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et je chante « happy birthday to you »
bonhe urs à gogo !
sincèremen t vôtre.
m.p.
Par Séverine Roi, le 21.05.2025
eh beh jérémy tu fais!!!!
Par Anonyme, le 12.04.2025
je l'aime beaucoup
Par Anonyme, le 31.03.2025
c est vraiment l exemple d un guide spirituel pour soi meme
Par Anonyme, le 16.03.2025
trop mignon
Par Anonyme, le 24.02.2025
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Sainte Jeanne Beretta Molla
1922-1962
Jeanne Beretta-Molla est née le 4 octobre 1922 à Magenta, près de Milan, d’Albert et de Marie De Micheli. Elle est la dixième de leurs treize enfants. Déjà toute jeune, elle consent à accueillir pleinement le don de la foi et l’éducation pleinement chrétienne que ses excellents parents lui transmettent et qui la conduisent à considérer la vie comme un don merveilleux de Dieu, à avoir confiance en la Providence, à être sûre de la nécessité et de l’efficacité de la prière. A cinq ans et demi Jeanne reçoit sa Première Communion: c’est un moment important de sa vie, à l’origine de sa fréquence assidue à l’Eucharistie, qui devient soutien et lumière de son enfance, de son adolescence et de sa jeunesse. Au cours de ces années les difficultés et les souffrances ne manquent pas: changement d’école, santé fragile, déménagement de la famille, maladie et mort de ses parents. Grâce à la richesse et à la grandeur de sa vie spirituelle, tout cela ne produit en Jeanne ni chocs ni déséquilibres, au contraire sa sensibilité en résulte affinée et sa vertu exaltée. Au lycée et à l’université, elle se dédie avec diligence à ses études et c’est au cours de ces années que sa foi se transforme en un généreux engagement d’apostolat parmi les jeunes appartenant à l’«Azione Cattolica» et de charité envers les personnes âgées et les indigents, qui s’exerce dans le cadre des «Conferenze di San Vincenzo». Devenue en 1949 docteur en médecine et en chirurgie, auprès de l’Université de Pavie, elle ouvre en 1950 un cabinet de consultation à Mesero et en 1952 elle se spécialise en pédiatrie auprès de l’Université de Milan. C’est en exerçant sa profession de médecin, qu’elle ressent et qu’elle accomplit comme une mission, que son noble engagement s’accroît et que sa grande joie de vivre et de jouir des merveilles de la création s’exprime par la musique, la peinture, le ski et l’alpinisme.
En priant et en faisant prier, Jeanne s’interroge sur sa vocation, qu’elle considère comme un don de Dieu. Elle pense d’abord être missionnaire laïque au Brésil pour aider son frère, Père Albert, médecin missionnaire, prêtre capucin à Grajaù. Mais le Seigneur l’appelle à la vocation du mariage, Jeanne l’accueille pleine d’enthousiasme et elle s’engage à se donner entièrement «pour former une véritable famille chrétienne». Elle épouse l’ingénieur Pietro Molla le 24 septembre 1955, dans la basilique de Saint-Martin à Magenta et elle est une épouse heureuse. Elle devient la plus heureuse des mères en novembre 1956 à la naissance de Pierluigi; en décembre 1957, de Mariolina; en juillet 1959 de Laura. C’est avec simplicité et équilibre qu’elle sait harmoniser ses devoirs de mère, d’épouse, de médecin à Mesero et à Ponte Nuovo de Magenta, et sa grande joie de vivre. En septembre 1961, vers la fin de son deuxième mois de grossesse, elle connaît la souffrance et le mystère de la douleur: un volumineux fibrome, une tumeur bénigne à l’utérus se développe. Avant d’être opérée pour enlever ce fibrome, connaissant parfaitement le risque qu’elle courrait en poursuivant sa grossesse, elle supplie le chirurgien de sauver la vie qu’elle porte en son sein et s’en remet complètement à la prière et à la Providence. La vie est sauve. Jeanne remercie le Seigneur et passe les sept mois qui la séparent de son accouchement, avec une incomparable force d’âme et toute son ardeur de mère et de médecin. Quelques jours avant son accouchement, ayant toujours confiance en la Providence, elle est prête à donner sa propre vie pour sauver celle de sa créature et elle dit à son mari Pierre: «Si vous devez décider entre moi et l’ enfant, aucune hésitation, choisissez - et je l’exige - l’enfant. C’est lui qu’il faut sauver». Le matin du 21 avril 1962, à l’hôpital de Monza, elle met au monde Jeanne Emmanuelle par l’intermédiaire d’une césarienne. Mais déjà quelques heures plus tard ses conditions s’aggravent: fièvre toujours plus élevée et souffrances abdominales atroces, dues à une péritonite septique. Malgré tous les soins, ses conditions empirent de jour en jour. A l’aube du 28 avril on la ramène chez-elle à Ponte Nuovo de Magenta, où elle meurt à 8 heures du matin. Elle est enterrée dans le cimetière de Mesero, alors que rapidement se diffuse la renommée de sa sainteté, grâce à sa vie et à l’immensité de son geste d’amour qui l’a couronnée. Le Pape Jean-Paul II l’a proclamée Bienheureuse le 24 avril 1994 et Sainte le 16 mai 2004. Sa fête liturgique est le 28 avril.
