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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Bienheureux Charles Spinola

Publié à 16:46 par lusile17 Tags : blog article enfants femmes isabelle
Bienheureux Charles Spinola

Bienheureux Charles Spinola

Les causes de la persécution étaient multiples : crainte de la perte d' influence des bonzes, crainte de la main-mise de l' Espagne et du Portugal sur la région, dont les missionnaires pouvaient être qualifiés d' émissaires, intrigues des navigateurs commerçants hollandais, dont le calvinisme les mettaient en opposition avec l' Eglise catholique, et enfin violente opposition du shogun lui-même et de ses successeurs. Le Japon allait se fermer longtemps et exclure toute influence étrangère.


A cette époque les bapisés japonais étaient au nombre de 300 000. Ils subirent pendant plusieurs décennies de féroces persécutions jusqu' à la destruction complète de la communauté chrétienne.


Le Père Spinola subit de terribles conditions d' emprisonnement à Suzuta avec d' autres missionnaires européens et des Catholiques japonais. Malgré la maladie et les souffrances, il poursuivit son apostolat en prison, jusqu' à admettre quatre novices prisonniers dans la Compagnie de Jésus.

En septembre 1622, ils furent conduits à Nagazaki où ils subirent le martyre par le bûcher. D' autres - hommes, femmes, enfants, vieillards - furent décapités, comme Isabelle Fernandez sous les yeux de son fils de quatre ans, qui subit ensuite le même sort que sa mère.


Le bienheureux Pie IX béatifia le Père Spinola et 207 autres martyrs japonais et missionnaires en 1867 ainsi que la bienheureuse Isabelle Fernandez. 



Bienheureux Frédéric Jansoone

Publié à 16:40 par lusile17 Tags : 2010 anime argent
Bienheureux Frédéric Jansoone

Bienheureux Frédéric Jansoone

D'origine française, Frédéric Jansoone (1838-1916) est ordonné prêtre en 1870 et est muté en Palestine avant d'être transféré à Jérusalem en 1878. Nommé vicaire «custodial», il fait construire une église à Bethléem et rédige les fameux règlements de Bethléem et Saint-Sépulcre dont il termine la rédaction en 1888. Il est de plus animateur de pèlerinage durant les dix années qu'il passe à Jérusalem.

En 1881, il effectue sa première visite du Canada. Elle ne passe pas inaperçue. Les Canadiens français se souviendront de lui et souhaiteront son retour. C'est en 1888, après être retourné six ans à Jérusalem, qu'il revient s'installer pour de bon au Canada. Les quinze années suivantes sont consacrées aux pèlerinages qu'il anime à Notre-Dame-du-Cap. Durant la dernière période de sa vie, il se consacre à la quête avec beaucoup d'énergie. Véritable «commis voyageur de Dieu», il arpente plusieurs régions du Québec à la recherche d'argent, et ce, malgré les conditions difficiles qu'il doit affronter. Entre-temps, il fonde deux revues, auxquelles il participe régulièrement. Il meurt le 4 août 1916, laissant derrière lui une population touchée par sa bonté. Le pape Jean-Paul II le proclame bienheureux le 25 septembre 1998.

Frédéric Jansoone vint à Paris pour s’occuper de la Custodie de Terre-Sainte, qui se trouvait alors près de la gare Montparnasse, rue des Fourneaux, aujourd’hui rue Falguière. Il y séjourna du 25 septembre 1875 au 26 avril 1876, travaillant pour la Custodie, mais surtout travaillant à la Bibliothèque nationale pour écrire l’histoire des missions franciscaines avec Marcellin Civezza.



Images pieuses(Saint Casimir )

Publié à 16:32 par lusile17 Tags : fille blog article
Images pieuses(Saint Casimir )

Casimir, de la dynastie d' origine lithuanienne des Jagellon, était le fils du roi de Pologne Casimir IV (1) et d' Elisabeth de Habsbourg fille d' Albert II empereur du Saint Empire Romain Germanique, roi de Bohème et de Hongrie.

Il naquit le 3 octobre 1458 à Cracovie.

Lorsqu' une partie de la noblesse hongroise se rebella contre le roi Mathias Corvin et proposa la couronne à Casimir âgé de quatorze ans, son père le mit à la tête d' une expédition pour accepter la proposition des Hongrois. Mais il rebroussa chemin appuyé par le pape Sixte IV qui craignait une victoire des Turcs en Hongrie.

Il fut enfermé par son père pendant quelques mois à la forteresse de Dobzki et se consacra à ses études sous la direction de l' ecclésiastique Jean Longin ( Jan Dlugosz ).

