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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour : 29.05.2021
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Une chanson que j'aime : Florent Pagny ... La Soledad !

Publié à 15:32 par yvonne92110 Tags : chanteurs chanteuses f pagny chante la soledad

Un métier d'autrefois toujours apprécié ... le Chapelier !

Publié à 15:46 par yvonne92110 Tags : métiers d autrefois le chapelier toujours apprécié
Un métier d'autrefois toujours apprécié ... le Chapelier !

LE CHAPELIER : (bientôt la Ste Catherine !)

 

 

Le chapelier fabricant réalise des chapeaux en série : sur des formes en bois (travail au plateau), à la presse sur des formes en aluminium (travail à la pédale), en assemblant des tresses sur des machines chaînette, en assemblant des pièces de tissu sur des piqueuses plates.

Le métier de chapelier se divisait au Moyen Âge en plusieurs branches.

 Il y avait les chapeliers « de fleurs », les chapeliers « de coton », les chapeliers « de paon », les « faiseuses de chapeaux d'orfrois », et enfin les chapeliers « de feutre », qui finirent par se substituer à tous les autres chapeliers.

 

Dans le haut Moyen Âge, le terme chapeau s'entendait aussi bien d'une couronne de métal ou de fleurs que du véritable couvre-chef, et l'usage du chapeau-couronne semble remonter fort loin : quelques auteurs en ont attribué l'invention aux Gaulois.

 

Sans rien affirmer à cet égard, disons seulement que la mode en persista très longtemps au Moyen Âge : comme on portait les cheveux très longs, il fallait les retenir et les empêcher de tomber sur les yeux.

 

Les Chapeaux de fleurs furent plus tard remplacés dans la classe riche par des cercles d'orfèvrerie ornés de perles précieuses.

 

Toutefois le « chapel de fleurs » resta à titre de redevance féodale, et fut considéré comme une marque d'honneur et de respect.

 

 

À la fin du XVe siècle, les dames de Naples offrirent à Charles VIII, à son entrée dans leur ville, une couronne de violettes.

 

Les chapeaux de paon et d'orfrois ne furent portés que par les femmes.

Sans doute les plumes de paon étaient alors plus coûteuses qu'elles ne le sont aujourd'hui, bien que le noble oiseau figurât souvent sur la table des grands seigneurs.

 Quoi qu'il en soit, c'était un ornement réservé aux grandes dames, qui s'en servaient pour décorer les coiffures compliquées dont elles s'affublèrent au XIVe siècle et surtout au XVe siècle.

 Quant aux chapeliers de coton, ils ne vendaient pas à vrai dire de chapeaux, mais surtout des bonnets et des gants de laine.

 (Source wikipédia)

Belles couleurs d' Automne ... Plaisir à partager !

Publié à 16:21 par yvonne92110 Tags : saisons belles couleurs d automne plaisir à partager

Juste pour le plaisir ... de partager avec vous !

Publié à 16:28 par yvonne92110 Tags : belles images juste pour le plaisir de partager
Juste pour le plaisir  ...  de partager avec vous !

Franck MICKAEL chante : " Toutes les Femmes sont Belles " ! hebergeur d'image

Anniversaire Convention Internationale Enfance !

Publié à 22:03 par yvonne92110 Tags : journée internationale anniversaire convention enfance
Anniversaire Convention Internationale Enfance !

La seule arme des enfants contre le monde, c'est l'imaginaire.
[Claude Miller]
                                              
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            Dans Dans beaucoup trop de pays, les enfants sont maltraités, violentés, astreints à de durs travaux, sans droits et sans protection sociale, dès la fleur de l'âge, ils deviennent les otages des adultes qui les font trimer dur pour quelques bouchées de pain. Evoquer la jeunesse, oblige à penser aux tout petits qui à peine les yeux ouverts sont abandonnés dans la nature. En Afrique, en Asie, en Amérique latine, en Palestine et ailleurs, premières victimes des guerres, des conflits, du terrorisme, des pandémies, de l'ignorance, de la famine et de l'analphabétisme, ils souffrent en silence. Partout le danger est latent et le devoir de protection indispensable. Malgré la présence de multiples organisations mondiales, dans chaque pays, dans chaque famille, dans chaque école, dans chaque rue, des enfants sont malheureux et risquent leur vie. La mortalité infantile reste très élevée et plus particulièrement dans les pays pauvres, où des centaines de millions d'enfants sont menacés de famine, de guerres et de maladies.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         Convention Convention Internationale des droits de l'enfant  adoptée par l'ONU, ... Le 1er juin est désormais la Journée internationale de l' Enfant.  

