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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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A bord de l'avion, un Boeing 767 avec 179 passagers et 9 membres d'équipage, la ressortissante française née au Cameroun avait "fait passer un mot à un membre de l'équipage qui disait qu'elle portait un engin implanté de manière chirurgicale", a indiqué le président de la commission parlementaire de la Sécurité intérieure, Peter King.
La femme, qui voyageait sans bagage sur le vol 787, se rendait aux Etats-Unis pour dix jours.
"Des médecins l'ont examinée à bord et n'ont vu aucun signe de cicatrices récentes", a ajouté, dans un communiqué, l'élu républicain de la Chambre des représentants. "On a déjà eu des renseignements faisant état de bombes implantées de manière chirurgicale constituant une menace pour le trafic aérien", a observé la sénatrice du Maine Susan Collins.
"La TSA a récemment émis des directives de sécurité pour les aéroports, les compagnies aériennes, le contrôle aérien et les gouvernements étrangers les appelant à prendre des mesures supplémentaires et à être sur leurs gardes pour tous les indices d'explosifs implantés de manière chirurgicale", a ajouté dans un communiqué Mme Collins, chef des républicains à la commission sénatoriale de la Sécurité intérieure.
Mais un responsable américain a indiqué à l'AFP sous couvert de l'anonymat que la suspecte ne semblait pas appartenir à "un réseau terroriste". Il a confirmé qu'il s'agissait d'une Française.
"A ce stade, il n'y a pas d'indication que l'avion ou ses passagers aient jamais été en danger réel", a ajouté un porte-parole du FBI à Boston, Greg Comcowich. La passagère ainsi que les autres personnes à bord ont été entendus en cabine par des agents du FBI et d'une cellule antiterroriste, a-t-il ajouté.
La femme, qui avait "montré un comportement suspect", a été arrêtée après l'atterrissage à Bangor, où elle était interrogée par des responsables du FBI, des douanes et de la protection des frontières, a ajouté la TSA.
L'appareil a pu redécoller avec les autres passagers à destination de Charlotte.
Une passagère a indiqué, sur la chaîne ABC News, que le pilote avait d'abord indiqué au micro que l'avion devait se poser dans le Maine en raison d'un manque de carburant. "Nous ne savions pas ce qui se passait", a dit Alexa Moore, une étudiante du Kentucky, qui était assise cinq rangs devant la suspecte. "Je dormais de temps à autre mais nous l'avons vue aller et venir aux toilettes", a-t-elle rapporté sur la chaîne de télévision. "Elle se tenait, je crois, le ventre et il paraît qu'elle avait une note qui disait qu'elle avait un explosif implanté".
L'étudiante a dit sa surprise quand la police a interpellé la Française à Bangor. "Je pensais qu'elle devait avoir de la drogue dans l'avion, mais c'est complètement fou. J'étais sous le choc".
Nancy : un mort et des dégâts très lourds après les inondations ... Manuel Valls, Ministre de l' Intérieur, s'engage à prendre rapidement un décret de "catastrophe naturelle", pour accélérer le processus d'aide aux sinistrés !
Nancy : un mort et des dégâts très lourds après les inondations ... De violents orages, accompagnés de précipitations record, ont provoqué la mort d'une personne âgée et de très lourds dégâts matériels à Nancy, dans la nuit de lundi à mardi, laissant un paysage de désolation avec des avenues inondées et des voitures à la dérive.
Une femme de 80 ans est morte à son domicile d'Essey-lès-Nancy, surprise par la montée des eaux dans sa cave. Elle a été découverte par les pompiers lors d'une intervention. Une enquête a été ouverte par le parquet de Nancy pour déterminer les causes de son décès.
Toujours à Essey-lès-Nancy, une personne a été grièvement brûlée à la suite de l'explosion de sa voiture dans son garage, selon la préfecture.
Dans la matinée, un camion de pompiers et un bus urbain sont entrés en collision, blessant grièvement un pompier et légèrement deux passagers du bus.
Le soldat du feu, qui est tombé dans le coma, a été admis au centre hospitalier de Nancy. "Il est désormais conscient", a annoncé la préfecture, en précisant que ses jours n'étaient pas en danger.
Dans l'agglomération, les pompiers ont réalisé plus de 1.000 interventions en lien avec ces intempéries, a indiqué la préfecture de Meurthe-et-Moselle mardi en fin de journée.
Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls s'est rendu mardi en fin d'après-midi à Essey-lès-Nancy, à la rencontre de plusieurs sinistrés. Il s'est engagé à "faire en sorte que les procédures de reconnaissance de catastrophe naturelle soient mises en oeuvre le plus rapidement possible", comme le lui demandaient les sinistrés et élus des communes concernées.
Plusieurs milliers de foyers ont été privés d'électricité durant la nuit. Environ 700 l'étaient toujours mardi après-midi, "essentiellement en centre-ville de Nancy", selon la préfecture.
D'innombrables caves ont été submergées par les inondations dans toute l'agglomération et de nombreuses routes ont été défoncées "par des torrents de boue comme on n'en avait jamais vus", selon les habitants.
"Je ne crois pas qu'il était possible de prévoir l'intensité de cet orage, qui était très localisé sur Nancy", a estimé le préfet de Meurthe-et-Moselle Raphaël Bartolt. Une montée des eaux rapide a eu lieu "dès 23H00", suivie de "deux grosses vagues de pluie, très fortes, très intenses", entre minuit et 01H30, a-t-il expliqué.
