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Dernière mise à jour :
15.08.2012
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A la création d'un enfant
Vous avez franchi le pas.
Vous êtes devenu papa...
Si vous êtes dans le doute,
Reprenez votre route,
Retrouvez le délicat
de leur bras,
de leur sourire,
Et écoutez les vous dire
Bonne fête Papa
La fête des Pères est une fête annuelle célébrée en l'honneur des pères dans de nombreux pays.
Histoire
Dans les pays catholiques, on a célébré les pères de famille dès le moyen-âge le 19 mars, jour de la Saint-Joseph, ce dernier étant le père putatif de Jésus. En revanche, il était beaucoup plus difficile de célébrer religieusement les mères, les fêtes dédiées à la mère de Jésus étant aussi des célébrations de la virginité. L'une des premières fêtes des pères non religieuses fut créée en 1912 aux États-Unis. En France, c'est le fabriquant de briquets Flaminaire qui eut l'idée, le premier, de créer la fête des pères, en donnant l'occasion d'offrir à cette occasion un briquet à son papa.
La fête fut fixée par un décret de 1952 au troisième dimanche de juin ; ceci pour faire écho à la Fête des Mères, officialisée en 1929 et confirmée par un décret de 1950.
Dates [modifier]
Jour | Pays |
---|---|
19 mars (correspond à la Saint Joseph) | Espagne, Italie, Portugal |
8 mai | Corée du Sud (?–???"???'? = littéralement, fête des parents : les Coréens célèbrent les deux parents le même jour) |
Le jeudi de l'Ascension | Allemagne |
Premier dimanche de juin | Lituanie |
Deuxième dimanche de juin | Autriche, Belgique, Colombie |
17 juin | Guatemala |
Troisième dimanche de juin | Algérie, Argentine, Canada, Chili, Côte d'Ivoire, Cuba, États-Unis, France, Haïti, Hong Kong, Maurice, Inde, Irlande, Japon, Malaisie, Malte, Mexique, Pays-Bas, Pérou, Philippines, Royaume-Uni, Singapour, Slovaquie, Suisse, Tunisie, Turquie, Venezuela, Maroc |
21 juin | Égypte, Liban, Syrie |
23 juin | Nicaragua, Pologne |
Quatrième dimanche de juillet | République dominicaine |
8 août | Taïwan (en raison de l'homophonie entre « 8/8 » et « papa ») |
Deuxième dimanche d'août | Brésil |
Premier dimanche de septembre | Australie |
3 octobre | Luxembourg |
Deuxième dimanche de novembre | Estonie, Norvège, Suède, Finlande |
La Pentecôte
La Pentecôte, cinquante jours après Pâques, inaugure le temps de l'Eglise! L'Esprit-Saint, promis par Jésus, est répandu sur les apôtres
C'est la fête du Saint-Esprit que l'Eglise célèbre en ce jour de Pentecôte. Les Actes des Apôtres recontent comment les disciples, encore tout émus de la mort de Jésus et de ses diverses apparitions, étaient réunis ensemble dans un lieu appelé Cénacle. Après avoir entendu un bruit étonnant, ils virent apparaître des langues de feu qui se posèrent sur chacun d'eux. Emplis de l'Esprit-Saint, comprenant les mystères de Dieu, ils se mettent à parler dans toutes les langues, et se sentent soudain investis d'une nouvelle mission, celle de répandre la Bonne Nouvelle de la résurrection de Jésus.
La Bible est riche de signes et de prophéties qui parlent de cet événement avant même qu'il ne soit. L'Ancien Testament nous révèle ainsi que l'époque troublée du peuple juif durerait jusqu'à ce que l'Esprit Saint soit répandu d'en haut. (Isaïe 32,15). De même, le prophète Joël parle de la venue de l'Esprit Saint : "Je répandrai mon Esprit sur toute chair ... Même sur les esclaves, hommes et femmes, en ces jours-là, je répandrai mon Esprit" (Joël 3, 1-2). Et Jésus lui-même l'avait promis: "Vous recevrez une force nouvelle" (Actes des Apôtres)
La Pentecôte inaugure le temps de l'Eglise, elle constitue sa "date" de naissance. Pour les chrétiens, c'est la découverte incroyable d'une force nouvelle, celle de l'Esprit de Dieu, donnée en surabondance au baptême. L'Esprit fortifie, console, inspire, vivifie! Il nous conforte dans une foi vivante et joyeuse. C'est le meilleur des guides spirituels!
croire.com vous invite à découvrir le sens profond de cette grande et belle fête. Nous vous invitons aussi à entrer dans la compréhension de l'Esprit-Saint, troisième personne de la Trinité, à l'oeuvre dans le monde et dans chacun d'entre nous!
