Si je suis une vache laitière, on me mettra enceinte tous les ans par insémination artificielle et je verrai disparaître mes petits vite après l'accouchement, je serai souvent dans un box, reliée à une machine qui m'extorquera jusqu'à 6000 litres de lait par an au prix de douleurs épuisantes, on me droguera pour que je produise plus et on me droguera pour atténuer mon stress. Ma mortsera ma délivrance.

Le lait, qui semble être un parfait produit innocent, est pourtant synonyme de souffrance. La vie que l'on impose à ces animaux est pire que la mort qu'on leur donne. Car comme pour nous, mourir tourmente, mais ce qui est effroyable, c'est la douleur qui dure.

Le géant de la pharma va se débarrasser de dizaines de chiens de laboratoire. Ils pourraient être adoptés… ou piqués.

En 1997 déjà, Novartis avait placé chez des privés des beagles de laboratoire avec l’aide de la PSA. © Keystone

Les employés ne sont pas les seuls à faire les frais des économies décidées par Novartis. La récente annonce de restructuration touche aussi… les animaux de laboratoire. En plus de fermer deux sites, l’entreprise pharmaceutique abandonne plusieurs projets de recherche. Du coup, des dizaines de beagles, utilisés pour l’expérimentation, deviennent «inutiles». Cette race canine est la plus utilisée dans les laboratoires, en raison de sa docilité et de sa taille réduite.

«Aucune décision définitive n’a été prise quant au sort des animaux concernés», explique Karin Blumer, porte-parole de Novartis, au SonntagsBlick, qui révèle l’affaire. Plusieurs options sont envisageables: les chiens pourraient être transférés vers d’autres sites de l’entreprise, vendus à d’autres laboratoires, placés dans des foyers en vue d’être adoptés, ou encore euthanasiés.

Le géant pharmaceutique se laisse jusqu’à début 2012 pour trancher. Mais sa priorité serait de placer un maximum d’animaux et de leur trouver un nouveau foyer. Novartis travaille pour cela avec la Protection suisse des animaux (PSA). «Notre spécialiste des chiens est en contact avec Novartis, confirme Helen Sandmeier, porte-parole de la PSA. Dans la mesure du possible, s’ils ne sont pas trop malades, il faut leur donner une deuxième chance. Certains ne sont jamais sortis, n’ont jamais couru dans la nature. Ils méritent de terminer leurs jours comme de vrais chiens.»

Reste que placer chez des privés ces beagles de labo n’est pas une mince affaire. Ils n’ont pas été socialisés et sont peu familiarisés avec l’homme. Problème supplémentaire: ils n’ont pas appris à être propres. Et si les chiots peuvent encore s’adapter à la liberté, la situation est plus délicate pour les adultes.

Julika Fitzi, vétérinaire et responsable à la PSA des chiens, a rendu visite, il y a peu, aux beagles de Novartis. Selon elle, la plupart des chiens semblaient en bonne forme. «Seuls quelques-uns avaient l’air hagards ou apeurés.» Quant aux animaux qui ont été volontairement infectés, ils sont malades «et seront difficilement, voire pas du tout plaçables», commente la vétérinaire.

«Pactiser avec le diable» Mettre à l’adoption des animaux de laboratoire laisse sceptique Maxime Moret, le président de la Ligue suisse contre la vivisection (LSCV). Pour lui, les chercheurs essaient de se donner bonne conscience. «Mais sur le fond, ils se débarrassent simplement des chiens qui ne leur servent plus à rien», dénonce Maxime Moret. La PSA se rend-elle complice des pharmas? «Nous ne sommes évidemment pas en faveur de ce genre d’expérimentation, se défend Helen Sandmeier. Mais dans ce cas précis, il faut «pactiser avec le diable» pour le bien des animaux.»

De retour d'Huntingdon, on ne connait pas le sens du mot "enfer" tant qu'on n'a pas foutu les pieds devant ce camp. Ça commence à faire un moment que des manifs sont organisées en france, et même après avoir lu des centaines de pages de témoignages , vu des heures des vidéos de maltraitance filmées en caméra cachée, rien ne peut préparer à être face à Huntingdon Life Sciences. Les miradors, le fossé, les barbelés, tout est véridique, rien est exagéré. Quand le bus a longé la labo, j'ai cru que ça ne s'arrêterait jamais, cet endroit est vraiment immense. Rien autour, que des champs et les connards de "civil servants" obsédés par leur appareil photo ou caméscope. Ce lieu est indéfendable, rien que la pancarte à l'entrée donne la gerbe. Ça sert à rien de se lamenter sur son sort et celui des animaux, il est temps de bouger son cul pour faire en sorte que tout ça s'arrête, ça ne peut pas durer... Ce labo aurait déjà dû fermer ses portes si le gouvernement britannique ne s'en était pas mêlé, des dizaines de millions de livres de taxes offertes au labo pour l'industrie de la vivisection. C'est 500 animaux qui meurent chaque jour dans celabola pression ne doit pas cesser, c'est maintenant que les animaux ont besoin de nous, pas demain.