Le prince n' avait pas le goût des armes et préférait soulager les pauvres, les pélerins et les prisonniers. Il se consacrait à la vie de l' Eglise plutôt qu' à celle de la Cour. Toutefois lorsque son frère aîné Ladislas devint roi de Bohème et que son père s' installa pendant cinq ans en Lithuanie ( le Grand-Duché était associé au royaume de Pologne ), il devint régent de Pologne qu' il administra sagement à partir de 1479.

Menant une vie de prière et de charité, il s' était consacré à la Vierge et refusa la main d' une princesse que son voulait lui faire épouser.

Il mourut de tuberculose le 4 mars 1484 à Grodno.

 



Bienheureuse Catherine Mancini

Publié à 01:35 par lusile17 Tags : enfants fille
Bienheureuse Catherine Mancini

Bienheureuse Catherine Mancini

Fille d’un couple de la noblesse de Pise, en Toscane (Italie), dès l’âge de cinq ans elle commence à être témoin de phénomènes mystiques. Mariée à l’âge de douze ans, elle met deux enfants au monde mais à 16 ans elle est déjà veuve. Elle cède alors aux pressions de sa famille qui souhaite qu’elle se remarie, et cinq nouveaux enfants lui naissent. Malheureusement, elle devient une nouvelle fois veuve prématurément, après huit ans de mariage, en plus de perdre plusieurs de ses enfants en bas âge. Elle décide alors de ne pas prendre de nouvel époux et entre dans le Tiers Ordre de Saint-Dominique et se consacre aux malades et aux déshérités. Puis elle entre ensuite au couvent de Santa Croce sous le nom de Marie, où elle mène dès lors une vie très austère, marquée par de fréquents épisodes d’extases.

Devenue moniale dominicaine, elle réalisa pleinement sa vocation de contemplative et de mystique.



Bienheureuse Marguerite Bays

Publié à 01:17 par lusile17 Tags : femme chez enfants fille
Bienheureuse Marguerite Bays

Bienheureuse Marguerite Bays

Marguerite Bays naît en 1815 au hameau de La Pierraz dépendant du village de Siviriez dans le canton de Fribourg (Suisse) dans une famille de petits agriculteurs qui eurent six enfants.

C'était le 8 septembre, jour de la fête de la Nativité de la Sainte Vierge. Très tôt elle ressent un attrait pour la prière dans la solitude et le silence. Trop faible pour les lourds travaux de la campagne (ce qui lui vaudra parfois des critiques!), elle restera dans sa chambrette où elle exercera toute sa vie le métier de couturière, en assurant aussi le soin du ménage dans la ferme après le départ de ses deux sœurs. Chaque jour elle se rend à pied à Siviriez (à 1,5 km) pour y assister à la Messe qu'elle considère comme le "sommet de sa journée". Chaque dimanche après-midi, elle réunit des enfants chez elle ou dans la chapelle Notre-Dame des Bois: elle met à leur portée un catéchisme présenté de façon trop théorique à la paroisse. Les enfants l'aiment beaucoup car elle est simple et gaie. Souvent elle se rend à pied à Einsiedeln. Elle fait partie du Tiers-Ordre franciscain. Avec zèle elle assiste malades et mourants du voisinage. Enfin dans un esprit missionnaire, elle s'intéresse à l'œuvre de la Propagation de la Foi, et en ce temps marqué par le Kulturkampf, elle aide le chanoine Schorderet fondateur de l'Œuvre de Saint-Paul pour l'apostolat par la presse.

Frappée par un cancer, elle en guérit miraculeusement le 8 décembre 1854 (jour où Pie IX proclamait à Rome le dogme de l'Immaculée Conception), mais cette maladie se commue aussitôt en stigmates car elle avait demandé d'être associée plus étroitement encore au Christ crucifié; elle cherche néanmoins à cacher ces marques. Ce qui la caractérise, c'est la simplicité, le silence. Elle mène une vie ordinaire cachée avec le Christ en Dieu. Elle meurt après de grandes souffrances le vendredi 17 juin 1879 vers trois heure de l'après-midi, et depuis, la voix populaire l'a toujours considérée comme une sainte. Femme de prière - certains la taxeront même de bigote! - elle montre par sa vie que "la prière n'éloigne pas du monde. Bien au contraire, elle élargit l'être intérieur, elle dispose au pardon et à la vie fraternelle" (Jean Paul II).

C'est une sainte laïque. Elle n'a jamais songé à la vie religieuse bien qu'elle aimait beaucoup le Monastère des cisterciennes de la Fille-Dieu (à Romont, bourgade voisine). Sa filleul, Alphonsine Ménétrey, y devint religieuse sous le nom de Sœur Lutgarde et elle sera une grande abbesse du monastère.

