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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Les vidéos du tournage de l’émission Koh-Lanta vont être déposées mardi après-midi au service de police chargé de l’enquête, après le décès d’un candidat le 22 mars et le suicide lundi du médecin de l’émission.
La société de production doit déposer mardi après-midi les vidéos du tournage de Koh-Lanta, au Cambodge, afin que les policiers puissent en explorer le déroulé, selon une source judiciaire.
Par ailleurs, une liste des candidats et membres de la société de production est en cours de constitution, afin qu’ils puissent être rapidement entendus par les enquêteurs, a ajouté cette source.
Enquête préliminaire pour homicide involontaire
Lundi, Thierry Costa, 38 ans, médecin-urgentiste, et médecin de Koh-Lanta depuis quatre saisons, s’est donné la mort au Cambodge, s’estimant, dans une lettre découverte après son suicide, « sali » par les médias, après le décès d’un candidat de 25 ans, Gérald Babin.
Une autopsie du corps de ce candidat décédé le 22 mars, a été réalisée vendredi. Le parquet de Créteil a indiqué mardi ne pas communiquer sur les résultats de cette autopsie.
Une enquête préliminaire, ouverte par le parquet de Créteil pour « homicide involontaire », a été confiée à l’Office central de recherche des violences faites aux personnes (PJ). Aucune information judiciaire n’était ouverte mardi midi pour ces faits.
Les autorités cambodgiennes ont classé l’affaire, estimant qu’il s’agissait d’une mort naturelle.
(photo ci-dessus : un portrait d'Hugo Chavez exposé à l'ambassade du Venezuela à Mexico où un cahier de condoléances a été ouvert au public, le 5 mars 2013).
Le président vénézuélien Hugo Chavez est décédé mardi à Caracas à 58 ans des suites d'un cancer après 14 années de pouvoir sans partage, laissant son pays sous le choc et dans l'incertitude avant de nouvelles élections prévues dans les 30 jours.
"Nous avons reçu l'information la plus éprouvante et la plus tragique que nous puissions annoncer à notre peuple. A 16H25 (20H55 GMT) aujourd'hui 5 mars, est mort notre commandant président Hugo Chavez Frias après avoir combattu avec acharnement contre une maladie depuis près de deux ans", a déclaré dans une allocution retransmise par toutes les chaînes de télévision du pays le vice-président et héritier désigné, Nicolas Maduro.
Les autorités ont décrété sept jours de deuil et des funérailles nationales sont prévues vendredi pour Hugo Chavez qui était aussi le chef de file de la gauche latino-américaine.
Réduit au silence pendant une agonie de près de trois mois, le président vénézuélien n'a pu prendre congé de ses compatriotes mais il avait pris le soin de préparer sa succession en chargeant son vice-président d'assurer la transition et de se présenter comme candidat du parti socialiste au pouvoir pour d'éventuelles élections. "Nous allons être les dignes héritiers d'un géant", a assuré un vice-président au bord des larmes.
Le ministre des Affaires étrangères Elias Jaua a confirmé dans la soirée que M. Maduro serait président pendant l'intérim et qu'un scrutin présidentiel serait organisé dans les 30 jours, conformément aux instructions du président. Sur la transition, les interprétations de la Constitution divergent entre le gouvernement et la plupart des opposants, qui réclament un intérim du président de l'Assemblée nationale Diosdado Cabello et non du vice-président.
Peu après l'annonce du décès de Hugo Chavez, la capitale a plongé dans un silence pesant. De nombreux commerces et l'ensemble des transports publics ont immédiatement cessé de fonctionner alors que des centaines de partisans du "comandante", visiblement incrédules, sont spontanément sortis dans la rue.
Devant l'hôpital militaire de Caracas où il était soigné, plusieurs centaines de personnes ont improvisé une manifestation, brandissant des portraits du président et chantant des slogans à sa gloire. "Chavez au panthéon!", "Nous sommes tous Chavez!", scandaient certains.
"Il fut un homme qui nous a appris à aimer notre patrie, le commandant part physiquement mais reste dans nos coeurs", a confié à l'AFP Francis Izquierdo, une employée municipale.
La nouvelle de sa mort a été rapidement commentée à l'extérieur du pays. Brasilia a évoqué "la perte d'un ami", le président bolivien Evo Morales s'est dit "anéanti" alors que le président Barack Obama a exprimé son soutien aux Vénézuéliens et espéré des "relations constructives" à l'avenir.