La topographie de l'Est nancéien - qui se trouve dans une cuvette - conjuguée à des sols gorgés d'eau en raison du temps pluvieux depuis plusieurs semaines, a précipité les ruissellements et provoqué les inondations, selon le préfet.
A certains endroits, l'eau est montée jusqu'à 2 mètres, faisant dériver les voitures sur plusieurs centaines de mètres.
"J'ai voulu aller voir ce qui se passait à 02H00, mais je n'ai pas pu m'approcher: le torrent était trop fort", a raconté à l'AFP un boulanger de Saint-Max, Christian Larodonda. "Je n'ai pu accéder à la boutique qu'à 05H00: remplie de boue, avec des dégâts énormes", a ajouté cet artisan installé dans le quartier depuis un an et demi.
Un de ses voisins, Emmanuel Davy, se désolait de sa "voiture entièrement défoncée", mais qui "contrairement aux autres n'a pas chaviré, car elle a été retenue par un poteau".
Au milieu des fortes odeurs de fioul, en raison de nombreuses fuites, la gérante d'une entreprise de broderie, Carole, a affirmé n'avoir "jamais vu une telle chose". "C'est unique. Normalement, il n'y a jamais de crue ici depuis qu'ils ont canalisé la Meurthe il y a 30 ans", s'est-elle lamentée. "On n'y croyait pas, quand on disait à nos voisins de regarder par la fenêtre, ils étaient stupéfaits de la vitesse de la montée des eaux", a-t-elle raconté.
Plusieurs établissements scolaires ont été fermés et les transports en commun fortement perturbés. Deux collèges et un lycée professionnel devaient rester fermés mercredi.
Les précipitations ont battu un record absolu à Nancy: 103 millimètres d'eau en 4 heures. "Il a plu en une heure ce qui tombe habituellement en un mois", a dit Raphaël Bartolt.
Dans le Bas-Rhin, également touché par de fortes précipitations, les pompiers ont effectué près de 800 interventions, mais les orages et la pluie ont provoqué des dégâts beaucoup moins graves que dans la région de Nancy.
Eclairées par les néons, des voitures passent à quelques mètres de lui.
"Ici, on nous vole tout", raconte Jean-René Agnassia, qui s'inquiète en permanence pour ses papiers. "Je sors tous les jours pour la respiration, entre 17H00 et 18H30, car à l'heure de pointe, c'est impensable de rester là". A 50 mètres, des détritus s'amoncellent dans un odeur d'urine.
Dans le cadre de la rénovation du quartier des Halles à Paris, d'importants travaux sont prévus sur les voies souterraines jusqu'en 2015.
Ils ont commencé en 2011 sur certains tronçons, mais "pour cet automne, il faudra faire en sorte que les tunnels soient fermés pour raisons de sécurité", explique Olga Trostiansky, adjointe au maire de Paris chargée de la lutte contre l'exclusion.
Entre trente et cinquante SDF français et étrangers y vivent. Certains dans des tentes, d'autres sous des abris en carton. Il y a deux couples, certains y vivent depuis dix ans, d'autres partent et reviennent. Une bonne part est toxicomane.
"Ces personnes sont souvent connues des associations ou des services de la ville, mais pas forcément le fait qu'elles vivent dans les tunnels. L'objectif est de leur trouver un hébergement. Nous allons alerter les services de l'Etat (dont c'est la compétence, ndlr) pour qu'on puisse trouver une solution tous ensemble", poursuit Mme Trostiansky.
"L'idée est d'utiliser cette obligation de quitter les lieux pour aider les personnes à se projeter ailleurs (...) à élargir leur horizon", souligne Dominique Bordin, de la Mission SDF de la Ville de Paris.
"On ne promet pas la lune, mais on fera le maximum en fonction de ce que les gens acceptent, car pour une personne qui vit depuis douze ans dans la rue, même une semaine d'hôtel c'est l'enfer, sans parler du manque de places disponibles", explique Alice Tan, de l'association Aux captifs, la Libération, qui coordonne les maraudes dans le centre de la capitale.
Jean-René Agnassia, un Français qui a multiplié les démarches pour obtenir un logement depuis sa sortie de prison en septembre, exclut d'aller vivre dans un centre d'hébergement, où les sans-abri - en majorité des migrants sans papiers - reçoivent un repas et dorment dans des chambres collectives ou dortoirs, souvent à la nuit.
"Vous avez vu la fréquentation? Moi je ne suis pas du genre à attendre l'heure du repas", explique-t-il.
Renata et Marjan dorment sous une tente dans un triangle coincé derrière des barrières, le long de la voie. Leur petit enclos, qu'ils partagent avec deux autres Polonais, est propret avec son tapis, ses étagères en carton plastifié portant des conserves, sa tente et son lit deux places tiré au cordeau.
Le couple, qui vit là depuis six mois, redoute surtout d'être séparé. "Il faut faire dans la dentelle", estime Mme Trostianksy, en rappelant que les places d'hébergement pour femmes ou couples sont très insuffisantes en Ile-de-France.
Pour Jean-René Agnassia, la résidence sociale, "avec un petit studio" mais une cuisine et un salon collectifs, pourrait être une solution. "J'attends, peut-être qu'il existe encore une chance", soupire-t-il.
Merci mon Amie EDITH pour cette magnifique création, que j'emporte avec joie dans mon univers : http://edithdu56.eklablog.net