Thèmes

à méditer actualités amitié amour amitié tendresse animaux artiste peintre artistes divers au moins 12 morts automne belle journée belles femmes belles images

Images
Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· POEMES et POETES (587)
· CITATIONS ET PROVERBES (779)
· NOEL ET JOUR DE L'AN (1150)
· HUMOUR (1093)
· LA PENSEE du JOUR (2490)
· ARTISTES DIVERS (457)
· ANIMAUX DOMESTIQUES ET AUTRES (789)
· BRETAGNE (405)
· ENFANTS (1166)
· PEOPLE (547)

Rechercher
Recherchez aussi :

Derniers commentaires Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "yvonne92110" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Articles les plus lus

· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !

· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
· Sans dessus dessous ... texte de Raymond Devos !
· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !

Voir plus 

Statistiques

Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour : 29.05.2021
37578 articles


Restons toujours ZEN !

 cool     Notez que les commentaires malveillants, insultants ou racistes, ne seront  pas validés  ...    cool     Merci de laisser  éventuellement une trace de votre passage sur mon  "Livre d'Or"  !!!  Vous pouvez également cliquer sur "j'aime",  si vous  avez apprécié  la visite ...

 

ACTUALITES

Enfant de 8 ans, mort en colonie dans l'Ariège ...

Publié à 12:50 par yvonne92110 Tags : actualités enfant 8 ans mort en colonie dans l ariège
Enfant de 8 ans,  mort en colonie dans l'Ariège  ...

Enfant mort en colonie dans l'Ariège : ce que l'on sait  !

Le Nouvel Observateur 

Deux jours après son arrivée en Ariège, Abderrazak, 8 ans, a succombé à une infection digestive. Des analyses sont en cours. D'autres enfants, et trois adultes, ont également été hospitalisés.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              C'était la première "colo" d'Abderrazak, 8 ans, originaire de Villeneuve-le-Roi, dans le Val-de-Marne. Mercredi 9 juillet, deux jours après son arrivée au chalet Saint-Bernard d'Ascou (Ariège) où il devait passer deux semaines de vacances, le garçonnet est décédé. Il a succombé, selon le procureur de Foix, à une "infection digestive aiguë" qui pourrait être liée à "l'ingestion d'une eau non potable". Quatre autres enfants et trois adultes, un temps hospitalisés, sont désormais hors de danger. Mais jeudi soir, dans un TGV qui rapatriait une partie des enfants, sept autres - depuis tirés d'affaire - ont à leur tour été pris de vomissements et de nausées. D'autres enfants ont-ils également été malades ? Pourquoi ? Que sait-on de cette affaire ?

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             1. Qu'est-il arrivé à Abderrazak ?

Pris de vomissements et de "diarrhées importantes" dans la nuit de mardi à mercredi, Abderrazak, 8 ans, a été transporté mercredi matin au Centre hospitalier du Val-d'Ariège, près de Foix, à une cinquantaine de kilomètres d'Ascou. Son état de santé s'étant rapidement dégradé, il devait être transféré en hélicoptère à l'hôpital de Toulouse, mais il est décédé au Val-d'Ariège quelques heures après y avoir été admis.

 L'autopsie de son corps, réalisée jeudi à Toulouse, a permis de révéler qu'Abderrazak a succombé à une "infection digestive aiguë". C'est ce qu'a affirmé le procureur de Foix Olivier Caracotch, ajoutant que cette infection pouvait être liée à "l'ingestion d'une eau non-potable".

 Toutefois, seul le résultat d'analyses anatomo-pathologiques, en cours, permettra "d'identifier la cause de cette infection". Selon le procureur, l'autopsie de l'enfant n'a pas révélé, en outre, de "vulnérabilité digestive particulière préexistante".

 Abderrazak, fils unique, était asthmatique. Ce qui ne l'empêchait pas de faire du sport "comme les autres" selon un animateur du centre de loisirs de Villeneuve-le-Roi au "Parisien". Il était arrivé sur place lundi 7 juillet au matin après avoir pris le train de nuit avec son groupe jusqu'à Ax-les-Thermes, puis un bus jusqu'au chalet.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     2. L'eau non potable du chalet en cause ? 

 Claude Carrière, maire du petit village d'Ascou, 146 habitants près d'Ax-les-Thermes, se veut prudent. "On ne sait pas de quoi est décédé cet enfant. Je me garderais bien de dire quoi que ce soit à ce sujet" a-t-il déclaré jeudi soir à la suite du décès d'Abderrazak. Il a toutefois évoqué des pollutions de l'eau récurrentes à Ascou : 

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               "Il arrive que l'eau du village, alimentée par une source de montagne, soit déclarée impropre à la consommation. La captation peut être fragilisée, notamment par des orages".