M. Morales et d'autres présidents de gauche, l'Uruguayen José Mujica et l'Argentine Christina Kirchner, sont attendus dans les prochaines heures à Caracas.
A Cuba, pays sous perfusion des pétro-dollars vénézuéliens, le gouvernement a décrété trois jours de deuil national et rappelé le lien très étroit qui unissait le leader cubain Fidel Castro.C est son héritier politique, qui a accompagné son mentor "comme un véritable fils" selon La Havane.
En Asie, les prix du pétrole se sont appréciés mercredi après l'annonce de la mort du président vénézuélien Hugo Chavez qui ouvre une période d'incertitude au Venezuela, principal producteur de brut sud-américain, ont indiqué des courtiers.
Après avoir annoncé le décès du président, M. Maduro a lancé plusieurs appels au calme et annoncé que l'armée et la police avaient été déployées dans le pays "pour accompagner et protéger notre peuple et garantir la paix". Peu après, le ministre de la Défense Diego Molero, accompagné de plusieurs hauts-gradés, a assuré que les forces armées restaient "unies pour respecter et faire respecter la Constitution".
Un haut responsable militaire, le général Wilmer Barrientos, a assuré une heure plus tard que la "pleine normalité" régnait dans le pays aux plus importantes réserves mondiales de brut.
"Si le gouvernement a la capacité d'organiser les élections même avant un mois, il le fera", a estimé l'observateur politique Luis Vicente Leon. "Le plus tôt sera le mieux, ils vont profiter électoralement de l'émotion provoquée par la mort du président", a encore prédit l'analyste.
Pour cette élection anticipée, M. Maduro sera probablement opposé au gouverneur Henrique Capriles, 40 ans, honorablement battu par Hugo Chavez en octobre. Devant la presse, ce dernier a souligné que Chavez était pour lui un "adversaire" et non "un ennemi", avant d'appeler le gouvernement à respecter ses "devoirs constitutionnels".
Depuis la veille, l'incertitude planait sur le sort du président, hospitalisé dans un établissement militaire de la capitale. Il luttait depuis juin 2011 contre un cancer dans la zone pelvienne et son état de santé s'était aggravé ces dernières heures, selon le gouvernement. Après plus de deux mois d'hospitalisation à Cuba, M. Chavez était rentré par surprise à Caracas le 18 février, mais n'avait ni été vu ni entendu depuis cette date.
Le pays vivait depuis au rythme des rumeurs et démentis autour de la santé du président, le gouvernement affirmant qu'il continuait de diriger le pays, l'opposition réclamant des informations claires.
Vainqueur de toutes les élections auxquelles il était candidat depuis son arrivée au pouvoir en 1999, Hugo Chavez est mort alors qu'il avait été réélu pour un nouveau mandat de six ans, le 7 octobre 2012. Le 10 janvier, il n'avait pas été en mesure de prêter serment et son investiture a été repoussée sine die par le gouvernement, une décision avalisée par le Tribunal suprême de justice (TSJ) mais contestée par l'opposition.
-(source : © 2013 AFP)-
(photo ci-dessus : Un lingot d'or présenté lors d'une conférence de presse à la Bundesbank, le 16 janvier 2013 à Francfort Frank Rumpenhorst)
L'Allemagne compte rapatrier tout son or de France et une partie de son or aux Etats-Unis ...Constatant la fin de la Guerre froide, la Banque centrale allemande a annoncé mercredi son intention de rapatrier par étapes d'ici 2020 son or entreposé en France et une partie de celui stocké aux Etats-Unis. La Bundesbank a aussi justifié le rapatriement intégral de l'or stocké auprès de la Banque de France (374 tonnes ou 11% du total des réserves allemandes) par l'absence de possibilité de change, la France et l'Allemagne partageant une monnaie commune depuis l'introduction de l'euro.
«Spécificité historique allemande» :
«La Banque de France reste un important partenaire, que nous remercions d'avoir gardé notre or et qui a toute notre confiance», a assuré Carl-Ludwig Thiele, membre du directoire de la Bundesbank lors d'une conférence de presse à Francfort (ouest). Selon lui, cette annonce qui intervient à quelques jours des célébrations des 50 ans du Traité de coopération et d'amitié franco-allemand de l'Elysée ne présente «aucun problème diplomatique». Les réserves d'or nationales à l'étranger sont une «spécificité historique allemande» qui remonte à la Guerre froide, a expliqué Carl-Ludwig Thiele. La Réserve fédérale américaine (Fed), la Banque d'Angleterre et la Banque de France n'entreposent pas, elles, leurs réserves d'or hors de leurs frontières.
