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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Bienheureuse Teresa de Calcutta

Publié à 22:58 par lusile17 Tags : femme travail amour amitié soi
Bienheureuse Teresa de Calcutta
Bienheureuse Teresa de Calcutta

Un jour, dans la rue, Mère Teresa ramasse une femme agonisant, jetée par son fils dans une poubelle et dont les membres étaient déjà rongés par les rats et les fourmis. Aucun hôpital ne veut les accueillir. C’est ainsi que naît la maison des mourants de Calcutta où 40 000 personnes ont été depuis transportées pour y finir leur vie dans la paix. Suivent beaucoup d’autres œuvres : orphelinats, cités de la paix pour les lépreux, cuisines de la charité, maisons spécialisées pour les malades du sida. Rien ne semble arrêter ce frêle petit bout de femme, mue par une force intérieure hors du commun.

Les Missionnaires de la Charité, outre les trois vœux de pauvreté, de chasteté et d’obéissance font un pas de plus dans le renoncement en prononçant un quatrième vœu : celui de se vouer au service des plus pauvres d’entre les pauvres, de ceux qui ne peuvent les dédommager de leur peine, dont on n’attend rien en retour. Mère Teresa limite volontairement le travail des sœurs à une catégorie de personnes, les plus méprisés, les plus défigurés. En choisissant l’abaissement et le dépouillement, en consentant au plus difficile, les sœurs s’identifient à Jésus abandonné par les siens, celui qui « s’est anéanti lui-même, en prenant la condition d’esclave »

 Mère Teresa est hantée par cette vision de Dieu mendiant l’amour de l’homme : « Affamé d’amour, Il te regarde ; assoiffé de bonté, Il te supplie ; mis à nu par amour de la vérité, Il espère en toi ; infirme et emprisonné par amitié, Il attend cette amitié de toi ; sans abri, Il demande refuge en ton cœur ; veux-tu être tout cela pour Lui ? »
Le service des pauvres n’est donc pas une fin en soi mais la voie concrète pour aimer le Christ.

 Parcourir inlassablement les routes de Calcutta et les bidonvilles du monde est à ses yeux un privilège puisque c’est Jésus que l’on soulage.

Bienheureuse Teresa de Calcutta

Publié à 22:49 par lusile17 Tags : message femmes chez anges
Bienheureuse Teresa de Calcutta

Bienheureuse Teresa de Calcutta

La vie de Mère Teresa n’était pas un cliché. Nous vivons à l’ère des manchettes chocs. Alors que tout va très vite, on répond aux grands enjeux de notre époque sans réfléchir, comme des poules sans tête. La vie de Mère Térésa était une métaphore de dévouement désintéressé et de sainteté. C’est pourquoi tant de jeunes femmes de presque partout et de tant d’origines continuent d’entrer chez les Missionnaires de la Charité. Mère Teresa fonda un ordre qui compte désormais plus de 4500 femmes qui oeuvrent dans plus de cent pays. Elles gèrent plus de 500 maisons, hospices et refuges pour des milliers de mourants et de délaissés, en plus de centaines d’écoles, cliniques mobiles, maisons pour les lépreux et les sidéens. Bien que la chanteuse soit partie,le chant de l’amour, de la charité et de l’espérance continue d’être chanté par ces anges de la miséricorde qui découvre Jésus dans la détresse du pauvre.

Mère Teresa découvrit dans la prière la vérité essentielle qui est la source de l’enseignement social de l’Église et de son œuvre religieuse et humanitaire à travers les âges et à travers le monde : Jésus-Christ, le Verbe fait chair, le Sauveur de l’humanité, qui a voulut s’identifier à chaque personne, spécialement le pauvre, le malade et le laissé-pour-compte.  «C’est à moi que vous l’avez fait» répétait si souvent Mère Teresa, un message qui ne passera jamais.

Bienheureuse Teresa de Calcutta

Publié à 22:21 par lusile17 Tags : enfants mort voyage

Bienheureuse Teresa de Calcutta

Il y a dix ans, le 5 septembre 1997, Mère Teresa de Calcutta mourut à l’âge de 87 ans à Calcutta. Née Agnes Gonxha Bojaxhiu le 27 août 1910 de parents Albaniens à Skopje (autrefois l’Albanie, aujourd’hui l’ancienne Yougoslavie). Elle joint les Sœurs de Lorette à l’âge de 18 ans. Après avoir reçu une inspiration divine lors d’un voyage en train, elle laissa le milieu aisé où elle servait et se rendit à Calcutta pour fonder une nouvelle congrégation religieuse, les Missionnaires de la Charité, dont la mission était de prendre soin des malades et des mourants des milieux les plus pauvres et misérables, d’éduquer les enfants de la rue, de venir en aide aux mendiants et de donner un refuge aux sans-abri.

