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Date de création : 28.05.2009
Dernière mise à jour :
15.08.2012
5645 articles
Tout savoir sur le diabète | ||
Le traitement du diabète de type I
Les traitements sont fonction du type du diabète.
Dans le cas d’un diabète de type I, l’autocontrôlede la glycémieest primordial.
Des mesures diététiques sont associées à l'insulinothérapie
L’insuline est le seul traitement du diabète de type I. Le schéma choisi dépendra du patient, de son mode de vie, de ses capacités d’adaptation…
Actuellement, on privilégie les schémas dits intensifiés associant les insulines lentesou intermédiaireset les insulines ultra-rapides, ce qui nécessite de multiplier le nombre d'injections.
L’autosurveillance glycémique fait partie intégrante du traitement par l’insuline car le diabétique de type I doit en permanence adapter ses injections d’insuline à sa glycémie.
La pompe à insuline est un petit appareil, de la taille d’un téléphone portable, relié à un cathéter sous-cutané et porté en permanence par le diabétique. Il permet un traitement par insuline en injection continue, sans avoir besoin de se piquer à chaque injection.
Ce dispositif est surtout conseillé aux patients ayant de grandes variations de la glycémie dans la journée (surtout pour les femmes enceintes, du fait des changements hormonaux, et pour les enfantsafin de pouvoir contrôler et adapter le régime alimentaire quotidien).
Le médecin devra éduquerson patientsur :
- le mécanisme de son diabète,
- l’adaptation de son alimentation (notamment la nécessité des apports glucidiques en cas de traitements par insuline ou insulino-sécréteurs),
- la prévention des complications (mesure hygiéno-diététique, lutte contre la sédentarité, exercice physique régulier),
- son traitement et ses effets secondaires,
- les risques d’hypoglycémie.
Le sujet diabétique doit être capable de reconnaître les signes annonciateurs de l’hypoglycémie et d’y faire face en prenant 3 morceaux de sucre ou équivalent; ce qui nécessite qu’il en ait en permanence sur lui.
L'objectif est de normaliser la glycémie. L’équilibre du diabète sera évalué au moyen du dosage sanguinde l’hémoglobine glyquée.
L’objectif thérapeutiqueest fonction de l’âge, du type de diabèteet de la présence ou non de complications…
Surveillance, contrôle et traitementde tous les facteurs de risques cardio-vasculaires : un diabétique de type II est considéré d’emblée comme un cardiaque en prévention secondaire, ce qui signifie :
- une perte pondérale obligatoire en cas de surpoids,
- un taux d’hémoglobine glyquée inférieur à 6,5%,
- la pratique d’exercices physiques adaptés : au minimum 3 heures par semaine,
- la surveillance et traitementdes maladies cardio-vasculaires,
- le traitementd’une éventuelle hypercholestérolémieet hypertriglycéridémie,
- l’arrêt du tabac,
- le dépistage des complications éventuelles
L’hémoglobine glyquée ou Hb A1C
C’est quoi ? L’hémoglobine glyquée permet d’évaluer la glycémie moyenne des 3 à 4 mois précédent son dosage sanguin. Elle représente donc un indice rétrospectif et cumulatif de la glycémie de cette période.
A quoi ça sert ? L’hémoglobine glyquée ne sert donc pas au diagnostic du diabète mais à évaluer l’efficacité du traitement et les risques de complications.
Elle doit être mesurée 3 à 4 fois par an chez le sujet diabétiquequ’il soit de type 1 ou 2.
Chez le non diabétique, l’hémoglobine glyquée serait inférieure à 6%.Pour le sujet diabétique, l’objectif idéal est d’avoir un taux d’hémoglobine glyquée inférieur à 6.5%.
Plus le taux est élevé et plus le risque de voir survenir des complications est grand
Les traitements sont fonction du type du diabète.
Dans le cas d’un diabète de type II (lié au surpoids), des mesures hygiéno-diététiques doivent obligatoirement être mises en place.
Une insulinothérapiepeut-être associée dans certaines situations
- dépisteret rectifierles grosses erreurs alimentaires,
- limiterle surpoidset fixerdes objectifs pondéraux,
- réductiondes apportsen graissesd’origine animale.
- Apports glucidiquesréguliers en privilégiant les « sucres lents »
- respecter la structure et les horaires des repas : 3 repas/jour +/- un goûter
L’exercice physique fait partie intégrantedu traitement du diabète de type II. En contribuant à réduire la résistance à l’insuline, il favorise ainsi une meilleure utilisationdu glucose.
Une activité physique trop intense et sans entraînement peut être nocive pour un patient diabétique présentant déjà des complications, c’est pourquoi un bilan cardiologiquepréalable avec épreuved’effortest recommandé.
Biguanides
Amélioration de l’insulino-sensibilité
Réduction de la résistance de l’organisme à l’insuline
Diminution de la production de glucose par le foie
Inhibiteurs de la DPP4
Amélioration de la régulation du taux de glucose sanguin
Agit sur la sécrétion pancréatique d’insuline et en diminue la production de glucose par le foie
Sulfamides hypoglycémiants
Stimulation de la production d’insuline par le pancréas
Glinides
Inhibiteurs de l’alpha-glucosidase
Ralentissement de l’absorption intestinale des sucres
Glitazones
Amélioration de l’insulino-sensibilité
Indications de l’insuline dans le traitement du diabète de type II :
- Echec des antidiabétiques oraux(objectif thérapeutique non atteint malgré des doses maximales de traitement oral)
- Contre-indications des antidiabétiques oraux (insuffisance rénale ou hépatique)
- Complications du diabète (insuffisance rénale, rétinopathie…)
- Indications temporaires : grossesse, infarctus, intervention chirurgicale, infections graves…
Schémas d’insulinothérapie :
Le schéma classique de l’insulinothérapie dans le diabète de type II comprenait 2 injections d’une insuline intermédiaire. Depuis l’apparition des insulines lentes, on peut parfois se contenter d’une seule injection le soir. En cas de besoin, on peut utiliser un schéma intensifiéassociant insuline lenteou intermédiaireet insuline rapide(comme pour le diabète de type I).
Les anti-diabétiques oraux peuvent ou nonêtre maintenusen association avec l’insuline.
