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La mère de Jésus dit aux serviteurs : « Faites tout ce qu'il vous dira. » Jn 2, 5
Car si notre coeur nous condamnait, Dieu est plus grand que notre coeur, et il connaît tout. 1 Jn 3, 20
Invoque-moi et je te répondrai; je t'annoncerai des choses grandes et cachées dont tu ne sais rien. Jr 33, 3
Date de création : 24.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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Venez à moi vous tous qui êtes fatigués et ployez sous le fardeau, et je vous soulagerai. Mt 11,28
A qui irions-nous seigneur jésus ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Jn 6,68
Heureux les coeurs purs car ils veront Dieu. Mt 5, 8
Je suis venu pour que les hommes aient la vie et qu'ils l'aient en abondance. Jn 10,10
En ce temps-là, Jésus fut conduit au désert par l’Esprit pour être tenté par le diable.Après avoir jeûné quarante jours et quarante nuits, il eut faim. Le tentateur s’approcha et lui dit : « Si tu es Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent des pains. »Mais Jésus répondit : « Il est écrit : ‘L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.’ »
Alors le diable l’emmène à la Ville sainte, le place au sommet du Templeet lui dit : « Si tu es Fils de Dieu, jette-toi en bas ; car il est écrit : ‘Il donnera pour toi des ordres à ses anges, et : Ils te porteront sur leurs mains, de peur que ton pied ne heurte une pierre.’ »Jésus lui déclara : « Il est encore écrit : ‘Tu ne mettras pas à l’épreuve le Seigneur ton Dieu.’ »Le diable l’emmène encore sur une très haute montagne et lui montre tous les royaumes du monde et leur gloire.Il lui dit : « Tout cela, je te le donnerai, si, tombant à mes pieds, tu te prosternes devant moi. »Alors, Jésus lui dit : « Arrière, Satan ! car il est écrit : ‘C’est le Seigneur ton Dieu que tu adoreras, à lui seul tu rendras un culte.’ »Alors le diable le quitte. Et voici que des anges s’approchèrent, et ils le servaient.
Les textes bibliques de ce 1er dimanche du Carême nous parlent de la tentation. Celle-ci peut se présenter à nous de multiples manières : la tentation de conduire trop vite, de trop manger ou boire, de dire une parole moqueuse ou méchante ; c’est aussi la tentation de montrer aux autres le peu de pouvoir que nous avons et d’en abuser à notre seul profit. Toutes ces tentations et bien d’autres cherchent à nous détourner de Dieu et même à nous révolter contre lui.
L’Évangile nous parle des tentations de Jésus au désert. Il nous dit que derrière ces tentations, il y a quelqu’un. La Bible le nomme « le diable ». Il est celui qui cherche à faire tomber l’homme. Il est présent dans toutes les luttes de notre vie et il n’en démord pas. Il nous attaque par nos points faibles et il sait déguiser ses attaques. Il est un maître en tromperie. C’est ainsi qu’il a cherché à détourner Jésus de la voie du sacrifice et de l’amour qui s’offre au monde. Il lui a proposé de prendre une route facile, celle du succès et de la puissance.
Mais Jésus refuse d’utiliser son pouvoir de « Fils de Dieu » pour se procurer des satisfactions personnelles. Le succès médiatique ne l’intéresse pas. Il repousse avec décision toutes les tentations. Il répète avec fermeté sa décision de rester fidèle à son Père. Il n’accepte aucun compromis avec le péché ni avec la logique du monde. Et surtout, il ne dialogue pas avec Satan comme Ève l’avait fait au Paradis terrestre.
Jésus sait très bien qu’avec Satan, on ne peut pas dialoguer. Il choisit de se réfugier dans la Parole de Dieu : « Ce n’est pas seulement de pain que vit l’homme ». Manger c’est quelque chose de vital. Être en accord avec Dieu est encore plus vital : « Tu ne tenteras pas le Seigneur. » Ne le provoque pas. À Dieu seul, tu rendras un culte: Ne te prosterne pas devant les idoles, devant des personnes et encore moins devant le diable. Ces tentations sont aussi appétissantes que le fruit défendu. À nous de choisir si nous voulons ou ne voulons pas enfants vivre en enfants de Dieu et être en relations de fraternité entre nous. Si nous choisissons de marcher à la suite du Christ, nous vivrons ; sinon, c’est la jungle.