Une sainte personne portant sur son corps les stigmates du Christ, la servante de Dieu, Marguerite Bays, de Siviriez. C’est chez elle, à la ferme de la Pierraz que Joseph Schorderet allait demander conseil, prier… Il portait en son cœur un immense projet: faut-il créer une œuvre de presse pour vaincre le mal par le bien? Faut-il fonder l’Œuvre de Saint-Paul?

«Ne craignez rien - lui disait-elle - allez de l’avant. Cette Œuvre fera grand bien chez nous et sera particulièrement bénie de Dieu puisque telle est sa volonté.»

Fort de ces encouragements, Joseph Schorderet fonde l’Œuvre de Saint-Paul le 8 décembre 1873. Marguerite Bays était considérée comme co-fondatrice de l’Œuvre. A partir de 1873, elle est «enfant de Saint-Paul». Elle ne quitte pas sa famille, mais elle collabore largement à l'Œuvre de Saint-Paul et la soutient par la prière.

Elle est proclamée Bienheureuse par le Pape Jean-Paul II, à Rome, le 29 octobre 1995.

 



Gilles Bouhours

Publié à 00:44 par lusile17 Tags : amour tendresse enfants
Gilles Bouhours

Gilles Bouhours

Gilles est né le 27 novembre 1944, en la fête de la Médaille Miraculeuse, dans une famille originaire du département de la Mayenne. Cinq enfants sont nés de l’union de Gabriel Bouhours, né en 1913, plombier quincaillier, et de Madeleine, née Cornilleau en 1911 : Thérèse ,Jean-Claude ,Gilles ,Marc et Michel.

Les parents vont être contraints de déménager plusieurs fois de Bergerac (Dordogne, où Gilles a vu le jour) à Arcachon, de Bouilhe-Preuil (Hautes-Pyrénées) à Moissac (Tarn-et-Garonne), car Madeleine, atteinte par la poliomyélite, devait prendre régulièrement, parmi d’autres traitements, des bains de sable chauds. A partir de 1953, la famille vit à Seilhan (Haute-Garonne), dans la maison surnommée les « Marronniers ».

 Dieu est intervenu très tôt dans l’existence de Gilles. A l’âge de neuf mois, il est atteint d’une grave maladie dont l’issue est souvent fatale : méningite encéphalite grave. Les médecins consultés, tant au niveau local qu’à Bordeaux, sont formels : seule la prière peut sauver l’enfant. Le 8 septembre 1948, le docteur Dives, médecin traitant, écrit à son confrère, le docteur Carrière : « Il [Gilles] s’est tiré avec grand-peine de ce mauvais pas, apparemment sans séquelles.

Nous sommes le 30 septembre 1947. La famille Bouhours habite Arcachon. Gilles a deux ans et dix mois. C’est un enfant charmant, ni plus « mystique », ni moins joueur qu’un autre garçon de son âge.Dès son plus jeune âge Gilles fût favorisé de grâces particulières par des visites de Notre Dame, accompagnées parfois d'admirables messages.

La première apparition a eu lieu le 30 septembre 1947 à Arcachon (Gironde). "La Sainte Vierge avait une robe blanche,la tête recouverte d'un voile jaune."

Le 2 octobre 1947, Gilles voit la Vierge « saigner » abondamment.

 « Tu t’es fait bobo ? », lui demande-t-il innocemment. « Tu “as” tombé dans les bambous ? Tiens mon mouchoir .... Tiens Sainte Vierge, viens à côté de moi, donne-moi la main .... Papa et maman sont là. »

 La fraîcheur et la simplicité d’un tel dialogue sont frappantes et correspondent bien à ce que l’histoire des apparitions de la Vierge nous enseigne : un rapport de proximité pratiquement inconcevable s’instaure presque toujours entre la Vierge et les enfants à qui elle daigne se manifester visuellement.

 C'est à l'âge de 15 ans et 3 mois, le 26 février 1960 que Gilles partit rejoindre sa Maman du Ciel.



Gilles Bouhours

Publié à 00:21 par lusile17 Tags : gif
Gilles Bouhours

Gilles Bouhours

En décembre 1948, en revenant du bois d'Espis, Gilles dira : "Elle m'a dit quelque chose. Mais si je le disais, ce serait deux pêchés".
En février 1949, Gilles dira à son père : "Je dois aller à Rome pour lui dire que la Sainte Vierge apparaît à Espis".