 Le préfet de l'Ariège Nathalie Marthien s'est elle aussi voulue prudente, insistant sur le fait que la piste d'une eau impropre à la consommation n'était la seule à envisager. Elle a toutefois indiqué jeudi "qu'au vu des symptômes", on s'orientait "vers une intoxication alimentaire". Et a confirmé que l'eau du robinet du chalet était contaminée depuis le début du mois du juillet par une bactérie coliforme, et que de l'eau en bouteille était fournie aux enfants de la colonie. L'ARS (Agence régionale de santé) avait en effet constaté début juillet la présence de cette bactérie. Les enfants ont-ils tout de même bu de l'eau du robinet ?

 Jeudi, à la mi-journée, la ministre de la Jeunesse et des Sports Najat Vallaud-Belkacem avait elle aussi évoqué une possible "intoxication alimentaire qui serait liée à l'ingestion d'une eau non potable". 

 Selon un communiqué de la Direction générale de la Santé (DGS) diffusé vendredi après-midi, l'eau du robinet du chalet "faisait l'objet d'une restriction de consommation pour les personnes fragiles décidée le 3 juillet", soit le jeudi précédent. "Des recommandations avaient été faites aux enfants de ne pas boire de l'eau du robinet et de l'eau en bouteille était fournie".

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 3. Quels autres enfants ont été malades ?

 Quand Abderrazak a été hospitalisé, trois autres enfants de son groupe, pris notamment de maux de ventre, l'ont également été. Avant d'en ressortir jeudi complètement rétablis. Le père de deux de ces trois enfants, deux soeurs de 8 et 10 ans elles aussi de Villeneuve-le-Roi, a confié au "Parisien" sa colère et son incompréhension. Ce père de famille regrette que les parents n'aient pas été avertis du problème d'eau potable rencontré au chalet :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             "D'accord, on leur donnait des bouteilles d'eau minérale, mais comment s'assurer qu'un enfant ne va pas aller boire l'eau du robinet ?"

 Par ailleurs, sept autres enfants de la colonie ont été pris de vomissements et nausées dans le train qui les ramenait chez eux en région parisienne jeudi soir. Au point que le TGV a dû s'arrêter en urgence en gare de Tours, aux alentours de 22 heures. Pris en charge par les secours, les enfants ont pu reprendre le train vers une heure du matin sans que leur état de santé ne soit plus jugé inquiétant. 

• On a par ailleurs appris vendredi après-midi que deux autres enfants avaient été brièvement hospitalisés vendredi avant de rejoindre leurs camarades pour prendre le train du retour vers Paris depuis Toulouse : deux fillettes du groupe de Villeneuve-le-Roi, dont une avait déjà été hospitalisée mercredi. La première s'est plainte de maux de ventre et a été hospitalisée dans la nuit. La seconde aurait été victime d'une crise d'angoisse, selon la gendarmerie, et a été hospitalisée vendredi matin. Ces deux fillettes ont toutefois pu monter à bord des bus convoyant les derniers enfants vers la gare de Toulouse. La gendarmerie a précisé qu'un médecin du Samu avait accompagné les enfants pendant tout le trajet.

• Selon le même communiqué de la Direction générale de la Santé, trois adultes de la colonie ont également été hospitalisés et examinés. "Leur état de santé n'inspire pas d'inquiétude" (...) "Aucun cas similaire n'a été recensé à ce jour au sein de la population du village d'Ascou".

Par ailleurs, un garçonnet interrogé jeudi soir par "LCI", affirme :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      "Parce que au début ils ne savaient pas que l'eau était ... Y a que je crois le troisième jour où y a quelqu'un qui a eu la gastro." Interrogé par la journaliste sur le fait que la distribution d'eau en bouteille aurait commencé à ce moment-là, l'enfant répond par l'affirmative. "Pour pas l'attraper".

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  4. Deux enquêtes en cours :

 Deux enquêtes sont actuellement en cours. La ministre de la Jeunesse et des Sports a annoncé jeudi l'ouverture d'une "enquête administrative afin de faire toute la lumière sur ce drame". Une autre, judiciaire, a été confiée à la gendarmerie de Foix. "Une enquête a été ouverte justement parce qu'on ne sait rien de précis sur les causes du décès", a également déclaré le procureur de Foix.

 Au-delà des résultats des analyses complémentaires concernant Abderrazak, sont également attendues celles réalisées sur l'eau du robinet du chalet et d'autres à partir de prélèvements sur des aliments servis au chalet. Ils devraient être connus d'ici à mardi. Selon "La Dépêche", les analyses concernant les aliments ont été confiées à un laboratoire de Lyon, celles concernant l'eau à un laboratoire de Nancy.