Jésus a résisté au tentateur et celui-ci a fini par le quitter. Le Seigneur nous montre comment faire face à toutes ses attaques. C’est vrai que parfois nous succombons à la tentation. Nous nous détournons de Dieu. Mais le Seigneur ne cesse de nous appeler à revenir vers lui de tout notre cœur. Il est toujours prêt à nous relever. Il a vaincu le tentateur pour nous. Et depuis lors « Satan a joué sa dernière carte ». Jésus a remporté la victoire définitive de l’amour.
C’est donc avec le Christ vainqueur que nous entrons dans ce temps du Carême. C’est un temps favorable pour accomplir un chemin de conversion. Comme Jésus, nous sommes invités à nous réfugier dans la Parole de Dieu. C’est ainsi que nous trouverons force et courage dans notre lutte contre le mal. Avec le Christ, nous apprendrons à rejeter toutes les publicités mensongères qui courent à travers le monde et nous détournent de l’Évangile. La Lumière de la Parole de Dieu nous est offerte pour éclairer notre vie.
Le pain que nous recevons de toi, Seigneur, vient renouveler nos cœurs ; il nourrit la foi, il fait grandir l’espérance et nous donne la force d’aimer. Apprends-nous à toujours avoir faim du Christ, seul Pain vivant et vrai et de toute parole qui sort de ta bouche. Amen
PRIÈRE A SAINTE LUCIE
Pour connaître les secrets cachés, dévoiler les voleurs
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Sainte Lucie, que la lumière de tes yeux m’éclaire et guide mes pas dans l’obscurité ; Car Dieu t’a donné le pouvoir de percer le mystère et de sonder les plus profonds abîmes.
Vois là où moi je ne vois pas, que tes yeux soient mes yeux et le reflet de ton regard devienne la connaissance de mon esprit.
Bonne martyre Lucie, par le feu et par l’eau, que nul secret ne me soit caché et qu’aucun esprit tapi ne puisse rien me voiler.
J’invoque la parole de notre Dieu qui a dit : « il n’est rien de caché qui ne soit dévoilé », aussi, Sainte Lucie, fais-moi voir toute la vérité avant l’arrivée du matin, et à l’envers ou à l’endroit, que le secret vienne à moi.
Amen !
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Nul ne peut servir deux maîtres : ou bien il haïra l’un et aimera l’autre, ou bien il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’Argent. C’est pourquoi je vous dis : Ne vous souciez pas, pour votre vie, de ce que vous mangerez, ni, pour votre corps, de quoi vous le vêtirez. La vie ne vaut-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que les vêtements ?
Regardez les oiseaux du ciel : ils ne font ni semailles ni moisson, ils n’amassent pas dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. Vous-mêmes, ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux ?
Qui d’entre vous, en se faisant du souci, peut ajouter une coudée à la longueur de sa vie ?
Et au sujet des vêtements, pourquoi se faire tant de souci ? Observez comment poussent les lis des champs : ils ne travaillent pas, ils ne filent pas.
Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’était pas habillé comme l’un d’entre eux. Si Dieu donne un tel vêtement à l’herbe des champs, qui est là aujourd’hui, et qui demain sera jetée au feu, ne fera-t-il pas bien davantage pour vous, hommes de peu de foi ?
Ne vous faites donc pas tant de souci ; ne dites pas : “Qu’allons-nous manger ?” ou bien : “Qu’allons-nous boire ?” ou encore : “Avec quoi nous habiller ?” Tout cela, les païens le recherchent. Mais votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez d’abord le royaume de Dieu et sa justice, et tout cela vous sera donné par surcroît. Ne vous faites pas de souci pour demain : demain aura souci de lui-même ; à chaque jour suffit sa peine. »
À travers les textes bibliques de ce dimanche, c’est Dieu lui-même qui nous
parle. Il ne demande qu’à nous rejoindre dans ce que nous vivons.