La Pensée du Jour ... Mercredi 21 Novembre 2012 !

Publié à 12:40 par yvonne92110 Tags : la pensée du jour à méditer
La Pensée du Jour  ...  Mercredi 21 Novembre 2012 !
« La tendance naturelle des humains est de vouloir punir celui qui a mal agi. Mais dans quel but veulent-ils le punir ? Parce qu’ils souhaitent qu’il s’améliore, ou bien veulent-ils seulement appliquer la justice et régler des comptes ?….
Punir un malfaiteur sans lui donner les moyens de se corriger, cela ne s’appelle pas justice, mais vengeance. Combien s’imaginent qu’en emprisonnant les criminels on leur donne une leçon !…. Pas du tout, ils deviennent souvent pires qu’avant. Et d’autres pensent qu’en les condamnant à mort, on procède à une élimination purificatrice. Mais quand on extermine les moustiques sans s’occuper des marécages, les moustiques reviennent de plus belle, vous ne l’avez pas constaté ? Et dans nos sociétés se promènent des moustiques d’une espèce particulière. Si on ne veut plus être piqué, il ne faut pas leur laisser les conditions où ils ne peuvent que proliférer. »              
Omraam Mikhaël Aïvanhov

ACADEMIE FRANCAISE ... Histoire de cette institution !

