Faut pas les prendre pour des objets de loisir. Un truc en apparence simple à comprendre

La fameuse médecine traditionnelle chinoise n'est pas en reste, et pousse à piller la faune sauvage, pourtant bien menacée de la Chine.

Panthères de l'Amour, pandas, ours, reptiles, fourmiliers, tous sont sacrifiés à la science, pour la composition de remèdes ancestraux, que l'on trouve toujours au fond des boutiques, malgré certaines interdictions : produits à base de corne de rhinocéros, d'os de tigre, de bile d'ours...

Et ce qui ne sert pas à la médecine sert à la chasse. Les Chinois sont friands de viande de gibiers, négocient 100 euros le kilo de la viande de pangolin (un fourmilier), ou des ailerons de requins, vendu 600 euros le kilo à Hong Kong. Pourtant officiellement, les autorités luttent contre le commerce d'animaux sauvages depuis 2003, ce qui n'a pas empêché 46,2% de Chinois de consommer de leur viande...

Plus réjouissant ces petites amitiés qui naissent. Le chien "Sai-Hu" protège le petit singe orphelin qui risquait gros avec ceux de son espèce (Initiative du personnel du zoo de Jiaozuo , chine)...

Chaque année, des milliers de chiens sont massacrés lors d’un festival local dans le sud-est de la Chine. Face à cette cruauté, les amis des animaux chinois se sont mobilisés et ont fait plier les autorités. Une décision saluée par la Fondation 30 Millions d’Amis.

Dans la province de Zhejiang, au sud-est de la Chine, 10 000 chiens sont dépecés et mangés chaque année à l’occasion du « festival » de la ville de Jinhua, sorte de grand marché annuel organisé depuis près d’une décennie.  Pourtant cette année, cet événement qui devait se dérouler du 18 au 21 octobre 2011, n’aura pas lieu : l’agence officielle chinoise Xinhua vient d’annoncer son annulation par les autorités de la province (21/9/11).

La puissance du Web Organisé depuis 8 ans - la consommation de viande en Chine étant quant à elle séculaire - le « festival » de Jinhua soulève les plus grandes protestations. « Les défenseurs des animaux ont montré que certains animaux, qui portaient des numéros d’identification et qui avaient donc un maître, étaient abattus, explique Jill Robinson, fondatrice d’Animals Asia Foundation. Mais aussi que les chiens n’avaient pas été soumis aux contrôles vétérinaires. » «  Animals Asia Foundation Une campagne solide, dont le succès doit beaucoup à la mobilisation des internautes : « Beaucoup d’organismes locaux de protection animale ont envoyé des e-mails à l'administration de Jinhua. Et sur Sina Weibo [site de microblogging très populaire dans le pays, NDLR], la campagne des associations a été relayée 55 000 fois en moins d'une journée » poursuit Jill Robinson. Une pression si forte que l’annulation du festival a été décidée en seulement quelques heures.

« Un mouvement sans précédent » Longtemps montrés du doigt pour certaines pratiques culturelles qui se révèlent extrêmement cruelles envers les animaux, les Chinois semblent aujourd’hui évoluer sur ce terrain : « C’est un mouvement sans précédent, qui réunit des ONG*, des célébrités, des universitaires et bien sûr les médias et le grand public qui est de plus en plus sensible à ces questions », s’enthousiasme Jill Robinson. Et les chiens ne sont pas les seuls animaux à attirer l’attention quant à la cruauté dont ils sont victimes. La récente prise de position de la star du basket chinois Yao Ming, exhortant son peuple à cesser la consommation d'ailerons de requin, illustre parfaitement ces nouveaux combats pour lesquels les amis des animaux sont prêts à se battre en Chine

Le petit Sticky, un chat adulte (âge inconnu) a été retrouvé dans la rue, scotché des pattes au cou, entièrement et abandonné par son maître. La police de Philadelphie offre 1000 dollars à celui qui apportera un début d'information. Le ruban adhésif venant d'être collé, il a fallu endormir le chat qui n'a pas souffert.

Jusqu'ou l'etre humain ira t-il?

Un des trois dauphins retrouvés morts, lestés et noyés dans la calanque de Morgiou, le 3 octobre 2011 ... . . .

Article lié Trois dauphins retrouvés tués, lestés et coulés près de Marseille

Des plongeurs ont fait une étrange découverte, lundi, dans la calanque marseillaise de Morgiou… Trois dauphins morts et attachés par la queue à un bloc de béton ont été retrouvés à 58 mètres de fond, par deux monitrices d’un centre de plongée de Cassis (Bouches-du-Rhône). “Lors de la plongée, à 55 mètres, on a aperçu un peu plus loin quelque chose d’anormal. On s’y est rendu et on est tombé sur les cadavres de trois dauphins qui étaient à 58 mètres de profondeur et qui étaient reliés par la queue par un bout (cordage : NDLR) lui-même attaché à un bloc de béton” a expliqué Fabienne Henry, responsable du centre Narval Plongée à Cassis. “On était complètement choqué sous l’eau de voir ça, d’autant qu’il y avait un adulte et deux petits”.