 La Direction générale de la Santé précise également que les analyses portant sur les aliments, réalisées sous le contrôle de la Direction départementale de la protection des populations, portaient "sur l'ensemble des repas servis lors du séjour." Elle indique par ailleurs que si des "investigations épidémiologiques et environnementales sont en cours pour déterminer l'origine de la contamination et préciser les causes du décès", "aucune hypothèse n'est privilégiée".

• Le ministère de l'Écologie a également annoncé vendredi avoir mobilisé les services du Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM) et de l'Office National de l'Eau et des Milieux Aquatiques (ONEMA) pour aider au diagnostic d'éventuelles sources de pollution.

                                                                                                                                                                                                                                                                                               5. Quelle assistance pour les enfants et parents ?

• Les parents d'Abderazzak ont été pris en charge par le centre hospitalier, à leur arrivée à Foix.

 "Par mesure de précaution et pour prendre en compte les répercussions psychologiques de cet événement sur le personnel encadrant de la colonie et les enfants, il a été décidé d'organiser le retour des enfants présents dans la colonie dans leur famille", a confirmé la préfecture jeudi. D'où le rapatriement des différents enfants. Les cars vers La Ciotat et Aubergenville, partis jeudi après-midi, étaient attendus dans la nuit. Les enfants originaires de Villeneuve-le-Roi et Paris ont quant à eux rejoint leurs familles en train via Toulouse.

 Une cellule d'urgence médico-psychologique a été mise en place au sein de la colonie de vacances. Un numéro d'appel d'urgence a également été spécialement ouvert : 05.61.02.11.86.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   6. De quelle colonie parle-t-on ?

 Le centre de vacances, d'une capacité d'environ 150 lits, est situé au pied des pistes de ski de la petite station d'Ascou-Paihères (1.500m d'altitude), à une quinzaine de kilomètres d'Ax-les-Thermes. Les enfants qui étaient accueillis en cette première quinzaine de juillet étaient âgés de 6 à 13 ans, et originaires comme Abderrazak de Villeneuve-le-Roi (Val-de-Marne) -qui avait envoyé 40 enfants, mais aussi de Paris, Aubergenville (Yvelines) et de La Ciotat (Bouches-du-Rhône). 

 Selon le maire d'Ascou, "ce centre est bien géré depuis plus de vingt ans par une association". Cette association, Marc et Montmija, gère cinq villages de vacances dans les Pyrénées et le Lot. C'est elle qui avait organisé ce "séjour juniors". La direction de l'association ne s'est pour l'instant pas encore exprimée sur le drame survenu. Les enfants devaient y être accueillis jusqu'au 19 juillet. Le centre a été fermé jusqu'à nouvel ordre. 

Meilleure bachelière de france ... "bravo" Myriam !

Publié à 12:55 par yvonne92110 Tags : actualités meilleure bachelière de france bravo myriam
Meilleure bachelière de france   ...  "bravo" Myriam  !

Fille d'un ouvrier et d'une mère au foyer, elle obtient 21,03 au bac Myriam, une Française d'origine marocaine vivant à Villers-Cotterêts (Aisne), frôle le record établi l'an dernier par une lycéenne de Calais, qui avait obtenu 21,18 au baccalauréat. 

 

Sa plus mauvaise note est un 15/20 en sport. Myriam Bourhail, 18 ans, élève au lycée européen de Villers-Cotterêts (Aisne), a obtenu une moyenne de 21,03 sur 20 au baccalauréat dans la section scientifique. Son origine sociale ne laissait pourtant pas présager un parcours aussi brillant : Française d'origine marocaine, son père est ouvrier et sa mère femme au foyer. Seuls 20,1% des enfants d'ouvriers qualifiés, et 13% des des enfants des ouvriers non-qualifiés obtiennent le bac, contre 71,7% des enfants d'enseignants et 68,2% des enfants de cadres supérieurs, rappelle 20 minutes.  Myriam est a priori la meillleure bachelière de cette cuvée 2014. Le ministère doit encore confirmer l'information, lundi 7 juillet, après avoir fait remonter les dernières notes.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                             Outre sa note en sport, Myriam a obtenu 18 en histoire et 19 en philosophie et en français. Pour le reste, c'est 20 sur toute la ligne. Malgré ce succès, Myriam ne fanfaronne pas. Quand elle a découvert ses évaluations, elle a été "très surprise"explique-t-elle à France 3 Picardie. Elle a réussi à dépasser la moyenne de 20/20 grâce à ses deux options facultatives (grec et section européenne), selon Le Parisien.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      Une future chirurgienne ?

                                                                                                                                                                                                                                                                                                      "Je me dis que mon travail n'a pas été vain", explique-t-elle au journal, en remerciant les professeurs de son "très bon établissement" (public) qui l'ont "très bien préparée". Myriam assure pourtant "ne pas bosser plus que les autres", mais tirer son talent de "sa curiosité". "Je m'intéresse à tout", dit-elle.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             Son père, né au Maroc, est titulaire d'un baccalauréat scientifique mais a dû se contenter d'une carrière d'ouvrier. Trois de ses frères et sœurs suivent déjà des études supérieures. "Passionnée, entre autres exploits de la science, par l'incroyable aventure du cœur artificiel", relève Le Parisien, Myriam souhaite devenir chirurgienne, ou peut-être femme politique. Elle est d'ores et déjà inscrite à la faculté de médecine.