 

Le 12 décembre 1949, une première rencontre eut lieu à Rome avec le Saint Père en audience semi-privée. Mais, Gilles ne voulut rien dire ; son secret ne devait être délivré qu'à S.S. PIE XII et à lui seul, la Sainte Vierge l'avait demandé.

Pourtant il fallait qu'il accomplisse sa mission. Quatre mois plus tard, lors d'une seconde visite au Vatican, alors qu'il n'avait que 5 ans, il put enfin parler seul à seul en audience privée avec le Pape. Puis, libéré de tout engagement, il pouvait révéler son secret à tous :

"La Sainte Vierge n'est pas morte, Elle est montée au Ciel en corps et en âme"

C'était la confirmation que le Saint Père avait demandé à la Reine du Ciel avant qu'il ne proclame officiellement le dogme de l'Assomption de la Vierge Marie.

Ce fût Gilles, en toute simplicité qui confirma au Pape l'opportunité de cet acte pontifical.

La Sainte Vierge se manifestera encore de nombreuses fois jusqu'au 15 août 1958. Le 15 Août 1954, Marie dira à Gilles :

"Je suis la Reine du Sauveur, tu peux le dire à Monsieur le Curé".

plus tard elle lui confirma : "oui, Gilles, tu peux dire : Reine du Sauveur, priez pour nous".

le 11 octobre 1954, par son Encyclique : "Ad Coeli Regnum" S.S. PIE XII proclamait la Royauté Universelle de Marie.

La tombe de Gilles se trouve au cimetière du village de SEILHAN dans le département de la Haute Garonne à 4 kilomètres de Montréjeau sur la route de Saint Bertrand de Comminges.

 



Bienheureuse Teresa de Calcutta

Publié à 23:41 par lusile17 Tags : travail mort voyage
Bienheureuse Teresa de Calcutta

Bienheureuse Teresa de Calcutta (1910-1997)

Durant ces années de croissance rapide, le monde commença à tourner son regard vers Mère Teresa et le travail qu’elle avait commencé. Elle reçut de nombreux prix pour honorer son travail, en commençant par le prix indien Padmashri en 1962 et le Prix Nobel de la Paix en 1979, alors que les médias, avec un intérêt grandissant, commençaient à suivre ses activités. Elle reçut tout cela “pour la gloire de Dieu et au nom des pauvres”.

Durant les dernières années de sa vie, malgré des problèmes de santé de plus en plus sérieux, Mère Teresa continua à gouverner sa congrégation et à répondre aux besoins des pauvres et de l’Eglise. En 1997, les sœurs de Mère Teresa étaient au nombre d’environ 4000 et étaient établies dans 610 fondations réparties dans 123 pays du monde. En mars 1997, elle bénit la nouvelle supérieure générale des Missionnaires de la Charité récemment élu et elle effectua encore un voyage à l’étranger. Après avoir rencontré le Pape Jean Paul II pour la dernière fois, elle rentra à Calcutta et passa ses dernières semaines à recevoir des visiteurs et à enseigner es sœurs. Le 5 septembre fut le dernier jour de la vie terrestre de Mère Teresa. Elle reçut du gouvernement de l’Inde les honneurs de funérailles officielles et son corps fut enterré dans la Maison Mère des Missionnaires de la Charité. Sa tombe devint rapidement un lieu de pèlerinage et de prière pour les gens de toutes fois, riches et pauvres. Mère Teresa laissa le testament d’une foi inébranlable, d’un espoir invincible et d’une charité extraordinaire. Sa réponse à la cause de Jésus, “Viens sois ma lumière”, fit d’elle une Missionnaire de la Charité, une “mère pour les pauvres”, un symbole de compassion pour le monde et un témoignage vivant de la soif d’amour de Dieu.

Moins de deux ans après sa mort, dû à la réputation de sainteté largement répandue de Mère Teresa et au rapport des faveurs reçues, le Pape Jean Paul II permit l’ouverture de sa cause de canonisation. Le 20 décembre 2002, il approuva les décrets de ses vertus héroïques et miracles



Bienheureuse Teresa de Calcutta

Publié à 23:19 par lusile17 Tags : fille amour coeur enfants histoire mort

Bienheureuse Teresa de Calcutta

 Mère Teresa de Calcutta(1910-1997)

Mère Teresa de Calcutta (1910-1997)      

“ Par mon sang, je suis albanaise. Par ma nationalité, indienne. Par ma foi, je suis une religieuse catholique. Pour ce qui est de mon appel, j’appartiens au monde. Pour ce qui est de mon cœur, j’appartiens entièrement au Cœur de Jésus.”