«Pour des raisons de sécurité, la République fédérale d'Allemagne (RFA) avait décidé à partir des années 1950 de stocker le plus possible de ses réserves d'or à l'Ouest» chez ses alliés dans l'éventualité d'une agression soviétique, a-t-il rappelé. Ainsi avant la Réunification allemande en 1990, 98% de l'or de l'Allemagne de l'Ouest était stocké à New York, Londres et Paris, a-t-il encore précisé.
«Haute sécurité» :
Fin 2012 les réserves d'or de l'Allemagne totalisaient 3.391 tonnes et constituaient près de 80% des réserves de change du pays. Il s'agit des deuxièmes plus importantes réserves d'or au monde après les Etats-Unis et devant le Fonds monétaire international (FMI), l'Italie, la France et la Chine. D'ici 2020 la part des réserves d'or allemandes stockées auprès de la Fed à New York va être réduite à 37%, contre 45% actuellement, soit 300 tonnes d'or de moins.
L'or rapatrié de France et des Etats-Unis va rejoindre des coffres à Francfort (ouest), où la Bundesbank a son siège. La Banque centrale allemande n'a pas détaillé comment ces transferts «sous haute sécurité» allaient se dérouler mais a souligné avoir une «grande expérience du transport de fonds». La part de l'or stocké en Allemagne va ainsi graduellement monter jusqu'à 50% en 2020, contre 31% aujourd'hui. La part des réserves d'or allemandes stockées auprès de la Banque d'Angleterre à Londres, centre névralgique mondial des échanges du métal jaune, va rester inchangée, à 13%, a précisé la Bundesbank. Mais l'Allemagne a déjà rapatrié quelque 900 tonnes d'or de Londres depuis 2000, a rappelé M. Thiele.
L'an dernier sur fond de crise en zone euro la question des réserves d'or allemandes à l'étranger avait agité certains milieux eurosceptiques allemands, qui avaient réclamé un audit minutieux de l'or de la Bundesbank, voire son retour intégral au pays. La Cour des comptes allemande avait également recommandé de procéder à l'inventaire physique des stocks. Toutefois «l'intégrité, la réputation et la sécurité» des entrepôts à l'étranger n'ont jamais fait de doute, selon la Bundesbank.
Le Conseil de sécurité de l'ONU doit se réunir lundi après-midi, à l'initiative de la France, qui souhaite informer ses partenaires sur la situation au Mali et son intervention militaire.
"La France a attaqué l'islam. Nous allons frapper le coeur de la France. Au nom d'Allah, nous allons frapper le coeur de la France. Partout. A Bamako, en Afrique et en Europe", a déclaré à l'AFP Abou Dardar, l'un des responsables du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao).
La France, "en guerre contre le terrorisme" au Mali selon l'expression du ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian, a bloqué vendredi la progression vers le centre du pays des groupes armés islamistes, Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), Ansar Dine (Défenseurs de l'islam) et Mujao, qui contrôlent depuis neuf mois le nord du Mali.
Dimanche, elle a bombardé pour la première fois leurs positions dans le nord, à Gao et à Kidal, au coeur des territoires jihadistes, visant des camps d'entraînement et des dépôts logistiques.
Jihadistes "au paradis" :
Le porte-parole d'Ansar Dine Abou Dardar a refusé de donner un bilan des raids français, se contentant d'affirmer que "tous les moudjahidine qui sont morts sont allés au paradis".
Mais plus de soixante jihadistes ont été tués dimanche dans la seule ville de Gao et sa périphérie, au cours de bombardements intenses, selon des habitants de la région.
"Plus de soixante islamistes ont été tués dans leurs bases à Gao et aux environs. La nuit, les islamistes qui sont restés cachés dans les maisons sont sortis pour prendre les corps de leurs camarades", a déclaré à l'AFP un habitant de Gao, joint par téléphone depuis Bamako, dont le témoignage a été recoupé. "Le bilan est lourd dans le camp des islamistes. Ils ont perdu énormément en logistique et des hommes. Le chiffre de 60 victimes n'est pas du tout exagéré à Gao. Le bilan est même certainement plus élevé", a indiqué à l'AFP une source régionale sécuritaire.
