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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Alan Henning. Taxi, père de famille et humanitaire au grand cœur ...
Chauffeur de taxi à Manchester, Alan Henning, assassiné par Daesh, était, selon ses proches un homme au grand coeur, qui était parti aider les victimes de la guerre en Syrie.
Le Britannique de 47 ans, décapité ce vendredi, par Daesh, était marié et père de deux adolescents. Il avait été enlevé en décembre alors qu'il s'était porté volontaire pour acheminer de l'aide dans un camp de réfugiés syrien.
Son apparition dans une vidéo des extrémistes sunnites le 15 septembre dernier a ému tout le Royaume-Uni où la presse le montrait souvent souriant avec un enfant syrien dans les bras.
Son sort a soulevé une mobilisation importante, notamment auprès de la communauté musulmane, et sa femme n'a cessé d'implorer les jihadistes de l'EI d'épargner son mari, lors de plusieurs messages vidéo déchirants. Surnommé « gadget » pour son goût prononcé pour les nouvelles technologies, Alan Henning n'était pas un professionnel de l'humanitaire. Touché par les souffrances de la population civile syrienne, il avait décidé de s'associer à un groupe d'amis musulmans qui avaient fondé une association caritative,« Aid4Syria » - une appellation qu'il s'est fait tatouer sur le bras, afin d'amener de l'aide humanitaire dans des camps de réfugiés de ce pays ravagé par la guerre civile.
« Alan est un homme plein de compassion », a déclaré au Guardian Kasim Jameel, également chauffeur de taxi dans le grand Manchester, et l'un des organisateurs des convois humanitaires auxquels Alan Henning avait pris part. Selon la presse, il s'était rendu à quatre reprises dans le pays. D'après Kasim Jameel, Alan Henning avait insisté pour participer au dernier convoi au lieu de passer les fêtes de fin d'année avec sa famille. « Je pourrais raconter beaucoup d'anecdotes sur le bien qu'Alan a fait et sur la manière, dont ce non-musulman a aidé des musulmans qui souffraient de ce conflit », a-t-il ajouté.
Décrit par ses amis comme « un homme au grand coeur », il s'était également activement impliqué dans la collecte de fonds pour financer l'équipement médical et l'aide alimentaire que le groupe a ensuite apportés en Syrie.
Les véhicules du convoi humanitaire informel, qui ont quitté le Royaume-Uni le 20 décembre, ont été arrêtés par un groupe armé après avoir franchi la frontière turque.
Alan Henning a ensuite été séparé de ses camarades, selon leur récit fait à leur retour au Royaume-Uni, après avoir été libérés.
Plusieurs journaux britanniques rapportaient qu'il avait ensuite été déplacé jusqu'à Raqqa, au nord de la Syrie, présentée par les jihadistes de l'EI comme leur capitale. A la demande du ministère britannique des Affaires étrangères, ses proches et sa famille avaient depuis gardé le silence sur son enlèvement. Une journaliste de la BBC, Catrin Nye, a croisé son chemin en octobre dernier alors qu'il remplissait une ambulance de couches et de petits pots pour enfants. « C'était quelqu'un de marrant, il faisait beaucoup de blagues (..) et il était porté en haute estime par ceux qui allaient voyager avec lui », se souvient-elle. « Les gens, ajoute-t-elle, le décrivaient comme quelqu'un de très gentil, désintéressé, un mec ordinaire, un père, un chauffeur de taxi, un amateur de pêche, quelqu'un qui voulait et veut toujours aider les civils syriens. »
Alan Henning est le 5ème otage décapité, en comptant le Français Hervé Gourdel ... Selon certaines sources, ces otages auraient tous été égorgés et non pas décapités (sous réserves de confirmation).
400 élèves font leur rentrée des classes dès ce mardi 27 août ! Pour les autres élèves, la rentrée des classes aura lieu le 2 septembre ...
Alors que les élèves du reste de la France en sont encore à choisir la couleur de leur cartable, Basile, 8 ans, fait sa rentrée en CE2 sans traîner les pieds.