Publié à 12:55 par yvonne92110 Tags : histoire et régions de france l académie francaise
ACADEMIE FRANCAISE  ...  Histoire de cette institution !
L'HISTOIRE DE L'ACADEMIE FRANCAISE ...
Si la fondation de l’Académie française par Richelieu en 1635 marque une date importante dans l’histoire de la culture française, c’est parce que, pour la première fois, les débats d’une assemblée de lettrés ont été considérés comme pouvant jouer un rôle éminent dans le devenir de la société et de la nation. Ainsi, les statuts et règlements visés par le cardinal, puis l’enregistrement au Parlement de Paris, en juillet 1637, des Lettres patentes signées par Louis XIII, consacrèrent le caractère officiel d’une institution parisienne, dont le Cardinal de Richelieu était nommé « le chef et le protecteur » (fonction exercée aujourd’hui par le chef de l’État), et dont la mission revêtait un caractère expressément national. Si l’ « une des plus glorieuses marques de la félicité d’un État était que les sciences et les arts y fleurissent et que les lettres y fussent en honneur aussi bien que les armes », ce serait le rôle de l’Académie de donner à la langue française les moyens d’y parvenir.
Les statuts de l’Académie française ont donc cette particularité qu’ils lient l’autorité de la Compagnie et de ses membres au magistère intellectuel qu’ils leur confèrent et qui aura à s’exercer sur la langue. « La principale fonction de l’Académie sera de travailler avec tout le soin et toute la diligence possibles à donner des règles certaines à notre langue et à la rendre pure, éloquente et capable de traiter les arts et les sciences » (article XXIV). À cet effet, « il sera composé un dictionnaire, une grammaire, une rhétorique et une poétique » (article XXVI), et seront édictées pour l’orthographe des règles qui s’imposeront à tous (article XLIV).
Dépositaire de la doctrine de Malherbe, composée de gens de lettres mais aussi de représentants lettrés de différentes professions et de divers états, l’Académie avait reçu une mission dont on mesure mieux aujourd’hui la profonde originalité : constituer avec sagesse et économie une langue qui ne fût pas celle des spécialistes, des érudits, ni celle des corporations, qui eût la clarté et l’élégance qu’on accorde au latin, où ne fût pas accentué l’écart entre langue écrite et langue parlée, qui tînt enfin sa force de son double attachement à l’usage et à la norme.
Tel est le programme que s’était efforcée de réaliser l’Académie dans la première édition de son Dictionnaire (1694). Sans être tout à fait le premier, il fut le premier de cette sorte. Ni le dictionnaire de Richelet ni celui de Furetière ne reposaient sur les principes qui furent ceux de l’Académie. Le second avait l’ambition d’être « universel ». L’Académie, ayant fait sienne l’idée qui avait inspiré Vaugelas dans ses Remarques, voulait seulement qu’on reconnût l’usage « pour le maistre et le souverain des langues vivantes » et qu’on admît le partage entre le bon et le mauvais usage.
Dès cette première édition, l’Académie voulut que son Dictionnaire fût un dictionnaire de mots plutôt qu’un dictionnaire de choses. Distinction qu’il ne convient pas de forcer, mais qui signale au moins une tendance, et même un choix. Le but du Dictionnaire de l’Académie était d’informer sur la nature grammaticale des mots, leur orthographe, leurs significations et acceptions, leurs usages syntaxiques, leurs domaines d’emploi, le niveau de langue qui en détermine lui aussi l’emploi. Lors même que le développement des sciences et des techniques incitait l’Académie à introduire, dans la quatrième édition (1762), des milliers de mots appartenant à des domaines spécialisés, elle le fit avec pondération, mais elle le fit, parce que plusieurs termes « qui n’étoient autrefois connus que d’un petit nombre de personnes, ont passé dans la langue commune » (Préface, 1762). Ce principe est resté le sien.
L’étymologie fut assurément ce qui guida en partie les premiers académiciens français lorsqu’ils eurent à se déterminer en matière d’orthographe. Les débats orthographiques n’étaient pas moins vifs au milieu du XVIIe siècle qu’ils ne le furent par la suite. Tout en marquant son attachement à l’orthographe ancienne, l’Académie fut bien éloignée, dans cette première édition, de s’abstenir de toute amélioration (distinction graphique de i et du j, du u et du v, élimination de consonnes superflues, etc.). Quelles que soient les critiques que l’on a pu formuler à l’égard de l’orthographe académique de 1694, celle-ci fut le point de départ d’une évolution que l’Académie décida, enregistra ou facilita à partir de 1740 dans les éditions successives de son Dictionnaire.
Trois siècles après la première édition de son Dictionnaire, l’Académie n’a guère varié sur les principes. Si la notion d’usage repose aujourd’hui sur des bases plus larges qu’au XVIIe siècle, le respect du bon usage s’impose plus que jamais. L’Académie n’entend pas simplement refléter la langue, ni refléter n’importe quelle langue. Elle entend rappeler qu’il existe une communauté d’humains qui, ayant la langue française en partage, en portent la responsabilité. En cela l’Académie est fidèle à elle-même. Le premier volume de la 9e édition du Dictionnaire de l’Académie (A à Enzyme) a été publié en novembre 1992 par l’Imprimerie nationale, puis, en format compact, aux Éditions Julliard (1994). L’Académie fait paraître désormais la suite de ses travaux, sans attendre leur publication en volume, dans les documents administratifs du Journal officiel. Treize fascicules ont été publiés à ce jour (d’Éocène à Installer). Si, trois cents ans après sa présentation au roi, le Dictionnaire de l’Académie est resté œuvre vivante, c’est parce qu’il symbolise le lien, assez exceptionnel, qui unit une nation à sa langue, plusieurs nations à leur langue commune.
 
