Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Bienfaits des fruit et legumes(recette) (407)
· Bonne nuit (315)
· Bonne soirée (299)
· Bon lun-mar-mer-jeu-ven-sam-dim (222)
· Amitié (126)
· Bonjour-coucou (213)
· Bonne féte (117)
· Bonne journée (166)
· Citations divers (172)
· Bon week- end (51)

Derniers commentaires Blogs et sites préférés

· 064203
· adorablecharity
· amokb95
· annalisa
· artistes-et-musiques
· aupetitcoeur
· babethhistoires
· bouger-manger-maigrir
· bullies
· chez-deese-76

Voir plus


Statistiques

Date de création : 28.05.2009
Dernière mise à jour : 15.08.2012
5645 articles


Rechercher

Diabéte ma vie depuis 1977

14 novembre : Journée mondiale du diabète

Publié à 13:07 par sincerity
14 novembre : Journée mondiale du diabète
Tout savoir sur le diabète  
 
 
Il existe deux formes de diabète : le diabète de type I, insulino-dépendant et le diabète de type II, non-insulino-dépendant qui englobe 90% des malades.
 
 
 
Un problème mondial   Deux types de diabète
 
 
Un problème mondial
 
Le nombre de diabétiques dans le monde est évalué à plus de 150 millions de personnes selon l’OMS. Un chiffre qui pourrait doubler en 2025.
 
 
 
 
 
 
Deux types de diabète
 
Le diabète de type I touche les sujets jeunes. Le diabète de type II affecte les personnes de plus de 40 ans et en surpoids

Le traitement du diabète de type I

Le traitement du diabète de type I

Les traitements sont fonction du type du diabète.

Dans le cas d’un diabète de type I, l’autocontrôlede la glycémieest primordial.

Des mesures diététiques sont associées à l'insulinothérapie
 

L’insulinothérapie

L’insuline est le seul traitement du diabète de type I. Le schéma choisi dépendra du patient, de son mode de vie, de ses capacités d’adaptation…

Actuellement, on privilégie les schémas dits intensifiés associant les insulines lentesou intermédiaireset les insulines ultra-rapides, ce qui nécessite de multiplier le nombre d'injections.

L’autosurveillance glycémique fait partie intégrante du traitement par l’insuline car le diabétique de type I doit en permanence adapter ses injections d’insuline à sa glycémie.

La pompe à insuline

La pompe à insuline est un petit appareil, de la taille d’un téléphone portable, relié à un cathéter sous-cutané et porté en permanence par le diabétique. Il permet un traitement par insuline en injection continue, sans avoir besoin de se piquer à chaque injection.

Ce dispositif est surtout conseillé aux patients ayant de grandes variations de la glycémie dans la journée (surtout pour les femmes enceintes, du fait des changements hormonaux, et pour les enfantsafin de pouvoir contrôler et adapter le régime alimentaire quotidien).

Education du diabétique

Le médecin devra éduquerson patientsur :

- le mécanisme de son diabète,
- l’adaptation de son alimentation (notamment la nécessité des apports glucidiques en cas de traitements par insuline ou insulino-sécréteurs),
- la prévention des complications (mesure hygiéno-diététique, lutte contre la sédentarité, exercice physique régulier),
- son traitement et ses effets secondaires,
- les risques d’hypoglycémie.

 Le sujet diabétique doit être capable de reconnaître les signes annonciateurs de l’hypoglycémie et d’y faire face en prenant 3 morceaux de sucre ou équivalent; ce qui nécessite qu’il en ait en permanence sur lui.

Objectifs du traitement

L'objectif est de normaliser la glycémie. L’équilibre du diabète sera évalué au moyen du dosage sanguinde l’hémoglobine glyquée.

L’objectif thérapeutiqueest fonction de l’âge, du type de diabèteet de la présence ou non de complications

Surveillance, contrôle et traitementde tous les facteurs de risques cardio-vasculaires : un diabétique de type II est considéré d’emblée comme un cardiaque en prévention secondaire, ce qui signifie :

- une perte pondérale obligatoire en cas de surpoids,
- un taux d’hémoglobine glyquée inférieur à 6,5%,
- la pratique d’exercices physiques adaptés : au minimum 3 heures par semaine,
- la surveillance et traitementdes maladies cardio-vasculaires,
- le traitementd’une éventuelle hypercholestérolémieet hypertriglycéridémie,
- l’arrêt du tabac,
- le dépistage des complications éventuelles

L’hémoglobine glyquée ou Hb A1C

C’est quoi ? L’hémoglobine glyquée permet d’évaluer la glycémie moyenne des 3 à 4 mois précédent son dosage sanguin. Elle représente donc un indice rétrospectif et cumulatif de la glycémie de cette période.

A quoi ça sert ? L’hémoglobine glyquée ne sert donc pas au diagnostic du diabète mais à évaluer l’efficacité du traitement et les risques de complications.
Elle doit être mesurée 3 à 4 fois par an chez le sujet diabétiquequ’il soit de type 1 ou 2.

Chez le non diabétique, l’hémoglobine glyquée serait inférieure à 6%.Pour le sujet diabétique, l’objectif idéal est d’avoir un taux d’hémoglobine glyquée inférieur à 6.5%.

Plus le taux est élevé et plus le risque de voir survenir des complications est grand

Le traitement du diabète de type II
Le traitement du diabète de type II

Les traitements sont fonction du type du diabète.

Dans le cas d’un diabète de type II (lié au surpoids), des mesures hygiéno-diététiques doivent obligatoirement être mises en place.

Une insulinothérapiepeut-être associée dans certaines situations

La diététique

- dépisteret rectifierles grosses erreurs alimentaires,
- limiterle surpoidset fixerdes objectifs pondéraux,
- réductiondes apportsen graissesd’origine animale.
- Apports glucidiquesréguliers en privilégiant les « sucres lents »
- respecter la structure et les horaires des repas : 3 repas/jour +/- un goûter

L’exercice physique

L’exercice physique fait partie intégrantedu traitement du diabète de type II. En contribuant à réduire la résistance à l’insuline, il favorise ainsi une meilleure utilisationdu glucose.

Une activité physique trop intense et sans entraînement peut être nocive pour un patient diabétique présentant déjà des complications, c’est pourquoi un bilan cardiologiquepréalable avec épreuved’effortest recommandé.

Les antidiabétiques oraux

Biguanides
Amélioration de l’insulino-sensibilité
Réduction de la résistance de l’organisme à l’insuline
Diminution de la production de glucose par le foie

Inhibiteurs de la DPP4

Amélioration de la régulation du taux de glucose sanguin
Agit sur la sécrétion pancréatique d’insuline et en diminue la production de glucose par le foie

Sulfamides hypoglycémiants
Stimulation de la production d’insuline par le pancréas

Glinides
Inhibiteurs de l’alpha-glucosidase
Ralentissement de l’absorption intestinale des sucres

Glitazones
Amélioration de l’insulino-sensibilité

Insuline

Indications de l’insuline dans le traitement du diabète de type II :
- Echec des antidiabétiques oraux(objectif thérapeutique non atteint malgré des doses maximales de traitement oral)
- Contre-indications des antidiabétiques oraux (insuffisance rénale ou hépatique)
- Complications du diabète (insuffisance rénale, rétinopathie…)
- Indications temporaires : grossesse, infarctus, intervention chirurgicale, infections graves…

Schémas d’insulinothérapie :
Le schéma classique de l’insulinothérapie dans le diabète de type II comprenait 2 injections d’une insuline intermédiaire. Depuis l’apparition des insulines lentes, on peut parfois se contenter d’une seule injection le soir. En cas de besoin, on peut utiliser un schéma intensifiéassociant insuline lenteou intermédiaireet insuline rapide(comme pour le diabète de type I).

Les anti-diabétiques oraux peuvent ou nonêtre maintenusen association avec l’insuline.