Dans l’Évangile, c’est également cet appel à la confiance que nous entendons : « Ne vous faites pas tant de soucis pour votre vie, ni pour le corps au sujet du vêtement… Ne vous faites pas tant de soucis pour demain… » Comment recevoir cet Évangile ? Jésus ne dit pas qu’il ne faut pas s’occuper de la nourriture ni du vêtement. Il ne dit pas non plus que l’argent est mauvais. Il veut simplement nous inviter à ramener les choses à leur juste niveau : la nourriture, le vêtement et l’argent ne doivent pas être le but premier de notre vie. Ce qu’il nous faut chercher en priorité c’est le Royaume de Dieu et sa justice. Nous sommes créés pour Dieu et pour nos frères. Nous ne pouvons pas laisser l’argent devenir le seul but de notre vie et de nos actions.
En ce siècle de la vitesse, nous entendons dire que « le temps c’est de l’argent ». Le résultat, c’est que dans les bureaux, les usines, les commerces, des hommes et des femmes sont soumis à un rythme infernal. Il faut toujours courir pour sauvegarder l’économie moderne. C’est une cause de nos infarctus, surmenages et dépressions. Pensons à cet homme d’affaires qui a son agenda plein de rendez-vous. Seuls manquent les rendez-vous avec sa femme, ses enfants, avec lui-même et encore plus avec Dieu.
Autre méfait provoqué par le pouvoir de l’argent : tous les jours, les médias nous parlent d’attaques à main armée, de vols, de délits et malversations en tous genres. Des hommes, des femmes et même des enfants sont réduits en esclavage pour permettre à des riches de s’enrichir toujours plus. Quand il nous gagne, l’argent devient un tyran. Il peut nous entraîner aux pires bassesses. C’est comme une drogue dont on est toujours en manque et qui nous détruit. N’oublions pas que si Judas a trahi Jésus, c’est pour « trente pièces d’argent » (le prix d’un esclave !)
Pour mieux comprendre cet Évangile, nous sommes aidés par le chapitre 13 de l’Évangile de saint Matthieu : Jésus y explique la parabole du semeur : il dit que le grain tombé dans la terre avec des épines est étouffé. Ce grain, c’est la Parole de Dieu qui est semée en nous : ce qui l’étouffe, c’est « la richesse et les préoccupations du monde ». Dans de telles conditions, la Parole de Dieu ne peut pas grandir en nous. Elle meurt car elle n’est pas gardée. Elle est étouffée.
Jésus vient à nous pour nous libérer de toutes ces obsessions qui ne font que nous égarer. Il veut nous rendre disponibles pour l’essentiel, le Royaume de Dieu et sa justice. Cette justice, ce n’est pas seulement l’équité mais aussi la sainteté. Ce qui est premier, ce n’est pas la belle situation.
Le seul vrai trésor c’est Jésus ; il ne demande qu’à remplir notre vie de son amour.
La première lecture nous disait que Dieu n’abandonne pas ceux qui souffrent. Mais il a besoin de nos mains, de nos yeux et de nos cœurs pour aller à eux. On peut faire beaucoup de bien avec de l’argent. Les associations caritatives en ont besoin. Bien sûr, in ne peut pas donner pour tout ni à tous. Mais notre budget chrétien doit comporter une part pour les pauvres ; c’est l’argent du « bon Samaritain » donné à l’auberge pour le blessé de la route.
Le carême qui commence dans quelques jours nous aidera à entrer dans cette perspective. Il nous rappellera que Dieu ne nous a pas abandonnés. C’est nous qui nous sommes détournés de lui. Mais il ne cesse de nous appeler : « Convertissez-vous… Revenez à moi de tout votre cœur. » Nous prions ensemble le Seigneur pour que notre réponse soit de plus en plus à la mesure de son amour pour nous. Amen !
Prière à St Benoit contre la malchance persistance
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SEIGNEUR, mon Dieu,
Accordez-moi je vous en supplie,
la perpétuelle santé de l'âme et du corps,
et par la glorieuse intercession de votre serviteur le BIENHEUREUX SAINT BENOIT,
faites-moi la grâce d'être délivré des tristesses de la vie présente, de la malchance, des idées négatives, du doute et du mépris de moi-même.
Ô Dieu, mon refuge et ma force,
j'ai recours à votre protection.
Ô très glorieux et vénéré SAINT-BENOIT, joyau de la couronne du Christ, intercédez pour moi auprès de Notre Seigneur Jésus-Christ
afin que je sois libéré de la malchance qui s'attache à moi.
Que votre sainte croix me libère de tout mal, me guide et me protège.