L’Académie s’était réunie d’abord chez tel ou tel de ses membres ; elle fut accueillie en juillet 1639 chez le chancelier Séguier, puis, en 1672, installée au Louvre par Colbert. Elle se transporta enfin dans l’ancien Collège des Quatre-Nations, à la suite du décret du 20 mars 1805, qui attribuait ce palais aux trois classes de l’Institut de France. C’est-à-dire douze ans à peine après l’abolition des académies (8 août 1793), inspirée par Chamfort.
L’Académie elle-même n’était pourtant pas demeurée fermée aux Lumières, bien au contraire. Jusqu’au milieu du XVIIIe siècle aussi ouverte aux prélats et grands seigneurs qu’aux hommes de lettres (élection de Montesquieu en 1727 et de Marivaux en 1742), l’Académie commence son aggiornamento avec les élections de Voltaire (1746) et de Duclos (1747), qui devient secrétaire perpétuel, puis celle de d’Alembert en 1754, qui succéda à Duclos dans ses fonctions. En 1760, Voltaire disposait à l’Académie d’une majorité agissante, qui reflétait l’opinion d’une grande partie du public lettré et répondait aux aspirations des gens de lettres.
L’évolution de la société et celle de la République des lettres permirent à l’Académie du XIXe siècle de s’ouvrir aux représentants de genres qui n’y avaient pas encore assez trouvé leur place, comme le roman, et de réunir, outre les grands romantiques sacrés et consacrés (Chateaubriand, Lamartine, Hugo, Vigny, Musset ou Nodier), hommes politiques et hommes d’Église, journalistes, critiques et universitaires, dramaturges, poètes, historiens et savants. Certains échecs (celui de Baudelaire, celui de Zola) ne ternirent nullement l’éclat de l’Académie française qui, au cours de la troisième et de la quatrième République, put rassembler des personnalités aussi diverses que Littré (1871), Renan (1878), Taine (1878), Louis Pasteur (1881), Ferdinand de Lesseps (1885), Leconte de Lisle (1886), Ernest Lavisse (1892), Heredia (1894), Anatole France (1896), Émile Faguet (1900), Edmond Rostand (1901), Maurice Barrès (1906), Henri Poincaré (1908), Raymond Poincaré (1909), Henri de Régnier (1911), le maréchal Lyautey (1912), Henri Bergson (1914), Georges Clemenceau (1918), le maréchal Foch (1918), Paul Valéry (1925), François Mauriac (1933), Georges Duhamel (1925), Jacques de Lacretelle (1936), André Maurois (1938), Louis de Broglie (1944), Paul Claudel (1946), Marcel Pagnol (1946), Jules Romain (1946), Étienne Gilson (1946), Maurice Genevoix (1946), Jean Cocteau (1955), etc.
L’Académie a su d’autre part développer au cours des siècles une mission de mécénat, rendue possible par l’administration des dons et legs qui lui ont été consentis et grâce auxquels elle décerne chaque année environ quatre-vingts prix, parmi lesquels les grands prix de Littérature, du Roman, du Théâtre, de Poésie, d’Histoire, les prix de l’Essai, de la Critique, de la Nouvelle, du Rayonnement français et, depuis 1986, le grand prix de la Francophonie (d’un montant de 300.000 francs). Créé à l’initiative du gouvernement canadien, ce prix fut décerné successivement au poète dramaturge et libanais Georges Schéhadé, au critique et érudit japonais Yoichi Maeda, au poète malgache Jacques Rabemananjara, à l’astrophysicien canadien Hubert Reeves, au romancier égyptien Albert Cossery, au cardinal Suenens, de nationalité belge, au poète et essayiste vietnamien Nguyên Khac Viên, à l’écrivain congolais Henri Lopes, au romancier algérien Mohammed Dib, à l’écrivain libanais Salah Stétié, à M. Abdou Diouf, Président de la République du Sénégal, à M. Abdellatif Berbich, Secrétaire perpétuel de l’Académie du royaume du Maroc, à M. Jean Starobinski, écrivain suisse, à M. Gunnar von Proschwitz, professeur suédois.
Tant pour ce qui concerne la langue que pour l’ensemble des liens qui unissent la communauté francophone, l’Académie entend affirmer, en chaque circonstance, son intérêt et sa présence auprès des institutions francophones.
Pourtant, comme l’écrivait Paul Valéry en 1935, « quoique pourvue d’une charte qui lui assigne le devoir d’observer et de noter les états successifs de la Langue, et quoiqu’elle ait accepté de juger et de récompenser les œuvres littéraires que l’on soumet à ses concours [...], l’Académie française ne se réduit pas dans l’opinion universelle à une société qui compose un dictionnaire et qui honore chaque année les mérites qu’elle distingue ».
Peut-être le « mystère» auquel avait recours Paul Valéry pour définir l’être et la pérennité de l’Académie française réside-t-il dans son aptitude à transcender toute spécialité dans une visée d’universel, et à rassembler sous le beau mot de Compagnie les manifestations les plus diverses et les plus nobles du génie français.
L’élection de Léopold Sédar Senghor à l’Académie française, en 1983, puis sa réception, l’année suivante, en présence du chef de l’État, protecteur de l’Académie, a marqué une date de très haute importance dans l’histoire de notre Compagnie.
Avec lui, ce n’était pas seulement l’agrégé de grammaire, l’ancien président de la république du Sénégal, le grand poète partout connu et reconnu, l’homme de dialogue entre les cultures, les religions, le chantre du métissage et de l’universel, qui entrait sous la Coupole, c’était l’ensemble de ceux qui ont la langue française en partage, c’était la Francophonie tout entière.
En révélant ainsi l’Académie française à elle-même, Léopold Sédar Senghor a accompli, en quelque sorte, le destin de notre langue commune, dont il est l’une des plus éclatantes figures.