A l'instar de Basile, environ 400 élèves des écoles de Megève, Combloux, Demi-Quartier et Praz-sur-Arly, ainsi que de la commune de Vallorcine, près de Chamonix, sont concernés par cette rentrée anticipée. Une expérimentation, rendue possible par un décret du ministre de l'Education de mai 2014, qui doit permettre de libérer huit matinées le mercredi durant la saison hivernale.
Avec la réforme des rythmes scolaires et l'obligation de faire cours le mercredi matin, les jeunes montagnards risquaient en effet de se voir privés de cours de ski alpin, ski de fond ou hockey sur glace.
Et impossible d'emmener les enfants skier l'après-midi quand la classe se termine à 15h30, soit peu de temps avant la tombée du jour en hiver. Or, "chez nous, le ski c'est une institution", souligne Lætitia Gouttry.
Dès le mois d'octobre 2013, les maires de Megève et de trois communes voisines ont donc écrit au ministère de l'Education pour demander une dérogation aux règles introduites par la réforme.
"C'était pour alléger l'emploi du temps des enfants qui est ultra-chargé en termes d'activités au deuxième trimestre", indique Jean Bertoluzzi, maire de Combloux.
La mesure a été plutôt bien acceptée par les enseignants et les parents d'élèves, grâce à une concertation menée largement en amont. "En tant que parents, ça nous arrange: ça fait une semaine de garderie en moins", sourit Lætitia Gouttry.
Un des enjeux de la dérogation était aussi d'éviter une nouvelle "guerre scolaire" dans des communes où l'enseignement privé est très bien implanté et dispensé d'appliquer la réforme des rythmes scolaires.
Finalement, l'école Beauregard n'a perdu aucun élève en cette rentrée. A quelques dizaines de kilomètres de là, Vallorcine, petite commune de 438 habitants, a fait le même choix. En effet, en raison de l'isolement du village, coincé entre la frontière suisse et le col des Montets, le ski est une activité incontournable pour les enfants l'hiver.
D'autres communes en Savoie et Haute-Savoie "ont demandé cette dérogation", affirme Sophie Dion. "Mais les conditions ne sont pas réunies : cela suppose l'accord des enseignants, des parents d'élèves et de tout le personnel éducatif", explique-t-elle. Dans le reste de la France, la rentrée scolaire a lieu le mardi 2 septembre.
En août 1994, Alger décidait de fermer sa longue frontière (quelque 1.500 km) avec Rabat après un attentat à Marrakech, le 24, dont le royaume rendait responsables les services de renseignements algériens. Depuis, l'espoir né de l'arrivée, en 1999, du président Abdelaziz Bouteflika et du roi Mohammed VI s'est envolé.
L'Algérie dit attendre des "excuses" pour avoir été "accusée à tort" et entend dissocier de la relation bilatérale la question du Sahara occidental, une ex-colonie espagnole annexée par le Maroc mais revendiquée par des indépendantistes (Polisario) avec le soutien d'Alger.
Rabat rappelle de son côté que la fermeture n'est pas de son fait et fustige une "mauvaise volonté" du voisin, dont le but serait de contrer coûte que coûte l'influence régionale du royaume.
Dans ces conditions, les deux poids lourds du Maghreb -- plus de 70 millions d'habitants -- ne cessent de se renvoyer la balle voire de s'invectiver.
"Nous ne sommes pas responsables de la fermeture et nous ne ferons rien qui aille dans le sens d'une exacerbation de la tension", assure à l'AFP un diplomate algérien de haut rang. Fin juillet, Mohammed VI a, lui, déploré une situation "étrange" ayant atteint un seuil intolérable pour le "citoyen maghrébin".
- Cannabis contre psychotropes -
Outre les querelles sur le Sahara, la dernière controverse en date a tourné autour des trafics de drogues -- saisies de cannabis marocain chez l'un contre psychotropes algériens chez l'autre.
"La nécessité d'avoir un Maghreb intégré n'a jamais été aussi forte. Le comportement d'Alger et Rabat est totalement anachronique", fustige Khadija Mohsen-Finan, de l'Institut de relations internationales et stratégiques (Iris).
"La situation régionale est faite de problèmes socio-économiques, et d'insécurité. On ne peut plus se permettre le luxe de bouder", ajoute-t-elle, citant notamment les répercussions du conflit libyen et le risque de "circulation des armes".