Le Bienheureux Bernard de Morlaas (Pyrénées Atlantiques, France), vivait au XIIIe siècle. S'étant consacré à Dieu dans l'Ordre des Frères Prêcheurs, il fut chargé, à Santarem (Portugal), de l'éducation de deux enfants voués à Saint Dominique. Ces jeunes élèves travaillaient et prenaient leur goûter dans une chapelle du couvent ornée d'une statue de la Sainte Vierge tenant sur ses bras Son Divin Fils. Un jour, cédant à leurs naïves instance, Jésus descendit des bras de Sa Mère pour partager leur petit repas; puis à son tout, Il les invita, eux et leur maître, à souper dans la maison de Son Père, pour le jour de l'Ascension. En effet, ce saint jour, le 23 mai 1277, après avoir servi la Messe au Bienheureux Bernard et communié de sa main, les deux enfants et leur maître, saisis par une sorte d'extase, s'endormirent dans le Seigneur au pied de l'autel. Ces Bienheureux sont honorés parmi les Patrons de l'École Apostolique des Frères Prêcheurs de Mazères (Ariège). La Providence semble les désigner pour Protecteurs spéciaux des écoles ou la religion occupe le premier plan, conformément aux principes d'une raison saine et éclairée.
Sainte Thérèse Bénédicte de La Croix Martyre à Oswiecin (Auschwitz) en Pologne
Née dans le judaïsme, Edith Stein était professeur d'université à Wroclaw (Breslau) et elle se tourna progressivement vers le Christ, malgré les difficultés nées de l'incompréhension de sa famille. Au temps de l'invasion nazie et de la persécution anti-juive, elle devint carmélite à Cologne traduisant dans sa vie les "sept demeures" de sainte Thérèse d'Avila et s'unissant, par la Croix, aux souffrances de son peuple. Réfugiée aux Pays-Bas, elle y fut arrêtée au carmel d'Echt, et elle meurt à Auschwitz huit jours plus tard. Elle avait partagé la persécution de son peuple, portant le don de soi jusqu'au martyre pour le Christ.
Bienheureuse Marie-Madeleine de l' Incarnation
Catherine Sordini naquit à Porto Santo Stefano, le 17 avril 1770. A seize ans, elle était promise à un heureux mariage ; mais elle déclina la proposition et entra chez les Tertiaires Franciscaines à Ischia di Castro, près de Viterbe, où elle reçut l' habit religieux en 1799.
Elle avait comme père spirituel Don Baldeschi qui l' inspira dans la fondation d' un futur institut religieux dédié à l' adoration perpétuelle. Entre temps, elle fut élue, à seulement 32 ans, comme abbesse des Tertiaires Franciscaines. Elle se dédia alors à retrouver la règle originelle et à renflouer les comptes...Elle fut aussi favorisée de dons et de faveurs mystiques extraordinaires. Sa réputation d' abbesse dynamique se répandit dans la région ; mais elle n'abandonnait pas son idée de fondatrice. Avec l' accord de l' évêque du lieu, elle quitta ses Soeurs et s' installa, avec la bénédiction du Pape Pie VII, à Rome dans un ancien couvent de Carmélites pour ouvrir la première maison des Soeurs de l' Adoration Perpétuelle du Très Saint Sacrement.