L’auto surveillance glycémique dans le diabète de type II
- est obligatoire en cas de traitement par l’insuline pour l’adaptation des doses mais également en cas de traitement par sulfamides à cause du risque potentiel de faire des hypoglycémies.
- constitue un facteur de sensibilisation et d’encouragement du patient à la diététique et à l’exercice physique
- représente un facteur déterminant pour le changement/ajustement de posologie des antidiabétiques oraux,
- permet le suivi et l’adaptation des doses d’insuline
Le diabète de type I atteint surtout les petits vaisseaux entrainant des microangiopathies, qui touchent :
- les yeux: rétinopathie diabétique pouvant être responsable de cécité
- les reins: néphropathie diabétique pouvant amener à la dialyse
- les nerfs: neuropathies périphériques ou végétatives pouvant entrainer des troubles sensitifsau niveau des piedsresponsable de complications comme les maux perforants plantaires
Le diabète de type IIatteint surtout les gros vaisseaux entrainant des macroangiopathiesqui touchent :
- le cœur: coronaropathie pouvant conduire à l’infarctus du myocarde
- les artères périphériques: artériopathies des membres inférieurs responsables de l’obstructiondes artères de membres inférieurs
- les artères du cerveau: un accident vasculaire cérébral (AVC)
La prévention de ces complications est possible grâce à :
Un dépistage précocedes diabétiques de type II
Une bonne prise en chargedu diabète
Une préventiondes autres facteurs de risques
Ramener la normo-glycémie ne suffit pas. Les risques se potentialisant, il faut également lutter sur tous les fronts afin de prévenir les risques cardio-vasculaires
Moi meme je suis diabétique depuis 1977 en decembre 1998 j'ai du faire de la dialyse le 18-04-2001 j'ai eu une transplantation de un rein cette année depuis le mois de mars je dois de retour faire de la dialyse et je ne sais plus etre tranplantais du a mes problems de coeur
QUESTION S FREQUEMMENT POSEES
Quels sont les signes d'une atteinte rénale ?
Très souvent les maladies rénales évoluent insidieusement et détruisent une grande partie des fonctions rénales avant d'entrainer des signes reconnaissables par le malade. Lorsqu'ils apparaissent, les signes les plus fréquents qui donneront l'alerte sont :
Etant donné cette évolution silencieuse, il est fortement recommandé aux sujets à risque de voir leur médecin et de faire pratiquer des examens complémentaires :
Les sujets à risque :
- ceux qui ont une tension artérielle élevée
- ceux qui sont diabétiques
- ceux qui ont dans leur famille un parent atteint de maladie rénale
Comment éviter l'aggravation d'une maladie rénale ?
Une légère diminution de la fonction rénale n'entraine pas de problème, on peut même vivre normalement avec seulement la moitié de la fonction des 2 reins. Lesdifficultés commencent si la fonction rénale s'abaisse au dessous des 50%, et un traitement dit de "suppléance" devient nécessaire à partir de 15-10%.Or on peut actuellement ralentir la dégradation de la fonction rénale, et peut-être même la stabiliser, avec les nouveaux traitements :
Que faut-il surveiller en dialyse ?
La dialyse n'apporte pas de guérison, elle permet seulement de limiter les effets de l'insuffisance rénale de façon à ce que vous puissiez mener une vie aussi normale que possible. Mais l'équilibre reste fragile, et votre médecin devra régulièrement contrôler toute une série de critères cliniques et biologiques plus ou moins compliqués pour s'assurer que la dialyse est efficace. Il est important que vous compreniez les grandes lignes de cette surveillance, et que vous y participiez activement en étant attentif aux critères suivants :
La séance d'hémodialyse est-elle douloureuse ou pénible?
L'insertion de l'aiguile peut entrainer une douleur, mais temporaire, et qui peut être atténuée par l'utilisation d'une crème anésthésique. Pendant les premières séances de dialyse, les sujets peuvent présenter des nausées, des crampes, qui sont dues au fait que l'eau en excès dans le corps est retirée trop rapidement, entrainant une baisse de la pression artérielle. Peu à peu, ces troubles disparaîtront, et pendant la séance vous pourrez lire, regarder la télévision, voire travailler. Le rythme d'épuration le mieux adapté à votre organisme sera progressivement trouvé, et la sensation de fatigue, souvent notée en fin de séance, deviendra de moins en moins importante.
Mais si le régime alimentaire est mal suivi, si la prise de poids entre chaque séance est trop importante (> 2 kgs) nécessitant une énergique soustraction d'eau, le confort de la séance sera naturellement troublé, la fatigue en fin d'épuration sera importante (le sujet se dira véritablement "léssivé"...). Pour que tout se passe aussi bien que possible, il sera important de suivre les prescriptions diététiques.
Un régime alimentaire est-il nécessaire ?
Oui, parceque la plupart des substances de "déchet" qui s'accumulent dans votre organisme, de même que l'eau que les reins ne peuvent plus éliminer, provient de votre alimentation quotidienne.Pour que vous vous sentiez le mieux possible, et pour faciliter votre traitement, votre alimentation ne peut pas être entièrement libre, et une diététicienne, spécialiste de l'alimentation, vous expliquera de qu'il faut faire. Les grandes lignes de votre régime sont les suivantes :
Une dialyse efficace, ou "adéquate", doit assurer un équilibre nutritionnel, et votre poids doit rester stable. Toute perte d'appétit doit être signalée à votre médecin, de façon à ce que votre régime soit vérifié, en s'assurant que l'apport en calories est suffisant, et en apportant si nécessaire un supplément de vitamines (acide folique essentiellement).
Comment vivre avec un cathéter péritonéal ?
Le cathéter péritonéal est un tube de plastique souple introduit dans la cavité abdominale lors d'une minime intervention chirurgicale, et laissé en place de manière permanente pendant des mois, des années. Il n'entraine pas de douleur, sauf s'il est déplacé, et l'infusion de 2 à 3 litres dans la cavité abdominale n'est pas douloureuse. Le risque essentiel étant l'infection de l'orifice de sortie, il est indispensable de suivre des règles d'hygiène très strictes : douche régulière, sous-vêtements propres, lavage/séchage des mains et port de masque avant chaque manipulation et vérification de la propreté de l'orifice, que l'on peut - mais ce n'est pas obligatoire - protéger par un pansement. Toutes ces règles vous seront données par les infirmières de l'équipe qui vous suit, ainsi que le rythme de visites de surveillance auquel vous devrez vous plier lorsque vous serez bien entrainé, en général une viste par mois .
