Avec l’aide de chiens et d’aiguillons électriques, les vaches, les moutons et les cochons étaient forcés d’entrer dans cet entonnoir en acier inoxydable. Il me raconta que tous les animaux hurlaient, chacun à leur façon, et qu’ils cherchaient à s’échapper. Ils pouvaient sentir la mort, entendre la mort et ressentir la mort. Quand un animal débouchait sur sa plateforme, il se contorsionnait, se tortillait et gémissait à pleine voix. Son pistolet pouvait tuer un gros taureau avec une seule décharge haute tension, mais l’animal ne se tenait jamais assez tranquille pour qu’il puisse l’atteindre correctement. Donc le premier coup servait à l’étourdir, le second à le tuer.Animal après animal. Jour après jour. L’Irlandais commença à s’agiter tandis qu’il en venait au fait, survenu seulement quelques jours auparavant, et qui l’avait tellement bouleversé. Il commença à jurer. Par la suite, il ne cessa de répéter : « C’est la p**** de Dieu de vérité ! », comme s’il craignait que je ne le croie pas. Ce jour-là, ils avaient besoin de bœuf pour les prisons autour de Perth, donc ils abattaient des vaches. Un coup pour étourdir, un coup pour tuer. C’était un jour tout à fait normal, lorsqu’une vache se présenta [d’une façon] qu’il n’avait jamais vue auparavant. Cette vache était silencieuse. Elle n’émettait même pas un gémissement. Sa tête était inclinée vers le bas tandis qu’elle marchait délibérément, volontairement, lentement jusqu’à l’emplacement jouxtant la plateforme. Elle ne se contorsionnait pas, ne se tortillait pas et n’essayait pas de se sauver. Une fois dans l’emplacement, la vache leva la tête et fixa son bourreau, absolument immobile. L’Irlandais n’avait jamais rien vu de semblable auparavant. Son esprit s’embrouilla. Il ne pouvait pas lever son pistolet, ni détacher ses yeux de ceux de la vache. La vache était en train de regarder droit en lui. Il glissa hors du temps. Il ne put me dire combien de temps cela dura, mais pendant ce contact visuel avec la vache, il remarqua quelque chose qui le bouleversa encore plus. Les vaches ont de très grands yeux. Il vit dans l’œil gauche de la vache, au-dessus de la paupière inférieure gauche, de l’eau qui s’accumulait. Il y en eut de plus en plus jusqu’à ce qu’il y en ait trop pour que la paupière puisse la contenir. Elle commença à couler lentement le long de sa joue, formant une ligne scintillante de larmes. Des portes fermées depuis bien longtemps s’ouvrirent lentement dans son cœur. Alors qu’il regardait, incrédule, il vit dans l’œil droit de la vache, au-dessus de la paupière du bas, à nouveau de l’eau s’accumuler, gonfler, jusqu’à ce qu’il y en ait trop pour que la paupière puisse la contenir. Une seconde traînée d’eau coula sur son visage. Et l’homme s’effondra. La vache pleurait. Il me dit avoir jeté son pistolet, et avoir juré aux responsables de la prison, aussi fort qu'il en était capable, qu’ils pouvaient faire ce qu’ils voulaient de lui, que « CETTE VACHE NE VA PAS MOURIR ! » Il termina en me disant qu’il était maintenant végétarien.

Cette histoire est vraie. D’autres détenus de la prison me l’ont confirmée. Cette vache qui pleura enseigna à l’un des hommes les plus violents ce qu’est la bienveillance, le respect, l'amour ..

barbarie

Publié à 12:47 par fandeloup Tags : merci animaux
barbarie

FAISONS STOPPER LA TRADITION BARBARE DU SNAPPERFEST !!!

Je cite : Tous les ans dans l'Indiana, une tradition aussi cruelle et barbare qu'inutile, appelée "Snapperfest", se déroule au Campshore Camping. Les participants doivent capturer des tortues serpentines, puis les claquer fortement sur le sol, et finir par leur arracher la tête de leur carapace. Je rappelle que la torture et la mutilation d'animaux vertébrés est interdite !! Le prochain évènement de cette année est prévu pour le Samedi 20 août 2012 !!!!

Merci d'envoyer cet email en masse à toutes les adresses indiquées, et de signer les pétitions (petition to sign) :

http://www.change.org/petitions/stop-snapperfest-turtle-snapping

http://www.thepetitionsite.com/1/stopsnapperfest/

http://www.thepetitionsite.com/55/please-stop-the-cruel-quotsnapperfestquot-from-happening-again/

honteux et lache

Publié à 15:30 par fandeloup Tags : moi
honteux et lache

VOICI la CONSÉQUENCE d’un CONFLIT ENTRES VOISINS ! Combien d’entres vous seraient d’accord de COUPER LES MAINS de son voisin après une telle vengeance ?