Pendant l' occupation française de Rome, les Congrégations contemplatives furent dispersées et Mère Marie-Madeleine de l'' Incarnation dut prendre le chemin de l' exil à Florence. Elle y fit la connaissance de jeunes femmes qui furent le noyau des nouvelles Adoratrices, lorsqu' elle put revenir à Rome dans une nouvelle maison, en 1814.
En 1818, Pie VII approuva définitivement la Règle de l' Institut, dédié à l' exposition solennelle du Saint Sacrement et à son adoration continue.
La Mère fondatrice mourut en odeur de sainteté, le 29 novembre 1824, accompagnée de phénomènes mystiques, Elle fut inhumée en l' église Sainte-Anne du Quirinal avec la permission du Pape qui à l' époque demeurait au Palais du Quirinal*. En 1839, sa dépouille fut transférée en l' église Sainte-Marie-Madeleine du Monte Cavallo, nouveau siège des Adoratrices.
Aujourd' hui les Adoratrices sont présentes en Amérique, en Afrique et dans plusieurs pays européens. En Italie, elles sont regroupées en une douzaine de maisons.
Marie-Madeleine de l' Incarnation vient d' être béatifiée, le 3 mai 2008, en la basilique Saint-Jean-de-Latran.
Bienheureux Jérôme des Anges
Jérôme ( Girolamo ) De Angelis ( ou des Anges ) naquit en Sicile en 1567. Il partit à 17 ans pour Palerme avec son frère étudier le droit.
C' est à la faculté qu' il lut les Exercices spirituels de saint Ignace de Loyola et cela imprima en lui un enthousiasme inextinguible. Il entra à 20 ans avec son frère dans la Compagnie de Jésus.
Il se rendit ensuite à Lisbonne, pour apprendre le portugais et se préparer aux missions orientales. En effet en vertu du " Patronat portugais ", le royaume du Portugal, depuis Jean III, avait le monopole des missions en Extrême-Orient, à partir de ses comptoirs des Indes et de Macao. Son concurrent espagnol, lui se gardait Manille et les Philippines et évidemment la majeure partie de l' Amérique ( sauf le Brésil aux Portugais ).
Dès lors, les missionnaires qui partaient à bord de navires lusitaniens devaient parler le portugais et devaient être considérés comme protégés du Portugal.
Ces monopoles ibériques seront peu à peu remis en cause, d' abord par l' affaiblissement de la puissance navale portugaise et ensuite par l' apparition des Compagnies des Indes, en premier lieu celle des Hollandais calvinistes, au cours du XVIIème siècle.
De plus, dans la deuxième moitié du XVIIème siècle, la Société des Missions Etrangères de Paris fera reconnaître par le Saint-Siège la création de vicariats apostoliques, que les différents Ordres religieux missionnaires devront prendre en compte ; ce qui crééra des frictions, notamment avec les Jésuites, protégés par le Portugal ou l' Espagne.
Plein d' ardeur, notre missionnaire, après une première tentative infructueuse, repartit en mission en 1599. Il arriva à Macao au début de 1600. Macao était une véritable plaque tournante du commerce portugais et européen en Mer de Chine et le siège d' un puissant évêché.
Bienheureux Jérôme des Anges
Deux ans plus tard, après de nombreuses péripéties, il arriva à Nagazaki, au Japon. Nagazaki s' était déjà ouvert depuis longtemps aux marchands européens et aux missionnaires Dominicains, Franciscains ou Jésuites, comme le célèbre saint François-Xavier, mort le 3 décembre 1552, que nous fêtions hier.
Aidé de catéchistes et de convertis japonais, il dirigea de 1603 à 1614 la mission de Fushumi, et établit d' autres postes, notamment à Yedo.
C' est alors que le shogun, sorte de premier ministre exerçant le pouvoir réel ( alors que l' empereur avait un pouvoir plus symbolique ), décida d' expulser tous les missionnaires. Il était lassé des querelles commerciales entre puissances navales européennes, et craignait l' affaiblissement du pouvoir des bonzes.
Notre missionnaire, contrairement à d' autres qui se réfugièrent à Macao ou aux Indes, prit la décision de demeurer au Japon. Déguisé en marchand, il poursuivit son apostolat dans la région de Nagazaki.