La glycémie

L’auto surveillance glycémique dans le diabète de type II
- est obligatoire en cas de traitement par l’insuline pour l’adaptation des doses mais également en cas de traitement par sulfamides à cause du risque potentiel de faire des hypoglycémies.
- constitue un facteur de sensibilisation et d’encouragement du patient à la diététique et à l’exercice physique
- représente un facteur déterminant pour le changement/ajustement de posologie des antidiabétiques oraux,
- permet le suivi et l’adaptation des doses d’insuline
 

Les complications associées au diabète Microangiopathies

Le diabète de type I atteint surtout les petits vaisseaux entrainant des microangiopathies, qui touchent :

- les yeux: rétinopathie diabétique pouvant être responsable de cécité
- les reins: néphropathie diabétique pouvant amener à la dialyse
- les nerfs: neuropathies périphériques ou végétatives pouvant entrainer des troubles sensitifsau niveau des piedsresponsable de complications comme les maux perforants plantaires

Macroangiopathies

Le diabète de type IIatteint surtout les gros vaisseaux entrainant des macroangiopathiesqui touchent :

- le cœur: coronaropathie pouvant conduire à l’infarctus du myocarde
- les artères périphériques: artériopathies des membres inférieurs responsables de l’obstructiondes artères de membres inférieurs
- les artères du cerveau: un accident vasculaire cérébral (AVC)

Prévenir les complications

La prévention de ces complications est possible grâce à :

Un dépistage précocedes diabétiques de type II
Une bonne prise en chargedu diabète
Une préventiondes autres facteurs de risques

Ramener la normo-glycémie ne suffit pas. Les risques se potentialisant, il faut également lutter sur tous les fronts afin de prévenir les risques cardio-vasculaires

 Moi meme je suis diabétique depuis 1977 en decembre 1998 j'ai du faire de la dialyse le 18-04-2001 j'ai eu une transplantation de un rein cette année depuis le mois de mars je dois de retour faire de la dialyse et je ne sais plus etre tranplantais du a mes problems de coeur

La dialyse ma survie depuis

Publié à 12:16 par sincerity
La dialyse ma survie depuis

QUESTION S FREQUEMMENT POSEES

 

Quels sont les signes d'une atteinte rénale ?

Très souvent les maladies rénales évoluent insidieusement et détruisent une grande partie des fonctions rénales avant d'entrainer des signes reconnaissables par le malade. Lorsqu'ils apparaissent, les signes les plus fréquents qui donneront l'alerte sont :

  • élevation de la tension artérielle ( > 150/90 mmHg )
  • modification de la teinte des urines : rouge en cas de sang (hématurie), troubles en cas d'infection (pyurie)
  • enflure (oedème) autour des yeux, au niveau des mains et des pieds
  • besoins fréquents d'uriner surtout la nuit

Etant donné cette évolution silencieuse, il est fortement recommandé aux sujets à risque de voir leur médecin et de faire pratiquer des examens complémentaires :

Les sujets à risque :

  • ceux qui ont une tension artérielle élevée
  • ceux qui sont diabétiques
  • ceux qui ont dans leur famille un parent atteint de maladie rénale

 

 


Comment éviter l'aggravation d'une maladie rénale ?

Une légère diminution de la fonction rénale n'entraine pas de problème, on peut même vivre normalement avec seulement la moitié de la fonction des 2 reins. Lesdifficultés commencent si la fonction rénale s'abaisse au dessous des 50%, et un traitement dit de "suppléance" devient nécessaire à partir de 15-10%.Or on peut actuellement ralentir la dégradation de la fonction rénale, et peut-être même la stabiliser, avec les nouveaux traitements :

  • Faire vérifier votre pression artérielle régulièrement : l'hypertension non controlée va aggraver une maladie rénale latente; votre pression artérielle doit être non seulement améliorée, mais complètement normalisée : < 150 pour la "systolique",< 90 pour la "diastolique"
  • Si vous êtes diabétique, être sûr que votre maladie est correctement contrôlée : un diabète sucré bien équilibré n'entrainera pas de complications, ni au niveau des reins, ni au niveau des yeux. Vérifiez que votre médecin a bien demandé une recherche de "microalbuminurie", test très précis qui permet de détecter une atteinte rénale au tout début, à un stade où des médicaments permettront d'éviter l'aggravation de l'atteinte rénale.
  • Ne pas faire d'automédication : vérifiez auprès de votre médecin que la dose du médicament que vous voulez prendre est bien adaptée . Se méfier en particulier des médicaments antidouleur, les "antiinflammatoires non stéroidiens" (AINS) qui risquent de précipiter l'évolution d'une maladie rénale jusque là bien tolérée.

 


Que faut-il surveiller en dialyse ?

La dialyse n'apporte pas de guérison, elle permet seulement de limiter les effets de l'insuffisance rénale de façon à ce que vous puissiez mener une vie aussi normale que possible. Mais l'équilibre reste fragile, et votre médecin devra régulièrement contrôler toute une série de critères cliniques et biologiques plus ou moins compliqués pour s'assurer que la dialyse est efficace. Il est important que vous compreniez les grandes lignes de cette surveillance, et que vous y participiez activement en étant attentif aux critères suivants :

  • contrôle de votre tension artérielle (TA) : une tension artérielle élevée abîme les vaisseaux et le coeur. Il est nécessaire que votre TA soit normale, c'est à dire que le premier chiffre, la "systolique", soit inférieure à 160mm Hg, et que le deuxième chiffre, la "diastolique", soit inférieure à 95 mm Hg. Si ce n'est pas le cas, l'équipe du centre de dialyse où vous êtes traité prendra les mesures nécessaires à suivre attentivement : redéfinir votre poids sec, revoir votre régime alimentaire en diminuant le sel, prendre des médicaments antihypertenseurs.
  • surveillance de l'abord vasculaire : vous devez signaler à l'infirmière la moindre anomalie (douleur, rougeur, suintement, diminution de la vibration ou "thrill" à la palpation de la fistule),et veiller à ce qu'aucune prise de sang ou mesure de la TA soit faite à ce bras. Eviter de porter des vêtements trop serrés, ne pas comprimer la fistule en dormant, protéger la fistule par un bandage en cas de travail manuel exposé ou de sport "de contact" . Eviter de porter des poids trop lourd avec ce bras.
  • connaisance des chiffres qui définissent la dialyse adéquate, en fonction des techniques utilisées par l'équipe qui vous soigne (taux d'albumine, chiffre de Kt/v,...).
  • prise régulière des médicaments prescrits pour lutter contre l'anémie, régulariser le taux de cholesterol, normaliser les taux de calcium et phosphore.

La séance d'hémodialyse est-elle douloureuse ou pénible?

L'insertion de l'aiguile peut entrainer une douleur, mais temporaire, et qui peut être atténuée par l'utilisation d'une crème anésthésique. Pendant les premières séances de dialyse, les sujets peuvent présenter des nausées, des crampes, qui sont dues au fait que l'eau en excès dans le corps est retirée trop rapidement, entrainant une baisse de la pression artérielle. Peu à peu, ces troubles disparaîtront, et pendant la séance vous pourrez lire, regarder la télévision, voire travailler. Le rythme d'épuration le mieux adapté à votre organisme sera progressivement trouvé, et la sensation de fatigue, souvent notée en fin de séance, deviendra de moins en moins importante.

Mais si le régime alimentaire est mal suivi, si la prise de poids entre chaque séance est trop importante (> 2 kgs) nécessitant une énergique soustraction d'eau, le confort de la séance sera naturellement troublé, la fatigue en fin d'épuration sera importante (le sujet se dira véritablement "léssivé"...). Pour que tout se passe aussi bien que possible, il sera important de suivre les prescriptions diététiques.

 


Un régime alimentaire est-il nécessaire ?

