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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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hommage et disparition

Archives départementales

Publié à 10:44 par fandeloup Tags : neige moi sur chez nuit demain
Archives départementales

À Verdun, le 13 mars 1916, Raymond Lavaud écrit à sa maman :

 

                    « Ma chère Maman, Je n'ai pas eu encore hier la force ni le courage d'écrire et je vous raconterai plus tard en détail les 10 journées terribles que nous avons passées en 1re ligne. C'est inouï ce que nous avons souffert de la faim, du froid, de la fatigue, du besoin de sommeil, du bombardement etc... Enfin tout est fini pour nous pour le moment. Je suis épuisé mais sans aucun mal. Le régiment est diminué des 2/3 et il n’y a presque plus d’officiers. Ce pauvre Jambrit a été tue à côté de moi je ne sais pas si je dois écrire chez lui ? A. Cabergere a eu la chance d’avoir les pieds gelés la veille de l’attaque et était donc évacué. Guillemaire est vivant Ah que nous en avons vu de dures pendant ces 10 jours. Pendant 5 jours nous n’avions qu’un repas à minuit, toujours froid. Il gelait ou il neigeait. Nous ne dormions pas. Puis pendant 3 jours plus rien du tout à manger, rien. Et un bombardement comme il n’y en a jamais eu sur le front : nous étions à moitié sourds et abrutis : la tranchée était pleine de cadavres déchiquetés sur lesquels nous étions obligés de nous traîner. Enfin au bout de 7 jours les Boches attaquèrent : quel soulagement. Toute la journée nous nous sommes battus perdant et réoccupant notre tranchée. Puis la neige s’est mise à trembler plus fort il y en avait 30cm, nous avons encore attendu un jour et une nuit fiévreux, absolument sans forces, mangeant la neige sur le parapet. Enfin dans la nuit suivante nous avons été relevés nous traînant sans forces sur les routes glissantes et neigeuses. Nous sommes actuellement dans une caserne de Verdun. Je viens de recevoir 2 colis. Ai rencontré Beaubois qui m’a fait coucher dans son lit de 2h du matin à 11 heures quel changement ! Et quel sommeil ! Ai des nouvelles de Jo d’avant-hier. Suis toujours très fatigué mais la fièvre a diminué, l’appétit et la gaieté reviennent car malgré la faim terrible nous n’avions pas envie de manger. Reste un grand mal aux pieds (ils commençaient à geler chez nous tous). Réécrirai demain. T’embrasse bien fort. Raymond »

Le 13 octobre 1916, 7 mois après cette lettre, Raymond est tué. Il avait 21 ans.

© Archives départementales de l’Hérault

BREL

Publié à 18:16 par fandeloup Tags : coeur mort
BREL

Jacques Brel , né le 8 avril 1929 à Schaerbeek et mort le 9 octobre 1978 à Bobigny , est un auteur-compositeur-interprète , poète, acteur et réalisateur belge .

Jacques BREL, poète / troubadour de la chanson sans aucun doute un des meilleurs interprètes. ses textes ciselés décrivent les aléas de l’existence et les complexités sentimentales avec une éloquence incomparable. il «vivait » ses chansons avec «ses tripes » et le coeur en bouche. avec PIAF ils cultivèrent ce don merveilleux d’exalter notre âme . Qu’ils reposent en paix.

Suzanne Noël

Publié à 13:41 par fandeloup Tags : cadre vie sur femme
Suzanne Noël

Annecy (Haute-Savoie) : une sculpture monumentale en hommage à Suzanne Noël, pionnière de la Son nom ne vous évoquera peut-être rien et pourtant...

Suzanne Noël est une pionnière de la chirurgie réparatrice. Elle fut la première à "réparer" les Gueules Cassées de la Grande Guerre.

Annecy lui rend hommage, et va en son honneur dresser une sculpture monumentale signée de l'artiste Kymia C'est le Club Soroptimist International d'Annecy qui est à l'origine de ce projet qui s'inscrit symboliquement dans le cadre des Commémorations du centenaire de la fin de la Grande Guerre : une sculpture monumentale sera inaugurée le 11 novembre prochain sur l'emplacement de l'ancien hôpital.

L'oeuvre est signée Kymia. Il aura fallu à l'artiste près de 9 mois de gestation pour réaliser son projet, en hommage à celle qui exerça la première le métier de chirurgien, et qui consacra sa vie à aider les autres.

