Aucune technologie ne pourra remplacer la chaleur d’un câlin, la douceur d’une caresse et l’intensité d’un regard…

Dans ce monde saccagé, les chemins les plus courts d’un être à un autre sont des chemins intérieurs.On ne connaît pas la vie de quelqu’un si l’on n’en sait que les événements extérieurs. Pour connaître la vie de quelqu’un, il faut connaître ses rêves, ses rapports avec ses parents, ses états d’âmes, ses désillusions, sa maladie

Poses ton regard , prend le temps , ne serait ce qu une minute dans ta journée , va dehors et admire cette grandiose création, je ne parle pas de celle de l'homme mais de celle du Grand Esprit.....

Je marche beaucoup à l'extérieur , suivant le même itinéraire chaque jour , mais chaque fois , une beauté différente se déploie , parfois ce sont les nuages , parfois les papillons me suivent , cela me fait bien rigoler , je marche avec 3 ou 4 papillons qui virevoltent autour de moi..... Merveilleuse vie , j'en savoure chaque moment

Chaque jour nous scrutons le ciel, pour voir si le soleil sera présent. Alors que nous regardons très rarement celui qui est à l'intérieur

Il y a parfois dans le regard d’un homme quelques choses d’indescriptible, de si énigmatique, quelques choses qui nous attirent si fortement c’est comme une quête vers l’inconnue, un voyage vers l’inattendue on se retrouve désarmer partager entre nos craintes et cette violente passion qui grandit au creux de notre poitrine, rien ne sert de lutter contre un sentiment qui ne demande qu’à exister, alors on se lance à corps perdu en espérant juste ne pas être déçue, on fonce tête baisser dans ce regard qui a un jour embrasé tout notre être...

La vieillesse comme l’enfance demeure un âge fragile, et, par là même, un âge intelligent. Rien ne rend plus sot que l’illusion de la force, l’illusion de la puissance, l’illusion du savoir.

L’enfant reste pur de ces illusions, le vieillard s’en déleste. Au milieu, pendant notre jeunesse et notre maturité, nous passons par un long moment d’errance où nous avons besoin de posséder des certitudes, où nous nous croyons détenteurs du pouvoir, de l’argent, du savoir, etc.

L’enfance qui nous fait sortir du néant et la vieillesse qui nous en rapproche nous rendent un grand service métaphysique : admettre que nous sommes faibles, sans défense, dépendants des autres, environnés de mystères - mystère de la vie qui nous est donnée sans que nous comprenions pourquoi ; mystère de la condition humaine, cette lumière composée de tant d’obscurité ; mystère de la mort, elle aussi, comme la vie, donnée sans que nous saisissions son sens.

Regardez. C'est votre monde! Vous ne pouvez pas détourner le regard. Il n'existe pas d'autre monde.

C'est votre monde; c'est votre festin. Vous en avez hérité ; vous avez hérité de ces yeux ; vous avez hérité de ce mondede couleurs.

Regardez la grandeur du tout. Regardez !

N'hésitez pas : regardez !

Ouvrez les yeux, ne clignez pas, et regardez - regardez plus loin.

Les mots sont son exutoire.. Elle les retire de sa mémoire.. Elle déverse sur le papier avec sa plume et son encrier les émotions qui l’encombrent.. Le soir dans la pénombre freinée par sa sensibilité,elle laisse ses larmes couler a l’abri des regards malsains. Elle attend doucement demain

Quand je suis arrivée sur cette terre,je cherchais le bonheur,loin de tous, de ma famille, mes amis,je suis triste dans ce monde inconnu,si grand et si petit, les jours passent, les années et ainsi que ma vie aussi.... Trop vite ou trop lente, je ne sais rien,je ne sais même pas qui je suis vraiment,j’y pense, me pose des questions,mais aucune réponse ne me parvient lorsque j’écoute le silence s’abattre sur moi… Je vis mais je n’ai plus envie de vivre, Je vis comme un prisonnier qui ne veut plus être libre. Je vis mais je suis désespéré.... Je ne peux plus je n’y arrive plus je suis trop faible Je ne suis pas capable,les mots veulent sortir Je ne peux plus les retenir... Je pleurs ma naissance, je pleurs ma présence, Je cris mon enfance sans avancer, j’avance, J’éprouve du désespoir je me perds, on m’aspire vers le trou noir. Une douleur immense se propage dans mon cœur.... Une atroce souffrance m’aspire droit vers le malheur. Je ne vie pas,je survie,les échecs, la solitude ralentissent mes pas et mon souffle diminue .Je m’abandonne à la tristesse,je ne me bat plus..... La tristesse est ma maitresse ,des larmes noires s’écoulent sur mon visage,les yeux rivés sur se mirage,le mirage qui a fait mon malheur.... Je voudrais m'évader, m'en aller, fuir ce monde,il est si pénible, si sombre, si cruel que je glisserai à toute allure sur l'onde.Le pays des rêves me donnerait des ailes.... Mais juste rêver quand règne la pleine lune,n'est pas suffisant, il faut savoir affronter,les cruautés de la vie :la mort en est une Une chose qu'on veut crier au monde entier.... La tristesse me tue... et ça à petit feu, avant de mourir je voudrais connaître le bonheur, rien qu'un petit peu... Car je voit mon coeur partir en mille éclats, et je ne me souviens même plus ce que c'est de rire aux éclats.... Passer plus de temps a souffrir qu'à sourire, malgré l'espoir dont il  faut se nourrir,mes rêves s'envolent, s'en vont mourir, j'ai tout dans le coeur,sauf ma vie qui ma quittée