Après le drame d' Albi ... "marche blanche" lundi !

Publié à 13:51 par yvonne92110 Tags : actualités après le drame d albi marche blanche lundi
Après le drame d' Albi    ...    "marche blanche" lundi !

Albi  : La mère d'élève mise en examen pour l'assassinat de l'institutrice.

 

Une femme déséquilibrée de 47 ans qui avait mortellement poignardé l'institutrice de sa fille devant des élèves de maternelle, vendredi à Albi, a été mise en examen samedi pour assassinat, a-t-on appris de source proche de l'enquête.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Cette femme avait été placée dès vendredi en milieu psychiatrique, une première expertise ayant conclu à «des troubles psychiques ayant aboli son discernement». L'expertise avait mis en évidence des «troubles mentaux sévères sous forme d'idées délirantes de persécution», alors qu'elle avait déjà été placée en hospitalisation sous contrainte en milieu psychiatrique, en début d'année.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   Marche blanche lundi en hommage à la victime :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   Vendredi matin, cette mère d'une écolière de 6 ans s'est présentée dans la classe, «un couteau de cuisine avec une lame de 16 centimètres dans son sac à main», selon le parquet. Devant une quinzaine d'élèves de 5 à 6 ans, elle a porté un coup de couteau à la professeure de sa fille. L'enseignante de 34 ans est décédée sur place. Habitante d'un petit immeuble HLM tout proche, la meurtrière avait été appréhendée peu de temps après le drame alors qu'elle marchait dans la rue.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                      Samedi, au premier jour des vacances, de nombreux parents d'élèves, enfants et enseignants se sont réunis avec des psychologues, au sein même de l'école, a constaté une journaliste de l'AFP. «Nous allons accompagner les enfants, les familles, les enseignants, tous ceux qui en ont besoin jusqu'à la rentrée et aussi longtemps que ce sera nécessaire», a annoncé l'adjoint de la directrice académique, Farid Djemmal, en marge de cette réunion.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       La victime, Fabienne Terral-Calmès, était mère de deux petites filles. Une «marche blanche» en hommage à l'institutrice sera organisée lundi, en accord avec son mari, à la veille des obsèques. Elle débutera à 18h, au départ d'un stade proche de l'école, a annoncé une institutrice d'Albi à la correspondante de l'AFP.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           

C'est vraiment ... du grand n'importe quoi !

Publié à 12:38 par yvonne92110 Tags : actualités c est vraiment du grand n importe quoi
C'est vraiment     ...     du grand n'importe quoi   !

Laval. La grenade offerte à la mariée appartenait à un jeune militaire !

 

L'homme qui avait remis une vraie grenade à une jeune femme qui enterrait sa vie de jeune fille s'est dénoncé. Il s'agit d'un jeune militaire de carrière.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Samedi 7 juin, en plein centre de Laval (Mayenne), une jeune femme qui enterrait sa vie de jeune fille, passe une épuisette à la terrasse d'un café, pour recueillir des offrandes.

                                                                                                                                                                                                                                                                    Un inconnu lui remet une grenade, sortie de son sac à dos.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       Il s'est dénoncé à la police :

                                                                                                                                                                                                                                                                                 La blague aurait pu être amusante, sauf que c'était une vraie arme de guerre, heureusement non dégoupillée. L'auteur, âgé de 20 ans, originaire de l'agglomération lavalloise et militaire de carrière, s'est dénoncé à la police.

                                                                                                                                                                                                                                           Quatre autres grenades et une baïonnette ont été découvertes à son domicile. Une expertise des armes a été ordonnée, l'auteur est resté libre pour l'instant.

Faut-il interdire les défis ... sur Facebook ?!!

Publié à 12:25 par yvonne92110 Tags : actualités faut il interdire les défis sur facebook
Faut-il interdire les défis    ...   sur Facebook  ?!!

 Défi Facebook : L'initiatrice du jeu ne se sent « pas responsable ».

 Ouest-France, toute l’actualité locale et internationale
                                                                                                                                                                                                                                                                         Après le décès d'un Morbihannais qui avait tenté le défi Facebook « À l'eau ou au resto », l'internaute qui a contribué à importer le phénomène en France se dédouane.
 

Un Morbihannais de 19 ans est mort, jeudi soir, en se jetant à l'eau avec son vélo, à Béganne. Avec deux amis, il relevait le défi « À l'eau ou au resto » lancé sur Facebook.

