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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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"Si Jésus a dit : « Demandez et l’on vous donnera », c’est que cet acte de demander, de souhaiter, d’insister, donc de prier, a le pouvoir de produire certains changements, au moins dans notre conscience. Nous ne pouvons peut-être pas changer les circonstances extérieures, mais en face de ces circonstances nous pouvons changer notre attitude intérieure, notre façon de voir et de sentir afin de ne plus être tellement affligés, écrasés. Nos plus grands pouvoirs ne sont pas dans le plan physique, mais dans le plan psychique. Combien de personnes qui avaient de véritables raisons de souffrir, d’être désespérées, ont pu par la prière trouver la paix, la lumière, la liberté ! Que ceux qui veulent transformer leurs états de conscience sachent qu’ils le peuvent grâce à cette faculté de prier que Dieu a donnée à chaque créature."
Née au coeur de la Révolution française et utilisée pour la dernière fois en 1977, la guillotine a été la principale méthode d’exécution en France pendant presque 190 ans. Tout au long de son existence, cette machine devenue emblématique de la période révolutionnaire a connu bien des surnoms : qu’il s’agisse, au départ, de trouver un nom à cette « machine à exécuter » ou une façon de mettre à distance ses horreurs, les Parisiens et les Français ont résolument fait preuve d’originalité et de créativité !
De la guillotine à la Louisette…Le mot « guillotine » lui-même était un surnom, sans doute le premier d’entre eux : il nous vient du député et médecin Joseph Guillotin, l’homme à l’origine du projet de réforme pénale imposant « une machine » capable de couper les têtes comme mode d’exécution capitale. Dans ce projet datant de 1789, Joseph Guillotin demande que « la décapitation fût le seul supplice adopté et qu’on cherchât une machine qui pût être substituée à la main du bourreau ». Jusque là, les décapitations, qui étaient l’honneur des nobles, se faisaient au sabre ! La machine à proprement parler n’existe pas encore, mais elle est déjà surnommée « la machine à Guillotin », puis la « guillotine » par quelques détracteurs.
Deux ans et demi plus tard, le 25 avril 1792 sur la place de Grève, actuelle place de l’Hôtel de Ville, la machine à couper les têtes fait tomber son couperet pour la première fois. La machine est alors très vite surnommée « Louisette » ou « Louison ». Pour certains, c’est un hommage au maître d’oeuvre et co-concepteur de la machine, Antoine Louis. Pour le principal intéressé, c’est un coup bas ! « Mes ennemis ont alors essayé, et par voie de la presse la plus licencieuse, de faire donner à la fatale machine le nom de petite Louison, qu’ils ne sont pas cependant parvenus à substituer à celui de guillotine » dira-t-il à son ami, le chirurgien militaire Desgenettes.
… en passant par la veuve et le rasoir national :Dans le même temps, le peuple affuble déjà cet outil – qui ne possède pas encore de nom officiel – de surnoms plus imagés les uns que les autres. Dans la rue, la guillotine devient très vite « la veuve », voire « la grande veuve » ou « la veuve rouge », en référence à la potence, autre moyen d’exécution déjà surnommé ainsi depuis des siècles. Pour les juges et les magistrats, il s’agit tout simplement du « bois de justice ».
Quand les exécutions s’intensifient à l’aube de l’année 1793, on parle même de « rasoir national » et de « hachoir national » pour évoquer la machine sur laquelle passeront près de 3000 personnes à Paris et 14 000 dans le reste de la France tout au long de la Révolution. Et parce qu’évidemment, on monte à grand regret sur la machine à bascule de Charles-Louis Sanson – le plus emblématique des bourreaux parisiens – on parle parfois de « bascule à Charlot » ou de « Monte-à-regret ». Plus tard, aux XIXème et XXème siècles, la guillotine prendra des surnoms encore plus métaphoriques, comme « le vasistas », « la raccourcisseuse », « le coupe-cigare » ou « le massicot ».
Typique de l’architecture commerciale de la fin du XIXème siècle, le « Centorial », nom porté depuis 1996 par l’immense édifice installé entre la rue du 4 septembre et le boulevard des Italiens au niveau de la rue de Gramont (2e arrondissement), est l’un des immeubles les plus majestueux de Paris. On part à la découverte de ce joyau architectural de la fin du XIXème siècle, témoin de l’époque où l’architecture bancaire était à son apogée.
Un palais d’argent, image de marque du Crédit lyonnais :Situé entre le Palais Brongniart et l’Opéra Garnier, cet édifice érigé entre 1876 et 1913 est l’un des nombreux exemples de l’architecture bancaire de la fin du XIXe siècle dans le quartier. Il est pourtant l’un des rares à porter, près de 110 ans après son achèvement, tant d’éclat et de prestige. Cela, grâce à sa taille, d’abord : l’édifice occupe l’intégralité du quadrilatère formé par le boulevard des Italiens et les rues de Gramont, de Choiseul et du 4 septembre… soit près d’un hectare au coeur du 2e arrondissement ! Mais son prestige vient surtout de sa façade, digne des plus beaux palais parisiens.
Le fronton de la façade donnant sur le boulevard des ItaliensConstruit par et pour le Crédit lyonnais, l’édifice est l’oeuvre de deux architectes renommés : débutée par l’architecte néerlandais William Bouwens Van der Boijen – à qui l’on doit également le sublime hôtel particulier aujourd’hui occupé par le Musée Cernuschi – la construction sera finalisée par Victor Laloux, qui avait réalisé quelques années plus tôt la gare d’Orsay, actuel musée.
