On doit être capable de tirer un trait sur son passé, être capable d'accepter le fait que le soleil ne puisse pas briller tous les jours et lorsque la tristesse et le malheur tisse l'horizon, il faut se souvenir, il faut se souvenir que c'est seulement quand les ténèbres nous entourent qu'on aperçoit les étoiles, il faut se laisser guider par leur lumières. Alors n'ayez pas peur de faire des erreurs, de trébucher ou de tomber, parce que le plus souvent, c'est lorsque l'on accomplit les choses qui nous effrayent le plus qu'on est le plus fier de soi. Peut être que la vie vous offrira à tous ce dont vous rêvez ou peut être qu'elle vous offrira plus que vous ne l'auriez jamais imaginé. Qui sait ce que l'avenir nous réserve. La route est longue mais au final le vrai but c'est le voyage lui-même.

Un être offre à chaque regard un visage différent, modelé sur le regard même. Un petit oeil jaune, tout jaune c'est la primevère, la première.

La pire solitude c'est celle dont on souffre même quand on est deux. Dans ce cas-là, ne serait-on pas mieux tout seul ?

Quelle est la différence entre les yeux qui ont un regard et les yeux qui n'en n'ont pas ? Cette différence a un nom : c'est la vie. La vie commence là où commence le regard.

Ne te concentre pas sur les larmes que tu a versé au cours de ta vie, mais bien sur les sourires que tu a partagé....

je ne cache pas mon regard , ni même mon âme , elle est à nue et je ne peut comprendre le jugement... Pourquoi est ce si facile de juger , sans avoir même croisé le regard.

C'est un mal qui vous habite, qui vous ronge le cœur comme la laine bouffée par les mites. Il vous oppresse, se délecte de vos faiblesses. Il vous grignote jusqu'à la moelle épinière, faisant de vous une personne étrangère. Il est responsable des larmes qui s'écoulent de vos yeux, comme pour y exprimer malgré vous...un aveux. Celui de la douleur qu'il vous procure, tel un supplice dévoilant vos blessures. La tristesse parcoure mes veines depuis mon enfance, d'amour et de tendresse ...j'en suis en carence. Le chagrin ?...je crois qu'il ne voudra jamais me quitter, Je l'emporterai avec moi dans mon sommeil éternel...comme damnée !

Je vois des mystères teintés d'horreurs et de guerres, je vois la lumière ombrée de vos peurs légendaires, océan de mes rêves, ton énergie m'invite à l'oubli, observant sans trêve, tu m'éblouis et médites sur la vie

L'eau qui rentre dans ma bouche, a ce goût salé qui m'étouffe, et j'ai beau la recracher, qu'une autre est déjà rentrée. En me mettant sur le dos,peut-être en y aurait-il moins, mais une vague insolente, me submerge et me renverse.

Pour vivre, il faut avoir été regardé au moins une fois, avoir été aimé au moins une fois, avoir été porté au moins une fois. Et après, quand cette chose-là a été donnée, vous pouvez être seul.