Ô refuge assuré de ceux qui recherchent la protection du ciel, qui avez fait de la Sainte Croix l'étendard de la foi, je vous prie d'intercéder pour moi afin que la malchance
qui m'environne en ce moment se dissolve dans la lumière et l'amour du Christ.
Ô SAINT BENOIT, c'est en vous que je place mon espérance, intercédez en ma faveur auprès de Jésus afin qu'il illumine ma route
et chasse l'ombre de la malchance qui m'environne.
Ô SAINT BENOIT, priez pour moi Notre-Seigneur Jésus-Christ qui ne veut pas la souffrance et la mort du pécheur, mais sa conversion et sa vie afin qu'il me vienne en aide dans l'épreuve présente.
Ô SAINT BENOIT, je ne jalouse pas ceux qui ont de la chance et qui réussissent,
je demande simplement le droit de partager l'amour, le bonheur et la joie que Dieu a largement distribués à ses enfants.
Que par l'intercession du bienheureux père Benoît,
je sois délivré de la malchance qui me limite.
Ô SAINT BENOIT, daignez du haut du ciel abaisser un regard plein de miséricorde sur moi.
Libérez-moi, aidez-moi, protégez-moi et accordez-moi de vivre pleinement de mes capacités, de ma compétence et de mon intelligence.
Ô Dieu tout-puissant et miséricordieux,
qui avez constitué d'une manière admirable en SAINT BENOIT un perpétuel secours pour la défense de vos enfants, daignez m'accorder de lutter en cette vie avec son aide précieuse et de remporter la victoire sur mes ennemis.
Ô SAINT BENOIT, AYEZ PITIE DE MOI.
Ô SAINT BENOIT, PRIEZ POUR MOI.
Ô SAINT BENOIT, EXAUCEZ MOI.
Récitez ensuite le "Notre Père" trois fois.
Portez la médaille de Saint-Benoît.
En ce temps- là, Jésus disait à ses disciples : « Vous avez appris qu’il a été dit : ‘Œil pour œil, et dent pour dent’.
Eh bien ! moi, je vous dis de ne pas riposter au méchant ; mais si quelqu’un te gifle sur la joue droite, tends-lui encore l’autre.
Et si quelqu’un veut te poursuivre en justice et prendre ta tunique, laisse-lui encore ton manteau.
Et si quelqu’un te réquisitionne pour faire mille pas, fais-en deux mille avec lui.
À qui te demande, donne ; à qui veut t’emprunter, ne tourne pas le dos ! »
Vous avez appris qu’il a été dit : ‘Tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi.’
Eh bien ! moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persécutent,
afin d’être vraiment les fils de votre Père qui est aux cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, il fait tomber la pluie sur les justes et sur les injustes.
En effet, si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous ? Les publicains eux-mêmes n’en font-ils pas autant ?
Et si vous ne saluez que vos frères, que faites-vous d’extraordinaire ? Les païens eux-mêmes n’en font-ils pas autant ?
Vous donc, vous serez parfaits comme votre Père céleste est parfait. »
Dans l’Évangile de ce dimanche, nous entendons Jésus nous parler avec l’autorité même de Dieu. Il touche deux points faibles : l’instinct de violence et la vengeance. Nous sommes souvent entourés de gens pas forcément aimables et nous avons du mal à aimer tout le monde. Nous avons de la peine à pardonner ; comment aimer ceux qui nous persécutent et nous font souffrir ? Et pourtant, c’est bien cette route que Jésus a parcourue pour notre salut. Dans une de ses homélies, le pape François s’est arrêté sur la difficulté d’aimer ses ennemis. Et il s’est demandé comment il est possible d’aimer et de pardonner.
« Nous aussi, nous avons des ennemis… certains sont faibles, d’autres forts. Nous aussi, nous devenons parfois les ennemis d’autres personnes ; nous ne les aimons pas. Jésus nous dit que nous devons aimer nos ennemis » (Pape François). Oui, mais comment aimer ceux qui, par amour de l’argent, le laissent pas passer la nourriture et les médicaments à ceux qui en ont besoin et les laissent mourir ? Comment aimer les personnes qui ne cherchent que leur intérêt matériel et qui font tant de mal ?
Oui, comment faire ? C’est vrai que nous nous sentons pauvres et démunis. Aujourd’hui, Jésus nous invite à nous tourner vers le Père : il fait lever son soleil sur les bons et les méchants. Il veut que tous soient illuminés. Son amour est pour tous ; il est pour les bons et pour les méchants. Saint Paul qui persécutait les chrétiens s’est laissé transformer par cet amour.