Oui, parceque la plupart des substances de "déchet" qui s'accumulent dans votre organisme, de même que l'eau que les reins ne peuvent plus éliminer, provient de votre alimentation quotidienne.Pour que vous vous sentiez le mieux possible, et pour faciliter votre traitement, votre alimentation ne peut pas être entièrement libre, et une diététicienne, spécialiste de l'alimentation, vous expliquera de qu'il faut faire. Les grandes lignes de votre régime sont les suivantes :

  • contrôle de l'apport en protéines : trop de protéines augmente l'accumulation de déchets, pas assez de protéines facilite l'amaigrissement et la fonte musculaire. L'équipe qui vous soigne vous indiquera la ration de protéines qu'il vous faut, avec un bon équilibre entre les protéines d'origine animale (lait, viande, poisson, oeuf) et végétale (légumes, céréales).
  • contrôle de l'apport en sel : trop de sel fait monter la pression artérielle et stimule la soif, donc la quantité d'eau qui va s'accumuler dans votre organisme. Vous devrez donc diminuer la quantité de sel de votre alimentation, et il vous faudra du temps pour vous habituer à ce changement de goût. II y a heureusement beaucoup de moyens, trucs et recettes, pour qu'un régime pauvre en sel soit acceptable.
  • contrôle de l'apport liquidien : souvent en début de traitement par dialyse, les reins fabriquent encore une certaine quantité d'urines, ce qui vous permet une ration en liquide pas trop restreinte. Mais progressivement, le peu de fonction rénale restante va disparaître, et vous n'urinerez plus du tout. La restriction en liquide va devenir plus stricte, et c'est une des contraintes les plus désagréables du traitement. Une prise de poids excessive entre chaque dialyse, une tension artérielle trop élevée, seront les témoins d'une mauvaise observance du régime, avec les risques de graves complications cardiaques.
  • contrôle de l'apport en potassium : un excès de potassium dans le sang ("hyperkaliémie") peut être mortel. Ce sel minéral se trouvant en quantité dans certains aliments, il faudra donc en connaître la liste et éviter d'en prendre.

Une dialyse efficace, ou "adéquate", doit assurer un équilibre nutritionnel, et votre poids doit rester stable. Toute perte d'appétit doit être signalée à votre médecin, de façon à ce que votre régime soit vérifié, en s'assurant que l'apport en calories est suffisant, et en apportant si nécessaire un supplément de vitamines (acide folique essentiellement).

 


Comment vivre avec un cathéter péritonéal ?

Le cathéter péritonéal est un tube de plastique souple introduit dans la cavité abdominale lors d'une minime intervention chirurgicale, et laissé en place de manière permanente pendant des mois, des années. Il n'entraine pas de douleur, sauf s'il est déplacé, et l'infusion de 2 à 3 litres dans la cavité abdominale n'est pas douloureuse. Le risque essentiel étant l'infection de l'orifice de sortie, il est indispensable de suivre des règles d'hygiène très strictes : douche régulière, sous-vêtements propres, lavage/séchage des mains et port de masque avant chaque manipulation et vérification de la propreté de l'orifice, que l'on peut - mais ce n'est pas obligatoire - protéger par un pansement. Toutes ces règles vous seront données par les infirmières de l'équipe qui vous suit, ainsi que le rythme de visites de surveillance auquel vous devrez vous plier lorsque vous serez bien entrainé, en général une viste par mois .

 


Qu'est ce que la transplantation rénale ?

La transplantation rénale est une opération chirurgicale aucours de laquelle le chirurgien va mettre dans la partie inférieure de votre abdomen un nouveau rein normal qui fonctionnera à la place de vos reins malades. Ce rein est prélevé chez un donneur, qui peut être une personne vivante ou une personne qui vient de mourir.

Lorsqu'il s'agit d'une personne vivante, c'est le plus souvent un membre de votre famille ("donneur vivant apparenté"), qui n'a jamais été malade et qui s'est spontanément proposé pour donner un rein. Des examens spéciaux sont réalisés (le typage HLA) pour s'assurer qu'il y a le plus de compatibilité possible entre vous et le donneur, car il y a toutes les possibilités entre une identité complète (cas des rares greffes entre jumeaux vrais) et une incompatibilité totale. Les suites sont en général simples, et 10 années après la greffe les 3/4 des sujets mènent une vie normale, les autres ayant dû être repris en dialyse du fait de complications, la plupart d'entre eux attendant une nouvelle transplantation.

Mais le plus souvent, surtout en France, le rein a été prélevé chez un sujet décédé dans les suites d'un accident atteignant brutalement son cerveau ("mort cérébrale"). La loi a délimité de manière très précise les conditions dans lesquelles peut être fait un tel prélèvement sur cadavre, situation qui reste encore mal comprise par beaucoup. Les résultats de ces transplantations à partir de "reins de cadavre" sont à court terme, c'est à dire après la première année, presque aussi bons que ceux obtenus avec un donneur vivant, avec correction de tous les signes dus à la maladie rénale et reprise d'une vie normale, mais à long terme le pourcentage de sujets qui sera repris en dialyse est plus important, du fait de la survenue d'un rejet chronique difficile à traiter.


Qu'est ce que letypage cellulaire et lecross match?

Chaque individu a plusieurs marqueurs génétiques, ou antigènes, localisés sur la surface des leucocytes (globules blancs du sang).Un groupe de ces marqueurs est appelé HLA (Human Leucocyte Antigen). Le "typage cellulaire" est le nom donné aux tests qui permettent d'identifier les antigènes HLA , dont le nombre dépasse la centaine : un individu donné possède 6 antigènes HLA importants, organisés en sous groupes A,B et DR.

Ces antigènes sont hérités des parents, la moitié du père, l'autre moitié de la mère, chaque moitié comportant 3 antigènes étant appelée "haplotype". Dans une même famille, les frères et soeurs héritent leurs antigènes d'un même pool parental. Pour un des enfants, il y a 25% de chances pour qu'un autre frère/soeur ait les mêmes antigènes, c'est à dire qu'ils soient identiques, 50% de chances pour qu'un autre frère/soeur ait la moitié d'antigènes (1 haplotype) identiques, 25% de chance pour qu'il n'y ait aucun haplotype en commun.

Le conflit immunologique entre donneur et receveur sera beaucoup moins important chez les sujets identiques, comme le montre les résultats des greffes pratiquées chez des vrais jumeaux. Le typage HLA permet donc de sélectionner pour un receveur donné le meilleur donneur.

Mais un typage HLA identique ne garantit pas absolument un bon résultat de la greffe, car d'autres facteurs interviennent. Il faut en particulier rechercher si le receveur n'est pas sensibilisé aux antigènes du donneur, c'est à dire que son sang n'est pas porteur de substances, les "anticorps", dirigés contre les cellules du donneur. Lorsque ces anticorps existent, ils entrainent une rapide destruction du rein (rejet hyperaigu). La recherche de ces anticorps, ou "cross match", consiste à mettre le serum du receveur en présence de cellules (globules blancs) du donneur, et s'il y a destruction des cellules, le cross match est dit positif, interdisant la greffe. La sensibilisation du receveur vis à vis des antigènes d'un donneur potentiel se fait dans des circonstances diverses: grossesse antérieure (les antigènes du père ont sensibilisé la mère), transfusion, et de plus en plus souvent une greffe de rein qui a échoué.

On comprend qu'en dehors de la famille, il ne soit pas facile de trouver un donneur aussi compatible que possible, et que l'attente d'une greffe à partir d'un rein de cadavre puisse être longue.

 


Comment vit-on avec une greffe de rein ?

La transplantation rénale est le seul traitement capable de totalement corriger les graves troubles de l'insuffisance rénale chronique. La meilleure preuve est qu'une femme qui a été greffée peut mener à bien une grossesse et avoir des enfants normaux.

Votre régime alimentaire sera libre, avec quand même la notion que les corticoïdes, même à faible dose, favorisent la prise de poids, avec chez certains sujets un réel risque d'obésité : la diminution de l'apport calorique devient alors une obligation .

L'activité physique est recommandée,de même que la reprise d'une activité sportive qui souvent avait été abandonnée en dialyse. On recommandera aux sportifs d'éviter les risques de traumatisme abdominal.

Les voyages sont possibles, en évitant les pays trop dépourvus de structures de soins en cas d'incident.