 

un seul mot une ordure,moi je lui fait pareil et je le laisse agoniser ,en le frappant chaque jours ,jusqu'a ce qu'il crève,car il ny a pas d'autre mots pour ce déchet humain

Avant / Après adoption: ils revivent, quel bonheur

Publié à 17:34 par fandeloup Tags : photos article amour photo animaux amis vie
Avant / Après adoption: ils revivent, quel bonheur

Voici toute une série de photos d'animaux avant et après leur adoption, quel changement!!! L'amour fait tellement Adopter, c'est sauver une vie... la preuve en images! lien ci dessoushttps://www.facebook.com/ note.php?note_id=10151193231655 134

 

 

oiseaux

Publié à 18:45 par fandeloup Tags : oiseaux chez paris vie france nature jardin oiseau
oiseaux

Crise du logement chez les oiseaux nicheurs !

Sur les quelques 277 d’oiseaux nicheurs présents en métropole, 73 sont sérieusement menacés, soit 1 espèce sur 4. La destruction des habitats et les pollutions des sols sont une fois de plus en cause. Pour que le chant des oiseaux continue d’accompagner nos vies, One Voice propose une série d’actions susceptibles de surseoir à leur disparition.

Le cas des oiseaux nicheurs français est plus que préoccupant. Une récente étude, diligentée par l’IUCN (International Union for Conservation of Nature) et le Muséum national d’Histoire naturelle, indique que la proportion d’oiseaux nicheurs menacés en France est supérieure à la moyenne mondiale. Les oiseaux migrateurs qui font escale dans l’Hexagone sont aussi concernés avec près de 15 espèces en danger ou considérées comme vulnérables.

Urbanisation

L’urbanisation est citée dans cette étude comme étant une des principales causes de ce déclin. Plus les villes avancent, plus les territoires pour nicher, se nourrir et se reproduire diminuent. En milieu urbain, les bâtiments se modernisent, les façades lisses remplacent les vieilles pierres et les vieux arbres aux cavités tant convoitées sont coupés pour des raisons de sécurité. Autant de nichoirs naturels qui disparaissent. La raréfaction des insectes en ville, liée à la pollution et à l’usage de produits chimiques, influe aussi sur la présence des oiseaux.

Perte des milieux

L’intensification des pratiques agricoles industrielles demeure aussi une cause non négligeable de la raréfaction des oiseaux. Les monocultures portent atteinte à la biodiversité et empiètent sur des zones primordiales au cycle de vie de beaucoup d’espèces. Les zones humides sont drainées, entraînant la régression des bocages et des prairies naturelles qui sont des lieux de reproduction ou d’alimentation prisées des oiseaux.

Le cas du moineau

Depuis que Londres a lancé l’alerte sur la disparition de ses moineaux, les grandes capitales européennes s’adonnent au comptage. Si Berlin ne constate aucune évolution dans sa population de moineaux, dans les principales métropoles, dont Paris, les chiffres sont en baisse. Une récente étude menée pendant 5 ans par le Corif, la LPO et le MNHN* confirme la tendance européenne : plus le prix du mètre carré est cher, moins il y a de moineaux !

Explication logique

Si cette conclusion paraît surprenante, elle ne l’est pas si l’on observe les quartiers en termes d’abris et de nourriture. Les secteurs les plus huppés de la capitale sont aussi ceux où la nourriture est moins répandue, où les herbes folles, qui attirent les insectes, sont les moins tolérées et où les abris naturels, comme des trous dans les murs ou dans la toiture, sont rares. Les quartiers qui se modernisent et s’aseptisent sont ainsi moins attractifs pour nos piafs nationaux.

Répit pour les rapaces

Longtemps considérés comme « nuisibles » sous prétexte de rentrer en concurrence à la chasse aux petits mammifères avec les humains, les rapaces pourtant protégés par la loi, continuent d’être victimes du braconnage. Certains comme le faucon crécerelle, le faucon pèlerin et l’épervier d’Europe réapparaissent cependant discrètement en ville après avoir été exterminés par la chasse et l’utilisation du dangereux pesticide DDT qui empoisonnaient toute leur chaîne alimentaire. Les hautes tours constituent désormais de parfaites zones pour observer et nicher.

Oiseaux marins en danger

Les zones littorales ne sont pas épargnées par ces tristes résultats. Certaines espèces comme le Pingouin torda ou le Macareux moine sont très affectées par les pollutions dues aux hydrocarbures. Le changement climatique affecte aussi la disponibilité de leurs ressources alimentaires, les poissons notamment.

Agir pour les oiseaux

En 20 ans, la France a perdu 10 % de ses oiseaux nicheurs. Des actions simples et à porter de tous peuvent néanmoins inverser la tendance. A la veille de la période hivernale, toujours délicate pour la survie des oiseaux, One Voice invite chacun à faciliter leur retour et leur installation. Une simple jardinière au balcon ou à la fenêtre avec des herbes folles attirera les insectes si précieux pour nourrir les oisillons. Dans un jardin, une zone légèrement en friche, au lieu d’un gazon bien tondu mais vide de faune, sera repeuplée d’insectes et fournira aux oiseaux des graines à picorer. En ville, les logements sont rares mais en installant des nichoirs artificiels, à l’abri des vents et des prédateurs, les oiseaux auront un nid où habiter. De nombreux modèles existent en fonction des habitudes et des comportements des différentes espèces… Ainsi, le chant des oiseaux raisonnera dans les rues de nos cités et les chemins de nos campagnes

loi

Publié à 18:20 par fandeloup Tags : chez animaux
loi

D’ici un an, les laboratoires de recherche américains n’auront plus le droit d’utiliser des grands singes: chimpanzés, bonobos, gorilles, orangs-outans et gibbons.