                                                                                                                                                                                                                                        « Je ne peux pas me sentir responsable » :

                                                                                                                                                                                                                                                                        Sabrina Leroux, l'internaute qui a contribué au phénomène, en créant une page Facebook pour relayer des vidéos de plongeons réalisés dans le cadre de ce défi, ne culpabilise pas après le drame survenu dans le Morbihan.

                                                                                                                                                                                                                                                                               « Quand on a 20 ans (sic), on a conscience des dangers, a-t-elle confié à RTL. À partir du moment où on saute avec un vélo attaché à sa cheville…. Excusez-moi, non, je ne peux pas me sentir responsable. »

                                                                                                                                                                                                                                                           Après un précédent incident, Sabrina Leroux s'était longuement expliqué sur Le Plus du Nouvel Obs.

                                                                                                                                                                                                                                                       8 000 fans :

                                                                                                                                                                                                                                                                                            La semaine dernière, la jeune femme et ses proches ont fait sauter en mer 3.000 personnes à Calais. Un défi pour la bonne cause, puisque chaque participant a reversé un euro à la Ligue contre le cancer.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                    La page créée par Sabrina Leroux compte plus de 8.000 fans. Ce samedi matin, elle a promis qu'un nouveau défi serait organisé dans les prochains jours...

                                                                                                                                                                                                                                                                        Faut-il interdire ce genre de défis sur Facebook ?

                                                                                                                                                                                                                                                                                Ce défi fait énormément réagir tant sur notre site que sur les réseaux sociaux. Sur la page Facebook d'Ouest-France, les avis sont partagés:  

                                                                                                                                                                                                                                                                                   D'un côté ceux qui défendent Sabrina Leroux. A l'image de Céline qui ne "comprend pas pkoi elle devrait se sentir responsable ... elle n a forcé personne a s'accrocher un vélo a la jambe avant de sauter, ni forcé un autre à sauter là où il y avait trop de courant, ou encore à forcer qq1 qui ne sais pas nager à sauter .... faut arrêter un peu ils avaient pas de flingue sur la tempe quand ils ont sauté !!! ils ont voulu faire les malins et ont perdu c'est tout !"

                                                                                                                                                                                                                                                                                         A l'inverse, plusieurs internautes en appellent à la responsabilité des organisateurs de ce type de défi. Comme Raymond "A lire la grande majorité des commentaires ci-dessous, il faudrait donc lui donner la légion d'honneur ... De mon point de vue, elle devrait fermer son groupe au lieu de se faire mousser auprès des médias ... Mais elle préfère sa minute de gloire ... C'est déjà le second accident grave suite à son jeu débile ... Mais bon cela reflète bien notre société du néant ..."

Tiananmen : 25 ans après, la place bouclée par la police !

Publié à 13:43 par yvonne92110 Tags : actualités tiananmen 25 ans après place bouclée
Tiananmen : 25 ans après, la place bouclée par la police !

Tiananmen : 25 ans après, la place bouclée par la police !

Le Nouvel Observateur avec AFP
(source : Le Nouvel Observateur avec AFP)

 

Les autorités chinoises veulent éviter toute commémoration pour l'anniversaire de la répression sanglante des manifestations pour la démocratie du printemps 1989. 

                                                                                                                                                                                                                                                                                    Les autorités chinoises ont imposé une sécurité draconienne mercredi 4 juin autour de la place Tiananmen pour prévenir toute tentative de commémoration de la répression meurtrière du "printemps de Pékin", il y a 25 ans, tandis que Washington appelait à la libération de dizaines de Chinois détenus préventivement. (photo ci-dessus).

                                                                                                                                                                                                                                                                                                        A Hong Kong, quelque 200.000 personnes étaient attendues en soirée pour une veillée commémorative de l'événement, un rendez-vous annuel que l'ancienne colonie britannique marque d'autant plus fortement qu'il est, à Pékin, plus sévèrement censuré cette année, comme chaque fois qu'il tombe tous les cinq ou dix ans.

                                                                                                                                                                                                                                                        Au moins 66 personnes ont été placées en détention, en résidence surveillée ou placées à l'extérieur de la capitale à l'approche du 4 juin, selon Amnesty International. La presse étrangère s'est vue menacée de représailles par la police si elle tentait de couvrir le 25e anniversaire.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              La place quadrillée par la police :

                                                                                                                                                                                                                                                                 L'accès mercredi à la place Tiananmen était strictement contrôlé par les forces de sécurité qui vérifiaient les identités des Chinois et des touristes étrangers.

                                                                                                                                                                                                                                                                                        Police armée - sorte de gendarmerie chinoise -, gardes municipaux, fonctionnaires en civil, agents des comités de quartier : l'arsenal sécuritaire de la Chine était représenté en nombre sur l'immense esplanade ou à ses abords.