Saint Honoré (mort le 16 mai, ca. 600) est le patron des boulangers et des pâtissiers: quand ce jeune homme dissipé annonça à sa nourrice qu'il voulait devenir prêtre, elle était en train de faire cuire son pain. "Et quand ma pelle aura des feuilles, tu seras évêque !" se moqua la brave femme. Sous ses yeux ébahis, la pelle se mit à reverdir. En souvenir de ce miracle, en 1202, un boulanger parisien offrit 9 arpents de terre pour construire une chapelle à saint Honoré qui devint ainsi le saint patron des boulangers. Il est fêté le 16 mai chez beaucoup de boulangers à travers toute la France : c'est la "Fête du pain". L'occasion de célébrer une fois l'an sur le lieu des moissons, au moulin et au fournil, le travail des céréaliers, des meuniers et des boulangers qui maintiennent la tradition du bon pain français.
Dès son jeune âge, l'enfant témoigna de pieuses dispositions : les prières et le jeûne faisaient ses délices. On lui donna pour maître saint Béat, évêque d'Amiens. A la mort de son père spirituel, survenue vers 554, le peuple et le clergé, édifiés par son zèle et ses vertus, le désignèrent pour lui succéder. Comme il refusait cet honneur, un rayon céleste et une huile mystérieuse descendirent sur sa tête, signe de la volonté divine. Il se trouva ainsi miraculeusement consacré.
La vie de saint Honoré fut simple, exempte de rigueurs et de supplices. Les miracles qui témoignèrent du pouvoir du huitième évêque d'Amiens sont empreints d'une poésie toute humaine : nulle trace de ce merveilleux terrible ou suave qui illumine les récits de la Légende dorée dans laquelle pour cette raison sans doute Jacques de Voragine n'a point donné place à ce Saint qui fut peut-être heureux !
Cependant, le culte de saint Honoré est lié, dans toute la France, au symbole même de notre nourriture, à cet aliment que le Christ a trouvé digne de figurer dans la prière qu'il nous a enseignée :
Notre Père qui es aux cieux(...) Donne-nous aujourd'hui notre pain de ce jour.
Saint Honoré, patron des meuniers, des marchands de farine, des boulangers et de tous ceux dont le travail assure l'essentiel de notre subsistance, est le saint dont la protection nous est la plus nectarifère, car il n'est point d'homme qui ne répète avec angoisse le vieil adage : "Jamais ne vienne demain / S'il ne rapporte du pain".
Honoré naquit au village de Port-le-Grand, en Ponthieu, au début du VIe siècle. Sa famille, selon les Bollandistes, était une des premières du pays. La légende rapporte qu'à ce moment même, sa nourrice était occupée à cuire le pain dans le fournil du château paternel. Au récit de ce prodige, surprise et incrédule, la vieille femme s'écria, en manière de défi, qu'elle croirait en ces paroles insensées si le fourgon qu'elle venait de jeter sur le sol prenait racine. Dans l'instant, il fut transformé en un mûrier qui se couvrit de feuillage et de fleurs. C'est pourquoi les fleuristes se sont mis sous la protection de Saint Honoré, tandis qu'en mémoire de ce miracle, associé à la préparation du pain, les boulangers l'ont choisi pour patron.
Lupicin, prêtre du diocèse d'Amiens, reçut un jour la révélation du lieu où étaient enterrés les martyrs Firmin, Victoric et Gentien, morts en l'an 303. Il creusa le sol et découvrit leurs corps. Dans sa joie, il entonna un hymne d'allégresse dont les accents atteignirent Honoré qui se trouvait à plus de deux lieues de là. L'évêque, accompagné du clergé et d'un grand concours de fidèles, arriva bientôt et procéda à l'Invention des reliques.
Un dimanche de Pâques, comme Honoré célébrait la Messe à Saint-Acheul, il vit apparaître, dans une nuée lumineuse, la main du Christ qui, saisissant l'hostie, le communia, renouvelant ainsi, la grâce accordée, lors de la Cène, aux apôtres. Les armoiries de l'abbaye de Saint-Acheul portent une main en souvenir de ce miracle.