En 1950, elle débuta ce qui devint son œuvre la plus connue en ouvrant à Calcutta le premier Nirmal Hriday (cœur tendre) pour les mourants et les délaissés. Les mots de Mère Thérésa demeure d’ailleurs toujours inscrits sur les murs de cette maison: «De nos jours, la maladie la plus horrible n’est ni la tuberculose, ni la lèpre. C’est le sentiment d’être indésirable, rejeté, abandonné par tous. » Elle était connue pour avoir dit à des chefs de gouvernements qui discutaient de la situation des pauvres: « Alors que vous poursuivrez vos discussions à-propos de causes et d’explications, j’irai m’agenouiller à côté des plus pauvre d’entre les pauvres et répondre à leurs besoins.»

Six ans après sa mort, en 2003, elle fut déclarée bienheureuse par son ami, le pape Jean-Paul II. Même lorsqu’elle était toujours vivante, parcourant les rues des bas fonds de Calcutta, des gens de partout dans le monde, de confessions différentes, appelaient Mère Teresa «la sainte des pauvres.»

Bienheureuse Anne Catherine Emmerich

Publié à 22:13 par lusile17 Tags : couture vie bonne chez divers
Bienheureuse Anne Catherine Emmerich

Bienheureuse Anne Catherine Emmerich(1774-1824)

Anna Katharina Emmerick naquit le 8 septembre 1774, dans la communauté d'agriculteurs de Flamschen près de Coesfeld (Allemagne). Elle grandit au sein d'une famille de neuf frères et soeurs. Dès sa plus tendre enfance elle dut aider aux travaux domestiques et agricoles. Elle ne fréquenta que quelques temps l'école, mais elle possédait une bonne instruction dans le domaine religieux. Très rapidement ses parents s'aperçurent de sa vocation à la prière et à la vie religieuse.

Elle travailla trois ans dans une grande ferme des environs, puis apprit la couture et retourna vivre chez ses parents. Elle demanda ensuite à être admise dans divers monastères, mais elle fut refusée car elle ne possédait pas de don particulier. Toutefois, les Clarisses de Münster l'acceptèrent à la condition qu'elle apprenne à jouer de l'orgue. Ses parents l'autorisèrent alors à aller vivre dans la famille de l'organiste Söntgen de Coesfeld pour faire son apprentissage; mais elle n'eut jamais la possibilité d'apprendre l'orgue, car la pauvreté de la famille la poussa à travailler afin de les aider à vivre.

En 1802, elle réussit finalement à entrer au monastère d'Agnetenberg, près de Dülmen, avec son amie Klara Söntgen. Elle prononça ses voeux l'année suivante, participant à la vie monastique avec ferveur, toujours prête à accomplir les travaux les plus durs que personne ne voulait faire. Mais, de 1802 à 1811, elle tomba fréquemment malade et dut supporter de grandes douleurs. En 1811, le monastère d'Agnetenberg fut fermé, elle devint alors domestique chez l'Abbé Lambert, un prêtre qui avait fui la Révolution française et qui vivait à Dülmen. Mais elle tomba à nouveau malade et ne quitta plus son lit. Elle fit alors venir sa plus jeune soeur qui, sous sa direction, s'occupait de la maison.

 

Bienheureuse Anne Catherine Emmerich

Publié à 22:07 par lusile17 Tags : amour enfants mort
Bienheureuse Anne Catherine Emmerich

Bienheureuse Anne Catherine Emmerich

religieuse et visionnaire

C'est au cours de cette période qu'elle reçut les stigmates. Ce fait ne pouvait pas rester caché; le Docteur Franz Wesener l'examina et en resta profondément impressionné, devenant son ami fidèle au cours des années qui suivirent.

Une caractéristique de sa personnalité était l'amour qu'elle éprouvait pour son prochain. Elle cherchait toujours à aider les autres, même sans pouvoir se lever de son lit, où elle cousait des vêtements pour les enfants pauvres. De nombreuses personnalités, qui participaient au mouvement de renouveau de l'Eglise au début du XIX siècle, cherchèrent à la rencontrer. La rencontre avec Clemens Brentano fut particulièrement significative. A partir de 1818, il lui rendit visite chaque jour pendant cinq ans, dessinant ses visions qu'il publia ensuite. Au cours de l'été 1823, la santé d'Anna Katherina déclina et, la mort approchant, elle décida d'unir sa souffrance à celle de Jésus, en l'offrant pour la rédemption des hommes. Elle mourut le 9 février 1824.