Vous retrouvez donc une vie pratiquement "normale",...sous réserve de la prise régulière des médicaments "immunosuppresseurs" qui vous permettent de bien tolérer votre greffe, et d'une surveillance médicale qui détectera à temps les éventuelles complications toujours possibles. Plusieurs années après la greffe, et quand tout va bien, un contrôle biologique (créatinine sanguine, ) tous les 3 mois est suffisant.

Ce que vous devez faire pour une bonne "observance" :

  • connaître le nom et la dose des médicaments que vous prenez
  • prendre chaque médicament exactement comme cela vous a été prescrit par votre médecin responsable de votre greffe, et ne pas en changer les doses
  • faire régulièrement les examens demandés, et ne pas manquer les consultations prévues
  • contacter immédiatement l'équipe qui vous soigne en cas de signe anormal
  • connaître le dernier taux de créatinine
  • ne pas faire de l'automédication
  • prévenir votre médecin responsable de votre greffe en cas d'hospitalisation dans un autre service

Une grossesse est-elle possible ?

Sous dialyse, les grossesses sont rares, et seules un très petit nombre d'entre elles aboutissent à un enfant, en général prématuré. A l'inverse, après transplantation réussie, l'ovulation est normalisée, et les grossesses sont possibles, les médicaments immunosuppresseurs ne semblant pas avoir d'effet nocif sur l'enfant. Mais on conseillera fortement d'attendre au minimum 12 mois après la greffe avant d'envisager une grossesse, qui se déroulera normalement si la fonction rénale est normale et s'il n'y a pas eu d'antécédents de réaction de rejet. Si les suites de la transplantation ont été difficiles, si la fonction rénale n'est pas strictement normale, il faudra considérer cette grossesse comme à risques: risques de poussées d'hypertension artérielle, surtout risques de détérioration de la fonction rénale après l'accouchement. Il faudra en prévenir l'interessée, qui au demeurant prendra souvent ces risques sans demander l'avis de quiconque, la possibilité de grossesse ayant été sa motivation essentielle pour être greffée.

Sauver une vie en faisant un don d'organe

Pour de nombreux patients atteints d'affections chroniques irréversibles, la transplantation d'un organe est le dernier traitement possible. Un cœur, un foie, un rein peuvent leur sauver la vie. Malheureusement, la demande d'organes est actuellement plus importante que l'offre.

De son vivant avec consentement

Certains organes peuvent être prélevés de votre vivant parce qu'ils se régénèrent vite Cette intervention médicale comporte donc des risques infimes pour le donneur en regard des bienfaits prévisibles sur la santé du receveur. Ce don n'est possible qu'avec le consentement préalable :

  • du donneur s'il est âgé d'au moins 15 ans
  • du conjoint du donneur ou de son cohabitant
  • des parents ou du représentant légal du donneur s'il est mineur

Quand les conséquences médicales pour le donneur s'avèrent plus importantes, le prélèvement d'organes n'est réalisé que lorsque la vie du receveur est en danger.

Dans tous les cas, le médecin en charge de l'intervention médicale doit fournir au donneur les informations les plus claires sur les effets physiques, psychiques et sociaux que le prélèvement entraîne.

Après le décès : qui n'a dit mot, consent

Si vous êtes belge ou domicilié en Belgique depuis plus de 6 mois, la loi autorise le prélèvement de vos organes après votre décès sauf si :

  • Vous avez explicitement exprimé votre refus de votre vivant.
  • Votre famille proche (enfants, parents ou conjoint) s'y oppose.

Si vous ne voulez pas que des organes ou des tissus soient prélevés sur votre corps après votre décès, vous devez remplir un document à transmettre à votre commune.

La dialysse

Publié à 12:46 par sincerity
La dialysse

Existe-t-il une méthode idéale ?

Chaque technique présente des avantages, des inconvénients et des contre-indications. C’est au patient de prendre finalement la décision après en avoir discuté précocement avec son médecin généraliste, son néphrologue et sa famille.

Mode de traitement

Hémodialyse

Dialyse péritonéale

Durée

En moyenne, 4 à 6 heures tous les deux jours, auxquelles il faut ajouter les temps de transport pour se rendre sur le lieu de traitement et les temps de préparation. Au total, les malades consacrent près d’un tiers de leur temps d’éveil à leur traitement…

Quatre échanges par jour (durée globale de 40 à 60 mn chacun)

Ou

Une séance journalière unique d’une durée de 8h à 10 h, avec la possibilité de la réaliser la nuit, pendant le sommeil, en restant « branché » au générateur

Avantages

Cette technique permet d’oublier la maladie entre chaque séance, sans avoir de matériel médical à domicile.

Cette technique permet d’avoir la maîtrise de son traitement, de moduler ses horaires de dialyse, de ne pas dépendre d’un centre de dialyse.

Inconvénients

Cette technique nécessite de passer 4 à 6 heures plusieurs fois par semaine dans un centre de dialyse.

Certaines personnes supportent mal d’avoir l’avant bras déformé par une fistule car au fil du temps le vaisseau se dilate et n’est pas discret au regard des autres.

Cette technique nécessite chez soi un emplacement suffisant pour stocker le matériel et les solutés nécessaires. Un environnement médicalisé que le patient et son entourage devront accepter.

Certaines personnes supportent mal l’idée d’un tuyau qui sort de leur ventre mais qui est nécessaire pour cette technique.

Contre-indications

Il existe des difficultés pour la réaliser si le patient présente un mauvais état vasculaire ou si la pression artérielle est très basse du fait d’un état cardiaque perturbé. Ce qui peut être relativement fréquent chez certains patients diabétiques ou obèses.

Les contre-indications « relatives » sont la conséquence d’une obésité majeure, d’antécédents d’interventions chirurgicales abdominales importantes, de hernies abdominales récidivantes, d’une insuffisance respiratoire sévère ou au cours des premières semaines qui suivent un échec de transplantation.

 

Un traitement très lourd…

Parmi les différentes maladies graves et chroniques, l’insuffisance rénale traitée par dialyse est une de celles qui induisent les plus importantes dégradations de la qualité de vie… et celle qui implique les plus grandes difficultés d’adaptation pour les patients.

La dialyse n’est pas un traitement de tout repos. De plus, l’altération des reins a d’autres ialysseconséquences… ils sont désormais incapables de produire l’hormone appelée érythropoïétine (EPO), indispensable à la formation des globules rouges par la moelle osseuse. Depuis une quinzaine d’années, ce problème peut être traité grâce à une version synthétique cette hormone.

Entre deux séances, certaines règles alimentaires devront être suivies. En pratique, les légumes secs, les fruits secs, certains légumes et fruits frais, le chocolat, les oléagineux, les produits laitiers, les poissons et les crustacés, les abats, les oeufs, les charcuteries et tous les produits salés devront être consommés avec la plus grande modération.

Par ailleurs, les apports en boisson seront réduits, ce qui n’est pas sans conséquence pour les patients qui doivent lutter quotidiennement contre la soif.La dialysse                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           .... ....Je dois  refaire de la hèmodialyse le 2 mars 2011,Le 3/12/1998 je avais commence la dialysse jusque jour de ma transplantaton renale

La fistule actério veineuse

Publié à 19:22 par sincerity
 
La fistule artério veineuse (FAV)
 
 

 

La dialyse nécessite -quand cela est possible- la création d'un abord vasculaire adapté à un débit anguin important.


Cet abord est appelé Fistule artério veineuse (FAV)et est créé chirurgicalement sous anesthesie locale.

 

Avant l intervention, le néphrologue demande un doppler des membres supérieurs pour déterminer l'endroit le plus propice à cette création de FAV, c'est à dire, l endroit qui présente un réseau vasculaire suffisament dévelloppé.

 

Une fistule est la mise en communication d'une artère et d'une veine. Avec le temps, et sous l'effet de la pression artérielle, la veine va se dilater, avoir un débit plus important et augmenter sa résistance.