Jésus termine sa prédication par cette parole : « Vous donc, soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait. » Nous sommes tous appelés à imiter la perfection du Père dans la perfection de l’amour. Jésus nous montre le chemin : il a pardonné à ses ennemis ; il fait tout pour les pardonner. Il est plein de tendresse quand il reçoit Judas au mont des Oliviers alors que certains disciples pensaient à la vengeance. On entend dire que la vengeance est un plat qui se mange froid. Mais ce n’est pas chrétien ; c’est contraire à l’Évangile. Aujourd’hui, le Christ nous demande d’aimer nos ennemis. Comment faire ? C’est lui qui nous donne la réponse : « Priez, priez pour vos ennemis. » La prière fait des miracles.
Aimer comme Jésus a aimé, c’est pardonner comme il a pardonné à ceux qui l’ont fait mourir ; c’est s’arrêter pour écouter le cri de celui qui souffre comme il l’a fait pour le mendiant que tout le monde voulait faire taire ; c’est regarder sans juger comme il l’a fait pour les pécheurs qu’il a rencontrés ; c’est prendre le temps de la prière pour se ressourcer à la source de l’Amour.
Nous chantons quelquefois : « Qu’il est formidable d’aimer ! » Mais par expérience nous savons que nous pourrions tout aussi bien chanter : « Qu’il est difficile d’aimer », surtout aimer à la façon de l’Évangile. Cette Eucharistie que nous allons célébrer vient nous redire tout l’amour du Christ pour nous. Qu’elle nous aide à demeurer dans cet amour et à en vivre chaque jour. Oui, Seigneur, « fais de nous des artisans de paix, des bâtisseurs d’amour ».
Seigneur, nous Te confions notre amour
pour qu'il ne meure jamais.
Fais que sa source soit en Toi
pour que chacun de nous cherche à aimer
plus qu'à être aimé, à donner plus qu'à recevoir
Que les jours de joie ne nous enlisent pas
dans l'indifférence au reste du monde.
Que les jours de peine ne nous désemparent pas,
mais cimentent notre amour.
Seigneur, Toi qui es la Vie,
donne-nous de ne jamais refuser la vie
qui voudra naître de notre amour.
Seigneur, Toi qui es la Vérité,
donne-nous de ne jamais nous refuser la vérité
mais de rester transparents l'un à l'autre.
Seigneur, Toi qui es le Chemin,
donne-nous de ne jamais nous alourdir la marche
mais d'avancer main dans la main.
Seigneur, Toi qui nous as donné Marie, ta Mère,
elle qui fut toujours fidèle, forte et tendre :
qu'elle soit la gardienne de la famille
que nous fondons aujourd'hui.
Que sa fidélité, sa force, sa tendresse
nous gardent fidèles, forts et tendres...
à jamais ! Amen !
Devant toi, nous nous sommes mariés.
Tu es un Dieu d'Amour.
Donne-nous de nous aimer chaque jour d'avantage.
Il y a des jours où cela semble facile, mais il y en a d'autres où l'on a du mal à trouver l'un l'autre et à vivre en confiance.
Qu'en nous regardant vivre, nos enfants, et d'autres voient que l'amour existe et qu'il vient de Toi.
Nous Te prions pour nos enfants, Tu nous les as confié pour qu'ils grandissent et qu'ils se découvrent à travers nous.
Rends-nous attentifs aux engagements concrets.
Que nous soyons au service des autres dans notre vie quotidienne.
Père, apprends-nous à aimer... comme Toi.
Moi ..................., je remercie Dieu pour les années qu'il nous a accordées de vivre ensemble et je te confie à Son amour.
Moi ..................., je remercie Dieu pour les années qu'il nous a accordées de vivre ensemble et je te confie à Son amour.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Ne pensez pas que je sois venu abolir la Loi ou les Prophètes : je ne suis pas venu abolir, mais accomplir.Amen, je vous le dis : Avant que le ciel et la terre disparaissent, pas un seul iota, pas un seul trait ne disparaîtra de la Loi jusqu’à ce que tout se réalise.Donc, celui qui rejettera un seul de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire ainsi, sera déclaré le plus petit dans le royaume des Cieux. Mais celui qui les observera et les enseignera, celui-là sera déclaré grand dans le royaume des Cieux. »
Je vous le dis en effet : Si votre justice ne surpasse pas celle des scribes et des pharisiens, vous n’entrerez pas dans le royaume des Cieux.