Gao, Kidal, et la ville historique de Tombouctou sont les trois principales villes du Nord malien, en majorité désertique, sous la coupe des islamistes depuis près de neuf mois.
A Tombouctou, où les jihadistes ont mené ces derniers mois lapidations et amputations, un enseignant a fait état d'un "début de panique" parmi les familles des islamistes partis au combat, assurant que "beaucoup essayent de partir dans le désert".
"Bloquer les terroristes, c'est fait. Ce qui a commencé à être fait aujourd'hui, c'est s'occuper des bases arrière des terroristes", a expliqué dimanche le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, qui a jugé que l'intervention française en première ligne était "une question de semaines".
"Il y a des raids en permanence. Il y en a en ce moment (dimanche, ndlr), il y en a eu cette nuit, il y en aura demain (lundi, ndlr)", avait également prévenu M. Le Drian.
Mais les familles des sept otages français détenus par des groupes islamistes au Sahel craignent que l'intervention française mette leur vie en danger.
"Nous allons faire aujourd'hui un communiqué sur les otages. A partir d'aujourd'hui, tous les moudjahidine sont ensemble", a souligné le responsable du Mujao, joint par téléphone par l'AFP depuis Bamako.
Aqmi détient depuis le 16 septembre 2010 quatre Français enlevés au Niger, et depuis novembre 2011 deux autres capturés dans le nord du Mali. Une septième personne a été enlevée le 20 novembre dans l'ouest du Mali par le Mujao.
Les premiers vols d'avions de transport militaires britanniques pour appuyer l'opération française devraient débuter lundi à partir d'une base du nord-ouest de la France, a-t-on appris auprès de l'armée de l'air française. La Grande-Bretagne fournira une assistance militaire logistique à la France pendant son intervention, mais ne déploiera pas de personnel en situation de combat.
Les préparatifs s'accélèrent également pour le déploiement d'une force ouest-africaine chargée, avec l'aval de l'ONU, de déloger les groupes liés à Al-Qaïda.
Les premiers éléments de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'ouest (Cédéao) se mettent en place, sous la direction d'un général nigérian, Shehu Abdulkadir.
Le Nigeria doit fournir 600 hommes. Le Niger, le Burkina Faso, le Togo, et le Sénégal ont également annoncé l'envoi chacun d'environ 500 hommes, et le Bénin 300.
La foule au pied de « la Bonne Mère », éclairée de bleu et blanc, les couleurs de Marseille et de l'OM.
Le Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée (Mucem).
Après Lille en 2004, Marseille est capitale européenne de la culture, avec la ville de Kosice, en Slovaquie. Samedi soir, quelque 400 000 personnes ont participé au lancement, sans incident notable. Marseille, minée par le chômage et les règlements de compte, en espère des retombées économiques et un nouvel élan collectif.
«Allez l'OM ! » Le cri d'un spectateur stupéfié répond à la mise en lumière de la basilique Notre-Dame-de-la-Garde... L'année de Marseille capitale européenne de la culture commence par une grande clameur. Qu'elle est belle « la Bonne Mère » ! Elle est éclairée de bleu et blanc, les couleurs de Marseille. Et, incidemment, celles du seul club de foot français à avoir gagné la Ligue des champions.
Samedi soir, le Vieux-Port éclate de mille feux. Des jets d'eau multicolores jaillissent du Lacydon, le nom antique de la calanque. Ici, il y a 2 600 ans, des Grecs de Phocée fondaient la ville, aujourd'hui la plus ancienne de France. Rebelle mais aussi méprisée et moquée, elle relève la tête. Pendant un an, elle va célébrer l'Europe, à travers la culture.
Expos, concerts, fêtes animeront la deuxième ville de France, après Paris. « Marseille 2013, ça va nous redonner de la joie, s'enthousiasme Shéhérazade, une brunette de 39 ans, sur le parvis de la mairie. Les Marseillais ne seront plus vus comme des bandits ou des fainéants... »
Isabelle, au joli teint hâlé, et son époux Seb', lunettes de soleil suspendues à son pull, se pressent vers un spectacle de cirque, en compagnie de leur petite fille : « On va égaler le dynamisme de grandes villes de la Méditerranée, comme Istanbul ou Barcelone, lance le garçon, un verre de rosé à la main. On va s'ouvrir au monde, être moins repliés sur nous-mêmes. »
400 000 personnes envahissent la Canebière. Les engins illuminés du collectif marseillais Sud Side sont suivis par une foule en délire. Plus loin, la place hausmannienne Sadi-Carnot est nantaise : des sculpteurs sur glace de la Machine, la compagnie qui a conçu l'Éléphant, façonnent des poissons extraordinaires. Et les tambours d'acier des Nantais de Calyps'Atlantic Steel Band, juchés sur leur camion, met le feu au public.