En 1623, un nouveau shogun, Tokugawa, fit arrêter, sur dénonciation d' un apostat, un homme qui avait abrité le Père De Angelis. Ce dernier vint se constituer prisonnier, avec un de ses catéchistes, Simon Yempo, afin de le faire libérer.
Il poursuivit ses prêches en prison et baptisa même des compagnons de cellule.
Le 4 décembre 1623, après avoir assisté à la mise à mort de 47 condamnés, il fut conduit au bûcher.
Il fut béatifié par le bienheureux Pie IX en 1867, avec 204 autres martyrs du Japon de 1617 à 1657.
Camille Constanzo naquit dans la province de Reggio de Calabre à Bovalino en 1572. Il fit ses humanités et son droit à Naples et entra à vingt ans dans la Companie de Jésus. Il se destinait aux Missions d' Extrême-Orient. Il partit donc pour les Indes en 1602, puis pour la Chine. Il débarqua à Macao, possession portugaise, mais les Portugais refusèrent qu' il poursuivît son chemin. Il décida donc de rejoindre la Mission de Nagazaki, où il arriva le 17 août 1605.
Il étudia pendant une année la langue japonais et les coutumes locales, puis commença son ministère dans la ville de Sakaï et ses environs. Il établit de solides bases chrétiennes, et lorsque commença la persécution de 1614, sur les 800 Japonais à qui il avait administré le sacrement de baptême, seulement trois ou quatre d' entre eux apostasièrent.
L' ordre d' expulsion des missionnaires le contrint à retourner à Macao, où il vécut pendant six ans. Il en profita pour étudier la loi de Bouddha, et en relever les contradictions, par rapport à la doctrine chrétienne. Il écrivit une quinzaine de traités et d' opuscules.
Ses supérieurs désiraient le garder en Chine, mais il préféra retourner au Japon. Il y revint en 1621, déguisé en soldat. Découvert sur le bateau du retour, le capitaine voulut le livrer aux autorités, mais sur l' intervention de deux convertis japonais, il put débarquer à l' archipel de Firando, où il reprit son apostolat.
Il recueillit de nouvelles conversions dans les îles environnantes.
mari, pour l' entretenir de la Foi, mais celui-ci le dénonça au gouverneur qui fit venir trois bateaux armés à sa recherche.
On retrouva le Père Constanzo sur l' île d' Oku le 24 avril 1622. Il fut condamné au bûcher, et emprisonné à Tabira.
Il subit le martyre le 15 septembre 1622, et prêcha jusqu' au dernier moment à la foule qui assistait au supplice.
En 1596, malgré la désapprobation de sa famille, il obtint de partir en mission pour le Japon. Le voyage fut long et aventureux. Une tempête faillit lui faire perdre la vie le long des côtes du Brésil, et il fut fait prisonnier par les Anglais qui l' enfermèrent en Angleterre. Une fois libéré, il se rendit au Portugal, pour remettre son projet à exécution. En 1602, avec un compagnon, Angelo de Angelis, il embarqua à nouveau. Il fut gravement malade à Goa jusqu' à Macao et rejoignit le Japon après de longs mois.
Pendant onze années, il entreprit un apostolat épuisant et fécond. Ayant appris la langue locale, il mit sur pied des écoles et forma des catéchistes. Il baptisa plus de 5000 Japonais ! Il était aussi un mathématicien brillant et était féru d' astronomie.
En 1611, il fut nommé Procurateur de la Province jésuite et vicaire du Provincial, le Père Valentin Carvalho. A partir de 1614, la persécution anti-chrétienne l' obligea à entrer dans la clandestinité. Il n'obéit pas à l' ordre de quitter le pays et se cacha sous de fausses identités. Il continuait à célébrer la messe et à distribuer les sacrements, mais il fut découvert en décembre 1618 avec Ambroise Fernandez et un catéchiste japonais Jean Kingosu dans la maison d' un commerçant espagnol Dominique Fernandez : celui-ci fut emmené et subit le martyre un an après... Sa femme Isabelle, et leur fils Ignace furent arrêtés aussi avec le Père Spinola et tous furent enfermés ensemble en prison pendant quatre longues années.