Sa création dans un style florissant typique de la période post-haussmannienne n’est pas le fruit du hasard ou une simple volonté d’être dans l’air du temps : les patrons du Crédit lyonnais voulaient que l’édifice soit suffisamment grand pour accueillir une foule de coffres-forts dans ses sous-sols (il y a cinq étages de sous-sol !), visible de loin pour attirer l’oeil et, surtout, aussi majestueux que possible afin d’en mettre plein la vue à de potentiels investisseurs. Et quoi de mieux que de s’inspirer des plus belles constructions françaises pour donner de l’éclat à un édifice ?
Une façade inspirée du Louvre…Ainsi, la partie la plus ancienne, donnant sur le boulevard des Italiens, n’est autre qu’une reproduction libre du pavillon de l’Horloge du Louvre. On y retrouve le même agencement de façade, presque les mêmes cariatides, les mêmes colonnes corinthiennes, et une horloge très proche de celle du pavillon du Louvre. Les ornementations du siège du Crédit lyonnais sont certes un peu plus arrondies et il manque un étage à l’édifice, mais on n’est vraiment pas loin de la copie conforme !
À gauche, le pavillon de l’Horloge du Louvre. À droite, le siège central du Crédit Lyonnais du boulevard des ItaliensLa seconde façade monumentale, celle donnant sur la rue du 4 septembre, est tout aussi impressionnante : surmontée du nom de l’édifice – Le Centorial, depuis 1996 – elle se révèle plus proche du style haussmannien, plus épurée et parfaitement symétrique, mais regorge de petits détails qui méritent le regard. Ses cariatides centrales, son immense fenêtre en arc, ses différents médaillons représentant le blason lyonnais ou des lys français, ses colonnes corinthiennes… Tout est parfaitement agencé et ordonné !
La façade donnant sur la rue du Quatre Septembre © Guilhem Vellut …et des escaliers inspirés de Chambord !Si vous avez la chance de pouvoir entrer dans l’édifice, vous découvrirez alors la suite d’un spectacle qui paraît sans fin tant cet immeuble est immense : côté boulevard des Italiens, l’édifice cache une superbe rotonde sous coupole vitrée, dans laquelle se dresse un escalier d’honneur absolument magnifique. Cet escalier à vis et à double révolution est directement inspiré de celui du château de Chambord.
Les escaliers du siège central du Crédit Lyonnais © TangoPaso La verrière surmontant l’escalier central © TangoPasoDe l’autre côté, on pourra découvrir une autre coupole, agrémentée d’un hall et d’une immense verrière métallique. Cette partie, ravagée par un incendie le 5 mai 1996 au petit matin, a été réhabilitée au début des années 2000 et est aujourd’hui la propriété d’un fonds d’investissement et accueille un centre d’affaires. Son nom, Centorial, date d’ailleurs de cette époque : l’édifice a été renommé ainsi afin de pouvoir conserver le sigle CL sculpté sur la façade.
La verrière, côté rue du Quatre Septembre © @lady__lee / Instagram
Le printemps arrivera plus tôt ...
"Vous devez souhaiter l’harmonie et la paix, tout en sachant que vous ne pouvez progresser qu’en rencontrant des difficultés et des oppositions. Car il faut bien comprendre ceci : ceux qui souhaitent l’harmonie et la paix sans avoir préalablement appris à surmonter les obstacles, se préparent une vie de désordres et de troubles. Pourquoi ? Parce que la véritable harmonie, la véritable paix sont une récompense que reçoivent seulement ceux qui sont arrivés à les conquérir, en manifestant des qualités de désintéressement, de bonté, de patience. À ce moment-là, même s’ils doivent subir des épreuves, ils ne sont pas troublés, ils ne souffrent pas et ils ne font pas souffrir les autres. Parce qu’ils sont arrivés à tout transformer, tout améliorer, tout utiliser. Grâce à un travail patient, soutenu, ils sont parvenus à établir des relations avec le Ciel, à avoir des échanges avec les entités lumineuses qui le peuplent, et alors là on peut dire qu’ils ont atteint la véritable paix, la véritable harmonie."
La première super lune de 2020 aura lieu ce weekend ...
La première super lune de la nouvelle décennie sera visible à travers le monde ce weekend. La lune, traditionnellement appelée lune de neige, sera la première des quatre super lunes prévues pour 2020, et sera la première à se produire depuis le 20 mars de l’année dernière.
Nous pourrons assister au phénomène dans la nuit du 8 au 9 février, lorsque la visibilité de la lune sera à son apogée à 7h34 GMT (2h34 EST ou 8h34 CET). Le phénomène se produit lorsque la pleine lune est à son point le plus proche sur son orbite terrestre, la faisant paraître beaucoup plus grande et plus lumineuse que d’habitude.
En plus d’être appelée lune de neige, ce type de pleine lune est également connue sous le nom traditionnel de lune de tempête et lune de faim, selon la NASA.
Si 2h34 ou 8h34 est trop tôt pour vous dimanche matin, ne vous inquiétez pas, car vous n’aurez pas longtemps à attendre la prochaine super lune. En fait, un seul cycle lunaire sépare l’événement de dimanche de la pleine lune du 9 mars, tandis que les super lunes restantes de l’année seront visibles en avril et en mai.
La beauté du lâcher-prise ...
Pour les amoureux du froid ...