Petite de stature, avec une foi solide comme le roc, Mère Teresa de Calcutta, se vit confier la mission de proclamer la soif infinie de l'amour de Dieu pour l'humanité, en particulier pour les plus pauvres des pauvres, «Dieu aime toujours le monde et Il nous envoie, vous et moi, pour être son amour et sa compassion auprès des pauvres.» C'était une âme remplie de la lumière du Christ, brûlante d'amour pour lui et consumée d'un seul désir: «apaiser sa soif d'amour et des âmes.» Cette messagère lumineuse de l'amour de Dieu est née le 26 août 1910 à Skopje, une ville située aux croisements de l'histoire des Balkans. Cadette de Nikola et Drane Bojaxhiu, elle fut appelée Gonxha Agnès ; elle reçut sa première communion à l'âge de cinq ans et demi et fut confirmée en novembre 1916. Le jour de sa première communion, elle fut remplie d'un grand amour pour les âmes. La mort soudaine de son père quand elle avait environ huit ans, laissa la famille dans une condition financière difficile. Drane éleva ses enfants avec amour et fermeté, influençant beaucoup le caractère et la vocation de sa fille. La formation religieuse de Gonxha fut soutenue par la paroisse jésuite très active du Sacré Coeur dans laquelle elle était bien engagée.

A l'âge de dix-huit ans, poussée par le désir de devenir missionnaire, Gonxha quitte sa maison en septembre 1928 pour rentrer à l'Institut de la Vierge Marie, connu sous le nom de Soeurs de Lorette, en Irlande. Là, elle reçut le nom de Soeur Mary Teresa, après Sainte Thérèse de Lisieux. En décembre, elle part pour l'Inde, et arrive à Calcutta le 6 janvier 1929. 


 



Bienheureuse Teresa de Calcutta

Publié à 23:09 par lusile17 Tags : femmes amour bonne enfants fille bleu
Bienheureuse Teresa de Calcutta

Bienheureuse Teresa de Calcutta

Agnès Gonxha Bojaxhiu est élevée dans la foi chrétienne et alors qu’elle n’est encore qu’une toute jeune fille, elle dévore les ouvrages des missionnaires croates et slovènes. À seize ans, sa vocation est claire : servir Dieu dans les contrées lointaines. En 1918, elle part pour la maison mère des sœurs de Notre-Dame-de-Lorette puis, devenue quelques années plus tard sœur Teresa, elle s’embarque pour l’Inde. Professeur dans une école de Calcutta où les enfants l’aiment au point de l’appeler Ma, elle reçoit en 1946 un appel à servir les plus pauvres. Donnée pleinement à son Époux, mue par la prière et un profond désir de sainteté, Mother bouleverse le monde entier par sa simplicité, sa bonté et son abnégation.
C’est que Dieu avait choisi Mère Teresa pour révéler au monde son Amour.Dans les années quarante, Mère Teresa dirige une école de jeunes filles à Calcutta : elle est frappée par la misère dans laquelle vivent ses élèves et avec elles, des milliers d’hommes et de femmes jetés à la rue. Le Seigneur fait croître dans son âme le désir d’aimer et de servir les pauvres. Elle se prépare en fait à vivre son « Chemin de Damas ». Le 10 septembre 1946, elle entend dans le train entre Calcutta et Darjeeling « un appel à renoncer à tout et à Le suivre, Lui, le Christ, dans les taudis, pour Le servir parmi les plus pauvres des pauvres. Je savais que c’était Sa volonté et que je devais Le suivre. » Il lui est impossible de résister à cet appel, initié dans une grande pauvreté et un total abandon. Elle n’obtient d’abord aucune réponse favorable de son évêque. Il lui faudra attendre 1 948 pour revenir à Calcutta vêtue du fameux sari bordé de bleu, une formation d’infirmière, un morceau de savon et cinq roupies en poche. Elle s’immerge aussitôt dans le peuple des bidonvilles, ne comptant ni son temps, ni sa peine. C’est dans les yeux de son Bien-Aimé que s’éclaircit peu à peu le chemin.Mère Teresa se nomme elle-même « l’épouse du Crucifié ». Les petites sœurs tournent leur regard vers Celui auquel elles se sont données afin de l’imiter en toute chose jusqu’à ce que « le Christ prenne forme en elles » Comme Jésus, elles portent au monde la Bonne Nouvelle. Comme Jésus, elles partagent la vie des aveugles, des mendiants, des paralytiques, des mourants, des laissés-pour-compte. Comme Jésus, elles doivent répandre autour d’elles la joie, la lumière, l’espoir.