 

Le plus souvent, les FAV sont créées au niveau du poignet, de l avant bras ou du pli du coude. Parfois, surtout pour les FAV au pli du coude, une deuxieme intervention appelée superficialisation est nécessaire. Elle a pour but de remonter la veine un peu plus en surface pour faciliter les ponctions.

 

Les dites ponctions sont réalisées par des infirmières formées et expérimentées ou par le patient lui même dans le cadre des dialyse à domicile et après formation.

L'infirmière introduit donc 2 aiguilles de gros calibre :
- une pour amener le sang du patient jusqu au rein artificiel par le biais d une machine
- une pour rendre au patient le sang épuré

 

La ponction peut etre douloureuse, surtout au début. Il est souvent prescrit des patch anesthesiants à poser une heure avant la ponction et qui annule totalement l effet douloureux du geste.

 

Une FAV est précieuse! Il convient au patient d'y pfaire très attention et de la protéger. Le patient apprendra à repérer le thrill, sorte de souffle et de frémissement palpable lorsqu'il touche sa FAV. C'est l'indicateur du bon fonctionnement de l'abord!

 

Au quotidien 
 
- ne plus se servir du bras de la FAV pour la prise de tension arterielle
- ne pas permettre la realisation de prise de sang ou d injection sur l abord en dehors des seance de dialyse
-eviter de dormir sur la FAV
- ne pas porter de vetement trop serrés, de bracelet, de montre
- ne pas porter de charges lourdes sur l avant bras
- proteger la FAV lors d activités telles que le jardinage, le bricolage...

 

 

Bonsoir mes Ami(e)s je mettrai mon blog en mode  ralenti pour raison de santé,en 1998 j'ai du faire de la dialysse pendant 33 mois jai subi une transplatation renale tout c'est bien passe mais la chance m'a abondonne qar mon rein est en phace terminale avec une filtration de 13% mercredi on ma mis une fistule actério veineuse pour faire de la dialyse quand ce sera nécessaire pour le moment je n'ai pas trop le moral est je suis tres fatigue mais je ne vous oublie pas mes ami(e) Bisous et amitié de Annick                                      La fistule actério veineuse

J'ai ete greffe d'un rein

Publié à 22:58 par sincerity
J'ai ete greffe d'un rein

Qu'est-ce qu'une greffe ?

Une greffe est la mise en place dans le corps humain d'un organe étranger qui lui est devenu nécessaire.

On greffe :

  • Pour remplacer ou suppléer un organe en défaillance sévère et irréductible, et dont la fonction est vitale.
  • Pour permettre à un malade de retrouver une existence normale.

 

Une autogreffe est une greffe dans laquelle le greffon provient du sujet lui-même. Le donneur est le sujet qui va recevoir la greffe.
Une allogreffe (ou homogreffe) est une greffe faite à partir d'un donneur.
Une xénogreffe est une greffe pratiquée entre deux organismes d'espèce différente, par exemple greffe d'un organe d'animal chez l'homme.

Quels sont les tissus et les organes que l'on greffe ?

Prélevés de son vivant (plus de détails) :

  • Essentiellement les Cellules Hématopoïétiques (ou moelle osseuse, donneurs familiaux ou non)
  • Rein, entre proches du cercle familial
  • Peau
  • Fragments osseux
  • Lobe hépatique et lobe pulmonaire (exceptionnellement)

Prélevés aprés la mort :

  • Coeur
  • Foie
  • Rein
  • Coeur-poumon
  • Poumon
  • Pancréas
  • Os - cartilage
  • Cornée (partie transparente du globe oculaire, située devant l'iris - on ne prélève pas l'oeil)
  • Peau
  • Intestin (rarement)

Depuis quand greffe-t-on ?

Les premiers succès chez l'homme,dans le monde, sont :

  • 1959 pour le rein
  • 1967 pour le coeur
  • 1981 pour le bloc coeur-poumon

Premières transplantations en France :

  • Rein : 1955
  • Coeur : 1968
  • Foie : 1972
  • Pancréas : 1976
  • Coeur-poumon : 1982
  • Poumon seul : 1987
  • Première greffe de moelle osseuse en France : 1956

Quelles sont les conditions pour qu'une greffe réussisse ?

Il faut :

  • d'une part, greffer un tissu ou un organe dont les caractéristiques biologiques soient les plus proches de celle du receveur: c'est la compatibilité tissulaire ;
  • d'autre part, maîtriser les phénomènes inéluctables de rejet.

Qu'est-ce que la compatibilité tissulaire ?

C'est la plus ou moins grande similitude biologique des tissus du donneur avec ceux du receveur.

Chaque être humain se définit, sous l'angle biologique, par des antigènes réunis en un groupe tissulaire qui lui est propre. On parle encore de groupe HLA (Human Leucocyte Antigen) parce que ces antigènes, spécifiques de l'individu, se localisent électivement à la surface des globules blancs, tout en existant aussi sur l'enveloppe des autres cellules de l'organisme.

Quand le donneur possède le même groupe tissulaire que le receveur ou un groupe très voisin, on dit qu'il y a compatibilité : le greffon est accepté; la greffe réussit. Dans le cas contraire, il y a rejet du greffon donc, échec de la greffe.

Qu'est-ce que le rejet ?

Le rejet est un phénomène naturel.

C'est la destruction, après sa reconnaissance, de tout élément étranger pénétrant dans un organisme vivant; réaction bénéfique quand il s'agit d'un microbe,par exemple ; réaction regrettable quand il s'agit d'une greffe.

On peut agir sur le phénomène de rejet d'une greffe en atténuant l'intensité de la réponse immunitaire, grâce à des médicaments appropriés en particulier la Ciclosporine, qui depuis les années 80, a permis la multiplication des greffes. Le taux de survie des patients s'est accru de manière spectaculaire.

Chacun peut-il être donneur ?

Tout sujet en état de mort encéphalique, malgré tous les efforts des médecins pour le sauver, doit être considéré comme un donneur potentiel. Dans ce contexte, les médecins entreprennent les recherches des antécédents médicaux et la réalisation d'examens sérologiques permettant de dépister d'éventuelles maladies transmissibles. Seuls ces examens, effectués juste avant le prélèvement, autoriseront ou non le don d'organes et de tissus. On ne définit pas de contre-indications à prori.

En pratique, la qualité fonctionnelle du greffon dépend en grande partie des conditions dans laquelle survient la mort. Un organe dont la fonction est douteuse sera refusé.

Il n'y a pas de limite d'âge légale, cela dépend des organes concernés. Le critère retenu est la qualité des organes prélevables. C'est l'état physiologique du donneur et les circonstances de sa mort qui en décident.

Comment puis-je faire connaître ma position vis à vis du Don d'Organes ?

Si je refuse tout prélèvement d'organe le jour de mon décès, j'ai la possibilité de m'inscrire sur le Registre Nationale des Refus, auprès de l'Agence de la biomédecine. J'aurai dès lors l'assurance de ne pas être prélevé.

Si au contraire je suis résolument POUR le Don d'Organes, je dois :

  • le signaler à mes proches, afin que ceux-ci puissent témoigner de ma volonté,
  • mieux, porter sur moi une carte de donneur d'organes. Celle-ci n'est pas obligatoire mais facilite grandement le don. Elle me permet d'affirmer ma position et signifie que "j'accepte que le jour de mon décès, si les circonstances le permettent, on me prélève des organes pour greffer à des malades en attente".
  • Je peux m'entionner à mes proches ma volonté d'exclure du prélèvement un ou des organes particuliers.

Il n'y a pas d'âge minimum pour prendre sa carte de donneur : même un mineur peut affirmer ainsi sa position. Il faut simplement savoir qu'en cas de décès (idem pour un majeur faisant l'objet d'une mesure de protection légale), le prélèvement ne peut avoir lieu qu'avec l'accord des parents. L'expérience prouve que de connaître la position de leur enfant facilite le choix des parents.

Qu'est-ce que la mort encéphalique (cérébrale) ?

C'est l'arrêt de toute activité cérébrale. Cet état est irréversible. La certitude de la mort est incontestable, confirmée par des examens médicaux spécialisés.