Une ville plombée par un chômage à 13 % !
L'inauguration de la fête a pourtant été empreinte de gravité. Au nouveau Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée, le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault a rendu hommage au militaire français tué au Mali. Et le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a présenté ses condoléances à la France. Il a aussi souligné le rôle de la culture dans la construction européenne et dans l'amitié avec les pays du pourtour de la Méditerranée.
« Ce grand lac, c'est notre point commun. Du Pirée au Vieux-Port, on a les pieds dedans », commente le Grec Ilias Poulos, 54 ans, qui expose une belle installation photos à Aix-en-Provence. Car l'un des exploits de Marseille 2013 est d'avoir fait travailler ensemble la ville ouvrière du bord de mer et sa rivale plutôt bourgeoise de l'intérieur, à trente kilomètres de là.
Des exploits, les Marseillais en espèrent bien d'autres. La ville est plombée par un chômage à 13 %. « Nous aurons des retombées économiques, souligne Jacques Pfister, président de Marseille 2013 et de la chambre de commerce. Deux millions de touristes en plus du million de croisiéristes. Et un bond en avant dans l'attractivité du territoire. » Pour cela, cent millions sont dépensés par les collectivités et l'État. 700 millions supplémentaires pour les nouveaux édifices. Les travaux engendrent des bouchons, mais la ville se transforme. Le Vieux-Port est en grande partie rendu aux piétons.
Il reste beaucoup à faire. « Le centre-ville est sale, déplorent Josette, 70 ans, et François, 76 ans. C'est bien d'attirer les touristes. Encore faut-il qu'après, ils reviennent. Il faut améliorer la propreté. »
Il n'y a pas que ça, ajoute Djamel, 39 ans, un peu déçu par la fête. Le salarié du bâtiment habite un HLM dans le quartier périphérique de Frais-Vallon. « Marseille 2013, ça ne va pas changer notre vie. Ce lundi au réveil, on aura toujours les poches vides. » Pour lui, tout est fait pour le centre-ville, mais les quartiers restent délaissés : « La piscine ou le terrain de foot devant chez moi sont tout le temps fermés. Il n'y a pas grand-chose pour les enfants, à part le centre aéré. » Il s'engouffre dans le métro, en traînant ses deux minots sages . « Ça faisait un an qu'on était pas venu dans le centre, à cause de la sécurité. La police, on la voit jamais. » D'autres sont optimistes, malgré tout, comme le directeur de théâtre Dominique Bluzet, patron notamment du Grand théâtre de Provence : "Il manque à Marseille un sens du collectif : c'est ce que va apporter l'art. Ici, les gens sont fiers d'être Marseillais : Maintenant, ils vont aussi être fiers de Marseille ! A Marseille, il y a l'OM, le pastis, la Bonne Mère, la canebière et la culture !" ... et :
Avec l'intervention au Mali, "le risque pour la France est de perdre des hommes, et bien sûr les otages. Cela aurait un effet dévastateur", souligne Dominique Thomas, spécialiste des mouvements islamistes.
Un soldat français a d'ailleurs été tué lors d'un raid d'hélicoptère vendredi au Mali, selon le ministre de la Défense Jean-Yves le Drian.
A la manoeuvre diplomatique depuis des mois sur le dossier malien, tout en assurant qu'il n'engagerait pas de troupes au sol ni même de pilotes de bombardiers, Paris s'est décidé à entrer en action en raison d'une avancée vers le sud et Bamako des groupes qui contrôlent le nord du pays depuis l'été.
La France compte quelque 6.000 ressortissants dans la région de la capitale malienne.
Il fallait répondre à l'appel à l'aide d'un pays ami "qui se noie" selon les termes du chef de la diplomatie Laurent Fabius, en avançant que "pour la première fois des terroristes risquaient de mettre la main sur un Etat africain".