Qu'est ce que la transplantation rénale ?
La transplantation rénale est une opération chirurgicale aucours de laquelle le chirurgien va mettre dans la partie inférieure de votre abdomen un nouveau rein normal qui fonctionnera à la place de vos reins malades. Ce rein est prélevé chez un donneur, qui peut être une personne vivante ou une personne qui vient de mourir.
Lorsqu'il s'agit d'une personne vivante, c'est le plus souvent un membre de votre famille ("donneur vivant apparenté"), qui n'a jamais été malade et qui s'est spontanément proposé pour donner un rein. Des examens spéciaux sont réalisés (le typage HLA) pour s'assurer qu'il y a le plus de compatibilité possible entre vous et le donneur, car il y a toutes les possibilités entre une identité complète (cas des rares greffes entre jumeaux vrais) et une incompatibilité totale. Les suites sont en général simples, et 10 années après la greffe les 3/4 des sujets mènent une vie normale, les autres ayant dû être repris en dialyse du fait de complications, la plupart d'entre eux attendant une nouvelle transplantation.
Mais le plus souvent, surtout en France, le rein a été prélevé chez un sujet décédé dans les suites d'un accident atteignant brutalement son cerveau ("mort cérébrale"). La loi a délimité de manière très précise les conditions dans lesquelles peut être fait un tel prélèvement sur cadavre, situation qui reste encore mal comprise par beaucoup. Les résultats de ces transplantations à partir de "reins de cadavre" sont à court terme, c'est à dire après la première année, presque aussi bons que ceux obtenus avec un donneur vivant, avec correction de tous les signes dus à la maladie rénale et reprise d'une vie normale, mais à long terme le pourcentage de sujets qui sera repris en dialyse est plus important, du fait de la survenue d'un rejet chronique difficile à traiter.
Qu'est ce que letypage cellulaire et lecross match?
Chaque individu a plusieurs marqueurs génétiques, ou antigènes, localisés sur la surface des leucocytes (globules blancs du sang).Un groupe de ces marqueurs est appelé HLA (Human Leucocyte Antigen). Le "typage cellulaire" est le nom donné aux tests qui permettent d'identifier les antigènes HLA , dont le nombre dépasse la centaine : un individu donné possède 6 antigènes HLA importants, organisés en sous groupes A,B et DR.
Ces antigènes sont hérités des parents, la moitié du père, l'autre moitié de la mère, chaque moitié comportant 3 antigènes étant appelée "haplotype". Dans une même famille, les frères et soeurs héritent leurs antigènes d'un même pool parental. Pour un des enfants, il y a 25% de chances pour qu'un autre frère/soeur ait les mêmes antigènes, c'est à dire qu'ils soient identiques, 50% de chances pour qu'un autre frère/soeur ait la moitié d'antigènes (1 haplotype) identiques, 25% de chance pour qu'il n'y ait aucun haplotype en commun.
Le conflit immunologique entre donneur et receveur sera beaucoup moins important chez les sujets identiques, comme le montre les résultats des greffes pratiquées chez des vrais jumeaux. Le typage HLA permet donc de sélectionner pour un receveur donné le meilleur donneur.
Mais un typage HLA identique ne garantit pas absolument un bon résultat de la greffe, car d'autres facteurs interviennent. Il faut en particulier rechercher si le receveur n'est pas sensibilisé aux antigènes du donneur, c'est à dire que son sang n'est pas porteur de substances, les "anticorps", dirigés contre les cellules du donneur. Lorsque ces anticorps existent, ils entrainent une rapide destruction du rein (rejet hyperaigu). La recherche de ces anticorps, ou "cross match", consiste à mettre le serum du receveur en présence de cellules (globules blancs) du donneur, et s'il y a destruction des cellules, le cross match est dit positif, interdisant la greffe. La sensibilisation du receveur vis à vis des antigènes d'un donneur potentiel se fait dans des circonstances diverses: grossesse antérieure (les antigènes du père ont sensibilisé la mère), transfusion, et de plus en plus souvent une greffe de rein qui a échoué.
On comprend qu'en dehors de la famille, il ne soit pas facile de trouver un donneur aussi compatible que possible, et que l'attente d'une greffe à partir d'un rein de cadavre puisse être longue.
Comment vit-on avec une greffe de rein ?
La transplantation rénale est le seul traitement capable de totalement corriger les graves troubles de l'insuffisance rénale chronique. La meilleure preuve est qu'une femme qui a été greffée peut mener à bien une grossesse et avoir des enfants normaux.
Votre régime alimentaire sera libre, avec quand même la notion que les corticoïdes, même à faible dose, favorisent la prise de poids, avec chez certains sujets un réel risque d'obésité : la diminution de l'apport calorique devient alors une obligation .
L'activité physique est recommandée,de même que la reprise d'une activité sportive qui souvent avait été abandonnée en dialyse. On recommandera aux sportifs d'éviter les risques de traumatisme abdominal.
Les voyages sont possibles, en évitant les pays trop dépourvus de structures de soins en cas d'incident.
Vous retrouvez donc une vie pratiquement "normale",...sous réserve de la prise régulière des médicaments "immunosuppresseurs" qui vous permettent de bien tolérer votre greffe, et d'une surveillance médicale qui détectera à temps les éventuelles complications toujours possibles. Plusieurs années après la greffe, et quand tout va bien, un contrôle biologique (créatinine sanguine, ) tous les 3 mois est suffisant.
Ce que vous devez faire pour une bonne "observance" :
Une grossesse est-elle possible ?
Sous dialyse, les grossesses sont rares, et seules un très petit nombre d'entre elles aboutissent à un enfant, en général prématuré. A l'inverse, après transplantation réussie, l'ovulation est normalisée, et les grossesses sont possibles, les médicaments immunosuppresseurs ne semblant pas avoir d'effet nocif sur l'enfant. Mais on conseillera fortement d'attendre au minimum 12 mois après la greffe avant d'envisager une grossesse, qui se déroulera normalement si la fonction rénale est normale et s'il n'y a pas eu d'antécédents de réaction de rejet. Si les suites de la transplantation ont été difficiles, si la fonction rénale n'est pas strictement normale, il faudra considérer cette grossesse comme à risques: risques de poussées d'hypertension artérielle, surtout risques de détérioration de la fonction rénale après l'accouchement. Il faudra en prévenir l'interessée, qui au demeurant prendra souvent ces risques sans demander l'avis de quiconque, la possibilité de grossesse ayant été sa motivation essentielle pour être greffée.