En état de mort encéphalique, les grandes fonctions de l'organisme doivent être maintenues par une circulation sanguine et une assistance ventilatoire et un maintien du corps à température pour une bonne conservation des organes.

Tous les greffons conviennent-ils ?

Le greffon est l'organe ou le tissu que l'on greffe.

A l'exception du rein, l'organe doit être de même volume ou légèrement inférieur (poumon) que celui qui est à remplacer, en bon état fonctionnel et le plus compatible possible au plan immunologique.

Un greffon qui convient est aussi un greffon géographiquement disponible, c'est-à-dire que le transport et les conditions matérielles de mise en oeuvre permettent de le faire parvenir là où se trouve le receveur dans des limites de temps compatibles avec la durée de survie du greffon (ischémie froide). Elle varie selon l'organe.

A qui va le don ?

Le don est strictement ANONYME. Tous les individus ont des chances égales quant à l'attribution des greffons. Quand un organe est disponible, il est attribué selon des règles strictes dont l'Agence de la biomédecine est garante.

Peut-on vendre un organe ?

NON. Le don est un acte bénévole. Il ne peut faire l'objet d'aucune compensation, financière ou autre.

Pour le receveur, l'organe transplanté est GRATUIT. Les soins reçus pendant l'hospitalisation du donneur avant son décès sont pris en charge par l'organisme social dont il dépend

La loi Bioéthique prévoit de très lourdes sanctions dans le cas où ces règles ne seraient pas respectées.

Est-ce que le Don d'Organes et le don du corps à la science sont la même chose ?

NON. Le Don d'Organes est un don pour la vie. Bien que la personne soit décédée, ses organes sont maintenus en état de fonctionner. Après prélèvement(s) l'aspect extérieur du corps fait l'objet des plus grands soins de la part des médecins, avant la restitution à la famille pour le rite funéraire de chacun.

"Léguer son corps à la science", c'est donner l'ensemble de son corps, après la mort, pour les besoins d' une faculté de médecine. Le corps ne sera pas restitué à la famille. Ce type de don est payant par le donateur (frais de transport et de conservation du corps). Il doit s'adresser au Laboratoire d'anatomie d'un CHU ou à la faculté de médecine la plus proche

Qui prélève ? Où prélève-t-on ?

Le prélèvement est effectué par une équipe médico-chirurgicale spécialisée d'un hôpital ayant obtenu l'agrément.

Le prélèvement est obligatoirement pratiqué dans un hôpital habilité par le ministère de la santé et le préfet du département.

Si le sujet en état de mort encéphalique se trouve dans un hôpital non habilité, le transfert vers un hôpital préleveur est indispensable. Le transfert est obligatoirement médicalisé (ex. Samu).

Une fois le(s) prélèvement(s) effectué(s), le corps est ramené dans son hôpital d'origine, sans frais supplémentaire pour la famille du donneur.

On prélève chez le même donneur un ou plusieurs organes selon leur état et les besoins.

Comment conserver et transporter le greffon ?

En France, tous les organes prélevés sont conservés par le froid dans des liquides de conservation.

Le transport est effectué au plus vite (véhicule automobile, T.G.V., avion, hélicoptère...). La durée de conservation, variable selon les organes, n'excède pas quelques heures.

Qui paie le prélèvement ?

Le donneur en état de mort encéphalique est pris en charge par la Sécurité Sociale. Seuls sont dus les soins reçus pendant l'hospitalisation du donneur avant son décès.

Le transport d'un hôpital non préleveur à un hôpital préleveur est pris en charge par l'organisme de couverture sociale du receveur ; il en est de même de l'hospitalisation en réanimation et des examens pratiqués.

Les frais des prélèvements sont facturés aux hôpitaux qui ont transplanté.

Pour la famille du donneur, le prélèvement n'entraîne aucun frais lié à cette intervention. Par contre, le corps une fois rendu à la famille, celle-ci supportera les frais d'obsèques identiques, qu'il y ait eu prélèvement ou non.

Comment le receveur est-il sélectionné ?

C'est l'Agence de la biomédecine qui dispose des critères, attribue les greffons et à ce titre gère la liste nationale des patients en attente de greffe.

Le mode de sélection dépend, selon l'organe, des règles de priorité fondées sur des critères exclusivement médicaux, géographiques, et du temps de conservation du greffon qui est différent suivant l'organe concerné.

Peut-on être greffé plusieurs fois ?

C'est possible mais on est alors limité par la résistance naturelle du corps humain aux interventions répétées. L'organisme a déjà fabriqué des anticorps dirigés vers l'organe greffé considéré comme étranger ( on dit du malade qu'il est "hyperimmunisé").

Qui greffe ?

La greffe est effectuée dans le service spécialisé d'un hôpital habilité aux transplantations, par une équipe rompue à ce type d'interventions. Les greffes d'organes ne peuvent se dérouler que dans le secteur public. Les greffes de tissus sont possibles dans le secteur privé ou public.

Quelles sont les complications possibles d'une greffe ?

Les complications possibles sont essentiellement de deux sortes :

  • le rejet : la greffe n'est pas tolérée par le receveur.
  • l'infection : en luttant contre le rejet, on diminue les capacités de défense de l'organisme contre les bactéries, virus et parasites rendant le patient plus vulnérable (immuno-déprimé). Des agents, comme le CMV (cytomégalo virus) présent de façon anodine chez une grande partie de la population, sont actifs chez un sujet immuno-déprimé.

Les traitements anti-rejet.

La contrainte principale est liée à la nécessité de poursuivre le traitement immunosuppresseur (médicament anti-rejet) à vie. Cela impose une surveillance régulière.

"La greffe est souvent vécue comme une seconde naissance" reprise d'une activité professionnelle ou d'une scolarité normale, exercice de presque tous les sports.

Quelle est la position des différentes religions ?

La plupart des courants religieux sont favorables au Don d'Organes : le catholicisme, le protestantisme, l'islam, le judaïsme,une des grandes familles du bouddhisme.

Néanmoins, il faut noter l'opposition de l'hindouisme et du shintoïsme

Que l'on ait une conviction religieuse ou non n'influe évidemment pas sur les notions de fraternité, d'amour, de dignité, de respect. Les prélèvements et transplantations d'organes ne posent pas de problèmes particuliers, ils incitent cependant à une profonde réflexion 

journée internationale des personnes handicapées

Publié à 13:07 par sincerity
journée internationale des personnes handicapées

Journée internationale des personnes handicapées (2009) « Assurer l’intégration des personnes handicapées à la réalisation des objectifs du Millénaire pour le développement  » « Donnons aux personnes handicapées les moyens d’apporter leur contribution indispensable à la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement » - Message du Secrétaire général

Thème de la Journée internationale des personnes handicapées en 2009

Célébrée chaque année le 3 décembre, la Journée internationale des personnes handicapées vise à faire mieux connaître les questions de handicap, les droits des personnes handicapées et les avantages qu’il y a à les associer à tous les aspects de la vie politique, sociale, économique et culturelle de leurs communautés. Elle est l’occasion de mobiliser les énergies pour veiller à ce que les personnes handicapées puissent exercer leurs droits humains et participer à la vie de la société sans réserve et dans des conditions d’égalité, conformément à l’objectif qui a été fixé par le Programme d’action mondial concernant les personnes handicapées, adopté par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1982.

Données générales

Les personnes handicapées comptent pour près d’un dixième de la population mondiale, et des études récentes indiquent qu’elles représentent jusqu’à 20 % des plus démunis dans les pays en développement. Nombre d’entre elles se heurtent encore à des obstacles qui les empêchent de participer à la vie de leurs communautés, et sont souvent contraintes de vivre en marge de la société. Elles sont souvent victimes de préjugés et de discriminations, et se voient régulièrement refuser la jouissance de droits aussi élémentaires que le droit à l’alimentation, à l’éducation, à l’emploi, aux soins de santé et à la médecine de la procréation. Nombreuses sont celles qui sont placées de force dans des institutions, ce qui constitue une violation flagrante de leurs droits à la liberté de mouvement et à vivre dans leurs communautés.

