blague
Publié à 12:00 par rene
- Une poule se réveille au chant du coq.
- bonjour, monsieur le coq !
j'ai bien dormi...quelles sont les nouvelles, ce matin?
-Attends, répond le coq, je consulte le canard !
Publié à 12:00 par rene
C'est trois Belges qui cherchent un emploi :
Ils voient dans le journal qu'une entreprise cherche un mineure...
Le premier va se présenter et le directeur lui demande :
- A quelle profondeur êtes-vous déjà descendu ?
- Euhhh, 3 mètres...dit le Belge.
- Non mais vous vous foutez de moi ? DEHORS !
Alors, le deuxième va voir le patron..
- Bon...vous, a quelle profondeur êtes vous descendu ?
(Et le Belge qui avait entendu le premier dit : - 1000 mètres !
- Non, mais c'est pas vrai ! DEHORS !
Le troisième qui avait aussi entendu les autres entra dans le bureau.
- Alors si vous vous moquez de moi comme vos autres copains...
- Non, non...allez-y !
- Bon...pour la dernière fois, a quelle profondeur, etc..
- Euhhh...300 mètres !
- Ah ! Bravo ! Et avec une lampe a huile ou à gaz ?
- Eh bien, je n'ai jamais travaillé de nuit.
Publié à 12:00 par rene
La Commission Européenne a finalement tranché : après la monnaie unique, l’Union Européenne va se doter d’une langue unique, à savoir... le français.
Trois langues étaient en compétition : le français (parlé dans le plus grand nombre de pays de l’Union), l’allemand (parlé par le plus grand nombre d’habitants de l’Union) et l’anglais (langue internationale par excellence).
L’anglais a vite été éliminé, pour deux raisons : l’anglais aurait été le cheval de Troie économique des Etats-Unis et les Britanniques ont vu leur influence limitée au profit du couple franco-allemand à cause de leur réticence légendaire à s’impliquer dans la construction européenne.
Le choix a fait l’objet d’un compromis, les Allemands ayant obtenu que l’orthographe du français, particulièrement délicate à maîtriser soit réformée, dans le cadre d’un plan de cinq ans, afin d’aboutir à l’eurofrançais.
1. La première année, les sons actuellement distribués entre ’s’, ’z’, ’c’, ’k’ et ’q’ seront répartis entre ’z’ et ’k’, ze ki permettra de zupprimer beaukoup de la konfuzion aktuelle.
2. La deuzième année, on remplazera le ’ph’ par ’f’, ze ki aura pour effet de rakourzir un mot komme ’fotograf’ de kelke vingt pour zent.
3. La troizième année, des modifikazions plus draztikes seront pozzibles, notamment ne plus redoubler les lettres ki l’étaient ; touz ont auzi admis le prinzip de la zuprezion des ’e’ muets, zourz éternel de konfuzion, en efet, tou kom d’autr letr muet.
4. La katrièm ané, les gens zeront devenu rézeptif à dé changements majeurs, tel ke remplazé ’g’, zoi par ’ch’, - avek le ’j’ - zoi par ’k’, zelon les ka, ze ki zimplifira davantach l’ékritur de touz.
5. Duran la zinkièm ané, le ’b’ zera remplazé par le ’p’ et le ’v’ zera lui auzi apandoné - au profi du ’f’, éfidamen - on kagnera ainzi pluzieur touch zur no klafié. Un foi ze plan de zink an achefé, l’ortograf zera defenu lochik, et lé chen pouron ze komprendr et komuniké.
LE REF DE L’UNITE KULTUREL DE L’EUROP ZERA DEFENU REALITE !
Publié à 12:00 par rene
Ce mercredi matin, c'est le catéchisme.
Nous sommes début Avril, et à l'approche de Pâques, la catéchiste a décidé de faire réfléchir tout son petit monde sur Jésus, et pose la question suivante :
- Puisque le Bon Dieu est ressuscité d'entre les morts le troisième jour, où se trouve-t-il maintenant ?
Le petit Kévin lève la main et dit : - Le Bon Dieu est au Paradis
La petite Dorothée dit : - Le Bon Dieu est dans mon coeur
Le petit Toto tout énervé (comme d'habitude) lève la main, se lève et crie presque :
- Je sais ! Je sais ! Le Bon Dieu est dans notre salle de bains!!!
La petite assemblée se tait, regarde la catéchiste pour savoir si c'est la bonne réponse...
Après quelques secondes, elle reprend ses esprits et demande à Toto pourquoi il pense que le Bon Dieu est dans sa salle de bains.
Toto répond :
- Parce que tous les matins, mon père se lève, va à la porte de la salle de bains et frappe plusieurs coups dedans en criant :
"BON DIEU, T'ES ENCORE LÀ ?!!!"