S.V.P. Relayez cet article sur vos blogs ... Merci !

Publié à 13:12 par yvonne92110 Tags : révoltant SVP relayez cet article sur vos blogs merci
S.V.P. Relayez cet article sur vos blogs  ...  Merci  !

source :  http://sos-animaux-en-détresse.centerblog.net                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   GUISEPPE GIUSEPPE est un SDF MALGRE LUI ... parce qu'il nourrit et soigne les pigeons.  Il était locataire dans un appartement de la mairie de Paris, payait son loyer tous les mois avec sa retraite ...  
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  Mais l'administration a récupéré le logement et mis dehors Giuseppe. Depuis, le Calabrais refuse par dignité toute aide d'urgence :  foyers, repas, etc ...

Le vieil homme au dos courbé ne veut pas plier l'échine. S'il en est là aujourd'hui, c'est probablement parce qu'il ne s'intègre pas dans le paysage  
branché de Beaubourg et qu'il nourrit les pigeons, l'animal le plus détesté des Parisiens.

L'homme se bat armé d'une vieille pancarte qu'il trimballe avec son caddie. Partagez svp sur vos blogs, sites, forums, pages communautaires ...   
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             
- Mon humble avis : Cette triste histoire me fait penser à un adage, qui devrait faire réfléchir certains décideurs (sans coeur à l'évidence) : " QU'IMPORTE LE VAINQUEUR : APRES UNE PARTIE D'ECHECS, LES PIONS ET LE ROI SONT RANGES DANS LA MEME BOITE !"  - (yvonne92110) -    

Un peu de tendresse ... Dans ce monde de brutes !

Publié à 15:03 par yvonne92110 Tags : poèmes tendresse merci à son auteur
Un peu de tendresse  ...  Dans ce monde de brutes !

TENDRESSE !


 

D'un amour tendre et pur
Afin qu'il vous souvienne,
Voici mon cœur mon cœur tremblant,
Mon pauvre cœur d'enfant.
Et voici pâle fleur
Que vous fîtes éclore,
Mon âme qui se meurt de vous
Et de vos yeux si doux.

Mon âme est la chapelle,
Où la nuit
et le jour
Devant votre grâce immortelle,
Prie à deux genoux mon fidèle amour.
Dans l'ombre et le mystère
Chante amoureusement
Un douce prière,
Païenne si légère,
C'est votre nom charmant.

D'un amour tendre et pur
Afin qu'il vous souvienne,
Voici mon cœur mon cœur tremblant,
Mon pauvre cœur d'enfant.
Et voici pâle fleur
Que vous fîtes éclore,
Mon âme qui se meurt de vous
Et de vos yeux si doux.

Des roses sont écloses
Au jardin
de mon cœur,
Ces roses d'amour sont moins roses
Que vos adorables lèvres en fleur.
De vos mains si cruelles
Et dont je suis jaloux,
Effeuillez les plus belles,
Vous pouvez les cueillir,
Le jardin
est à vous.

D'un amour tendre et pur

Afin qu'il vous souvienne,
Voici mon cœur mon cœur tremblant,
Mon pauvre cœur d'enfant.
Et voici, pâle fleur
Que vous fîtes éclore,
Mon âme qui se meurt de vous
Et de vos yeux si doux.

- (Vincent Hyspa)
-

Bon mercredi plein de douceur ... pour chacun(e) !

Publié à 15:33 par yvonne92110 Tags : Bonne journée en ce mercredi douceur