Car si la frontière algéro-marocaine est officiellement fermée, elle reste perméable aux trafics en tous genres, du fait de l'absence totale de coopération.
"On ne se parle pas, confirme une source ministérielle marocaine. Et lorsqu'on se croise dans des réunions, on fait de belles déclarations, on se tape dans le dos. Mais après 48 heures, c'est oublié."
L'an dernier, l'Algérie, pays producteur de pétrole, a décidé unilatéralement de renforcer ses patrouilles et creuser des tranchées contre le trafic de carburant, un coup dur pour la région marocaine d'Oujda, où nombre d'habitants vivent du commerce transfrontalier.
Le mois dernier, le Maroc a annoncé la construction, sur une partie de la frontière, d'une "clôture" équipée de "capteurs électroniques" afin de se "protéger des menaces terroristes".
- "Aucune rationalité" -
En plein cœur de l'été, des travaux sont effectivement en cours entre Saïdia, sur la côte méditerranéenne, et Oujda, a constaté un photographe de l'AFP.
Plus au sud, de rares véhicules et quelques ânes chargés de bidons vides continuent de s'engager, à la tombée du jour, sur des pistes menant en Algérie. Leur nombre a toutefois grandement diminué en un an.
"Plus le temps passe, plus les prix augmentent, moins nous avons de clients", se désole Redouane, un revendeur d'essence âgé de 24 ans.
A ce jour, l'écart avec le prix des stations service ne serait plus que d'une poignée de centimes le litre.
La mésentente entre Alger et Rabat pèse aussi sur la lutte contre les réseaux d'immigration clandestine. Impactée du fait de la forte pression à ses frontières sud, l'Union européenne semble inapte à favoriser un rapprochement.
Mais le plus grand gâchis reste économique, juge l'expert marocain Najib Akesbi.
L'an dernier, diverses études ont relevé que le commerce entre les cinq pays de l'Union du Maghreb arabe (UMA, créée en 1989 mais dont la mise en œuvre est au point mort) ne représentait que 3% de leurs échanges globaux, ce qui en fait la région la moins intégrée au monde.
Quant à la Banque mondiale, elle a évalué à plusieurs milliards de dollars le coût annuel du "Non-Maghreb".
"En 1994, on pensait à une simple saute d'humeur. On imaginait que la logique économique, que les peuples seraient plus forts", commente M. Akesbi. "Mais il n'y a aucune rationalité dans l'attitude des deux pays", juge-t-il.
Dix-huit cadavres ont été découverts dimanche matin à bord d’un canot à la dérive au sud de l’île de Lampedusa, dans le dernier d’une série de drames de l’immigration clandestine, a confirmé à la chaîne SkyTG24 le capitaine du navire de la Marine italienne qui leur a porté secours. Le bâtiment Sirio, après avoir repéré l’embarcation en panne de moteur, l’a rejointe et a trouvé à bord ces cadavres, tous des hommes, à côté de 73 survivants. «Quand notre hélicoptère a survolé l’embarcation, elle coulait. Il y avait des personnes dans l’eau. Des bouées et gilets de sauvetage leur ont été lancés», a déclaré le capitaine Marco Bilardi à SkyTG24.
Des rescapés ont parlé de 99 personnes au départ du bateau, affirmant que huit autres passagers auraient disparus en mer, mais le capitaine Bilardi a indiqué que son équipage n’avait repéré en mer aucune trace de ces disparus. Les 73 survivants ont rejoint sur le Sirio 193 autres migrants auparavant secourus. Le Sirio faisait route vers le port sicilien de Pozzollo. Un ultime sauvetage, dimanche matin, a permis de secourir 215 autres immigrés en difficulté, dont 55 femmes et 38 enfants, également au sud de Lampedusa. Ceux-ci ont tous été accueillis à bord du navire Fenice.