Vous avez appris qu’il a été dit aux anciens : ‘Tu ne commettras pas de meurtre’, et si quelqu’un commet un meurtre, il devra passer en jugement.
Eh bien ! moi, je vous dis : Tout homme qui se met en colère contre son frère devra passer en jugement. Si quelqu’un insulte son frère, il devra passer devant le tribunal. Si quelqu’un le traite de fou, il sera passible de la géhenne de feu.
Donc, lorsque tu vas présenter ton offrande à l’autel, si, là, tu te souviens que ton frère a quelque chose contre toi,laisse ton offrande, là, devant l’autel, va d’abord te réconcilier avec ton frère, et ensuite viens présenter ton offrande.
Mets-toi vite d’accord avec ton adversaire pendant que tu es en chemin avec lui, pour éviter que ton adversaire ne te livre au juge, le juge au garde, et qu’on ne te jette en prison.Amen, je te le dis : tu n’en sortiras pas avant d’avoir payé jusqu’au dernier sou. »
Vous avez appris qu’il a été dit : ‘Tu ne commettras pas d’adultère.’
Eh bien ! moi, je vous dis : Tout homme qui regarde une femme avec convoitise a déjà commis l’adultère avec elle dans son cœur.
Si ton œil droit entraîne ta chute, arrache-le et jette-le loin de toi, car mieux vaut pour toi perdre un de tes membres que d’avoir ton corps tout entier jeté dans la géhenne.
Et si ta main droite entraîne ta chute, coupe-la et jette-la loin de toi, car mieux vaut pour toi perdre un de tes membres que d’avoir ton corps tout entier qui s’en aille dans la géhenne.
Il a été dit également : ‘Si quelqu’un renvoie sa femme, qu’il lui donne un acte de répudiation’.
Eh bien ! moi, je vous dis : Tout homme qui renvoie sa femme, sauf en cas d’union illégitime, la pousse à l’adultère ; et si quelqu’un épouse une femme renvoyée, il est adultère. »
Vous avez encore appris qu’il a été dit aux anciens : ‘Tu ne manqueras pas à tes serments, mais tu t’acquitteras de tes serments envers le Seigneur.’
Eh bien ! moi, je vous dis de ne pas jurer du tout, ni par le ciel, car c’est le trône de Dieu,
ni par la terre, car elle est son marchepied, ni par Jérusalem, car elle est la Ville du grand Roi.
Et ne jure pas non plus sur ta tête, parce que tu ne peux pas rendre un seul de tes cheveux blanc ou noir.Que votre parole soit “oui”, si c’est “oui”, “non”, si c’est “non”. Ce qui est en plus vient du Mauvais. »
Les textes bibliques de ce dimanche nous révèlent un "Dieu qui veut habiter les cœurs droits et sincères"; ce sont les mots de l'oraison du début de la messe. C'est vrai, le Seigneur fait sa demeure en ceux qui gardent sa Parole. Saint Paul nous le dit à sa manière : nous sommes le temple du Seigneur. Les textes de ce dimanche ne disent comment garder un "cœur droit et sincère".
L'Évangile nous précise bien que Jésus a validé l'ancienne alliance dans son intégrité. Les commandements ne sont pas périmés. Rien ne doit être supprimé, bien au contraire. Mais ces commandements n'étaient qu'une étape dans l'éducation du peuple de Dieu. Aujourd'hui Jésus nous invite à aller plus loin : "On vous a dit… Moi je vous dis…" La loi ancienne a été un guide. Mais nous savons bien que la pratique scrupuleuse d'un règlement interne ne suffit pas à rendre une famille heureuse. Il lui faut aussi de la solidarité, de l'amour.
Obéir à des commandements ne fait pas de nous des "justes" (ajustés à Dieu). Avec le Christ, nous apprenons à faire un pas de plus. Nous sommes invités à tendre vers le meilleur, vers Dieu. Il n'est plus question d'obligations ou d'interdits. Ce que Jésus attend de nous c'est que toute notre vie soit remplie de l'amour qui est en Dieu : "Soyez parfaits comme votre Père du ciel est parfait !"