Sauver une vie en faisant un don d'organe
Pour de nombreux patients atteints d'affections chroniques irréversibles, la transplantation d'un organe est le dernier traitement possible. Un cœur, un foie, un rein peuvent leur sauver la vie. Malheureusement, la demande d'organes est actuellement plus importante que l'offre.
Certains organes peuvent être prélevés de votre vivant parce qu'ils se régénèrent vite Cette intervention médicale comporte donc des risques infimes pour le donneur en regard des bienfaits prévisibles sur la santé du receveur. Ce don n'est possible qu'avec le consentement préalable :
Quand les conséquences médicales pour le donneur s'avèrent plus importantes, le prélèvement d'organes n'est réalisé que lorsque la vie du receveur est en danger.
Dans tous les cas, le médecin en charge de l'intervention médicale doit fournir au donneur les informations les plus claires sur les effets physiques, psychiques et sociaux que le prélèvement entraîne.
Si vous êtes belge ou domicilié en Belgique depuis plus de 6 mois, la loi autorise le prélèvement de vos organes après votre décès sauf si :
Si vous ne voulez pas que des organes ou des tissus soient prélevés sur votre corps après votre décès, vous devez remplir un document à transmettre à votre commune.
Existe-t-il une méthode idéale ?
Chaque technique présente des avantages, des inconvénients et des contre-indications. C’est au patient de prendre finalement la décision après en avoir discuté précocement avec son médecin généraliste, son néphrologue et sa famille.
Mode de traitement | Hémodialyse | Dialyse péritonéale |
Durée | En moyenne, 4 à 6 heures tous les deux jours, auxquelles il faut ajouter les temps de transport pour se rendre sur le lieu de traitement et les temps de préparation. Au total, les malades consacrent près d’un tiers de leur temps d’éveil à leur traitement… | Quatre échanges par jour (durée globale de 40 à 60 mn chacun) Ou Une séance journalière unique d’une durée de 8h à 10 h, avec la possibilité de la réaliser la nuit, pendant le sommeil, en restant « branché » au générateur |
Avantages | Cette technique permet d’oublier la maladie entre chaque séance, sans avoir de matériel médical à domicile. | Cette technique permet d’avoir la maîtrise de son traitement, de moduler ses horaires de dialyse, de ne pas dépendre d’un centre de dialyse. |
Inconvénients | Cette technique nécessite de passer 4 à 6 heures plusieurs fois par semaine dans un centre de dialyse. Certaines personnes supportent mal d’avoir l’avant bras déformé par une fistule car au fil du temps le vaisseau se dilate et n’est pas discret au regard des autres. | Cette technique nécessite chez soi un emplacement suffisant pour stocker le matériel et les solutés nécessaires. Un environnement médicalisé que le patient et son entourage devront accepter. Certaines personnes supportent mal l’idée d’un tuyau qui sort de leur ventre mais qui est nécessaire pour cette technique. |
Contre-indications | Il existe des difficultés pour la réaliser si le patient présente un mauvais état vasculaire ou si la pression artérielle est très basse du fait d’un état cardiaque perturbé. Ce qui peut être relativement fréquent chez certains patients diabétiques ou obèses. | Les contre-indications « relatives » sont la conséquence d’une obésité majeure, d’antécédents d’interventions chirurgicales abdominales importantes, de hernies abdominales récidivantes, d’une insuffisance respiratoire sévère ou au cours des premières semaines qui suivent un échec de transplantation. |
Un traitement très lourd…
Parmi les différentes maladies graves et chroniques, l’insuffisance rénale traitée par dialyse est une de celles qui induisent les plus importantes dégradations de la qualité de vie… et celle qui implique les plus grandes difficultés d’adaptation pour les patients.
La dialyse n’est pas un traitement de tout repos. De plus, l’altération des reins a d’autres ialysseconséquences… ils sont désormais incapables de produire l’hormone appelée érythropoïétine (EPO), indispensable à la formation des globules rouges par la moelle osseuse. Depuis une quinzaine d’années, ce problème peut être traité grâce à une version synthétique cette hormone.
Entre deux séances, certaines règles alimentaires devront être suivies. En pratique, les légumes secs, les fruits secs, certains légumes et fruits frais, le chocolat, les oléagineux, les produits laitiers, les poissons et les crustacés, les abats, les oeufs, les charcuteries et tous les produits salés devront être consommés avec la plus grande modération.
Par ailleurs, les apports en boisson seront réduits, ce qui n’est pas sans conséquence pour les patients qui doivent lutter quotidiennement contre la soif. .... ....Je dois refaire de la hèmodialyse le 2 mars 2011,Le 3/12/1998 je avais commence la dialysse jusque jour de ma transplantaton renale
La fistule artério veineuse (FAV) |
La dialyse nécessite -quand cela est possible- la création d'un abord vasculaire adapté à un débit anguin important.
Avant l intervention, le néphrologue demande un doppler des membres supérieurs pour déterminer l'endroit le plus propice à cette création de FAV, c'est à dire, l endroit qui présente un réseau vasculaire suffisament dévelloppé.
Une fistule est la mise en communication d'une artère et d'une veine. Avec le temps, et sous l'effet de la pression artérielle, la veine va se dilater, avoir un débit plus important et augmenter sa résistance.
Le plus souvent, les FAV sont créées au niveau du poignet, de l avant bras ou du pli du coude. Parfois, surtout pour les FAV au pli du coude, une deuxieme intervention appelée superficialisation est nécessaire. Elle a pour but de remonter la veine un peu plus en surface pour faciliter les ponctions.
Les dites ponctions sont réalisées par des infirmières formées et expérimentées ou par le patient lui même dans le cadre des dialyse à domicile et après formation. L'infirmière introduit donc 2 aiguilles de gros calibre :
La ponction peut etre douloureuse, surtout au début. Il est souvent prescrit des patch anesthesiants à poser une heure avant la ponction et qui annule totalement l effet douloureux du geste.