Un navire militaire italien, le San Giusto, transportait par ailleurs 900 migrants recueillis après diverses autres opérations. Parmi eux, 500 réfugiés dont de nombreux femmes et enfants, principalement syriens et libanais, déshydratés et pour certains évanouis qui se trouvaient à bord de deux autres barques et qui ont été secourus par un navire des garde-côtes, le Fiorillo, dans les eaux libyennes. Dimanche matin, est arrivé à Reggio de Calabre le navire italien Fasan avec 1373 migrants à bord -1014 hommes, 200 femmes et 159 mineurs- secourus ces derniers jours. Une cinquantaine d’entre eux, souffrant de la gale, ont dû être soignés dès leur arrivée. Le cadavre d’un homme, qui serait mort après avoir reçu un coup de barre de fer à la tête d’un des passeurs, se trouvait à bord du Fasan.
Plus de 3500 hommes, femmes et enfants, principalement syriens et érythréens, ont été sauvés depuis vendredi dans le canal de Sicile (entre la Sicile et les côtes de la Libye et de la Tunisie) par la Marine de guerre, les garde-côtes et les navires marchands, selon les organismes de secours. Après deux naufrages de grande ampleur à l’automne dernier, l’Italie a mis en place une opération baptisée «Mare Nostrum» pour secourir les nombreuses embarcations en difficulté venant en majorité de Libye, aujourd’hui en pleine anarchie. Vendredi encore, quelque 170 Africains ont disparu en mer sur une embarcation de bois au large des côtes libyennes, à une soixantaine de kilomètres de Tripoli, en face de la localité de Guarabouli.
Le ministre italien de l’Intérieur, Angelino Alfano, a demandé à nouveau à l’Europe une action décisive et rapide: «ce sont des aveugles, ceux qui ne voient pas ce qui se passe: plus le problème de la frontière de la Méditerranée s’aggrave, plus on réalise que Mare Nostrum doit être remplacée par une action européenne», a-t-il déclaré au quotidien Corriere della Sera.Selon le Haut commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR), plus de 100 000 personnes sont arrivées en Italie par la mer depuis le début de l’année 2014. Beaucoup ont rejoint d’autres pays d’Europe.
De Singapour à Mexico, le Dîner en blanc s'étend à l'international ...
Né à Paris il y a 26 ans, le Dîner en blanc qui chaque année rassemble dans les plus beaux espaces publics des milliers de personnes pour un pique-nique surprise, est de plus en plus couru : près de 800 villes dans le monde ont demandé à y participer.
Après intense sélection des organisateurs, 50 cités - de Mexico à Singapour en passant par Paris, New York ou Johannesbourg - ont ou vont organiser cette année leur dîner en blanc, pour un total de plus de 120.000 convives.
Et les listes d'attente s'allongent. A New York, la 4e édition du Dîner en blanc va rassembler le 25 août 4.600 personnes. Plus de 30.000, selon les organisateurs, n'ont pas dépassé la liste d'attente. Le dîner y affichait complet quelques minutes seulement après le lancement des inscriptions.
Le principe est toujours le même : un lieu public spectaculaire, tenu secret jusqu'au dernier moment. Des couples élégamment vêtus de blanc, qui s'y retrouvent avec table et chaises, nappes (blanches), vraie vaisselle, bougies, argenterie... et un pique-nique gastronomique.
L'organisation de fer, quasi militaire, est assurée par des dizaines de bénévoles. Et après une installation ultra-rapide, le pique-nique géant démarre, après que les convives eurent fait tournoyer leurs serviettes en l'air. Quelques heures plus tard, le parc, les ponts ou places qui l'ont accueilli retrouvent leur visage habituel, chacun repartant avec son matériel, ses déchets et ses souvenirs.
Le plus petit dîner ? Trois cent personnes l'an dernier sous la pluie à Stockholm, selon Sandy Safi, cofondatrice de Dîner en blanc international. Le plus grand, 13.000 sur six ponts de Paris le 12 juin dernier.
Désormais breveté, le Dîner en blanc (DEB), dont la branche internationale a été créée en 2011, veut garder les pieds sur terre.
"On ne veut pas grandir trop vite", explique à l'AFP Aymeric Pasquier, le fils du fondateur du Dîner en blanc et autre cofondateur de DEB international, basé à Montréal. "A l'international, on a commencé avec 17 dîners la première année, 34 l'an dernier, 50 cette année. Pour nous l'objectif n'est pas de battre des records, on défend des valeurs qui sont l'amitié et le partage."
Même si des vins s'y sont associés, ainsi que des chefs proposant des paniers repas gastronomiques, "c'est un événement non commercial", souligne-t-il.