Une enquête a été ouverte.

Les faits remontent à la nuit du 8 septembre.

La gardienne du refuge de La Valette, situé derrière la zone Monory, à Châtellerault, découvre devant sa porte, un chiot de six semaines, abandonné, torturé et brûlé. « Il était entre la vie et mort. Ses blessures étaient telles que le vétérinaire n’était pas sûr qu’il s’en sorte », raconte Delphine Hillairet, une bénévole du refuge qui l’a recueilli. Torturé à l’acide ?

Très gravement brûlé à l’arrière-train, ce chiot – une femelle noire croisée labrador – a, selon les constatations du vétérinaire, été « torturé », peut-être « à l’acide » ou avec « des produits inflammables ». « Sa peau avait littéralement fondu », indique la bénévole. Les moustaches de l’animal avaient été coupées et sa tête portait des traces de brûlures de cigarettes. Malgré les blessures, Gaya, ainsi prénommée, guérit et reprend progressivement du poil de la bête. Il est maintenant hors de danger. « C’était de l’ordre du miracle, le vétérinaire était pourtant très réservé au départ. »

Quatre autres chiots de la même portée balancés Mais coup de théâtre une semaine plus tard. Le 14 septembre, quatre chiots, vraisemblablement issus de la même portée (un frère et trois soeurs), sont balancés par-dessus la grille de ce même refuge châtelleraudais. Ils ont des vers et la gale. « Deux, comme Gaya, sont noirs et ont subi aussi des mauvais traitements. L’un a été brûlé à l’oeil, l’autre au dos. En revanche, les deux autres frères, de couleur sable, ne portent pas de traces de violences. »

Dans cette affaire de maltraitance, la SPA de Châtellerault a déposé une plainte contre X auprès de la gendarmerie de Châtellerault pour acte de cruauté commis sur animal, et La Fondation 30 Millions d’Amis s’est constituée partie civile. à suivre Gaya cherche un maître Gaya est toujours en convalescence, indique sa protectrice, Delphine Hillairet. « Ses poils commencent à repousser et elle ne garde pas de traumatisme des actes de torture qu’on lui a infligés. Elle sera adoptable d’ici 15 jours à trois semaines. »

De même, les autres chiots de la portée, qui ont été vaccinés, identifiés et stérilisés, ont déjà été adoptés, sauf une soeur de Gaya qui attend qu’une famille veuille bien d’elle. Renseignements au 05.49.21.61.11

Paul Watson héros du XXIème siècle

C’est vers l’âge de 9 ans que Watson aurait commencé sa vocation d’écologiste. Venant de voir un castor avec lequel il s’était lié d’amitié se faire tuer par des trappeurs, il entrepris de saboter les pièges de ceux-ci. Ils perturbaient aussi la chasse aux cerfs ou aux canards. Il devint membre de la Garde Côtière Canadienne en 1968 et ensuite s’engagea dans la marine marchande en 1969 où il appris les rudiments de la navigation et la connaissance des mers. Aujourd'hui, il est le chef de l'organisation sea shepherd. Paul Watson, le bagarreur des mers est le bouillonnant patron de l'organisme écologique qui défend les océans et leurs occupants. Cet homme n'hésite jamais à jouer les batailles navales contre les baleiniers japonais dans le pacifique sud ou contre les thoniers en méditerranée. Son combat, souvent violent, est devenu emblématique, Paul Watson est déjà entré dans la légende. A son actif, de nombreuses activités: Lors de la chasse aux bébés phoques, il peignait la fourrure des animaux en rose pour la rendre inutile aux yeux des braconniers. C’est également lui qui prête ses bateaux aux autorités des Galapagos pour qu’elles puissent patrouiller sur les côtes. Paul Watson a compris qu’il fallait médiatiser ses actions pour gagner l’opinion publique. Paul Watson continue donc à écumer les eaux du globe pour faire cesser cette chasse illégale car elle constitue pour lui un crime contre la Nature et contre l’Humanité. Sa conclusion est claire : « Comme les océans seront tristes et vides, privés de leurs baleines ! Notre aliénation à l’égard de la nature sera totale si nous continuons à exterminer ces beaux géants uniques au monde. La vérité est que si nous ne pouvons sauver les baleines, nous ne pourrons pas nous sauver nous-mêmes.”

Un chat qui aime les poussins Tout le monde sait que les chats n’aiment les oiseaux qu’en rôti. Une chatte espagnole a décidé de faire fi de cette antipathie viscérale. Un petit poussin tombé du nid a dû être bien surpris de voir cette grosse boule de poils lui prodiguer des soins maternels.

La chatte, qui venait d’avoir deux petits chatons, a adopté d’emblée le poussin. Et malgré ce que peut vous faire penser la photo, non, elle n’est pas en train de le croquer mais elle le transporte avec beaucoup de tendresse pour le protéger