Qui peut aimer de cet amour dont nous parle l'Évangile d'aujourd'hui ? Après l'avoir lu, un prêtre avait posé cette question à l'assemblée ; un enfant a levé la main en disant : "y-a que Jésus qui peut nous aimer comme cela !" Il avait raison. Et en célébrant l'Eucharistie, c'est bien cela que nous allons demander au Seigneur : qu'il nous aide chaque jour à vivre de cet amour dont il est la Source. Chacun peut se demander comment faire pour vivre chaque jour à la manière du Christ.
En lisant les Évangiles chaque jour, nous prenons un peu plus conscience de son amour : il a pardonné à Zachée en le regardant dans son arbre et en s'invitant chez lui ; il n'a pas jeté la pierre à la femme adultère, mais il lui a donné la force de poursuivre sa route ; il a pardonné à Pierre qui venait de le trahir ; il a pardonné à ceux qui le faisaient mourir sur la croix. Il a partagé de nombreuses paraboles qui nous disent encore aujourd'hui ce qu'est le véritable amour. Nous connaissons celle de la brebis perdue, celle du fils prodigue…
Ce chemin que Jésus nous montre est difficile. Mais il ne nous laisse pas seuls : il nous donne la force nécessaire pour nous engager dans cette direction. Il ne se contente pas de nous donner des commandements : il nous offre sa grâce ; son Esprit Saint se déploie dans notre faiblesse. Il nous rend capables d'avancer sur le chemin de son Amour.
Plus que jamais, nous pouvons faire nôtres les paroles de ce chant :
"Au cœur de ce monde, le souffle de l'Esprit
Fait retentir le cri de la Bonne Nouvelle!
Au cœur de ce monde, le souffle de l'Esprit
Met à l'œuvre aujourd'hui des énergies nouvelles."
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel devient fade, comment lui rendre de la saveur ? Il ne vaut plus rien : on le jette dehors et il est piétiné par les gens.
Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée.
Et l’on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau ; on la met sur le lampadaire, et elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison.
De même, que votre lumière brille devant les hommes : alors, voyant ce que vous faites de bien, ils rendront gloire à votre Père qui est aux cieux. »
Les textes bibliques de ce dimanche nous adressent un appel à partager et à donner le meilleur de nous-mêmes.
L’Évangile de ce dimanche fait suite à celui des béatitudes qui a été proclamé dimanche dernier. Jésus s’adresse à des disciples rassemblés autour de lui pour leur annoncer : « Vous êtes le sel de la terre… Vous êtes la lumière du monde. » Quand saint Matthieu écrit son Évangile, il s’adresse à des chrétiens qui sont peut-être trop tièdes et trop éteints. Beaucoup ont peur et se cachent car ils redoutent la persécution.
L’évangéliste vient leur rappeler qu’ils ne doivent pas garder cette étincelle pour eux seuls. Il nous faut absolument partager notre découverte, témoigner de notre foi. Le don reçu provoque à la mission, tant personnellement que communautairement. C’est là tout l’enjeu d’une Église « en sortie » dont nous parle le pape François. C’est ainsi que nous répondons à l’interpellation de Jésus : « Vous êtes le sel de la terre… Vous êtes la lumière du monde. »
Le sel et la lumière n’existent pas pour eux-mêmes mais pour le service qu’on leur demande. Quand Jésus nous dit que nous sommes le sel de la terre et la lumière du monde, ce qui est important c’est la terre et le monde. Cela signifie qu’il nous met tous en situation missionnaire. Notre présence est indispensable, mais nous ne devons pas oublier que l’Église n’existe que pour le monde. Nous, disciples du Christ, nous sommes au service du monde.
Nous nous plaignons souvent de la baisse du nombre de pratiquants. Nous nous lamentons du fait que nos églises se vident. L’Évangile de ce jour voudrait nous inviter à réviser nos critères. Nous ne devons pas voir en termes de quantité mais de qualité. Quand nous préparons un plat de lentilles, nous mettons une infime quantité de sel par rapport aux lentilles. Jésus nous dit que nous sommes le sel, pas les lentilles. Il aimerait que nous nous concentrions sur notre capacité à donner de la saveur au monde.