"J'ai attaché beaucoup d'importance aux mains"explique Kymia, pour rendre honneur " à cette femme qui a consacré sa vie à la dignité humaine (...) plus on se rapproche de Suzanne, plus les plaies se referment".

Kymia a travaillé l'aluminium et le bronze . Sa sculpture, haute de trois mètres, s'offrira littéralement aux yeux du passant :

" J'aimerais qu'il se passe quelque chose entre les gens et cette statue, que ceux qui la découvrent puissent même venir s'installer au creux de ses mains", espère l'artiste qui achève les dernières finitions dans son atelier.

Suzanne Blanche Marguerite Noël, née Suzanne Gros 1 le 8 janvier 1878 à Laon est morte en 1954. Docteur en médecine, spécialisée en chirurgie esthétique, elle est aussi fondatrice du mouvement féminin Soroptimist en Europe.

C'est à Paris qu'elle entame en 1905 des études de médecine avec le soutien de son mari, lui-même médecin. En 1908, elle est nommée externe des hôpitaux de Paris dans le service du professeur Morestin, lui aussi pionnier de la chirurgie maxillo-faciale.

En 1916, elle se forme aux techniques de la chirurgie réparatrice et correctrice, et opérera, dans des conditions extrêmement précaires, les "Gueules Cassées", les blessés de la face.

tristesse

tristesse

Roubaix : la petite Augustine, 4 ans, qui luttait contre la maladie, est décédée cette nuit

« Je ne connaissais pas Augustine mais pense à elle aujourd’hui. Que son cœur d’enfant ne cesse de rayonner en chacun de nous, et que son courage nous inspire au quotidien. J’ai eu la chance de croiser des WonderEnfants, ils sont de ceux qui nous élèvent.

Merci Augustine », a répondu Vianney, suite à de nombreuses interpellations provenant d’anonymes, touchés par l’histoire de la petite fille.

L’émotion est très forte autour de la petite Augustine, 4 ans, décédé d’un cancer foudroyant du cerveau, cette nuit. La fillette originaire de Wattrelos, près de Roubaix dans le Nord, était connue depuis quelques semaines sous le nom de « Wonder Augustine » (« Super Augustine »). Sa famille avait appris sa grave maladie il y a seulement deux mois : un « gliome infiltrant de haut grade ». Sur les réseaux sociaux, les messages d’hommage et de soutien d’anonymes mais également de stars affluent. 

Victime d’un cancer incurable, Augustine s’est éteinte dans la nuit de lundi à mardi. C’est à l’occasion de son anniversaire au début du mois d’août dernier, que ses parents, Pauline et Tanguy, ont constaté les symptômes de leur fille : fatigue, trouble de la vision et de l’équilibre. Le diagnostic tombe peu de temps après, il s’agit d’un gliome infiltrant du tronc cérébral, inopérable et incurable.

Le 6 août, la famille crée une page Facebook, « Association Wonder Augustine », afin de pouvoir donner des nouvelles régulières de leur fille hospitalisée à leur entourage. La communauté s’élargit à plus de 60.000 personnes et c’est sur cette même page que la maman d’Augustine a annoncé la triste nouvelle le 8 octobre en fin de journée :

« Wonder Augustine est partie… Tranquillement au son de sa musique (Dumbo de Vianney), dès les premières notes, son souffle s’est arrêté… Nous étions avec elle… Le soleil brillait, une coccinelle est venue nous rendre visite dans la chambre… On est allé faire ce qu’elle adorait faire, cueillir des marguerites… Notre fille chérie, on t’aime tellement fort… Pour toujours… J’ai été la première et la dernière personne à te serrer dans mes bras. Le chemin va être difficile sans toi. » a-t-elle écrit.

En parallèle, le cousin de Pauline, la maman, avait créé une campagne de financement en ligne début août pour payer le traitement

Cette initiative a permis de lancer un véritable élan de solidarité, récoltant plus de 60.000 euros et recueillant le soutien de personnalités, notamment dans le monde du football. Benjamin Pavard avait enregistré un message fin août pour Augustine : « Tu te bats contre cette vilaine maladie. Je suis de tout cœur avec toi. »

Le LOSC, club de football lillois, et ses supporters, s’étaient également mobilisés le week-end dernier, lors d’une rencontre contre l’AS Saint-Etienne, brandissant des banderoles dans les tribunes et diffusant une vidéo dans le stade.