Victoire ! Après de multiples appels à l'école de La Frêche censée accueillir un toréro, le recteur a décidé d'annuler le projet... il ne veut pas de zizanie dans ce village !

BRAVO ET MERCI à tous les militants qui ont participé à cette action !!!

Nous sommes la voix du peuple et nous avons gagné

DIAMANTS DU KALAHARI : CHRONIQUE D’UN DÉSASTRE ANNONCÉ !!! (@ction mail en bas de l'article)

Un drame humain et environnemental se joue actuellement au Bostwana. Après avoir chassé les Bushmen de leur territoire, au sein de la réserve animalière du Kalahari Central, le gouvernement bostwanais a autorisé une concession minière à y exploiter une mine de diamants… Une plaine herbeuse brûlée par le soleil, et la savane, à perte de vue, que déchire ici et là quelques épineux isolés, comme des îlots verts dans un océan de paille. A mon approche, des springboks, ces « antilopes à ressort » s’égayent en bonds gracieux. Une fois la distance de sécurité rétablie, elles se retournent, et posent sur moi leur regard humide. Ici, les rencontres avec les humains sont rares. Elles ne doivent savoir que penser de l’étrange bipède que je suis…

Chassés à cause des diamants Le soir tombe sur Kaudwane, et nous nous rendons au shebeen, le débit de boisson, où viennent s’enivrer les San dès qu’ils ont touché la maigre pension que leur consent le gouvernement, de l’ordre de 15 euros par mois. Là, nous rencontrons un homme ivre, qui danse seul, dans la pénombre de cette cour de terre battue jonchée de boîtes vides de bières bon marché. L’homme témoigne: « Je m’appelle Madala. Je viens au shebeen parce que je n’ai rien à faire, rien à manger. Je viens partager la boisson des autres. J’ai été expulsé du village de Gope, dans le CKGR en 2002, en même temps que tous les autres villageois. Et je sais très bien que si j’ai été chassé de chez moi, c’est à cause des diamants… » Des diamants sous le sable Mais pendant ce temps, à Gope où vivait autrefois Madala, on s’affaire. C’est que pour Gem Diamonds, propriétaire de la concession minière, il y a du pain sur la planche: sous 80 mètres de sable se trouve un filon évalué à 3 milliards de dollars. L’exploitation minière démarrera courant 2011 et durera une trentaine d’année, en plein CKGR, et ce avec la bénédiction de ce même gouvernement botswanais qui jugeait la présence de quelques nomades chasseurs-cueilleurs nuisible pour la vie sauvage du CKGR! Une menace pour la vie et l’environnement Il semble pourtant évident qu’exploitation minière et protection de la vie sauvage ne peuvent faire bon ménage. D’ailleurs le rapport d’impact environnemental commandité en 2008 par Gem Diamonds à Marsh Environmental Services, un bureau d’étude sud-africain, fait état de graves menaces pour la faune et la flore du CKGR. Parmi ces menaces: la perte d’habitat, dans un milieu pour le moment totalement intact; l’introduction d’espèces végétales non-endémiques; les animaux écrasés par camions et véhicules légers sur la route d’accès de 45 kilomètres qui va être construite pour desservir la mine; l’altération de l’écosystème du lieu; la modification des routes de migration animales; une hausse prévisible du braconnage, en facilitant l’accès à une partie du parc non grillagée; le risque d’empoisonnement des animaux par les produits chimiques nécessaires à l’exploitation minière; l’attraction d’animaux à des points d’eau artificiels. Parmi les nombreuses espèces animales présentes à Gope, au moins cinq d’entre elles sont classées sur la liste des espèces menacées de la convention IUCN: trois espèces de vautours, une de faucons et des félins: les lions. Le début de la fin Le bureau d’étude payé par Gem Diamonds pour évaluer l’impact prévisible de l’exploitation diamantifère sur le site de Gope a d’ailleurs tenu à prévenir ses clients: « Cette première perturbation d’un milieu encore virginal peut ouvrir la voie à d’autres opérations futures, minières ou autres. Ce phénomène, que l’on a observé partout dans le monde, risque de se produire dans le CKGR. Il est de notre responsabilité de prendre du recul et de conseiller la plus grande prudence… » Mais face à la manne économique que représente l’industrie minière pour un pays comme le Botswana, les arguments écologistes n’ont que peu de poids. Bientôt le sol d’un des derniers sanctuaires d’Afrique sera éventré par les machines, à la recherche de la pierre précieuse. En quittant le Botswana, me revient un proverbe indien: « Quand le dernier arbre sera abattu, le dernier poisson pêché et la dernière rivière disparue, l’Homme découvrira que l’argent n’est pas comestible… »

magnifique

HONTEUX !!! ARDÈCHE : UNE BATTUE POUR TUER LES CHIENS ERRANTS !!!