A New York, l'inscription via la plateforme internet coûte 30 dollars, plus 5 dollars qui vont au réseau DEB international. Non compris bien sûr le pique-nique et matériel, que chacun doit apporter.
A l'origine, le Dîner en blanc ne se voulait qu'une rencontre entre copains, organisée pour la première fois en 1988 par un chef d'entreprise français, François Pasquier, dont le jardin était trop petit pour les accueillir tous. Il leur donne rendez-vous au Bois de Boulogne (ouest de Paris), leur dit de s'habiller en blanc pour être reconnaissables, et d'apporter tables, chaises et pique-nique.
L'année suivante, chacun peut coopter un ami et le dîner grandit. En 1991, il décide de se transporter sur le Pont des Arts à Paris. Mais pour éviter les ennuis avec les autorités, le lieu sera tenu secret jusqu'au dernier moment.
Des angoisses, des bonnes surprises, les responsables de DEB international, qui sélectionnent les organisateurs de chaque ville, n'en ont pas manqué.
Ils découvrent qu'à Singapour le blanc est la couleur d'un parti politique, et qu'il faut une stratégie pour s'en démarquer.
A Auckland en Nouvelle-Zélande, le passage d'un ouragan de catégorie 3, les a obligés cette année à reporter d'une semaine.
La première édition du Dîner en blanc de New York en 2011 coïncidait avec le passage de l'ouragan Irène. Miracle, la pluie s'est arrêtée juste avant le dîner de 1.200 personnes.
Dans les bonnes surprises, un couple s'est marié cette année lors d'un dîner en blanc à Victoria, au Canada, raconte Sandy Safi. D'autres voyagent d'un Dîner en blanc à l'autre, de Montréal à New York. D'où l'intérêt, dit-elle, que tous les dîners n'aient pas lieu le même jour.
Seule ombre au tableau, les listes d'attente parfois infranchissables pour ceux qui ne sont pas cooptés.
A Philadelphie, des déçus ont trouvé la parade. Ils viennent de lancer leur premier Dîner en noir, le même jour que le Dîner en blanc.
Le Var en état de vigilance après un premier cas de dengue autochtone ...
Le Var a été placé jeudi en état de vigilance 2 du plan national anti-dissémination du chikungunya et de la dengue, après la découverte d'un premier cas de dengue autochtone dans le département, indiquent la préfecture et l'Agence régionale de santé (ARS).
"Il s'agit pour l'instant d'un cas unique et géographiquement isolé", ajoutent les autorités dans un communiqué, précisant que "la personne contaminée a consulté un médecin traitant et son état n'inspire aucune inquiétude".
Ce premier cas est dit de "dengue autochtone", car la personne contaminée n'a pas voyagé dans les 15 jours dans une zone où le virus circule, précise ce communiqué. Elle n'a pu être, par conséquent, contaminée que sur le territoire national.
En 2010, deux cas de dengue et deux cas de chikungunya autochtones avaient déjà été observés dans le sud-est de la France. En Italie, une épidémie de chikungunya d'origine autochtone avait touché 300 personnes en 2007, dont une était décédée.
Dans leur communiqué, la préfecture du Var et l'ARS rappellent que "la dengue est une maladie due à un virus qui se transmet d'homme à homme uniquement par l'intermédiaire d'une piqûre du moustique Aedes albopictus, également appelé moustique tigre".
Elles précisent que dans le cadre du passage au niveau 2 du plan de vigilance, "les mesures de surveillance épidémiologique, surveillance des autres cas suspects possibles, et entomologique, c'est-à-dire des populations de moustiques, (...) ont été renforcées", signalant que "des actions de démoustication sont également en cours autour de la zone de résidence de la personne contaminée".
Nouveau drame dans le Mont-Blanc avec la mort de trois alpinistes ...
L'accident remonterait au vendredi 15 août en fin d'après-midi, mais les corps n'ont été retrouvés que dimanche, après plusieurs reconnaissances par hélicoptère.
Les victimes sont le président de la compagnie des guides de la Vanoise (Savoie), âgé d'une cinquantaine d'années, et ses deux clients de la région parisienne.