Une FAV est précieuse! Il convient au patient d'y pfaire très attention et de la protéger. Le patient apprendra à repérer le thrill, sorte de souffle et de frémissement palpable lorsqu'il touche sa FAV. C'est l'indicateur du bon fonctionnement de l'abord!
Au quotidien
|
Bonsoir mes Ami(e)s je mettrai mon blog en mode ralenti pour raison de santé,en 1998 j'ai du faire de la dialysse pendant 33 mois jai subi une transplatation renale tout c'est bien passe mais la chance m'a abondonne qar mon rein est en phace terminale avec une filtration de 13% mercredi on ma mis une fistule actério veineuse pour faire de la dialyse quand ce sera nécessaire pour le moment je n'ai pas trop le moral est je suis tres fatigue mais je ne vous oublie pas mes ami(e) Bisous et amitié de Annick
Une greffe est la mise en place dans le corps humain d'un organe étranger qui lui est devenu nécessaire.
On greffe :
Une autogreffe est une greffe dans laquelle le greffon provient du sujet lui-même. Le donneur est le sujet qui va recevoir la greffe.
Une allogreffe (ou homogreffe) est une greffe faite à partir d'un donneur.
Une xénogreffe est une greffe pratiquée entre deux organismes d'espèce différente, par exemple greffe d'un organe d'animal chez l'homme.
Prélevés de son vivant (plus de détails) :
Prélevés aprés la mort :
Les premiers succès chez l'homme,dans le monde, sont :
Premières transplantations en France :
Il faut :
C'est la plus ou moins grande similitude biologique des tissus du donneur avec ceux du receveur.
Chaque être humain se définit, sous l'angle biologique, par des antigènes réunis en un groupe tissulaire qui lui est propre. On parle encore de groupe HLA (Human Leucocyte Antigen) parce que ces antigènes, spécifiques de l'individu, se localisent électivement à la surface des globules blancs, tout en existant aussi sur l'enveloppe des autres cellules de l'organisme.
Quand le donneur possède le même groupe tissulaire que le receveur ou un groupe très voisin, on dit qu'il y a compatibilité : le greffon est accepté; la greffe réussit. Dans le cas contraire, il y a rejet du greffon donc, échec de la greffe.
Le rejet est un phénomène naturel.
C'est la destruction, après sa reconnaissance, de tout élément étranger pénétrant dans un organisme vivant; réaction bénéfique quand il s'agit d'un microbe,par exemple ; réaction regrettable quand il s'agit d'une greffe.
On peut agir sur le phénomène de rejet d'une greffe en atténuant l'intensité de la réponse immunitaire, grâce à des médicaments appropriés en particulier la Ciclosporine, qui depuis les années 80, a permis la multiplication des greffes. Le taux de survie des patients s'est accru de manière spectaculaire.
Tout sujet en état de mort encéphalique, malgré tous les efforts des médecins pour le sauver, doit être considéré comme un donneur potentiel. Dans ce contexte, les médecins entreprennent les recherches des antécédents médicaux et la réalisation d'examens sérologiques permettant de dépister d'éventuelles maladies transmissibles. Seuls ces examens, effectués juste avant le prélèvement, autoriseront ou non le don d'organes et de tissus. On ne définit pas de contre-indications à prori.
En pratique, la qualité fonctionnelle du greffon dépend en grande partie des conditions dans laquelle survient la mort. Un organe dont la fonction est douteuse sera refusé.
Il n'y a pas de limite d'âge légale, cela dépend des organes concernés. Le critère retenu est la qualité des organes prélevables. C'est l'état physiologique du donneur et les circonstances de sa mort qui en décident.
Si je refuse tout prélèvement d'organe le jour de mon décès, j'ai la possibilité de m'inscrire sur le Registre Nationale des Refus, auprès de l'Agence de la biomédecine. J'aurai dès lors l'assurance de ne pas être prélevé.
Si au contraire je suis résolument POUR le Don d'Organes, je dois :
Il n'y a pas d'âge minimum pour prendre sa carte de donneur : même un mineur peut affirmer ainsi sa position. Il faut simplement savoir qu'en cas de décès (idem pour un majeur faisant l'objet d'une mesure de protection légale), le prélèvement ne peut avoir lieu qu'avec l'accord des parents. L'expérience prouve que de connaître la position de leur enfant facilite le choix des parents.
C'est l'arrêt de toute activité cérébrale. Cet état est irréversible. La certitude de la mort est incontestable, confirmée par des examens médicaux spécialisés.
En état de mort encéphalique, les grandes fonctions de l'organisme doivent être maintenues par une circulation sanguine et une assistance ventilatoire et un maintien du corps à température pour une bonne conservation des organes.
Le greffon est l'organe ou le tissu que l'on greffe.
A l'exception du rein, l'organe doit être de même volume ou légèrement inférieur (poumon) que celui qui est à remplacer, en bon état fonctionnel et le plus compatible possible au plan immunologique.
Un greffon qui convient est aussi un greffon géographiquement disponible, c'est-à-dire que le transport et les conditions matérielles de mise en oeuvre permettent de le faire parvenir là où se trouve le receveur dans des limites de temps compatibles avec la durée de survie du greffon (ischémie froide). Elle varie selon l'organe.
Le don est strictement ANONYME. Tous les individus ont des chances égales quant à l'attribution des greffons. Quand un organe est disponible, il est attribué selon des règles strictes dont l'Agence de la biomédecine est garante.
NON. Le don est un acte bénévole. Il ne peut faire l'objet d'aucune compensation, financière ou autre.
Pour le receveur, l'organe transplanté est GRATUIT. Les soins reçus pendant l'hospitalisation du donneur avant son décès sont pris en charge par l'organisme social dont il dépend
La loi Bioéthique prévoit de très lourdes sanctions dans le cas où ces règles ne seraient pas respectées.
NON. Le Don d'Organes est un don pour la vie. Bien que la personne soit décédée, ses organes sont maintenus en état de fonctionner. Après prélèvement(s) l'aspect extérieur du corps fait l'objet des plus grands soins de la part des médecins, avant la restitution à la famille pour le rite funéraire de chacun.
"Léguer son corps à la science", c'est donner l'ensemble de son corps, après la mort, pour les besoins d' une faculté de médecine. Le corps ne sera pas restitué à la famille. Ce type de don est payant par le donateur (frais de transport et de conservation du corps). Il doit s'adresser au Laboratoire d'anatomie d'un CHU ou à la faculté de médecine la plus proche
Le prélèvement est effectué par une équipe médico-chirurgicale spécialisée d'un hôpital ayant obtenu l'agrément.