Pétition en bas de l'article ... Les chasseurs font la loi dans notre pays, c'est un fait établi, nous en avons une nouvelle preuve aujourd'hui dans l'Ardèche où plusieurs villages (Balazuc, Chauzon, Vinezac et Uzer) ont pris un arrêté concernant la divagation de chiens. En temps normal, les maires interviennent pour faire capturer les animaux, ici, ont fait appel au lieutenant de louveterie afin d'organiser une battue ! Ces dernières années, la Fondation Brigitte Bardot est intervenue en Roumanie, Bulgarie et en Serbie afin de gérer, par la stérilisation, les colonies de chiens errants. A Bucarest ou à Belgrade, la population de chiens se compte par centaines de milliers d'individus, mais même dans ces capitales, il n'est pas envisageable de prendre un fusil pour tirer sur les chiens. Il est donc totalement surréaliste, incompréhensible, qu'en Ardèche on sorte les armes pour abattre une dizaine de chiens errants. Balazuc a beau être un village médiéval, ça ne justifie pas pour autant le recours à des pratiques moyenâgeuses ! Sortir les armes est toujours un aveu d'échec, c'est aussi le choix de la facilité et de la lâcheté car il existe d'autres moyens d'intervention pour capturer et non pas abattre ces animaux. En france, les chiens errants ne représentent pas un réel danger pour la population. Les rares attaques constatées sur le territoire ces derniers mois ne concernent que des chiens ayant un maître et elles restent infimes en comparaison avec les « accidents » de chasse qui tuent eux, chaque année, une trentaine de Français. Les maires signataires des arrêtés autorisant la battue aux chiens justifient leur décision par un souci de protection des randonneurs, mais s'ils veulent réellement protéger les randonneurs, l'urgence est d'interdire la chasse qui fait chaque année de trop nombreuses victimes ! Pour Brigitte Bardot, qui est intervenue auprès des autorités locales mais aussi auprès du ministre de l'Agriculture, tout cela est : « profondément choquant, arriéré et indigne ». Sa Fondation a lancé un appel pour que soient déposées les armes et que soit privilégiée la capture des animaux, seule solution raisonnable et adaptée face au problème rencontré.

Pétition : http://www.lapetition.be/s?ign_petition.php?petid=104?43

Une robe de la créatrice britannique Rachel Freire réalisée à partir de 3000 pis de vaches et de yaks provoque de nombreuses critiques. La pièce volontairement provocatrice a été présentée à la fashion Week londonienne la semaine dernière et a inspiré le nom de "Nippleocalypse" à la collection. Les associations de défense des animaux et le gouvernement britannique ont exprimé leur indignation. "Ce n'est déjà pas assez qu'on maltraite les animaux des fermes? Il faut en plus qu'on en fasse un spectacle sur les podiums?", interpelle Justin Kerswell de l'association de défense des animaux Viva. L'année dernière, Lady Gaga avait également déclenché les foudres des défenseurs des animaux en portant une robe en viande de boeuf. Rachel Freire est peu connue du grand public mais elle a déjà habillé des célébrités comme Courtney Love et Beth Ditto. La styliste a récupéré les déchets d'une usine de cuir pour la robe controversée. Elle défend son travail: "Ces créations vous rendent conscients de l'animal en lui-même. Je trouve ça génial de créer une mode à partir de matériaux qui devraient se trouver dans un dépotoir. Je recycle, et les gens qui critiquent ne se rendent pas compte à quel point le cuir est jeté quotidiennement."

HOMMAGE A UNE PETITE CHIENNE LABRADOR BATTUE PAR LE VOISIN DE SES PROPRIETAIRE !!!!!! A DIFFFUSER EN MASSE !!!! HONTE A LUI !!!!!

voici un messagede la propriétaire : " en ce jour de deuil nous avons enterré notre chienne de 8 mois un de nos voisin la frapper a mort c'est le matin réveiller par les aboiement de notre labrador mal que nous vue que notre chienne n'etait plus dans le jardin nous décidons donc de prendre la voiture pour partir a sa recherche c'est là que nous découvrons avec horreur notre chienne dans le fossé baignant dans son sang. encore vivante nous l'enmennons cher le vétérinaire d'urgence 2h plus tard conclusion du vétérinaire colonne vertébrale en miette bien sur il n'y avais plus rien a faire pour elle a par l'euthanasier , décision vraiment difficile mais elle soufrai terriblement plus tard nous apprenons que c'etais notre voisin qui l'avait tabasser a mort avant d'aller au travaille, nous avons donc lancer une procédure contre ce voisin avec plusieurs association et la gendarmerie nous ne laisserons pas passer sa. Comment quelqun peut il faire pour frapper un animal qui lui n'avais rien fait .

FIFI je t'aime plus que tout repose en paix "