Les trois alpinistes projetaient d'effectuer la traversée de la Vallée Blanche après une nuit au refuge des Cosmiques (3.613 mètres), un "parcours d'alpinisme glaciaire magnifique et tout à fait accessible", selon Denis Crabières, président du Syndicat National des Guides de Montagne (SNGM).
Mais les compagnons de cordée ont été emportés avant même d'entamer leur course d'alpinisme. Ils "ont vraisemblablement dévissé depuis l'arête" de l'Aiguille du Midi (3.842 mètres), avant même d'avoir rejoint le refuge, selon le peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de Chamonix."La chute de plus de 800 mètres ne leur a laissé aucune chance", a-t-il dit.
Les causes exactes de leur chute n'étaient pas connues lundi matin. "Des investigations sont encore en cours (...) Il est possible qu'une corniche de neige ait cédé sous les pas de la cordée empêchant le guide de retenir ses clients", a indiqué le PGHM.
Cet itinéraire est emprunté chaque année par des milliers d'alpinistes effectuant des courses en montagne depuis le téléphérique de l'Aiguille du Midi. Les skieurs souhaitant descendre la Vallée Blanche doivent aussi passer par cette arête vertigineuse.
Facile techniquement, cet itinéraire "peut se révéler dangereux dans certaines circonstances", selon Denis Crabières. "La trace peut disparaître en fonction des conditions météo", souligne-t-il.
- "Série noire" -
Les deux alpinistes étaient encadrés par "un guide expérimenté" qui avait "25 années d'expérience", a indiqué M. Crabières selon lequel "il était difficile de faire meilleur connaisseur du milieu".
Ce nouveau drame de la montagne porte à 20 le nombre des morts ou disparus depuis le début de la saison estivale dans le massif du Mont-Blanc, après l'accident qui a coûté la vie à cinq stagiaires de l'UCPA et leur guide, mardi dernier.
Quatre hommes et une femme, des Français âgés de 27 à 45 ans, qui participaient à un stage de perfectionnement de deux semaines, accompagnés par un guide de 42 ans, avaient été tués après une chute de 250 mètres. Leurs corps avaient été retrouvés le lendemain.
L'année 2014 pourrait ainsi se révéler être une des plus meurtrières depuis dix ans en Haute-Savoie. Sur tous les massifs du département, il n'y a qu'en 2012 (20 morts et un disparu) et en 2008 (16 morts et 8 disparus) qu'on avait dénombré autant de victimes en alpinisme, deux années marquées par des avalanches meurtrières sur le Mont-Blanc du Tacul et le Mont Maudit.
Lors d'une année ordinaire, on dénombre de dix à quinze alpinistes morts ou disparus en Haute-Savoie.
Les conditions d'enneigement et la météo ne sont pas particulièrement difficiles cet été, selon les professionnels de la montagne, qui imputent cette "série noire" aux risques inhérents à la montagne.
"La montagne comporte toujours des aléas très forts", souligne Eric Fournier, maire de Chamonix, qui remarque que les deux derniers accidents ont eu lieu sur "des terrains faciles avec des gens expérimentés". "Ce sont deux coups de pas de chance, deux accidents qui nous assomment. C'est terrible", a-t-il ajouté.
L'élu appelle toutefois à ne pas stigmatiser la pratique de l'alpinisme. Et de souligner que "d'autres sports et loisirs ont des bilans autrement plus terribles". Lors de l'été 2012, 497 morts accidentelles par noyade avaient ainsi été répertoriées par l'Institut national de veille sanitaire (INVS).
Le canal de Panama, maillon stratégique du commerce mondial, a 100 ans ...
Panama a fêté vendredi les 100 ans de son célèbre canal, construction emblématique du 20e siècle qui a bouleversé le commerce mondial en reliant les océans Atlantique et Pacifique, mais qui doit désormais se moderniser pour faire face à la concurrence.
Le 15 août 1914, après plus de 30 ans de travaux et la mort de 27.000 ouvriers, de paludisme ou de fièvre jaune, ce monument d'ingénierie était enfin inauguré par les Américains. Ils avaient réussi là où les Français, menés par l'ingénieur Ferdinand de Lesseps (père du canal de Suez), avaient échoué entre 1881 et 1904.
