Un policier de Manhattan a été photographié alors qu’il offrait son pull à un sans-abri. Le geste de ce bienfaiteur a été rapporté par le New York Daily News et le New York Post.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   "Je lui ai donné mon pull parce qu’il faisait très froid", a expliqué l’officier Carlos Ramos. "J’ai vu qu’il était dans le besoin et c’est mon job de l’aider", s’est justifié le policier new-yorkais de 29 ans.Ramos était chargé d’assurer la sécurité autour du siège des Nations Unies à Manhattan, vendredi matin, lorsqu’il est tombé sur Robert William, un sans-abri assis pieds-nus à même le trottoir, vêtu d’un simple t-shirt à longues manches."C’était une journée glaciale. Je l’ai senti parce que même emmitouflé, j’avais froid", se rappelle Carlos Ramos. Il a proposé au sans-abri de le conduire dans un refuge ou à l’hôpital mais il a refusé. "Je lui ai dit ‘J’ai un sweat épais, prenez-le’" Mais Robert William a une nouvelle fois refusé. "J’étais inquiet pour lui et lui ne voulait surtout pas que j’aie froid à mon tour", raconte Ramos.

Le pauvre homme a finalement accepté la proposition du policier qui a oté son pull pour lui offrir. Ainsi réchauffé, Robert William a utilisé la chemise sur laquelle reposaient ses pieds pour se faire des chaussettes et pouvoir enfiler ses chaussures. L’homme s’est retrouvé dans la rue suite à une dispute avec son colocotaire, selon la presse new-yorkaise.

Carlos Ramos a déjà aidé d’autres sans-abris, "spécialement quand il fait froid", précise-t-il: "une tasse de café ou de thé, tout ce qui peut sembler approprié". C’est l’envie d’aider les autres qui l’a poussé à faire ce métier.

L’an dernier à la même époque, un autre policier new-yorkais, Lawrence Deprimo, était devenu un héros après avoir acheté une paire de chaussures à un sans-abri.

(Source : 7s7/Daily News)© photo news.

L’image du jour : La foudre frappe le Grand Canyon     Crédit photo : Rolf Maeder

En Laponie, les musiciens d’Ice Music jouent avec des instruments en glace et dans un igloo ! Concept osé et rafraîchissant, les concerts Ice Music qui seront prochainement donnés en Laponie suédoise à partir du mois de décembre auront lieu dans un igloo. Afin de rendre la chose encore plus étonnante, tous les instruments utilisés par les musiciens seront entièrement composés de glace.

 Entre le 26 décembre et le 6 avril prochain, la Suède va être le théâtre de concerts pas comme les autres où l’auditorium ne sera ni plus ni moins que situé au sein d’un véritable igloo. Un concept plutôt curieux où la musique qui sera donnée sera pour sa part entièrement jouée à l’aide d’instruments éphémères tout spécialement étudiés et conçus pour l’occasion.

Des concerts givrés donnés avec des instruments en glace :

À Luleå cet hiver, la saison froide risque de ravir les mélomanes et les grands amateurs de froid polaire. En effet dès la fin du mois de décembre et ce, jusqu’au printemps prochain, cette ville de Laponie suédoise va résonner de dizaines d’instruments de musique utilisés par des musiciens qui viendront donner des concerts dans un igloo. Mais ce n’est pas tout. Poussant le concept jusqu’au bout, les organisateurs de cet événement ont imaginé créer des instruments de musique au temps de vie limité puisque entièrement constitués… de glace!

Ainsi, pour éviter que les instruments de musique ne fondent durant le temps de la représentation, les organisateurs de ces concerts polaires ont prévu de maintenir la température de "la pièce" à -5°C en créant un trou d’aération au sommet de l’igloo dans le but de permettre à la chaleur dégagée de pouvoir être évacuée. Autre précaution prise pour éviter que les instruments ne se liquéfient durant le concert: les instruments comme les violons sont dotés de protections en plastique évitant ainsi que la chaleur renvoyée par l’haleine des musiciens ne les altèrent. "S’il fait trop froid, les instruments peuvent se briser, s’il fait trop chaud, ils fondent", explique Karin Åberg, du festival Ice Music, au site The Local.