La dernière entrée en guerre de la France en Afrique remontait à 2011 avec une intervention aérienne en Libye combinée avec principalement les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Ces dernières semaines, Paris a refusé d'apporter son aide militaire au président centrafricain François Bozizé, qui fait face à une insurrection.
Pour le Mali, la France s'est engagée seule jusqu'à présent avec des moyens aériens - et peut-être terrestres - non précisés. Washington a indiqué étudier l'hypothèse de participer à l'opération avec des drones, des avions sans pilote pouvant être dotés de missiles et des avions ravitailleurs.
"Risque d'enlisement" :
L'action française a fait l'objet de concertations, notamment avec l'Algérie réticente à voir Paris intervenir militairement dans son arrière-cour. Alger n'a toutefois pas commenté jusqu'à présent l'intervention française. Pour la justifier légalement, Paris met en avant l'article 51 de la charte de l'ONU qui mentionne "le droit de légitime défense, individuelle ou collective, dans le cas où un membre des Nations unies est l'objet d'une agression armée".
Pour l'ex-ministre socialiste de la Défense, Paul Quilès, il est toutefois "indispensable, de façon à éviter toute ambiguité, que le Conseil de sécurité donne un mandat explicite à la France". "Espérons que cette opération sera efficace", ajoute-t-il sur son blog en réclamant des précisions sur les buts de guerre: terrorisme, intégrité de l'Etat, protection des Français ou sort des otages.
Si l'entrée en action française a été saluée par les principaux partenaires occidentaux et africains de Paris, ses contours restent en effet flous. Arrêter la progression des islamistes ? Aller jusqu'à aider sur le terrain le Mali à reconquérir sa partie nord ?
Les militaires français ne seront "pas en première ligne" pour la phase de reconquête du nord, à la charge des forces maliennes et des troupes africaines de la Cédéao, a assuré vendredi Laurent Fabius.
Mais vu l'état de déliquescence de l'armée malienne, plusieurs experts sont dubitatifs, certains allant jusqu'à évoquer "un risque réel d'embourbement".
Dans un entretien ce week-end au Journal du Dimanche, un spécialiste du Sahel, Serge Michailoff, met en garde contre le "risque d'enlisement" et la difficulté d'une opération s'appuyant sur l'armée malienne, "autonomisée par rapport au pouvoir", et "le régime vermoulu" de Bamako.
Ce vendredi 11 janvier 2013, le président français François Hollande s'est bien gardé de donner des paramètres précis sur l'intervention. Elle "durera le temps nécessaire", a-t-il seulement dit.
Le président de la République, qui devait célébrer l'évènement a dû annuler son déplacement en raison de la situation au Mali et de la tenue d'un conseil de défense à l'Elysée.
C'est le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, qui remplacera le président et sera à 16h sur le chantier du MuCEM, le Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée qui ouvrira en juin sur le port, pour y poser la dernière pierre et lancer cette "capitale européenne de la culture", titre co-attribué pour 2013 à Kosice (Slovaquie) et à la cité phocéenne et 90 communes environnantes.
Samedi à Aix en Provence, la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, qui inaugurait l'exposition "Cadavres exquis" au musée Granet a estimé que 2013 serait "un point de commencement" pour la Provence, afin de "transformer en profondeur et valoriser ceux qui créent et ceux qui dynamisent cette région, pour que jamais ce ne soit comme avant".
Jusqu'au 31 décembre, qui verra le groupe F clore les festivités à Istres par un dernier spectacle pyrotechnique, plusieurs centaines d'événements sont programmés sur tout le territoire provençal, avec la Méditerranée en thème conducteur.
A Marseille d'abord, 2013 promet par exemple une rétrospective majeure sur la modernité en peinture, des expositions inédites Koudelka ou Le Corbusier, des créations théâtrales de premier plan... le tout dans des infrastructures souvent nouvelles, pérennes pour la plupart.
De quoi, espèrent en choeur les Marseillais, corriger l'image de la ville, particulièrement mise à mal ces derniers mois après une série de règlements de comptes.
"+Marseille Provence 2013+ jouera un rôle très important, qui fera que les Marseillais et les Provençaux seront fiers d'être des gens de Marseille et des gens du sud", disait encore vendredi le président PS de la Région, Michel Vauzelle, souhaitant "que cesse la caricature de Marseille".
L'élu était venu montrer les travaux de la Villa Méditerranée, construite à moitié sous l'eau. Financé par la région (70 M euros), cet audacieux édifice blanc qui jouxte le Mucem, sera dès avril un lieu de congrès sur la Méditerranée, et d'expositions pour le public.
