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"Ceux qui se consacrent au Ciel ne doivent pas s’imaginer qu’ils vont mener une vie paisible sans heurts ni épreuves. Non, le Ciel qui s’occupe d’eux ne les abandonne pas à une vie facile, tranquille, insignifiante. Celui qui s’est consacré doit savoir qu’il sera éprouvé. Ce ne sont pas des épreuves pour le punir mais pour l’amener vers des degrés supérieurs de conscience où il se développera, s’épanouira et éveillera en lui des possibilités qui n’auraient jamais été éveillées s’il était resté dans la sécurité et le bien-être. Quand l’homme travaille pour la gloire de Dieu, les épreuves ne sont là que pour le pousser à se transformer définitivement jusqu’à ce qu’il devienne une divinité. Alors que s’il travaille en dehors de la lumière, toutes les épreuves qu’il a à subir sont des corrections, des punitions. Évidemment elles doivent aussi l’aider, elles l’empêchent de continuer à descendre, mais ce sont des punitions. Dans les deux cas les épreuves n’ont donc pas la même signification."

Omraam Mikhaël Aïvanhov

                                                                                                                                                     Jon Foreman a découvert le land art au collège et en est immédiatement tombé amoureux. Il a estimé que le monde naturel avait beaucoup à offrir, en particulier là où il vit, à Pembrokeshire, au Pays de Galles.                                                                                                                                                                                                                       Étant donné que la région possède un vaste littoral, une grande partie des oeuvres de Foreman sont réalisées avec des pierres qu’il trouve près de la mer. En utilisant tout, des minuscules cailloux aux grosses roches, l’artiste surprend les baigneurs par ses arrangements hypnotiques qui ne cessent d’étonner.                                                                                      

« Je crée en utilisant de nombreux matériaux naturels, mais la pierre s’est avérée être le matériau que je peux le mieux manipuler, quel que soit la couleur, l’angle, la forme, la taille, le placement et l’espacement », a déclaré Foreman à Bored Panda. « En général, je commence par une idée approximative de ce que j’aimerais faire, mais parfois, je n’en ai réellement aucune idée ! Ensuite, je collecte ce que je peux porter et je commence par placer les pierres les unes après les autres tout en me perdant progressivement dans le processus et en me déconnectant du stress de la vie quotidienne. »

                                                                                                                                        Cependant, la communauté d’artistes qui pratiquent le land art a été ciblée par des articles de presse négatifs. « Ces articles prétendent que ce que nous créons est nocif pour l’environnement et les créatures qui y vivent. Je m’y oppose fermement, car nous travaillons de pair avec la nature et nous le faisons pour montrer qu’elle a besoin de protection. »

« À titre d’exemple, ces créations en pierre sont faites à seulement quelques mètres de l’endroit où je les ai récupérées. La marée viendra ensuite les rapporter d’où elles viennent. Comment cela est-il dommageable ? », demande l’artiste. « Toutes les créatures qui vivent dans cet environnement (je n’en rencontre presque jamais) sont habituées à de telles conditions turbulentes et le déplacement des pierres ne fera aucune différence. Les créatures qui vivent dans ces conditions ne s’installeront pas dans ces lieux pour bâtir des maisons. Elles bougent constamment comme la marée. »

« Prenez un peu de recul. Regardez les matériaux qui vous entourent. D’où viennent-ils ? Les piles de nos téléphones et ordinateurs portables sont fabriquées à partir de matériaux extraits du sol. Les voitures que nous conduisons, le papier que nous utilisons, les fournitures que j’utiliserais autrement si je n’utilisais pas de matériaux à l’extérieur. Tout cela est bien plus nocif pour l’environnement que tout ce que je fais. »

Un panneau inimitable et irremplaçable   ...

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