Pour venir assister à ces concerts exceptionnels – en dehors du coût du billet d’avion pour se rendre déjà sur les lieux -, il faut débourser la somme de 32 euros. il vous suffit ensuite de profiter d’un spectacle magique qui mêlera musique traditionnelle ainsi que contemporaine.

(Source : Yahoo)

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"Depuis la végétation jusqu’à notre corps physique, ce sont des fils qui forment la texture du vivant. Les arbres avec leurs racines, leur tronc, leurs branches ne sont qu’un assemblage de fils. De même, notre corps est constitué de fils, de filets, de filaments : nos muscles, nos nerfs, nos vaisseaux sanguins, sont des fils.
Cela vaut donc la peine de se pencher sur cette question des fils. La chair dont nous sommes tous faits est un tissu constitué de fils de différentes qualités. Si le corps physique tombe malade, c’est parce que « le tisserand » auquel il appartient n’a pas pris du fil assez résistant, il casse souvent. Et de quoi dépend la résistance des fils ? De la qualité des pensées et des sentiments que ce tisserand nourrit en lui. Car la pensée et le sentiment, tissés ensemble, produisent les actes. Les actes, c’est cela le tissu, et le corps physique est la matérialisation de ces actes. Oui, le corps physique n’est qu’un tissu matérialisé. Et selon que ce tissu est grossier ou fin, souple ou cassant, on reconnaît les qualités mentales et affectives du tisserand."

Omraam Mikhaël Aïvanhov

A l’occasion de la journée internationale de l’hygiène des mains, l’unité d’endoscopie digestive du Centre hospitalier d’Argenteuil a réalisé un clip très drôle intitulé "La danse des mains" sur l’air du tube de Grégoire, Toi + Moi.

 Pour prévenir de l’épidémie de grippe qui sévit chaque année en hiver, les médecins de l’unité d’endoscopie digestive du Centre Hospitalier d’Argenteuil ont eu une drôle d’idée. Sur l’air du tube du chanteur Grégoire, Toi + moi, ils ont inventé une chanson qui prône l’importance du lavage de mains. Les mains étant les premières conductrices de la maladie, les garder propre est un geste préventif simple et primordial.

Des recommandations en chanson

Et comme, c’est bien connu, les recommandations passent toujours mieux en chanson, les médecins se sont improvisés chanteurs. Avec maladresse et une voix qui ferait grincer des dents les jurés de la Nouvelle Star, l’équipe adresse ses conseils d’hygiène aux patients de l’hôpital dans un morceau baptisé "La danse des mains".

Dans le clip de trois minutes, cadres, médecins, techniciens et chercheurs accompagnent leurs paroles d’une chorégraphie digne d’une comptine pour enfants. Compilant gestes techniques du lavage de mains et mimes, le résultat laisse quelque peu sans voix. Publiée au mois de septembre sur YouTube et passée inaperçue avec seulement 200 vues, la vidéo a refait surface sur le site officiel du gouvernement il y a quelques jours. Remarquée par le chroniqueur Bertrand Chameroy qui l’a diffusée dans Touche pas à mon poste, celle-ci est promise à un joli buzz médiatique.

"S’laver les mains jusqu’à ce que l’on en crève"

Entêtantes et simples les paroles reprennent le fameux air du hit de Grégoire et se composent ainsi : "Toi, plus moi, plus vous, plus ceux de l’hôpital, plus lui, plus elle, plus ceux qui sont malades. Allez, venez désinfecter vos mains, allez, venez et tout ira très bien. A deux, à mille, on sait qu’on est capable. Tout est possible, tout est réalisable. Sauvez des vies, au-delà de nos rêves, s’laver les mains jusqu’à ce que l’on en crève. Avec des mains bien désinfectées les risques, on peut bien mieux les éviter.