Dans la ville en chantier, le public découvrira aussi le J1, hangar portuaire transformé en musée, ou des musées municipaux longtemps délaissés soudain transformés. Dévoilé lundi, le Vieux-Port semi-piétonnisé semble pour sa part avoir doublé son espace.
L'idée de la candidature marseillaise au titre de capitale avait été lancée en 2006 par le maire, Jean-Claude Gaudin, qui avait aussitôt embarqué les communes alentour (Toulon a depuis jeté l'éponge).
"C'est un projet qui entend remodeler de manière ambitieuse le visage d'une ville, Marseille, et d'un territoire", explique aujourd'hui Jean-François Chougnet, le patron de l'organisation.
A la veille de l'ouverture, "une première satisfaction est d'avoir pu tenir les délais", dit-il. "Il est normal de parler de retombées économiques, mais ce qui m'importe aussi c'est l'immatériel, la modification des comportements, avec plus de collaboration entre acteurs culturels et collectivités", se félicite-t-il.
Ce week-end sera marqué par une grande fête samedi soir à Marseille, qui démarrera par une parade de "machines" dans les quartiers Nord. Le centre prendra le relais avec des "clameurs" organisées en 31 lieux, censées couper les lumières avant un "embrasement" de la cité. Des spectacles animeront ensuite les rues.
Pour cet événement, quelque 1.500 personnes sont mobilisées, amateurs et professionnels, et environ 300.000 personnes attendues, venues surtout de la région.
"Ce n'est pas une cérémonie d'ouverture, c'est une fête, organisée en partie par les habitants", dit Bernard Souroque, directeur artistique de la soirée. "On est parti de l'idée que ce sont les Marseillais qui accueillent. On avait cette démarche d'aller au plus près de la population et des acteurs culturels".
"A Marseille, on n'a pas de tradition de rassemblement. Donc c'est quelque chose de très difficile à mettre en place", ajoute-t-il. "Il fallait défier le culte de la réserve - +on n'y arrivera jamais!+. Alors on est allé au charbon. Car l'ouverture c'est important, c'est ce qui donnera le ton de l'année!"
Le week-end s'achèvera dimanche soir à Arles par un spectacle pyrotechnique sur les bords du Rhône.
Le directeur de la maison de retraite a, lui, été suspendu de ses fonctions le temps de l'enquête, a indiqué la direction du groupe qui la gère.
Selon le prérapport de l'ARS, cité par le ministère, l'établissement a fait preuve de "négligence grave" vis-à-vis de sa résidente: "au moment de son entrée en commettant l'erreur de ne pas lui faire signer son contrat de séjour, et au moment de sa sortie en ne respectant pas les procédures prévues par la loi".
"Ces manquements au moment de la sortie feraient suite à des +négligences récurrentes+ de la famille dans le respect du contrat de séjour, par le défaut régulier de paiement des frais d'hébergement (39.700 euros)", ajoute le ministère.
Le rapport de l'ARS détaille que "la décision de rupture unilatérale du contrat de séjour avec la résidente a été prise dès le 6 décembre, et que la préparation de son renvoi a été organisée le 18 décembre, sans qu'à aucun moment la résidente ne soit informée".
"Par ailleurs, la société d'ambulance en charge du transport de la résidente avait pour mission - en l'absence d'accueil au domicile de son fils - de la déposer aux urgences de l'hôpital le plus proche, avec une consigne écrite de ne pas la réadmettre à la maison de retraite", ajoute le ministère.
Enfin, "les premières conclusions de l'enquête montrent que l'établissement ne s'est pas assuré au préalable de la présence du fils à son domicile", selon le rapport cité.
D'où la décision de placer l'établissement "sous mesures de contrôle renforcé". L'ARS devrait diligenter "sous un mois une nouvelle inspection pour faire le point approfondi sur la qualité de l'ensemble des prestations dans cet établissement".
La ministre s'est par ailleurs félicitée que l'ARS ait trouvé "une solution adaptée d'hébergement" pour la nonagénaire, "qui s'installe dès aujourd'hui dans un nouvel établissement francilien". Elle avait été transférée lundi à l'hôpital privé d'Antony (Hauts-de-Seine), où elle est suivie médicalement depuis dix ans, pour y subir un bilan de santé.