La vie d'Anna Katharina fut caractérisée par une profonde union avec le Christ; les stigmates qu'elle portait en furent la preuve. Elle éprouva également une profonde dévotion à l'égard de Marie. A travers  la  foi et l'amour elle servit l'oeuvre de la rédemption, disant à ce propos:  "J'ai toujours considéré le service au prochain comme la plus haute vertu. Dans ma jeunesse, j'ai prié Dieu afin qu'il veuille bien me donner la force de servir mon prochain et d'être utile. A présent je sais qu'il a exaucé ma prière" .

Bienheureuse Anna-Maria Taïgi

Publié à 21:36 par lusile17 Tags : amour homme douceur
Bienheureuse Anna-Maria Taïgi

BIENHEUREUSE ANNA-MARIA TAÏGI
Épouse et mère, Tertiaire trinitaire
(1769-1837)

Née à Sienne, Anna-Maria Gianetti suivit son père à Rome où des revers de fortune l'avait contraint d'aller se fixer. La petite passa à peine deux ans à l'école où elle n'apprit qu'à lire. Ses parents faisaient retomber leur amertume sur leur fillette, mais l'angélique pauvrette redoublait de douceur envers eux.
 
Anna-Maria entra très tôt en service afin d'aider ses parents. Elle grandissait, pieuse, travailleuse et coquette, prenant plaisir à se parer. Domenico, qui travaillait au jour le jour au palais Chigi, homme honnête, rude et prompt à la colère, offrit de l'épouser; Anna-Maria accepta sa proposition de mariage.
 
Dans les premiers temps de son ménage, elle conserva ses habitudes mondaines, aimant à fréquenter le théâtre des marionnettes et à porter des colliers de verroterie. Après trois ans de cette vie ainsi partagée entre l'amour de Dieu et l'amour du monde, Anna-Maria se confessa au Père Angelo de l'Ordre des Servites, se convertit totalement et, avec l'assentiment de son mari, elle se fit recevoir dans le Tiers-Ordre des Trinitaires. Domenico ne demandait qu'une chose: que la maison soit bien tenue et paisible!

Bienheureuse Anna-Maria Taïgi

Publié à 21:29 par lusile17 Tags : chez enfants fille mort tendresse
Bienheureuse Anna-Maria Taïgi

BIENHEUREUSE ANNA-MARIA TAÏGI
Épouse et mère, Tertiaire trinitaire

Or, les parents d'Anna-Maria vinrent partager la vie du jeune foyer. Depuis leur arrivée, les scènes de criailleries qu'elle apaise de son mieux se répètent tous les jours, car sa mère acariâtre cherche sans cesse querelle à son gendre qui s'emporte facilement. Atténuant les heurts le mieux possible, elle s'empresse auprès de son époux trop vif qui jette le dîner par terre avec la table quand un plat lui déplaît. Après la mort de sa mère, son père vit aux dépens de sa fille et multiplie disputes sur disputes. Lorsque la lèpre l'atteint, la bienheureuse Anna-Maria le soigne tendrement et l'aide à mourir chrétiennement.
 
Pour leurs sept enfants, la maison risquait de devenir un enfer, mais la bienheureuse demeurait si surnaturellement douce, que Domenico affirmera que c'était un vrai paradis chez lui, et que l'ordre et la propreté régnaient partout dans son pauvre gîte. Anna-Maria se levait de grand matin pour se rendre à l'église, et communiait tous les jours. Lorsqu'un membre de la famille était malade, pour ne donner à personne l'occasion de se plaindre et de murmurer, elle se privait de la messe et de la communion. Pour suppléer à cette privation involontaire, elle se recueillait pendant les moments libres de la journée.
 
La bienheureuse Anna-Maria Taïgi tenait ses enfants toujours occupés. Après le souper, la famille récitait le rosaire et lisait une courte vie du Saint du jour, puis les enfants se mettaient au lit après avoir reçu la bénédiction. Le dimanche, ils visitaient les malades à l'hôpital. Sa tendresse maternelle ne l'empêchait pas d'appliquer fermement les sanctions méritées, telles la verge ou le jeûne. Ses enfants profitèrent avantageusement de cette éducation si équilibrée et devinrent vite l'honneur de leur vertueuse mère et le modèle de leurs camarades.

Bienheureuse Anna-Maria Taïgi

Publié à 21:26 par lusile17 Tags : cadeau
Bienheureuse Anna-Maria Taïgi

BIENHEUREUSE ANNA-MARIA TAÏGI
Épouse et mère, Tertiaire trinitaire

Sa délicatesse envers les humbles était exquise. Elle nourrissait sa servante mieux qu'elle-même; à une qui cassait la vaisselle par maladresse, elle disait gentiment: «Il faut bien faire gagner la vie aux fabricants de faïence.»  

Lors de sa réception comme membre du Tiers-Ordre de la Sainte Trinité, la bienheureuse s'était offerte comme victime expiatrice pour les péchés du monde. En retour de cette généreuse offrande, Dieu lui accorda la vision permanente d'un globe ou soleil lumineux dans lequel elle lisait les besoins des âmes, l'état des pécheurs et les périls de l'Église.
 