Le prélèvement est obligatoirement pratiqué dans un hôpital habilité par le ministère de la santé et le préfet du département.
Si le sujet en état de mort encéphalique se trouve dans un hôpital non habilité, le transfert vers un hôpital préleveur est indispensable. Le transfert est obligatoirement médicalisé (ex. Samu).
Une fois le(s) prélèvement(s) effectué(s), le corps est ramené dans son hôpital d'origine, sans frais supplémentaire pour la famille du donneur.
On prélève chez le même donneur un ou plusieurs organes selon leur état et les besoins.
En France, tous les organes prélevés sont conservés par le froid dans des liquides de conservation.
Le transport est effectué au plus vite (véhicule automobile, T.G.V., avion, hélicoptère...). La durée de conservation, variable selon les organes, n'excède pas quelques heures.
Le donneur en état de mort encéphalique est pris en charge par la Sécurité Sociale. Seuls sont dus les soins reçus pendant l'hospitalisation du donneur avant son décès.
Le transport d'un hôpital non préleveur à un hôpital préleveur est pris en charge par l'organisme de couverture sociale du receveur ; il en est de même de l'hospitalisation en réanimation et des examens pratiqués.
Les frais des prélèvements sont facturés aux hôpitaux qui ont transplanté.
Pour la famille du donneur, le prélèvement n'entraîne aucun frais lié à cette intervention. Par contre, le corps une fois rendu à la famille, celle-ci supportera les frais d'obsèques identiques, qu'il y ait eu prélèvement ou non.
C'est l'Agence de la biomédecine qui dispose des critères, attribue les greffons et à ce titre gère la liste nationale des patients en attente de greffe.
Le mode de sélection dépend, selon l'organe, des règles de priorité fondées sur des critères exclusivement médicaux, géographiques, et du temps de conservation du greffon qui est différent suivant l'organe concerné.
C'est possible mais on est alors limité par la résistance naturelle du corps humain aux interventions répétées. L'organisme a déjà fabriqué des anticorps dirigés vers l'organe greffé considéré comme étranger ( on dit du malade qu'il est "hyperimmunisé").
La greffe est effectuée dans le service spécialisé d'un hôpital habilité aux transplantations, par une équipe rompue à ce type d'interventions. Les greffes d'organes ne peuvent se dérouler que dans le secteur public. Les greffes de tissus sont possibles dans le secteur privé ou public.
Les complications possibles sont essentiellement de deux sortes :
La contrainte principale est liée à la nécessité de poursuivre le traitement immunosuppresseur (médicament anti-rejet) à vie. Cela impose une surveillance régulière.
"La greffe est souvent vécue comme une seconde naissance" reprise d'une activité professionnelle ou d'une scolarité normale, exercice de presque tous les sports.
La plupart des courants religieux sont favorables au Don d'Organes : le catholicisme, le protestantisme, l'islam, le judaïsme,une des grandes familles du bouddhisme.
Néanmoins, il faut noter l'opposition de l'hindouisme et du shintoïsme
Que l'on ait une conviction religieuse ou non n'influe évidemment pas sur les notions de fraternité, d'amour, de dignité, de respect. Les prélèvements et transplantations d'organes ne posent pas de problèmes particuliers, ils incitent cependant à une profonde réflexion
Journée internationale des personnes handicapées (2009) « Assurer l’intégration des personnes handicapées à la réalisation des objectifs du Millénaire pour le développement » « Donnons aux personnes handicapées les moyens d’apporter leur contribution indispensable à la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement » - Message du Secrétaire général
Célébrée chaque année le 3 décembre, la Journée internationale des personnes handicapées vise à faire mieux connaître les questions de handicap, les droits des personnes handicapées et les avantages qu’il y a à les associer à tous les aspects de la vie politique, sociale, économique et culturelle de leurs communautés. Elle est l’occasion de mobiliser les énergies pour veiller à ce que les personnes handicapées puissent exercer leurs droits humains et participer à la vie de la société sans réserve et dans des conditions d’égalité, conformément à l’objectif qui a été fixé par le Programme d’action mondial concernant les personnes handicapées, adopté par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1982.
Les personnes handicapées comptent pour près d’un dixième de la population mondiale, et des études récentes indiquent qu’elles représentent jusqu’à 20 % des plus démunis dans les pays en développement. Nombre d’entre elles se heurtent encore à des obstacles qui les empêchent de participer à la vie de leurs communautés, et sont souvent contraintes de vivre en marge de la société. Elles sont souvent victimes de préjugés et de discriminations, et se voient régulièrement refuser la jouissance de droits aussi élémentaires que le droit à l’alimentation, à l’éducation, à l’emploi, aux soins de santé et à la médecine de la procréation. Nombreuses sont celles qui sont placées de force dans des institutions, ce qui constitue une violation flagrante de leurs droits à la liberté de mouvement et à vivre dans leurs communautés.
L’ONU œuvre depuis longtemps en faveur des droits et du bien-être de chacun, y compris des personnes handicapées. Elle s’emploie à leur permettre de participer pleinement et effectivement, dans des conditions d’égalité avec les autres, à la vie civile, politique, économique, sociale et culturelle, de façon à bâtir une société pour tous. Sa détermination à garantir la pleine jouissance, dans des conditions d’égalité, de tous les droits de l’homme par les personnes handicapées procède d’un désir de justice et d’équité sociales dans tous les domaines du développement de la société. Cet engagement a trouvé son expression dans le cadre d’intervention international formé par le Programme d’action mondial concernant les personnes handicapées et les Règles pour l’égalisation des chances des [personnes] handicapé[e]s, qu’est venu renforcer un instrument juridique international, la Convention relative aux droits des personnes handicapées, en vue de donner aux personnes handicapées du monde entier les moyens d’améliorer leur existence et celle de leurs communautés.
L’ONU et la communauté internationale continuent à œuvrer pour inclure les personnes handicapées dans tous les domaines de la vie sociale et du développement. Malgré les nombreux engagements qui ont été pris pour faire une place au handicap et aux personnes handicapées dans le développement, le décalage entre politiques et pratique subsiste.