« Bon voyage au pays des anges Augustine. Tu es et resteras une leçon d’amour et de courage pour nous tous. Mes pensées et prières pour toi et tes proches », écrit l’acteur Omar Sy sur son compte Twitter.

« Nous n’avons pas su te retenir ici… Petit ange ton sourire est en nous à jamais », a également répondu Laurence Boccolini. Rachel Legrain-Trapani, elle, a opté pour un hommage via sa story Instagram, ce mardi 9 octobre. Fin août, Benjamin Pavard avait adressé une vidéo d’encouragement à Augustine. « Je suis de tout cœur avec toi », disait-il, en tenant un maillot de football dédicacé qu’il tenait à lui offrir.

hommage

Publié à 18:20 par fandeloup Tags : photo nuit moi homme amour enfants femme place ange maison
hommage

Charles Aznavour : l'émouvante lettre de son fils

Charles Aznavour avec sa femme Ulla et Misha en 1971.

 Aznavour a rendu publique mercredi une lettre-hommage à son père Charles Aznavour, disparu lundi à l'âge de 94 ans.

"Tout semble irréel. Me voilà semi-orphelin."

Le fils de Charles Aznavour, Misha Aznavour, a fait paraître mercredi dans Paris Match, une émouvante lettre d'hommage à son père disparu dans la nuit de dimanche à lundi à l'âge de 94 ans.

"Les larmes restent prisonnières, quelque part, dans le flot tiède de mes veines, dans le dédale de mon esprit. Je ne réalise pas. La maison est toujours là, dressée au milieu des oliviers. Le mistral souffle, violent, avec ce soleil terne. L’arrivée de l’automne. Tout est pareil et différent", écrit Misha Aznavour.

À 47 ans, l'homme est le sixième enfant de l'interprète d'"Emmenez-moi". "Sur les ondes, ta voix passe en boucle. Des gens parlent de toi, de ce que tu as été, de ce que tu as réalisé. J’entends des pleurs, de la tristesse. Et moi, au milieu de ces maux, je suis comme un étranger", raconte Misha.

"Tu es toujours auprès de moi"

Le fils de Charles Aznavour décrit aussi sa difficulté à extérioriser son chagrin :

"Garder ma peine, ce flot de larmes, peut-être est-ce une manière de te garder encore un peu près de moi ? Des mots d’amour, certes, on s’en est peu dit, pudeur oblige, mais combien t’en ai-je écrit ! (...) Si les larmes ne jaillissent pas de la source de mon cœur, c’est que tu es pour toujours auprès de moi. (...) Je ne saurais te dire adieu, mon père, adieu mon ange, mon amour. Puisque je suis fait de ta propre poussière, tu voyages en chacune de mes pensées".

Interrogé dans l'émission Sept à Huit en septembre, Charles Aznavour avait déclaré avoir rédigé son testament "il y a trente ans" et avoir déjà tout mis en place pour son héritage.

"Je ne veux pas qu'on se batte pour une cuillère ou une fourchette, c'est ridicule et c'est ce qui se passe souvent", disait-il. Quand à ses chansons : "J'aimerais qu'il reste beaucoup, ça fera des droits d'auteur à mes petits-enfants !".

rip

Publié à 10:09 par fandeloup Tags : vie moi fond monde
rip

Un poète une vie, une oeuvre, une sacrée trace dans ce monde oublieux vient de nous quitter ... Au revoir Monsieur et chapeau bas

 " Le destin se forge avec des larmes au fond des yeux, et des joies qui prennent à la gorge. " - Charles Aznavou

- Lui qui disait que l'âge n'existe pas, l'âge, c'est ce que l'on se donne ... a tiré sa révérence à 94 ans, 94 ans d'une vie bien remplie avec des larmes au fond des yeux et des joies qui prennent à la gorge.... un amoureux de la vie qui est parti comme il quittait la scène avec élégance et discrétion.