Le Gabon et les États-Unis sont les seuls pays qui pratiquent encore des expériences scientifiques sur les grands singes.

Chez nos voisins du sud, seuls les chimpanzés sont employés à cette fin. On estime qu’ils sont au nombre de 1000. Depuis des années, les groupes de défense des droits des animaux font valoir que les grands singes, des animaux intelligents et sociables, sont soumis à des pratiques cruelles et souffrent d’isolement dans les centres de recherche.

Pour ces militants, il s’agit d’une victoire importante. Par contre, des chercheurs craignent que cette interdiction nuise à la recherche médicale, notamment à l’élaboration de vaccins et de médicaments. Cette décision ne serait pas uniquement motivée par le bien-être des grands singes.

En effet, cette loi permettra au gouvernement américain d’économiser environ 30 millions de dollars annuellement…

saumon

Publié à 18:10 par fandeloup Tags : mort nature vie animal monde animaux
saumon

LE SAUMON, VICTIME DE SON SUCCÈS

Jusqu’à ces dernières années, le saumon de l’Atlantique, animalplutôt solitaire, coulait des jours tranquilles entre les eaux douces des rivières qui l’ont vu naître et l’océan où il vivait jusqu’à ce qu’il revienne dans les eaux natales, au terme d’un périple souvent semé d’obstacles, terminer ses vieux jours. Ce temps-là semble définitivement révolu. Depuis que l’homme en consomme en quantités industrielles, le saumon est menacé de disparition. Même l’élevage ne constitue pas une porte de salut, bien au contraire.

En voie de disparition dans l’Atlantique

Alors que l’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la nature) classe le saumon de l’Atlantique dans la catégorie des animaux « vulnérables », force est de constater que sa population a chuté de 75 % au cours des vingt dernières années. Les saumons ont d’ores et déjà disparu de plusieurs centaines de rivières d’Amérique du Nord et d’Europe. En dehors de l’Écosse, de l’Irlande, de l’Islande et de la Norvège, la situation est extrêmement préoccupante. Les causes en sont multiples : recrudescence de barrages empêchant les poissons de remonter le cours des rivières pour frayer, surpêche, pollution émanant notamment des vastes élevages fleurissant partout… Les saumons sont en effet particulièrement sensibles à la pollution au point que leur absence ou présence permet d’évaluer la qualité d’un cours d’eau.

Menacé par le saumon d’élevage...

Devant l’augmentation de la consommation de saumon -celui-ci représente avec le cabillaud un tiers de la consommation française de poissons d’élevage- certains pays se sont lancés dans l’élevage. Malheureusement, l’aquaculture menace les poissons des océans. D’abord parce que pour nourrir les saumons d’élevage on épuise des populations sauvages. Pour une tonne de saumon, il faut environ 3 tonnes d’autres poissons. Sur les côtes chiliennes et péruviennes, par exemple, les anchois sont en chute libre depuis plusieurs années. Ensuite, les conditions d’élevage, dont les pratiques n’ont rien à envier à l’élevage intensif sur terre ferme, sont un terrain propice au développement de maladies qui se propagent jusque dans les océans. Navigateurs hors pair, certains saumons d’élevage réussissent à s’échapper des cages exiguës où cohabitent parfois jusqu’à 50 000 individus. Ils s’hybrident alors avec des animaux sauvages ou leur transmettent parasites et maladies.

La planète en danger !

Pour traiter les pathologies qui pullulent dans ces conditions de confinement extrêmes, les poissons d’élevage sont abondamment traités à base d’antibiotiques et de substances chimiques. Cependant, ce cocktail se dilue immanquablement dans l’océan et on ne mesure pas encore les dommages que ces substances peuvent avoir sur l’environnement à moyen et long terme. Si des tentatives de traitement des parasites à l’aide de poissons nettoyeurs ont été effectuées ici et là, les conditions de viedans ces bassins sont si stressantes et mauvaises que ceux-ci survivent difficilement.

Une mort cruelle ...

Comme les autres poissons d’élevage, les saumons sont tués suivant des méthodes particulièrement cruelles. Affamés une semaine avant l’abattage, ils sont asphyxiés à l’air, souvent sur de la glace. Leur agonie dure ainsi plus d’un quart d’heure. Une autre méthode consiste à les étourdir dans un bain sursaturé en CO2 avant de procéder à l’abattage. S’ils sont étourdis alors qu’on leur coupe leurs branchies (leurs organes respiratoires), ils n’en sont pas moins conscients.

SOURCE : One Voice