Si l’on veut réaliser les objectifs de développement arrêtés au niveau international, tels les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), assurer l’intégration des personnes handicapées dans toutes les activités de développement est une condition sine qua non. Le seul moyen de réaliser les OMD est d’inclure les personnes handicapées et leurs proches, qui pourront par la suite bénéficier des initiatives internationales en faveur du développement. Les efforts visant à réaliser les objectifs du Millénaire pour le développement et à appliquer la Convention sont interdépendants et complémentaires.
L’une des méthodes efficaces destinée à associer les personnes handicapées au développement est la réadaptation à base communautaire (RBC), qui est appliquée dans plus de 90 pays du monde. Élément constitutif de la stratégie globale de développement local visant à réduire la pauvreté, égaliser les chances et faire participer les personnes handicapées à la vie de la société, la RBC est une méthode souple et dynamique, qui s’adapte à la diversité des conditions socioéconomiques, terrains, cultures et systèmes politiques de par le monde et englobe l’accès aux soins de santé, à l’éducation, aux moyens d’existence, à la participation à la vie locale et à l’intégration dans la communauté. La capacitation des personnes handicapées et de leurs proches est la clef de voûte de tout bon programme de RBC.
La RBC sert de trait d’union entre les personnes handicapées et les initiatives pour le développement. Elle est mise en œuvre grâce aux efforts conjugués des personnes handicapées, de leurs proches, des associations, des groupes locaux et des organisations gouvernementales et non gouvernementales (ONG) actives dans le domaine du développement. La RBC, qui fait en sorte que les initiatives de développement accordent une place aux personnes handicapées, est de plus en plus considérée comme une composante essentielle du développement local. Elle sert, par une action de proximité, à donner aux personnes handicapées (individuellement et collectivement) les moyens d’exercer leurs droits et à promouvoir le respect de leur dignité intrinsèque, en veillant à leur garantir les mêmes droits et les mêmes chances qu’aux autres citoyens.
De nouvelles idées et solutions pourront être étudiées cette année pour examiner de quelle manière la RBC est susceptible de traduire sur le plan opérationnel la Convention relative aux droits des personnes handicapées, les OMD pour tous et les législations nationales en la matière, et rappeler à quel point il importe de prendre en compte les personnes handicapées et leur contribution et de leur permettre de prendre part au développement de leur société.
La Journée Mondiale du Diabète, organisée par la Fédération Internationale du Diabète (FID) et soutenue parl'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), est la plus importante campagne mondiale de sensibilisation au diabète. Elle a été lancée en 1991 comme réponse à l’escalade de l’incidence du diabète dans le monde. Depuis, elle a gagné en popularité et rassemble désormais des millions de personnes dans le monde entier, dont les leaders d’opinion, les professionnels et prestataires de soins de santé, les médias, les personnes atteintes de diabète, et le grand public.
Le choix de la date...
La Journée Mondiale du Diabète est célébrée chaque année le 14 Novembre. Cette date a été choisie car c’est l’anniversaire de Frederick Banting qui, avec Charles Best, a pour premier développé la théorie à l’origine de la découverte de l’insuline en 1922.
Où est elle célébrée ?
La Journée Mondiale du Diabète est célébrée dans le monde entier par les 190 associations membres de la Fédération Internationale du Diabète (FID) dans 150 pays, ainsi que par d'autres associations, des prestataires de soins de santé, et des personnes avec un intérêt pour le diabète. Les associations membres de la FID organisent un grand nombre d’activités qui sont ciblées vers une variété de groupes, telles que : Emissions de radio et de télévision, Manifestations sportives, Tests de dépistage gratuits, Réunions d’information du public, Campagnes d’affichage (posters et dépliants), Ateliers et expositions sur le diabète, etc...
Le logo
En 1996, un logo permanent a été dessiné pour créer une identité globale et puissante pour la Journée Mondiale du Diabète. Le logo combine l’équilibre et le travail d’équipe et est basé sur le symbole bien connu du Yin et du Yang. Un équilibre exact d’insuline, de médication, d’un régime alimentaire et d’activité physique est essentiel pour la gestion du diabète, tout comme la coopération entre les personnes atteintes de diabète, leurs amis et familles, les professionnels des soins de santé, et les autorités publiques.
Au Québec
Selon Diabète Québec, en 2005, on estimait à 400 000 le nombre de Québécois touchés par cette maladie et si la tendance se maintient, on prévoit qu'en 2016, plus de 800 000 québécois en seront atteints. D'où l'importance de mobiliser la population pour enrayer le phénomène. Pour le directeur du CRDM, le Dr Marc Prentki, "La progression alarmante du surpoids chez les jeunes a des conséquences dévastatrices sur l'augmentation du diabète de type 2 qui n'est plus réservé aux adultes. La recherche sur les causes de cette maladie et les moyens de la prévenir ou la soigner est essentielle à la résolution de ce problème de santé publique au niveau mondial."
Stem Cell traitement du diabète Le diabète de type 1 Cette forme de diabète se développe souvent à un jeune âge et se caractérise par un déficit en produisant de l'insuline des cellules. C'est une maladie auto-immune, ce qui signifie que les productrices d'insuline, les cellules du pancréas par les propres cellules du corps sont détruits. Cette destruction a un effet de pénurie de l'insuline, ce qui rend la valeur de la glycémie trop élevée.
Diabète sucré de type 1 est une affection dégénérative, traditionnellement traités par injection d'insuline. Ces injections remplacer l'hormone manquante, mais des complications peuvent survenir telles que:
Dans le type 2 diabète rend le corps lui-même est généralement toujours produire de l'insuline mais pas assez. Il est également possible que le corps est devenu insensible à l'insuline. Dans les deux cas, cela conduit à trop de glucose dans le sang afin que les patients peuvent développer les mêmes symptômes que ceux de type 1 diabetes.
Le diabète sucré de type 2 est de loin le plus fréquent, surtout chez les personnes âgées et en surpoids. Les experts estiment qu'environ un tiers des personnes atteintes de diabète de type 2 ne savent même pas qu'elles en sont atteintes.
Le Xcell-Center a développé un traitement pour le diabète qui est unique en Europe. Le patient est traité par ses propres cellules souches. Cette approche peut être utilisée pour traiter les symptômes créés par un excès de glucose, comme le pied diabétique. Mais une thérapie aux cellules souches mai également cibler le pancréas, qui sont les cellules qui créent de l'insuline. Le Xcell-Center traite à la fois la cause et les complications du diabète.