" Emmenez-moi Au bout de la terre Emmenez-moi Au pays des merveilles Il me semble que la misère Serait moins pénible au soleil "

noms

Publié à 15:47 par fandeloup

APPELEZ MOI " BO"

APPELEZ MOI " BO"

Triste nouvelle... Lui, qui un matin avait illuminé ma journée . Il a été renversé ce matin, non loin de Grenoble. Il est décédé ... Il était hongrois, et se rendait semble t-il dans le sud. Il m'a fait rêver juste en le croisant! Et cette mauvaise nouvelle m'affecte. Je partage avec vous, car peut-être que certains d'entre vous, d'ici ou d'ailleurs, le connaisse. Voilà, ce soir, pensées et bougie pour toi, l'ami! Que ton voyage soit sans encombres vers le Valhalla

En souvenir de Bo "le voyageur avec ses boeufs" photo prise vendredi matin devant le lycèe RIP

APPELEZ MOI " BO" !LE HONGROIS QUI PARLAIT A L' OREILLE DU BOEUF GRIS DE HONGRIE ! APPELEZ-MOI … « BO » !

LE HONGROIS QUI PARLAIT A L’OREILLE DU BŒUF GRIS DE HONGRIE !

Au hasard d’une rencontre sur les berges de l’Isère, mes pas ont entendu la voix de « Bo ». Sous ses talons crissait ce gravier de tous les destins. Les remous du torrent de l’Isère, dans les bleus éternels semblaient se confondre avec cette longue descente du Danube aux portes de Budapest. « Bo », originaire de Mör, a ouvert grands ses yeux et de comprendre le grand mystère de la vie qui n’est autre qu’un voyage dans l’espace de cette terre résolument ronde, donc insaisissable ! 

Oui ! Vous venez de comprendre que « Bo », n’est autre que cet Hongrois à la roulotte, qui depuis 14 ans traverse les cultures, les civilisations, va à la rencontre de l’autre pour apprendre, se nourrir dans les regards de ces gens de tous les destins.

« Bo » va donc quitter la ferme de ses parents, entouré de ces bœufs gris de Hongrie, tirés des steppes hongroises « Magyar Szürke, de la race « szavasmartha ». Très jeune « Bo » comprend le langage des animaux Ainsi il va abandonner la notion de temps et va préférer les moments de la vie en errance.

Dans ses « bagages » il y a cet outil de tous les gestes, ses mains ! Dans son sac à dos il y a une psychologie étonnante, dans sa tête la roulotte prend forme, dans ses murmures il y a son accordéon, dans ses poches retroussées..Point d’argent !

Dans ses rêves il doit chasser sa passion de berger sur les hauts plateaux hongrois de La Podolie « Puszla »…Il doit marcher sans cesse vers ces directions dictées par l’improvisation avec ce droit indéfectible …aller nulle part ! Là où l’on ne m’attend pas...seul… et cette conversation de tous les instants avec les animaux . Emprunter ces voies, véritables coulées vertes :

Je marche seul ! Ainsi de prairies en forêts, de montagnes en plaines, « Bo » est accompagné par Lorand qui a la même conception de l’aventure. Tous deux prélèvent leur nourriture au gré des produits de la nature. Parfois à l’heure d’un arrêt pour la nuit, le feu éclaire leurs cœurs, le temps de fabriquer un objet, un couteau, et ainsi proposer un cadeau véritable mot de passe de l’amitié !

A l’heure de faire dormir les yeux, leurs deux chiens « titkar » et « Buksi » viennent former un cercle, tels des protecteurs et de partager cette chaleur qui apaise les cœurs. Aller à la rencontre de l’inaccessible « Bo » est un vrai philosophe. Il veut croiser ces gens un instant, capter du regard, saluer, parler sans rien changer à l’autre, dans le plus grand respect de soi même.

Demain matin il y aura la traite d’une des deux vaches puisqu’ils sont végétariens. Ils emprunteront à la nature des plantes salades, des baies, fabriqueront du fromage, du pain sur ce trépied de toutes les cuisines.