L’ONU œuvre depuis longtemps en faveur des droits et du bien-être de chacun, y compris des personnes handicapées. Elle s’emploie à leur permettre de participer pleinement et effectivement, dans des conditions d’égalité avec les autres, à la vie civile, politique, économique, sociale et culturelle, de façon à bâtir une société pour tous. Sa détermination à garantir la pleine jouissance, dans des conditions d’égalité, de tous les droits de l’homme par les personnes handicapées procède d’un désir de justice et d’équité sociales dans tous les domaines du développement de la société. Cet engagement a trouvé son expression dans le cadre d’intervention international formé par le Programme d’action mondial concernant les personnes handicapées et les Règles pour l’égalisation des chances des [personnes] handicapé[e]s, qu’est venu renforcer un instrument juridique international, la Convention relative aux droits des personnes handicapées, en vue de donner aux personnes handicapées du monde entier les moyens d’améliorer leur existence et celle de leurs communautés.

Objectifs du Millénaire pour le développement et personnes handicapées

L’ONU et la communauté internationale continuent à œuvrer pour inclure les personnes handicapées dans tous les domaines de la vie sociale et du développement. Malgré les nombreux engagements qui ont été pris pour faire une place au handicap et aux personnes handicapées dans le développement, le décalage entre politiques et pratique subsiste.

Si l’on veut réaliser les objectifs de développement arrêtés au niveau international, tels les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), assurer l’intégration des personnes handicapées dans toutes les activités de développement est une condition sine qua non. Le seul moyen de réaliser les OMD est d’inclure les personnes handicapées et leurs proches, qui pourront par la suite bénéficier des initiatives internationales en faveur du développement. Les efforts visant à réaliser les objectifs du Millénaire pour le développement et à appliquer la Convention sont interdépendants et complémentaires.

Un important moyen d’action pour faire le lien entre politiques et pratique : la réadaptation à base communautaire (RBC)

L’une des méthodes efficaces destinée à associer les personnes handicapées au développement est la réadaptation à base communautaire (RBC), qui est appliquée dans plus de 90 pays du monde. Élément constitutif de la stratégie globale de développement local visant à réduire la pauvreté, égaliser les chances et faire participer les personnes handicapées à la vie de la société, la RBC est une méthode souple et dynamique, qui s’adapte à la diversité des conditions socioéconomiques, terrains, cultures et systèmes politiques de par le monde et englobe l’accès aux soins de santé, à l’éducation, aux moyens d’existence, à la participation à la vie locale et à l’intégration dans la communauté. La capacitation des personnes handicapées et de leurs proches est la clef de voûte de tout bon programme de RBC.

La RBC sert de trait d’union entre les personnes handicapées et les initiatives pour le développement. Elle est mise en œuvre grâce aux efforts conjugués des personnes handicapées, de leurs proches, des associations, des groupes locaux et des organisations gouvernementales et non gouvernementales (ONG) actives dans le domaine du développement. La RBC, qui fait en sorte que les initiatives de développement accordent une place aux personnes handicapées, est de plus en plus considérée comme une composante essentielle du développement local. Elle sert, par une action de proximité, à donner aux personnes handicapées (individuellement et collectivement) les moyens d’exercer leurs droits et à promouvoir le respect de leur dignité intrinsèque, en veillant à leur garantir les mêmes droits et les mêmes chances qu’aux autres citoyens.

De nouvelles idées et solutions pourront être étudiées cette année pour examiner de quelle manière la RBC est susceptible de traduire sur le plan opérationnel la Convention relative aux droits des personnes handicapées, les OMD pour tous et les législations nationales en la matière, et rappeler à quel point il importe de prendre en compte les personnes handicapées et leur contribution et de leur permettre de prendre part au développement de leur société.

la journée mondial contre la diabéte

Publié à 09:43 par sincerity
la journée mondial contre la diabéte

La Journée Mondiale du Diabète, organisée par la Fédération Internationale du Diabète (FID) et soutenue parl'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), est la plus importante campagne mondiale de sensibilisation au diabète. Elle a été lancée en 1991 comme réponse à l’escalade de l’incidence du diabète dans le monde. Depuis, elle a gagné en popularité et rassemble désormais des millions de personnes dans le monde entier, dont les leaders d’opinion, les professionnels et prestataires de soins de santé, les médias, les personnes atteintes de diabète, et le grand public.

Le choix de la date...
La Journée Mondiale du Diabète est célébrée chaque année le 14 Novembre. Cette date a été choisie car c’est l’anniversaire de Frederick Banting qui, avec Charles Best, a pour premier développé la théorie à l’origine de la découverte de l’insuline en 1922.

Où est elle célébrée ?
La Journée Mondiale du Diabète est célébrée dans le monde entier par les 190 associations membres de la Fédération Internationale du Diabète (FID) dans 150 pays, ainsi que par d'autres associations, des prestataires de soins de santé, et des personnes avec un intérêt pour le diabète. Les associations membres de la FID organisent un grand nombre d’activités qui sont ciblées vers une variété de groupes, telles que : Emissions de radio et de télévision, Manifestations sportives, Tests de dépistage gratuits, Réunions d’information du public, Campagnes d’affichage (posters et dépliants), Ateliers et expositions sur le diabète, etc...

Le logo

En 1996, un logo permanent a été dessiné pour créer une identité globale et puissante pour la Journée Mondiale du Diabète. Le logo combine l’équilibre et le travail d’équipe et est basé sur le symbole bien connu du Yin et du Yang.  Un équilibre exact d’insuline, de médication, d’un régime alimentaire et d’activité physique est essentiel pour la gestion du diabète, tout comme la coopération entre les personnes atteintes de diabète, leurs amis et familles, les professionnels des soins de santé, et les autorités publiques.

 

Au Québec
Selon Diabète Québec, en 2005, on estimait à 400 000 le nombre de Québécois touchés par cette maladie et si la tendance se maintient, on prévoit qu'en 2016, plus de 800 000 québécois en seront atteints. D'où l'importance de mobiliser la population pour enrayer le phénomène. Pour le directeur du CRDM, le Dr Marc Prentki, "La progression alarmante du surpoids chez les jeunes a des conséquences dévastatrices sur l'augmentation du diabète de type 2 qui n'est plus réservé aux adultes. La recherche sur les causes de cette maladie et les moyens de la prévenir ou la soigner est essentielle à la résolution de ce problème de santé publique au niveau mondial."

stem celle traitement du diabéte

Publié à 16:15 par sincerity
stem celle traitement du diabéte

Stem Cell traitement du diabète Le diabète de type 1 Cette forme de diabète se développe souvent à un jeune âge et se caractérise par un déficit en produisant de l'insuline des cellules. C'est une maladie auto-immune, ce qui signifie que les productrices d'insuline, les cellules du pancréas par les propres cellules du corps sont détruits. Cette destruction a un effet de pénurie de l'insuline, ce qui rend la valeur de la glycémie trop élevée.

Diabète sucré de type 1 est une affection dégénérative, traditionnellement traités par injection d'insuline. Ces injections remplacer l'hormone manquante, mais des complications peuvent survenir telles que:

  • Maladies cardio-vasculaires
  • Des yeux et des problèmes rénaux
  • Une mauvaise circulation du sang dans les capillaires
  • Les dommages aux nerfs (neuropathie)
  • Foot problèmes (pied diabétique)
  • Une susceptibilité accrue aux infections
  • Troubles de l'érection

Le diabète de type 2

Dans le type 2 diabète rend le corps lui-même est généralement toujours produire de l'insuline mais pas assez. Il est également possible que le corps est devenu insensible à l'insuline. Dans les deux cas, cela conduit à trop de glucose dans le sang afin que les patients peuvent développer les mêmes symptômes que ceux de type 1 diabetes.

Le diabète sucré de type 2 est de loin le plus fréquent, surtout chez les personnes âgées et en surpoids. Les experts estiment qu'environ un tiers des personnes atteintes de diabète de type 2 ne savent même pas qu'elles en sont atteintes.