Les cellules souches sont extraites de la moelle osseuse de la hanche (ilium) du patient. Après une inspection minutieuse en laboratoire, les cellules souches sont retournés à l'organisme à l'endroit où ils sont nécessaires.
Ces cellules implantées ont la capacité de cellules endommagées dans le corps à réparer, comme les cellules bêta du pancréas. Le Xcell centre de traitement de cellules souches utilise la capacité du corps à se réparer. Parce que les cellules souches sont extraites du corps, il n'y a pratiquement aucune chance d'une réponse immunitaire.
Le tableau ci-dessous montre les résultats (à Janvier 2008) d'une étude menée auprès de 23 patients traités de diabète (type 1 et 2). La recherche se situe entre un et six mois après le traitement effectué.
Sur ces 23 patients, neuf des (poly) neuropathie. Le graphique suivant montre que le patient éprouvait une réduction de la neuropathie, tandis que huit patients ont exprimé une nette réduction de la neuropathie, ayant presque totalement disparu, ou la douleur.
Le coût du traitement dépend de la méthode de thérapie. Les médecins seront XCell-Center en utilisant les dossiers médicaux et les taux sanguins de déterminer quelle méthode de traitement la plus appropriée.
Administration par des coûts de l'angiographie € 8.925, -.
La thérapie cellulaire utilisant la ponction (intrathécale lombaire) coûte € 7545, -.
L'incidence du diabète de type 1 chez les enfants européens est en augmentation. Entre 2005 et 2020 sont une augmentation de 70 pour cent en diabétiques de type 1 moins de 15 ans prévus. Cela montre une étude multi-center Le Lancet a publié en ligne Mai 28.
Dans les registres de 17 pays européens a été examiné combien de nouveaux cas de diabète de type 1 chez les enfants de moins de 15 ans il y avait eu entre 1989 et 2003. Qui a été en moyenne de 3,9 pour cent par an. Chez les enfants de moins de 5 ans a été que, même 5,4 pour cent par an. Si cette tendance se poursuit ainsi, le nombre d'enfants très jeunes atteints de diabète insulino-dépendant doublé en 2020. Dans l'Est du pays européen, l'incidence plus vite que dans l'Europe occidentale.
Cette étude fait aucune recherche sur les raisons de l'augmentation, mais il semble probable que les facteurs environnementaux jouent un rôle. Ces changements rapides ne peuvent pas être imputables à des changements génétiques. Le fait que dans l'ancien bloc de l'Est, le nombre des enfants atteints de diabète de type 1 les hausses les plus rapides, mai indiquent que cette variante associée au mode de vie diabète. Étant donné que la situation évolue plus rapidement qu'auparavant et puis dans d'autres pays.
Beaucoup d'attention ces dernières années a été l'incidence croissante du diabète de type 2, ou le sucre âge chez les enfants et les adolescents. Mais maintenant évident diabète de type 1 est aussi plus fréquente, particulièrement chez les plus jeunes enfants. Les auteurs insistent donc de prendre en compte notamment une augmentation chez les patients qui présentent une céto-acidose.
Qu’est-ce que l’hémodialyse?
L’hémodialyse (HD) en abrégé est un traitement qui Permet d’éliminer les déchets et les liquides en excès qui s’accumulent dans le sang et dans les tissus corporels Suite à l’apparition de l’insuffisance rénale. Cette technique permet d’en éliminer relativement rapidement des quantités importantes. L’hémodialyse est donc utilisée comme thérapie intermittente, c’est à dire qu’en règle générale, elle est réalisée trois fois par semaine pendant une durée de 3 à 5 heures.
L’épuration du sang a lieu à l’extérieur de l’organisme grâce à un circuit extracorporel et un « rein artificiel », également appelé dialyseur. Le sang circule depuis l’abord vasculaire du patient vers le dialyseur en passant par la ligne à sang artérielle; après quoi, il est restitué au patient par la ligne à sang veineuse. Ce processus est régulé et contrôle par un appareil de dialyse.
Le dialyseur est constitué d’une membrane enserrée dans une coque en plastique. La membrane est une fine pellicule dotée de nombreux pores microscopiques. Au cours de la dialyse, le sang circule d’un côté de la membrane tandis qu’un liquide spécifique, appelé liquide de dialyse, circule de l’autre côté. Il existe une différence de concentration des déchets entre le sang non épuré et le liquide de dialyse propre. Les déchets ont donc tendance à migrer du sang vers le liquide de dialyse, à travers les pores de la membrane. Ce mécanisme de transfert est appelé diffusion. Les pores permettent ainsi le passage des petites molécules, telles que les déchets et l’eau, du sang vers le liquide de dialyse. Les molécules et substances de plus grande taille, telles que les protéines et les cellules sanguines, sont retenues dans le sang. Afin d’éliminer les liquides en excès du sang, l’appareil de dialyse crée au niveau de la membrane, une pression d’aspiration du côté du liquide de dialyse. Cette pression permet le passage de l’eau à travers les Pores de la membrane, vers le liquide de dialyse, pour être ensuite évacuée. Ce mécanisme d’épuration de l’eau est appelé ultrafiltration.
Le nombre de greffes effectuées en France a dépassé la barre des 4 000 en 2005. Soit une augmentation de 32 % sur 5ans. Malgré tout, les patients sur liste d’attente sont toujours plus nombreux. Ils étaient près de 7 000 fin 2005, en augmentation de 4 % ! Au total l’an dernier, 4 237 greffes ont été réalisées dont 2 572 ont concerné les reins, 1 024 le foie, 339 le coeur, 183 les poumons, 92 le pancréas et 6 l’intestin. A noter aussi 21 greffes de bloc coeur-poumon. Entre 2004 et 2005, le nombre de greffes a donc augmenté de 7 %.Malgré cette progression « la situation de pénurie persiste»,affirme dans un communiqué l’Agence de Biomédecine. En 2005 près de 12 000 personnes ont eu besoin d’une greffe d’organes et 186 patients sont décédés faute de greffon. L’Agence insiste particulièrement sur le fait que les seniors (60 ans et plus) aussi peuvent donner. moi j'ai fait de la dyalyse du 3/12/1998 jusque j'ai ete transplantain d'un rein