                                                                                                                                                                                                                                                 Dans la nuit du 3 au 4 juin 1989, l'endroit, le plus solennel du pays, face à l'entrée de la Cité interdite, a été le théâtre de la plus meurtrière répression par l'armée d'un mouvement populaire à Pékin depuis la fondation du régime en 1949.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                Plusieurs centaines de morts  :

                                                                                                                                                                                                                                     Des dizaines de milliers de soldats, appuyés par des centaines de chars, avaient repris possession de la place, occupée depuis sept semaines par les étudiants et la population, réclamant liberté et démocratie. L'assaut avait fait plusieurs centaines de morts et jusqu'à plus de mille, selon des sources indépendantes.

                                                                                                                                                                                                                                                         Toute référence aux événements est strictement interdite et censurée, et une bonne partie de la jeunesse chinoise a grandi dans une ignorance totale des faits.

                                                                                                                                                                                                                       Devant l'Université de Beida, d'où était parti le mouvement, un étudiant d'une vingtaine d'année, interrogé mercredi matin sur ces événements, a répondu : "Sur cette affaire, je ne suis pas trop au clair", avant de s'éclipser rapidement.

                                                                                                                                                                                                             Plus loin, un couple d'étudiants de Dalian, en visite à Pékin, s'est montré partagé. Le garçon, Jiang, tombe visiblement des nues : "Quoi, quand ça, en 1989 ?".

                                                                                                                                                                                                                                                   Son amie, Cui, a confié : "Moi, je sais, j'en ai entendu parler. Ça ne serait pas ce mouvement étudiant à propos de Deng Xiaoping (le dirigeant chinois d'alors) ? Mais je ne comprends pas tout. On n'était même pas nés, à l'époque !"

                                                                                                                                                                                                                                                      Dans le reste de la capitale, où les mesures de sécurité avaient déjà été renforcées après une série d'attentats dans le pays attribués à des fondamentalistes de la région musulmane du Xinjiang (ouest), des milliers de policiers patrouillaient, certains équipés d'armes automatiques flambant neuves.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   Nervosité des autorités :

                                                                                                                                                                                                                                                                                   Sur l'avenue de la Paix éternelle, qui longe le nord de la place Tiananmen, de nombreux véhicules de police étaient stationnés tous les 50 mètres, ainsi que des ambulances, mais aussi des camions de pompiers.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Un journaliste de l'AFP s'est vu ordonner d'effacer les photos prises d'une échauffourée entre des policiers et des piétons chinois désireux de se rendre sur la place et exaspérés par ces contrôles.

                                                                                                                                                                                                                                                                                     L'importance du quadrillage policier, même 25 ans après, souligne la nervosité des autorités vis-à-vis d'un événement qui avait traumatisé la population et violemment ébranlé le régime.

                                                                                                                                                                                                                                                              Mardi, les Etats-Unis ont demandé à la Chine de libérer tous les militants qu'elle a emprisonnés récemment à l'approche de l'anniversaire.

                                                                                                                                                                                                                                                                        La porte-parole du département d'Etat, Marie Harf, a souligné que la Chine était un pays en plein développement et qu'elle devrait accorder plus de place au dialogue politique, alors que les autorités de Pékin ont renforcé censure et répression ces derniers jours.

Jérôme Kerviel ... L'ex-trader écroué à Nice !

Publié à 15:00 par yvonne92110 Tags : actualités jerome kerviel ex trader écroué à nice
Jérôme Kerviel    ...    L'ex-trader écroué à Nice !

 

Jérôme Kerviel  :  L'ex trader écroué à Nice  ...

  
L'ex-trader de la Société Générale a été interpellé, à minuit, à Menton, juste après son retour en France. Il a été écroué lundi matin à la maison d'arrêt de Nice.
 

Jérôme Kerviel, de retour d'Italie, a été interpellé dimanche à minuit à Menton, peu après avoir franchi la frontière. Ce lundi matin, il a quitté Menton pour être déféré au palais de justice de Nice et se voir signifier sa condamnation à trois ans de prison ferme. Il a été écroué à la maison d'arrêt de Nice. 

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  L'ex-trader de la Société Générale a été approché par deux policiers en civil, qui l'ont emmené très rapidement, en voiture. Jérôme Kerviel n'a opposé aucune résistance, comme il l'avait annoncé dimanche soir avant de retrouver la France.

                                                                                                                                                                                                                                                    Juste avant de rentrer en France, Jérôme Kerviel avait annoncé son intention de se présenter au premier policier qu'il rencontrerait. 

                                                                                                                                                                                                                                                                                                          « Aujourd'hui je n'ai pas perdu, j'ai passé une magnifique journée auprès des miens, aujourd'hui je suis heureux, je suis libre, je me rends à la police et à la justice ».