Saint Honoré évangélisa des contrées où la foi chrétienne était encore mal connue et il obtint d'innombrables conversions. Au cours d'une de ses visites épiscopales, il mourut à Port-le-Grand. C'était le 16 mai 600. Il fut enterré dans son village natal; son corps fut placé sous le maître-autel d'une église bientôt bâtie en son honneur.
Les reliques de saint Honoré demeurèrent au lieu de sa mort jusqu'à l'invasion des Danois et des Normands. Pour les préserver de toute profanation, elles furent, à cette époque, conduites à Amiens. Cette translation fut marquée par un nouveau miracle : le corps avait été déposé dans l'église Saint-Pierre et Saint-Paul. Lorsqu'on l'enleva, pour le porter à la cathédrale, le Crucifix, qui dominait le jubé, se pencha pour saluer la dépouille du Saint évêque et l'accompagna longuement du regard. Ce Christ, à la tête inclinée, connu sous le nom de Saint Sauve, se voit encore dans la cathédrale d'Amiens dont le portail méridional, dit de la Vierge Dorée est, en partie, consacré à saint Honoré.
A peu près dans toute la France, les boulangers et pâtissiers ont pris pour patron saint Honoré et le fêtent le 16 mai. On a donné son nom à une pâtisserie, le saint-honoré.
L'Ascension est une fête chrétienne célébrée quarante jours après Pâques (en comptant le dimanche de Pâques). C'est pourquoi elle tombe un jeudi. Dans la tradition et la foi chrétienne, elle marque l'élévation au ciel de Jésus de Nazareth après sa résurrection et la fin de sa présence terrestre.
Le Jeudi de l'Ascension est jour férié dans beaucoup de pays (en Allemagne, en Autriche, en Belgique, au Danemark, en Finlande, en France, en Islande, au Liechtenstein, au Luxembourg, en Norvège, aux Pays-Bas, en Suède, en Suisse, au Burundi, à Madagascar, en Namibie, en Colombie, à Haïti, en Indonésie, au Vanuatu, etc...)
Les prochaines dates de l'Ascension sont les jeudis 13 mai 2010 et 2 juin 2011.
Montée au ciel
L'Ascension du Seigneur désigne, selon les chrétiens, le moment où Jésus a été élevé au ciel. Présent dans le Nouveau Testament, l'Ascension est un thème que l'on trouve dans la mythologie gréco-romaine (Hercule, Romulus) : monter aux cieux, c'est symboliquement rejoindre le domaine divin. Il ne faut pas confondre l'Ascension avec l'Assomption, tradition apocryphe tardive érigée récemment en un dogme par l'Église catholique romaine et selon laquelle Marie de Nazareth, mère de Jésus, serait également montée au ciel.
Les sources essentielles du récits de l'ascension de Jésus de Nazareth après l'épisode de la Résurrection se trouvent dans deux textes qui, au regard de leur unité tant théologique que littéraire, sont probablement écrits par le même auteur: l'Évangile selon Luc et les Actes des apôtres. Luc est le seul parmi les évangélistes à raconter cet épisode qui constitue la fin du premier ouvrage et inaugure le second, ce qui a amené des chercheurs à postuler que les deux documents n'en constituaient originalement qu'un seul.
L'épisode de l'Ascension dans Luc, après la description du cycle des diverses apparitions pascales du Ressuscité, conclut l'action terrestre de Jésus en même temps qu'il marque « l'apogée de [sa] seigneurie , son entrée dans la sphère céleste et le début de son absence. Cette conclusion est connotée de manière positive, Jésus bénissant ses disciples qui accueillent ce départ dans la joie. La séparation elle-même n'est pas du fait de Jésus qui est là l'objet d'une action de Dieu, comme en témoignent les verbes au passif utilisés dans les différents passages lucaniens.
Les Actes proposent l'épisode comme le début du « temps du témoignage »: les croyants sont désormais seuls mais « nantis d'une mission » dans l'attente du retour de Jésus. Ainsi, dans les récits lucaniens mettant en scène le Ressuscité, celui-ci n'opère pas de miracles - à la différence du passage johannique- qui sont plutôt le fait de témoins inspirés par le Nom de Jésus.