"Cent ans de portes ouvertes, pour notre fierté", lit-on sur la façade ancienne des écluses de Miraflores, où s'est déroulée vendredi, sous un soleil ardent, une cérémonie présidée par l'administrateur du canal, Jorge Quijano, en présence de centaines d'employés du canal et d'invités.
"Aujourd'hui, c'est un jour d'opérations comme les autres, car comme tous les jours, 35 navires en moyenne profiteront d'un chemin plus court entre l'Atlantique et le Pacifique", a-t-il déclaré.
En ce jour, "le monde célèbre un siècle d'ingéniosité. Cent ans de triomphe de l'imagination, de l'effort et du sacrifice humain", a de son côté affirmé le président du pays, Juan Carlos Varela, qui a déposé des fleurs dans le cimetière où reposent les ouvriers morts sur le chantier de construction.
Il y a 100 ans, l'ouverture de ce passage avait révolutionné le commerce mondial, permettant d'abord aux Etats-Unis de déplacer sa flotte militaire et commerciale d'une côte à l'autre, avant de devenir un maillon essentiel pour les échanges entre l'Europe, l'Amérique latine et l'Asie.
Le canal "est né comme une enclave coloniale et aujourd'hui, c'est un moteur de développement", commente ainsi l'analyste José Isabel Blandon.
Chaque année, le long des rives où foisonne une jungle luxuriante, 14.000 bateaux entament une lente traversée qui dure en moyenne 10 heures, puis rejoignent 1.700 ports dans 160 pays.
Le petit pays d'Amérique centrale, placé sur la carte du monde grâce à cette voie par où transite 5% du commerce maritime mondial, en a récupéré la gestion des Etats-Unis le 31 décembre 1999.
Désormais c'est lui qui est chargé de la prochaine étape : l'élargissement.
Un chantier pharaonique, démarré en 2007 et d'un budget de plus de quatre milliards d'euros, qui équipera le canal d'un troisième jeu d'écluses, permettant le passage de navires transportant 12.000 à 15.000 conteneurs, contre 5.000 actuellement, pour doubler le transit à 600 millions de tonnes/an.
Le projet, déjà accompli aux trois-quarts, accumule un retard de plus d'un an : prévu pour célébrer dignement ce 100e anniversaire, il ne devrait finalement être mis en service qu'en 2016, ralenti notamment par une dispute avec le consortium chargé des travaux, dirigé par l'espagnol Sacyr, qui réclamait une rallonge financière.
Mais d'ores et déjà un quatrième jeu d'écluses est à l'étude, pour augmenter encore la capacité du canal : "Nous n'arrêtons jamais de penser à comment innover et rénover notre canal, car à partir du moment où l'on s'endort, quelqu'un nous passe devant", explique Jorge Quijano.
Une claire allusion à la concurrence, notamment de Suez, dont la plus grande capacité "a sapé lentement les revenus" de Panama, affirme-t-il, et qui prévoit en outre de s'agrandir d'ici un an.
Et au Nicaragua, une compagnie chinoise prétend construire un canal entre le Pacifique et les Caraïbes, trois fois plus long que celui du Panama et pouvant accueillir des navires de 12.000 à 25.000 conteneurs. Il est attendu d'ici cinq ans.
"Nous espérons que l'agrandissement (du canal de Panama) se terminera avec succès, mais il y a des risques qu'en cas de nouveaux retards, les coûts augmentent ou que le canal perde des clients face au développement de routes alternatives", explique à l'AFP le politologue et historien Carlos Guevara Mann.
Or la santé du canal est vitale pour l'économie du pays, une des plus dynamiques de la région avec une croissance de 8,4% en 2013.
Avec comme principaux clients la Chine et les Etats-Unis, il rapporte un milliard de dollars par an aux caisses de l'Etat, 10% des recettes fiscales. Il représente 6% du PIB et 10.000 emplois.
Hello Kitty ... Pour fêter ses 40 ans, elle se promène dans l'espace !
Depuis son lancement en juin dernier en Russie, le satellite promène Hello Kitty en orbite, sagement assise à côté d'une fenêtre d'où on voit défiler la planète bleue.