                                                                                                                                                                                                                                                                                          Une interpellation très rapide :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                 L'interpellation s'est déroulée très vite, laissant dans un premier temps les soutiens de Jérôme Kerviel désemparés, certains en pleurs.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                « C'est violent », a commenté, très ému, le père Patrice Gourrier, compagnon de route de Kerviel, après cette opération éclair, avant d'annoncer « un sit-in silencieux devant le commissariat de Menton ».

                                                                                                                                                                                                                                                                                                Richard Amalvy, membre actif du comité de soutien à l'ancien banquier, a déploré une « arrestation extrêmement surprenante qui ne nous a pas laissés le temps de dire au revoir à Jérôme ».

 


Jérôme Kerviel interpellé à Menton (source : francetvinfo)

 

L'avocat de la Société Générale parle de « mystification » :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                 L'avocat de la Société Générale, Me Jean Veil, a estimé lundi que« la presse se laissait mystifier dans des conditions absolument incroyables » par l'ex-trader. 

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                « Comment veut-on que les collaborateurs de la SG ne se soient pas laissés tromper par le même M. Kerviel?? », a demandé Me Veil sur Europe 1, rejetant la théorie de l'ancien collaborateur de la banque selon laquelle ses supérieurs étaient au courant de ses opérations abusives ayant fait perdre 4,9 milliards d'euros à sa banque.

                                                                                                                                                                                                                                                                          L'avocat, qui a parlé aussi de « mystification » à propos de la « rencontre » de Kerviel avec le pape François, lors d'une audience générale, n'en a pas moins reconnu que la Société Générale a renforcé les contrôles après la découverte des agissements de Kerviel, condamné à cinq ans de prison, dont trois ferme.

                                                                                                                                                                                                                                                                               Enfin, Me Veil a jugé « scandaleux » que l'ex-trader interpelle le président de la République « comme l'a fait Leonarda », une jeune fille rom expulsée.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Condamné en 2010 :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                    Aujourd'hui âgé de 37 ans, Jérôme Kerviel a été condamné en 2010 à cinq ans de prison dont trois ferme, pour avoir fait perdre 4,9 milliards d'euros à sa banque par des positions imprudentes qu'il avait dissimulées.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              Sa condamnation à rembourser les sommes perdues a été cassée en mars. Un nouveau procès au civil doit se tenir devant la cour d'appel de Versailles.

Lourdes. Tremblement de terre de magnitude 4,7 !

Publié à 12:15 par yvonne92110 Tags : actualités lourdes séisme magnitude 4 7
Lourdes.  Tremblement de terre de magnitude 4,7 !

Lourdes : un tremblement de terre de magnitude 4,7  ...

 
 
 
Un séisme modéré s'est produit ce mardi matin dans la région de Lourdes, dans les Hautes-Pyrénées, sans faire ni victimes ni dégâts.
 

Le séisme, de magnitude 4,7 sur l'échelle ouverte de Richter, s'est produit à 09h03, à environ cinq km au sud-est de Lourdes, a précisé le Bureau central sismologique.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Il y a « des séismes réguliers dans cette zone » située sur « la faille nord-pyrénéenne », a ajouté le BCSF. Le tremblement de terre est dû à la « compression de la plaque africaine sur la plaque eurasienne ».

                                                                                                                                                                                                                                   Ressenti dans les départements voisins :

                                                                                                                                                                                                                                                          Il n'y a pas eu de dégâts ou de blessés dans l'immédiat, d'après les pompiers et les gendarmes. Les pompiers devaient cependant partir en reconnaissance sur le terrain pour vérifier.

                                                                                                                                                                                                                                                Le tremblement de terre a été ressenti en Haute-Garonne voisine, dans le secteur de Luchon. Il a également été ressenti dans les Pyrénées-Atlantiques, selon les témoignages recueillis (source : Dépèche du midi).

                                                                                                                                                                                                                                                                  Les Hautes-Pyrénées sont, avec les départements des Alpes, les zones de France métropolitaine où l'activité sismique est la plus forte.

Retour des Ex-Otages en Syrie ... enfin libérés !

Publié à 12:31 par yvonne92110 Tags : actualités retour des ex otages de syrie enfin libérés
Retour des Ex-Otages en Syrie   ...  enfin libérés !
Le Nouvel Observateur

Didier François, Edouard Elias, Nicolas Hénin et Pierre Torres ont atterri à Villacoublay peu avant 9h.    

 

11h - Les ex-otages au Val de Grâce :

                                                                                                                                                                                                                          Didier François, Edouard Elias, Nicolas Hénin et Pierre Torrès sont arrivés à l'hôpital militaire parisien pour y subir examens et tests médicaux.