Il est possible que l'auteur de Luc et des Actes s'inspire d'une tradition populaire faisant un parallèle avec les assomptions respectives de Moïse, d'Hénoch ou d'Isaïe, ou encore avec d'autres récits édifiants mettant en scène l'élévation de personnages illustres de la mythologie gréco-romaine, comme Romulus, Hercule ou Médée, voire des apothéoses d'empereurs romains, dans une démarche et un récit qui tendent à historiciser le phénomène d'élévation de Jésus.
19 : Le Seigneur, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel, et il s'assit à la droite de Dieu.
50: Il les conduisit jusque vers Béthanie, et, ayant levé les mains, il les bénit.
51 : Pendant qu'il les bénissait, il se sépara d'eux, et fut enlevé au ciel.
52 : Pour eux, après l'avoir adoré, ils retournèrent à Jérusalem avec une grande joie;
53 : et ils étaient continuellement dans le temple, louant et bénissant Dieu.
8 : Mais vous recevrez une puissance, le Saint Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre.
9 : Après avoir dit cela, il fut élevé pendant qu'ils le regardaient, et une nuée le déroba à leurs yeux.
10 : Et comme ils avaient les regards fixés vers le ciel pendant qu'il s'en allait, voici, deux hommes vêtus de blanc leur apparurent,
11 : et dirent: Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l'avez vu allant au ciel.
Ce quarantième jour marque la fin de la présence physique de Jésus sur la Terre, après sa mort et sa résurrection. Mais Jésus n'abandonne pas pour autant les hommes : il leur envoie son Esprit Saint le jour de la Pentecôte, et intercède sans cesse en leur faveur auprès de Dieu le Père (He 9, 25).
Dix jours après l'Ascension au ciel de Jésus, lors de la Pentecôte, les Apôtres se rendent compte qu'ils sont l'Église et partent prêcher l'Évangile
La fête des Mères est une fête annuelle célébrée par les enfants en l'honneur de leur mère dans de nombreux pays. À cette occasion, les enfants offrent des cadeaux à leur mère, des gâteaux ou des objets qu'ils ont confectionnés à l'école.
Cette fête est marquée également par les adultes de tous âges pour honorer leur mère.
HistoireLes premières traces de célébration en l'honneur des mères sont présentes dans la Grèce antique lors des cérémonies printanières en l'honneur de Rhéa (ou Cybèle), la Grande Mère des dieux et notamment de Zeus. Ce culte était célébré aux Ides de Mars dans toute l'Asie mineure. Une fête religieuse romaine célébrait les matrones le 1er mars, lors des Matronalia.
Au XVe siècle, les Anglais fêtaient le Mothering Sunday, d'abord au début du carême puis le quatrième dimanche du printemps. En 1908, les États-Unis développent la Fête des mères moderne telle qu'on la fête de nos jours, en instaurant le Mother's Day, en souvenir de la mère de l'institutrice Anna Jarvis. Le Royaume-Uni adopte à son tour cette fête en 1914, puis l'Allemagne l'officialise en 1923. D'autres pays suivent comme la Belgique, le Danemark, la Finlande, l'Italie, la Turquie ou l'Australie.
En 1806, Napoléon tente de relancer la fécondité et prône les vertus de la famille lors de fêtes. En 1918, la ville de Lyon célèbre la journée des Mères en hommage aux mères et aux épouses qui ont perdu leurs fils et leur mari pendant la Première Guerre mondiale. En 1920, est élaborée une fête des Mères de familles nombreuses[1] puis le gouvernement officialise une journée des Mères en 1929.
En 1941, le régime de Vichy s'en empare en inscrivant la fête des Mères au calendrier, dans le cadre de sa politique nataliste[2].
Après-guerre, la loi du 24 mai 1950[3] dispose que « la République française rend officiellement hommage chaque année aux mères françaises au cours d'une journée consacrée à la célébration de la « Fête des mères » », organisée par le ministre chargé de la Santé avec le concours de l'UNAF (article 1). Elle en fixe la date au dernier dimanche de mai (sauf si cette date coïncide avec celle de la Pentecôte, auquel cas elle est repoussée au premier dimanche de juin) (article 2), et prévoit l'inscription des crédits nécessaires sur le budget du ministère (article 3). Ces dispositions sont intégrées au Code de l'action sociale et des familles depuis sa création en 1956[note 1], l'organisation de la fête étant assignée au ministre chargé de la Famille depuis 2004.
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