C’est vrai, les bactéries sont offensives, même si l’équipe d’hygiène est très active. Même si elle ne change pas le monde, elle vous invite à entrer dans la ronde. [...] Deux doses aux mains, c’est juste ce qu’on en emploie. Les paumes, les ongles, les poignets et les doigts. On veut vous voir les manches remontées, on veut vous voir tous les bijoux ôtés".

(Source : Yahoo)

Le petit sapin ...

- Adapté du conte d'Andersen -

Il était une fois, dans une immense forêt, un petit sapin qui rêvait de grandir.
"Ah, si je pouvais être comme vous!" soupirait-il, en regardant ses frères aînés ...
Mais grandir prend du temps, et le petit sapin était très impatient de pousser et de quitter la forêt. Parfois des bûcherons venaient chercher des arbres, mais ils ne coupaient que les plus vieux. Et le petit sapin se désespérait :
" Mon tour viendra-t-il un jour ?"
- Que deviennent-ils? demanda le petit sapin à son amie la cigogne qui avait beaucoup voyagé.
- Je crois qu'ils servent à construire des bateaux. Je me suis posée, il n'y a pas longtemps, sur le mât d'un navire, en Egypte, et j'ai reconnu le parfum des sapins de notre forêt.
- Ah! Comme j'aimerais devenir un grand bateau qui parcourrait les mers !
Et le petit sapin attendait avec impatience le jour où des bûcherons viendraient le choisir. Il serait grand , alors. Cet automne-là, les bûcherons revinrent, mais cette fois, ils emmenèrent des sapins qui étaient à peine plus grands que notre petit sapin. Ce dernier les regardait, très étonné. Il questionna un moineau.
- Que fait-on de ces sapins ? Ils sont à peine plus vieux que moi !
- Ils sont vendus à des personnes qui les installent dans leur maison et les décorent avec des boules, des guirlandes et des bougies pour la fête de Noël.
- Ah! comme j'aimerais devenir un sapin de Noël, étincelant et multicolore ...
Le printemps arriva, puis l'été passa et l'automne revint. En novembre, le petit sapin reconnut les bûcherons. Cette fois-ci, ils se dirigèrent vers lui.
Le petit sapin était tout heureux. Il eut bien un peu mal quand la hache s'enfonça dans son tronc, mais il n'y prit pas garde.
On l'emmena, avec les autres sapins, chez un marchand de fleurs, où des messieurs et des dames élégantes venaient les choisir. Un jour, une petite fille vint vers lui et s'exclama :
- Oh, prenons celui-là, il est magnifique !
Et notre petit sapin se retrouva dans un beau salon, à côté d'un canapé fleuri. Il fut planté dans un pot en grès, et décoré avec des rubans, des bonbons, des bonhommes de pain d'épice et des cadeaux. Il  était superbe, et tous l'admiraient beaucoup. Le soir de Noël, il fut le roi de la maison. Les enfants dansèrent une ronde autour de lui. Puis, lorsque l'horloge sonna douze coups, on arracha, dans une grande bousculade, les friandises et les paquets qu'il portait. Ses aiguilles tombèrent, et il souffrit. Il cessa d'être le prince de la soirée. Tout à leurs cadeaux, les enfants l'abandonnèrent. Le lendemain, on le mit dans la cour. Il était seul et triste. Oublié. Il pensa à sa forêt, à ses amis les oiseaux, aux autres sapins restés là-bas. Mais il ne regrettait rien, car il avait eu sa nuit de fête.
Quelque temps après, lorsqu'il fut bien sec, on le coupa en bûches.
Et il finit ses jours dans la cheminée du salon, en face du joli canapé fleuri, à réchauffer la maison par un triste jour de pluie.