Publié à 12:00 par rene
Publié à 12:00 par rene
Le 20 juillet 1969, en tant que commandant du module lunaire Apollo 11, Neil Armstrong fut la première personne à poser le pied sur la lune.
Ses premières paroles après avoir marché sur la lune :
"C'est un petit pas pour l'homme, mais un grand pas pour l'humanité"
ont été retransmis sur terre et entendu par des millions de personnes.
Mais juste avant de rentrer dans la capsule, il fit cette énigmatique remarque : "Bonne chance, M.Gorsky."
Beaucoup de gens de la NASA pensèrent qu'il s'agissait d'une remarque gratuite à propos d'un cosmonaute soviétique rival.
Pourtant, après vérification, il s'avéra qu'il n'y avait aucun Gorsky dans le programme spatial russe ou américain.
Pendant des années, beaucoup de gens questionnaire Armstrong pour savoir ce que le "bonne chance, M Gorsky" signifiait, mais Armstrong se contentait de sourire.
Le 5 juillet 1995, à Tampa Bay en Floride, alors qu'il répondait à des questions après un discours, un reporter reposa la question de 26 ans à Armstrong.
Cette fois, finalement, il répondit. M.Gorsky était mort et donc Neil Armstrong pensa qu'il pouvait répondre à la question.
En 1938, lorsqu'il était enfant, dans une petite ville du Midwest, il jouait au base-ball avec un ami dans l'arrière-cour. Son ami frappa une balle volant, qui atterri dans le jardin de ses voisins, près de la fenêtre de la chambre. Ses voisins étaient M et Mme Gorsky. Alors qu'il se baissa pour ramasser la balle, le jeune Armstrong entendit Mme Gorsky crier à M.Gorsky : "Du sexe ! Tu veux du sexe ? ! Tu auras du sexe quand le gamin d'à côté marchera sur la lune !"
Publié à 12:00 par rene
Son père lui donna un sachet de clous et lui dit d'en planter un dans la barrière du jardin chaque fois qu'il perdrait patience et se disputerait avec quelqu'un.
Le premier jour, il en planta 37.
Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler et le nombre des clous plantés dans la barrière diminuait jour après jour :
il avait découvert qu'il était plus facile de se contrôler que de planter des clous...
Finalement arriva un jour où le garçon ne planta pas de clou.
Il alla alors voir son père et lui dit que pour ce jour il n'avait planté aucun clou dans la barrière.
Son père lui demanda alors d'enlever un clou dans la barrière chaque jour où il n'aurait pas perdu patience.
Les jours passèrent et finalement le garçon put dire à son père qu'il avait enlevé tous les clous de la barrière.
Le père conduisit son fils devant la barrière et il lui dit : "mon fils, tu t'es bien comporté mais regarde tous les trous qu'il y a dans la barrière.
Elle ne sera plus comme avant. Quand tu te disputes avec quelqu'un et que tu lui dis quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme celle là.
Tu peux planter un couteau dans un homme et après le lui retirer, mais il restera toujours une blessure.
Peu importe combien de fois tu t'excuseras, la blessure restera.
Une blessure verbale fait aussi mal qu'une blessure physique.
Les amis sont des bijoux rares, ils te font sourire et t'encouragent.
Ils sont prêts à t'écouter quand tu en as besoin, ils te soutiennent et t'ouvrent leur coeur.
Montre à tes amis combien tu les aimes.
Pour finir, sache qu' un des bonheurs de l'amitié c'est de savoir à qui confier un secret.
Publié à 12:00 par rene
Pour couvrir ma maîtresse
Je me gonfle et me dresse.
Quand j'ai fini mon service,
Je me plisse et... Je pisse !
Qui suis-je ?
La solution plus bas...
Bon, un indice :
Si on ne veut pas être trempé, il vaut mieux me prendre à la main.
Encore plus bas pour la solution...
Un deuxième indice ?
Pour éviter de mettre des gouttes partout, il faut me secouer
avant de me ranger.
Toujours plus bas pour la solution...
JE SUIS UN PARAPLUIE !
Hum... à quoi vous pensiez encore ?
Publié à 12:00 par rene
- Oh, papa, c'est formidable, tu as retrouvé ma trompette ! Je pensais que
je ne la reverrais jamais et j'aime tellement en jouer.
- Eh bien, va faire écouter ce que tu sais faire à ta mamie qui vient d'arriver,
allez, va vite avant qu'elle ne se mette à défaire toutes ses valises
Publié à 12:00 par rene
Un homme raconte à un copain :
- Quand j'étais plus jeune, je détestais aller aux mariages parce que toutes les vieilles
tantes et mes grands-parents venaient près de moi et me fichaient une
grande claque dans le dos en me lançant un joyeux : Tu es le prochain !
Ils ont arrêté cette mauvaise plaisanterie quand j'ai commencé à leur faire pareil aux enterrements.