En tant que sel de la terre, nous sommes envoyés pour révéler aux hommes la saveur de leur vie. Ils ne nous attendent pas pour avoir des gestes de partage très beaux. Nous en avons chaque jour de magnifiques illustrations. Nous pensons aussi à tous ceux et celles qui se dévouent sans bruit au service des autres. Notre rôle est de révéler le nom de Celui qui agit à travers eux. Dieu est présent partout où il y a de l’amour.
Il y a un danger que nous devons éviter. Trop de sel dénature les aliments et les rend immangeables. Une lumière trop vive écrase ceux qu’elle veut éclairer. Elle peut provoquer des catastrophes. Pour être sel et lumière, il faut d’abord aimer. C’est indispensable. L’évangélisation n’est pas une conquête mais une annonce de la Bonne Nouvelle. Et surtout, n’oublions pas le plus important : Jésus s’adresse à des disciples réunis autour de lui. C’est avec lui que nous pourrons être sel et lumière. Sans lui, rien n’est possible.
« Dieu notre Père, Jésus ton Fils nous appelle à être sel de la terre et lumière du monde. Que la lumière de ta justice brille dans nos vies; alors nos gestes et nos paroles pourront apporter au monde une saveur d’Évangile et nos vies seront le reflet de Jésus, Lumière du monde. »
Debout ! Ne vous découragez pas ! Ayez confiance ! Dieu ne vous abandonnera pas, sa Voie va bien au-delà de notre imagination. Car Il est le Dieu des surprises, Il est celui qui surprend à travers les plus étonnantes formes et par les réponses les plus inattendues.
Dès maintenant, assumez les nouveaux défis qui se présentent à vous. Croyez en Dieu, en son amour, en son pouvoir illimité, croyez en vous et en tout ce qu’Il a semé dans votre cœur. Ne prêtez pas attention aux voix qui cherchent à vous décourager et à vous retenir. Souvenez-vous que vous êtes ce résultat de l’amour de Dieu, qui se perfectionne chaque jour de votre vie.
Nous ne devons jamais cesser d’avoir confiance en Dieu, car Dieu est le seul à avoir le dernier mot pour chaque situation. Cheminez avec assurance et avec l’espoir en Jésus, en ses promesses. Marcher à Ses côtés, tel est le secret du triomphe et du bonheur. Il n’y a pas d’autre route à suivre.
Dieu vous aime. Vous êtes important à Ses yeux et Il veut vous offrir ce qu’il y a de meilleur. Il fera des merveilles en vous ! Savez-vous pourquoi ? Parce que Dieu ne vous a jamais oublié, et jamais Il ne le fera, même dans ces occasions de la vie, où il vous semblera que Dieu reste silencieux ou paraît distant.
Dans ces moments, lorsque vous vous sentirez abandonné et essoufflé dans votre foi, en ces moments où malgré tous vos efforts, rien ne réussira, rien ne marchera, répétez ces paroles avec résolution : « En Christ qui me rend fort, je peux tout ». Le dire ne résoudra pas d’un coup tous vos problèmes, mais cela vous apportera un peu de paix et de sérénité pour affronter les obstacles et les résoudre rapidement.
Il nous faut réaliser et comprendre que notre Dieu est le Dieu des défis et des victoires. Il est le Dieu de l’Espérance et des rêves accomplis. Il est le Dieu de la Joie et le Dieu des Triomphes. Prenons l’habitude de dire :
« Que tous ceux qui te cherchent Soient dans l’allégresse et se réjouissent en toi ! Que ceux qui aiment ton salut Disent sans cesse : Exalté soit l’Éternel! » (Psaume 40, 17).
Pour cela et pour bien d’autres choses, quelles que soient les circonstances, nous ne devons jamais nous sentir abattus. Avec Dieu à vos côtés, il n’y a pas d’adversités qui tiennent. Le secret du triomphe et du bonheur, c’est de confier en Son amour, en Ses promesses, lui rester fidèle, marcher droit et se réjouir de savoir qu’Il chemine avec vous, dans ce merveilleux voyage de la vie.
« Car l’Éternel Dieu est un soleil et un bouclier, L’Éternel donne la grâce et la gloire, Il ne refuse aucun bien à ceux qui marchent dans l’intégrité. Éternel des armées ! Heureux l’homme qui se confie en toi ! » (Psaume 84, 12-13).