Le Xcell centre de traitement du diabète sucré

Le Xcell-Center a développé un traitement pour le diabète qui est unique en Europe. Le patient est traité par ses propres cellules souches. Cette approche peut être utilisée pour traiter les symptômes créés par un excès de glucose, comme le pied diabétique. Mais une thérapie aux cellules souches mai également cibler le pancréas, qui sont les cellules qui créent de l'insuline. Le Xcell-Center traite à la fois la cause et les complications du diabète.

Les cellules souches sont extraites de la moelle osseuse de la hanche (ilium) du patient. Après une inspection minutieuse en laboratoire, les cellules souches sont retournés à l'organisme à l'endroit où ils sont nécessaires.

Ces cellules implantées ont la capacité de cellules endommagées dans le corps à réparer, comme les cellules bêta du pancréas. Le Xcell centre de traitement de cellules souches utilise la capacité du corps à se réparer. Parce que les cellules souches sont extraites du corps, il n'y a pratiquement aucune chance d'une réponse immunitaire.

Résultats

Le tableau ci-dessous montre les résultats (à Janvier 2008) d'une étude menée auprès de 23 patients traités de diabète (type 1 et 2). La recherche se situe entre un et six mois après le traitement effectué. Resultaten van de diabetesbehandeling na 1-6 maanden

  • Trois des 23 patients ont indiqué qu'aucun progrès après le traitement. Les deux utilisent des drogues et la perception de la santé n'a pas changé de place.
  • Dix des 23 patients après traitement avec 25% - 50% de moins d'insuline ou autres médicaments pour le diabète de besoin. Les perceptions de santé améliorés. Le HBA1cniveau du sang est resté stable ou s'est amélioré.
  • Dix des 23 patients après traitement a indiqué un avis de forte amélioration. La dépendance de l'insuline et / ou d'autres médicaments oraux contre le diabète a augmenté de plus de 50% de rabais. Un certain nombre de patients avait un ulcère de jambe fermées. Le HBA1c niveau est le même ou améliorés (réduit). Les patients ont donné de se sentir beaucoup mieux et presque jamais à souffrir de douleurs liées.
  • Aucun des patients ont indiqué une détérioration de la condition à un avis après un traitement médical.

Sur ces 23 patients, neuf des (poly) neuropathie. Le graphique suivant montre que le patient éprouvait une réduction de la neuropathie, tandis que huit patients ont exprimé une nette réduction de la neuropathie, ayant presque totalement disparu, ou la douleur. Resultaten van de polyneuropathiebehandeling na 1-6 maanden

Coûts

Le coût du traitement dépend de la méthode de thérapie. Les médecins seront XCell-Center en utilisant les dossiers médicaux et les taux sanguins de déterminer quelle méthode de traitement la plus appropriée.
Administration par des coûts de l'angiographie € 8.925, -.
La thérapie cellulaire utilisant la ponction (intrathécale lombaire) coûte € 7545, -.

le diabéte du type 1

Publié à 15:35 par sincerity
le diabéte du type 1

L'incidence du diabète de type 1 chez les enfants européens est en augmentation. Entre 2005 et 2020 sont une augmentation de 70 pour cent en diabétiques de type 1 moins de 15 ans prévus. Cela montre une étude multi-center Le Lancet a publié en ligne Mai 28.

Dans les registres de 17 pays européens a été examiné combien de nouveaux cas de diabète de type 1 chez les enfants de moins de 15 ans il y avait eu entre 1989 et 2003. Qui a été en moyenne de 3,9 pour cent par an. Chez les enfants de moins de 5 ans a été que, même 5,4 pour cent par an. Si cette tendance se poursuit ainsi, le nombre d'enfants très jeunes atteints de diabète insulino-dépendant doublé en 2020. Dans l'Est du pays européen, l'incidence plus vite que dans l'Europe occidentale.

Cette étude fait aucune recherche sur les raisons de l'augmentation, mais il semble probable que les facteurs environnementaux jouent un rôle. Ces changements rapides ne peuvent pas être imputables à des changements génétiques. Le fait que dans l'ancien bloc de l'Est, le nombre des enfants atteints de diabète de type 1 les hausses les plus rapides, mai indiquent que cette variante associée au mode de vie diabète. Étant donné que la situation évolue plus rapidement qu'auparavant et puis dans d'autres pays.

Beaucoup d'attention ces dernières années a été l'incidence croissante du diabète de type 2, ou le sucre âge chez les enfants et les adolescents. Mais maintenant évident diabète de type 1 est aussi plus fréquente, particulièrement chez les plus jeunes enfants. Les auteurs insistent donc de prendre en compte notamment une augmentation chez les patients qui présentent une céto-acidose.

l'hémodialyse

Publié à 14:10 par sincerity
l'hémodialyse

Qu’est-ce que l’hémodialyse?

L’hémodialyse (HD) en abrégé est un traitement qui Permet d’éliminer les déchets et les liquides en excès qui s’accumulent dans le sang et dans les tissus corporels Suite à l’apparition de l’insuffisance rénale. Cette technique permet d’en éliminer relativement rapidement des quantités importantes. L’hémodialyse est donc utilisée comme thérapie intermittente, c’est à dire qu’en règle générale, elle est réalisée trois fois par semaine pendant une durée de 3 à 5 heures.

L’épuration du sang a lieu à l’extérieur de l’organisme grâce à un circuit extracorporel et un « rein artificiel », également appelé dialyseur. Le sang circule depuis l’abord vasculaire du patient vers le dialyseur en passant par la ligne à sang artérielle; après quoi, il est restitué au patient par la ligne à sang veineuse. Ce processus est régulé et contrôle par un appareil de dialyse.

Le dialyseur est constitué d’une membrane enserrée dans une coque en plastique. La membrane est une fine pellicule dotée de nombreux pores microscopiques. Au cours de la dialyse, le sang circule d’un côté de la membrane tandis qu’un liquide spécifique, appelé liquide de dialyse, circule de l’autre côté. Il existe une différence de concentration des déchets entre le sang non épuré et le liquide de dialyse propre. Les déchets ont donc tendance à migrer du sang vers le liquide de dialyse, à travers les pores de la membrane. Ce mécanisme de transfert est appelé diffusion. Les pores permettent ainsi le passage des petites molécules, telles que les déchets et l’eau, du sang vers le liquide de dialyse. Les molécules et substances de plus grande taille, telles que les protéines et les cellules sanguines, sont retenues dans le sang. Afin d’éliminer les liquides en excès du sang, l’appareil de dialyse crée au niveau de la membrane, une pression d’aspiration du côté du liquide de dialyse. Cette pression permet le passage de l’eau à travers les Pores de la membrane, vers le liquide de dialyse, pour être ensuite évacuée. Ce mécanisme d’épuration de l’eau est appelé ultrafiltration.

  1. Les greffes :

Le nombre de greffes effectuées en France a dépassé la barre des 4 000 en 2005. Soit une augmentation de 32 % sur 5ans. Malgré tout, les patients sur liste d’attente sont toujours plus nombreux. Ils étaient près de 7 000 fin 2005, en augmentation de 4 % ! Au total l’an dernier, 4 237 greffes ont été réalisées dont 2 572 ont concerné les reins, 1 024 le foie, 339 le coeur, 183 les poumons, 92 le pancréas et 6 l’intestin. A noter aussi 21 greffes de bloc coeur-poumon. Entre 2004 et 2005, le nombre de greffes a donc augmenté de 7 %.Malgré cette progression « la situation de pénurie persiste»,affirme dans un communiqué l’Agence de Biomédecine. En 2005 près de 12 000 personnes ont eu besoin d’une greffe d’organes et 186 patients sont décédés faute de greffon. L’Agence insiste particulièrement sur le fait que les seniors (60 ans et plus) aussi peuvent donner.    moi j'ai fait de la dyalyse du 3/12/1998 jusque j'ai ete transplantain d'un rein