Au dessus du hublot, des messages envoyés par des fans s'affichent en japonais ou en anglais sur un petit écran incrusté dans la paroi.
« Ce peut être un message que quelqu'un veut envoyer de l'espace à une personne très spéciale sur Terre, ou quelque chose de plus général », explique Kazuo Tohmatsu, un porte-parole de Sanrio, la compagnie mère de Hello Kitty.
La petite chatte est apparue pour la première fois au Japon en 1974 sur un porte-monnaie … qui a bien gonflé depuis car Hello Kitty s'est imposée comme un succès commercial planétaire, notamment avec tous les produits dérivés. Preuve de sa réussite : deux parcs à thème lui sont consacrés au Japon.
Portés disparu depuis mardi soir, six alpinistes ont été retrouvés morts mercredi 13 août après une chute de 250 mètres la veille dans le massif du Mont-Blanc. C'est l'un des plus graves accidents d'alpinisme depuis dix ans dans les Alpes françaises. Retour sur les faits.
Les corps de cinq stagiaires de l'UCPA (Union nationale des centres sportifs de plein air) et de leur guide ont été retrouvés par les secours mercredi. Ces stagiaires, quatre hommes et une femme, des Français âgés de 27 à 45 ans, participaient à un "stage de perfectionnement "de deux semaines, organisé par l'UCPA, accompagnés par un guide de 42 ans, salarié de l'organisme.
Les alpinistes sont partis mardi à 4 heures pour l'ascension de l'Aiguille d'Argentière, un sommet du massif du Mont-Blanc, entre le département français de Haute-Savoie et le canton suisse du Valais, qui culmine à 3.901 mètres. Ils devaient regagner le refuge éponyme d'où ils sont partis entre 14 heures et 16 heures. La gardienne du refuge, ne les voyant pas revenir à 17 heures, a alerté le Peloton de gendarmerie de haute-montagne (PGHM) de Chamonix.
"Ils ont dévissé sur le Glacier du Milieu, sur l'itinéraire de retour", a indiqué le commandant du PGHM, Jean-Baptiste Estachy, lors d'une conférence de presse. L'accident "a pu avoir lieu vers la mi-journée" et les six alpinistes sont "décédés sur le coup après une chute de 250 mètres", a-t-il assuré avec certitude.
Dès l'annonce de la disparition, des "reconnaissances aéroportées" ont été déclenchées vers 20h30, selon le préfet de Haute-Savoie, Georges-François Leclerc. Rendus difficiles par une mauvaise météo, les secours ont repris mercredi matin et les cinq corps ont été retrouvés mercredi vers 9 heures, entre 3.500 et 3.700 mètres d'altitude, dont celui du guide. Le corps du sixième alpiniste a été découvert dans l'après-midi, "au fond d'une crevasse", selon le préfet de Haute-Savoie.
Une enquête de gendarmerie a été ouverte pour déterminer les circonstances de l'accident, a indiqué le vice-procureur de Bonneville, Agnès Robine, qui juge "prématuré de tirer des conclusions" sur les responsabilités éventuelles.
Le guide de l’UCPA était réputé pour sa "rigueur professionnelle", selon une source locale : "Pierre était un guide expérimenté, qui fait cette course tous les 15 jours", indique le gardien du refuge, Fred Laurenzio.
Quant aux alpinistes, ils "n'étaient pas des novices", affirme Jean-Baptiste Estachy. Ils terminaient leur deuxième semaine de stage et cette ascension était la "suite logique d'une progression faite dans les derniers jours", selon l’officier.
Pratiqué tout au long de l'année, cet itinéraire est jugé "peu difficile en cotation montagnarde", observe David Ravanel, le président de la compagnie des guides de Chamonix. "Mais ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas de risque et pas de danger."
"Quand ils sont partis, il y avait de très bonnes conditions météo et la visibilité était optimale, a relevé M. Ravanel, les conditions de regel au petit matin étaient très, très bonnes et le mauvais temps dont on parle est arrivé bien après."
"Sur le bassin de l'Argentière, il n'y a pas de réseau", déplore le gardien du refuge : "S'il y a un petit problème, ça peut se transformer en très gros problème car il faut descendre et rejoindre le refuge par ses propres moyens pour déclencher un secours".