                                                                                                                                                                                                                            10h30 - Certains des geôliers parlaient français :

                                                                                                                                                                                                            C'est ce qu'affirme Laurent Fabius. Interrogé sur la présence de geôliers qui parlaient français, le ministre répond : "Malheureusement oui!". "Il y a des Français, des Belges, des Italiens, des Européens en général, qui sont partis faire le jihad" en Syrie", ajoute -t-il lors du Grand rendez-vous I-télé, Europe 1, Le Monde.

                                                                                                                                                                                    François Hollande a évoqué de son côté ces "jeunes qui se font embrigader par des moyens totalitaires pour aller combattre en Syrie". "Nous ne laisserons pas faire. Pour cela, on fait en sorte que nul ne puisse sortir du territoire pour mener une action quelconque par les armes, où que ce soit".

                                                                                                                                                                                                                                                             9h50 - L'Etat français "ne paie pas de rançon" :

                                                                                                                                                                                                 François Hollande rappelle sur Europe 1 que l'Etat français "ne paie pas de rançon". "Tout est fait par des négociations, des discussions. Je ne veux pas être plus précis", a-t-il dit, "car nous avons encore deux otages" au Sahel.

                                                                                                                                                                                                                                                            9h30 -Didier François donne des précisions sur sa captivité. "On est restés dix mois complets dans des sous-sols sans voir le jour", dit-il à sa radio, Europe 1. "Sur les dix mois et demi" de détention en Syrie, les quatre otages français sont "restés dix mois complets dans des sous sol sans voir le jour, un mois et demi entièrement enchainés les uns aux autres", ajoute-t-il, évoquant des conditions de détention "rudes".

                                                                                                                                                                                                                                                        9h20 - "Pas toujours bien traités" :

                                                                                                                                                                                          Très ému, ses enfants dans les bras, Nicolas Hénin explique à la presse que les otages ont été "plongés dans le chaos syrien avec tout ce que ça veut dire". A-t-il été bien traité? "Pas toujours", répond-il d'une voix étranglée. "Ca n'a pas toujours été facile".

                                                                                                                                                                                                                            9h10 - Didier François s'exprime au micro.  :

                                                                                                                                                                                                           "Ca a été long, mais on n'a jamais douté", déclare le grand reporter d'Europe 1 Didier François, seul ex-otage à s'exprimer devant le micro. "De temps en temps, on avait des bribes, on savait que tout le monde était mobilisé... On a vraiment cette chance d'être Français", ajoute-t-il.

 

9h05 - François Hollande prend la parole : 

                                                                                                                                                                                                  C'est "un jour de joie pour la France", lance le président. "La France est fière d'avoir des compatriotes de cette valeur, qui puissent servir la liberté de la presse et la France est fière d'avoir pu obtenir qu'ils soient aujourd'hui libres", mais "il y a encore des otages en Syrie, retenus parce qu'ils sont journalistes".

                                                                                                                                                                                                                                                 9h - Les ex-otages retrouvent leur famille :

                                                                                                                                                                                                                 Habillés de pantalons beiges et de simples vestes polaires, ils sont visiblement fatigués mais souriants. Edouard Elias retrouve ses grand-parents, Nicolas Hénin embrasse ses deux enfants et son épouse. Didier François s'entretient, à part sur le tarmac, avec le président de la République.

                                                                                                                                                                                                8h55 - Les journalistes posent le pied sur le sol français :

                                                                                                                                                                                                 Didier François, Edouard Elias, Nicolas Hénin et Pierre Torrès ont tous les quatre rasé leur abondante barbe, signe de leur dix mois de captivité, arborant des visages glabres.

 

8h50 - Les ex-otages atterrissent à Villacoublay : 

                                                                                                                                                                                                                 Ils se rendront dans un premier temps "au calme" dans un salon VIP, avant de revenir devant leurs confrères en compagnie du président François Hollande, qui prendra la parole.

 

8h30 - Départ d'Evreux pour Villacoublay :

                                                                                                                                                                                                  Les ex-otages ont quitté Evreux en hélicoptère pour Villacoublay, au sud de Paris, pour leur accueil officiel.

                                                                                                                                                                                                                                                        7h30 - Les quatre journalistes ont atterri en France :

                                                                                                                                                                                                                  L'avion des ex-otages, venu de Turquie, atterrit sur la base militaire d'Evreux (Eure). Cette escale devait être mise à profit pour procéder à des examens médicaux.

VALPARAISO ... au moins 12 morts dans l'incendie !

Publié à 14:54 par yvonne92110 Tags : actualités valparaiso au moins 12 morts incendie chili
VALPARAISO   ...   au moins 12 morts dans l'incendie !

Au moins douze personnes sont décédées dans le gigantesque incendie qui ravage la ville portuaire de Valparaiso, au Chili, depuis samedi. Regardez les photos de ce feu spectaculaire que les autorités ne sont toujours pas parvenues à maîtriser.

 

Un gigantesque incendie ravage Valparaiso depuis samedi :