« Les plantes sont là pour nous soigner ». Faire ce que l’on a envie de faire « Le temps n’est ni à la peur, ni au doute, nos vacances commencent tous les matins. Il faut avoir confiance en soi, abandonner la notion du temps, de gagner de l’argent, par contre il faut être en perpétuel mouvement de la création , de l’invention de l’inspiration. »

« Ma vie est faîte de solutions, pas de problèmes ! » Il fallait pourtant se séparer, les roues en bois de la roulotte grinçaient d’impatience, le bœuf gris hongrois était fier de ses cornes, les chiens tournaient en aboyant, l’attelage allait s’élancer, il fallait couper ce cordon De ce lien tissé ensemble, il fallait accepter de ne pas être triste, il fallait quitter nos regards, reprendre son chemin, voir s’éloigner la richesse de cette homme, bourré de qualité, rempli de mystère, attachant …Oui ? mais non ! il fallait se quitter afin que le chemin continue de tracer sa voie lactée au milieu de ces myriades d’étoiles …sans se retourner !

Salut l’artiste !

Pierre VILLENEUVE

Rosa Bouglione

Publié à 17:03 par fandeloup Tags : marne saint sur enfants
Rosa Bouglione

Rosa Bouglione, légende du cirque, est morte à l'âge de 107 ans

La matriarche de la célèbre famille du cirque s'est éteinte dimanche ont annoncé ses proches. Rosa Bouglione, matriarche de la célèbre famille du cirque qui continue à perpétuer la tradition au Cirque d’Hiver, à Paris, est morte dimanche, a annoncé sa famille ce lundi.

"Jusqu’à ce 26 août, elle est restée la reine incontestée du cirque. Pendant presque un siècle, Mme Rosa a reçu les plus grandes stars et accueilli, dans ce temple du cirque, les plus grands artistes internationaux", indique le communiqué de la famille.

Cinq générations

«Madame Rosa», née dans une roulotte le 21 décembre 1910 à Ixelles, en Belgique, sous le nom de Rosalie Van Been, est décédée dimanche à Paris, à son domicile situé à proximité du Cirque d’Hiver.

Avec son mari, Joseph Bouglione, elle avait fait l’acquisition du célèbre cirque de la capitale en 1934.

"Cinq générations, rassemblant quelque 55 petits, arrière et arrière-arrière-petits-enfants vont dire adieu à leur emblématique aïeule qui leur a légué l’amour du cirque", souligne la famille. Une messe avant son incinération ce mercredi Le public pourra se recueillir devant son cercueil et lui rendre un dernier hommage au Cirque d’Hiver ce mercredi de 10 à 13 heures.

Une messe sera célébrée le même jour à 14h30 à Lizy-sur-Ourcq (Seine-et-Marne) en l’église Saint-Médard.

«Comme tous les membres de la dynastie», Rosa Bouglione sera ensuite inhumée au cimetière de Lizy-surOurcq. Cette tradition est entrée dans la légende depuis le décès de son ancêtre par alliance Marie-Louis Baglioni (le nom sera francisé pour devenir Bouglione).

La doyenne du cirque avait émis le souhait d’être enterrée là où sa troupe avait coutume de s’arrêter tous les ans, explique sa famille.

Desproges

Publié à 14:40 par fandeloup Tags : merci moi homme chez femme travail dieu soi prénom
Desproges

PIERRE DESPROGES...

- Je ne bois jamais à outrance, je ne sais même pas où c'est.

 

- L’ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne.

 

- Je n'ai jamais abusé de l'alcool, il a toujours été consentant.

 

- Si vous parlez à Dieu, vous êtes croyant... S'il vous répond, vous êtes schizophrène.

 

- 5 fruits et légumes par jour, ils me font marrer... Moi, à la troisième pastèque, je cale.

 

- L’alcool tue, mais combien sont nés grâce à lui ?

 

- Un jour j'irai vivre en Théorie, car en Théorie tout se passe bien.

 

- La médecine du travail est la preuve que le travail est bien une maladie !

 

- Le lundi, je suis comme Robinson Crusoé, j'attends Vendredi.

 

- IKEA est le meilleur prénom pour une femme : suédoise, bon marché, à emmener aussitôt chez soi et facile à monter.

 

- Dieu a donné un cerveau et un sexe à l'homme mais pas assez de sang pour irriguer les deux à la fois.

 

- La lampe torche. Le PQ aussi.

 

- La pression, il vaut mieux la boire que la subir.

 

- Jésus changeait l'eau en vin, et tu t'étonnes que 12 mecs le suivaient partout !

 

- Si la violence ne résout pas ton problème, c'est que tu ne frappes pas assez fort.

 

- Travailler n'a jamais tué personne mais pourquoi prendre le risque ?

Merci Desproges !