Ce phénomène extraordinaire dura quarante-sept-ans. Surprise au milieu de ses occupations domestiques par les ravissements et les extases, Anna-Maria s'efforçait vainement de s'y soustraire. Grâce à elle, les malades avertis de leur fin prochaine mouraient saintement. Comme le sort des défunts lui était révélé, sa compassion pour eux lui inspirait de multiplier ses pénitences afin de libérer au plus tôt ces pauvres âmes qui venaient la remercier de leur délivrance.
 
Bien que la bienheureuse Anna-Maria Taïgi souhaitait ardemment rester ignorée de tous, une foule de visiteurs composée de pauvres, de princes, de prêtres, d'évêques, du pape même, accourait pour demander conseil à sa sagesse inspirée. Simple et humble, elle répondait tout bonnement en se dérobant aux louanges, refusant toujours le plus petit cadeau.  

Bienheureuse Anna-Maria Taïgi

Publié à 21:23 par lusile17 Tags : femme argent
Bienheureuse Anna-Maria Taïgi

BIENHEUREUSE ANNA-MARIA TAÏGI
Épouse et mère, Tertiaire trinitaire

Or, celle qui répandait ainsi la sérénité et la lumière autour d'elle, fut privée de consolation spirituelle pendant vingt ans, et éprouvait le sentiment très net d'être reléguée en enfer. Pendant sept mois, les angoisses et les ténèbres de son âme s'étant accrues, Anna-Maria Taïgi expérimenta une véritable agonie, n'en continuant pas moins à diriger sa maison comme si de rien n'était.  
 
Malgré ses doigts devenus si douloureux, elle cousait beaucoup afin d'assurer le pain quotidien de la maisonnée. La femme du gouverneur de Savoie qui avait obtenu tant de grâces par les prières de la servante de Dieu, voulut lui donner une forte somme d'argent, mais la bienheureuse la refusa catégoriquement.
 
Le Lundi-Saint, dans une extase, Anna-Maria apprit qu'elle mourrait le Vendredi-Saint. Après avoir béni tous les siens, et les avoir remercié, elle rendit l'âme dans un cri de bonheur et de délivrance. Il semble que Dieu ait voulu montrer dans la personne de cette admirable bienheureuse, la possibilité d'allier des vertus éminentes et des dons surnaturels exceptionnels à la fidélité aux devoirs les plus humbles et les plus matériels de la vie commune. Le pape Benoît XV béatifia Anna-Maria Taïgi, le 30 mai 1920. 
 

Images pieuses (Saint Michel)

Publié à 20:12 par lusile17 Tags : jeune anges
Images pieuses (Saint  Michel)

Saint Michel Archange

Avec saint Michel, l’Église, en  ce jour, honore tous les bons anges, dont il a été le chef et le modèle  au jour de la révolte de Lucifer et des mauvais anges. D’après nos Saints Livres, ils sont divisés en neuf chœurs et en trois hiérarchies : les anges, les archanges et les vertus ; les puissances, les principautés et les dominations ; enfin, plus haut encore, les trônes, les chérubins et les séraphins. Leur occupation est de contempler Dieu, de L’aimer, de Le louer et d’exécuter ses volontés pour la conduite de l’univers et pour le salut des hommes. Aussi les voyons-nous chargés de différentes missions sur la terre, auprès des personnes, des familles, des paroisses, des diocèses, des royaumes, de l’église entière.

Ceux dont l’écriture fait une mention particulière sont, outre saint Michel, l’archange Gabriel, à qui semble avoir été confié le soin de tout ce qui regarde le mystère de l’Incarnation, et l’archange Raphaël, qui conduisit et ramena si merveilleusement le jeune Tobie. – Saint Michel a été fait non seulement prince des anges, mais aussi prince des âmes qui doivent remplir les places demeurées vides par la chute des démons. Son nom marque sa fidélité, car il signifie : Qui est semblable à Dieu !

Les saints lui attribuent la plupart des apparitions mentionnées dans l’Ancien Testament. C’est lui, disent-ils, qui retint la main d’Abraham  prêt à immoler son fils Isaac ; c’est lui qui apparut à Josué et le  rendit maître de Jéricho par la chute de ses tours et de ses  murailles ; c’est lui qui dirigea l’arche de Noé par-dessus les eaux du déluge; c’est lui qui lutta contre Jacob et le bénit ; c’est lui qui  donna la loi à Moïse sur la montagne du Sinaï ; qui rendit David  victorieux de Goliath et le préserva de la persécution de Saül, etc. Il a été le protecteur de la synagogue ; il est le protecteur de l’Église.