De son côté, la direction de la maison de retraite a annoncé vendredi la suspension temporaire de son directeur, "le temps de terminer l'enquête interne et d'établir les responsabilités".
La nonagénaire, qui résidait depuis deux ans à la Villa Beausoleil de Chaville, avait été transportée la semaine dernière à Brou (Eure-et-Loir) où vit l'un de ses fils. Trouvant porte close, l'établissement avait décidé de la confier aux urgences d'un hôpital proche, à Châteaudun.
La direction de la Villa Beausoleil, qui a reconnu son erreur, souhaitait la réintégrer en dépit des arriérés, mais s'est heurtée au refus de la famille.
Une famille de quatre enfants recluse pendant plus d'un an à Saint-Nazaire ... Une famille avec quatre enfants a vécu recluse pendant au moins un an dans un appartement insalubre en pleine ville, à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), sans que personne ne soupçonne le problème dans leur voisinage.
"On croyait avec les autres voisins que la femme était partie avec ses enfants, on ne voyait plus que le monsieur", explique mercredi Pascale Le-Gall, la voisine du dessus de l'appartement numéro 5 du 55 route des Fréchets à Saint-Nazaire, dont la porte est désormais barrée de scellés de police.
C'est un appel aux pompiers dans la nuit de vendredi à samedi pour un malaise qui a entraîné la découverte, dans cet appartement dégradé par l'humidité et les moisissures, de Dominique et Christine Barreteau, 51 et 47 ans, et leurs quatre enfants de 14, 17, 19 et 20 ans, qui, selon des témoignages des voisins, n'avaient plus été vus depuis au moins un an.
Seul le père, qui apparaissait casquette vissée sur des cheveux mi-longs et ne répondait pas aux "bonjour", était encore vu par ses voisins, sortant les poubelles ou montant des courses.
Les enfants, "prostrés" selon des enquêteurs, ont été hospitalisés et la mère, après avoir été entendue, les a rejoints. Le père a été interné dans un service psychiatrique.
Selon Jaqueline Wendland, qui enseigne la psychopathologie à l'Université Paris-Descartes, ce type de comportement parental abusif s'exerce en général sur des enfants plus jeunes.
"On ne peut avancer que des hypothèses, mais le fonctionnement familial devait être problématique et le père était probablement atteint de troubles psychiatriques graves, on peut imaginer une pathologie de type paranoïaque, avec un délire structuré lui permettant de justifier un comportement abusif aberrant", ajoute-t-elle.
Les enfants n'ont pas encore pu être entendus. Une fille aînée, qui ne résidait plus au domicile familial, a aussi été entendue.
"Une enquête a été ouverte pour manquement aux obligations parentales, en termes judiciaires: +abandon matériel et moral+", a indiqué mercredi à l'AFP le parquet de Saint-Nazaire. Des auditions, expertises et examens médicaux sont en cours, a précisé la même source.
"Appartement extrêmement insalubre"
Selon le parquet, "la juge des enfants a été saisie et les enfants mineurs ont été placés".
"La séquestration n'est pas avérée, il n'y a dans cette enquête ni violences physiques, ni agression sexuelle, ni viols", a également précisé le parquet. "Cette famille a fait l'objet dans le passé de suivis socio-éducatifs, dans les années 1990 et 2000, mais rien n'était en cours au moment de leur découverte dans cet état d'insalubrité", a-t-on précisé de même source.
Selon les différentes versions des voisins interrogés dans cet immeuble HLM de 4 étages, la durée pendant laquelle la mère et ses enfants n'ont plus été vus va de un à trois ans.
Selon Benoît Delliaux, un porte-parole de Silène, l'office HLM de Saint-Nazaire, cet appartement a été loué il y a plus d'une dizaine d'années à cette famille pour un loyer de 350 euros qui était toujours payé.
"Comme tout le monde, nous avons été bouleversés", a indiqué M. Delliaux à la presse devant l'immeuble situé dans un quartier populaire, indiquant que "rien" ne pouvait laisser présumer la situation.
La visite annuelle du chauffe-eau par les services de Silène n'avait pas pu avoir lieu depuis deux ans, la porte n'ayant pas été ouverte à l'opérateur et une procédure était en cours, selon M. Delliaux.
Pourtant, la voisine du dessus a indiqué avoir signalé à plusieurs reprises des problèmes d'odeurs, au point qu'elle affirme s'être demandée "s'il n'y avait pas un mort dans cet appartement". Un autre voisin s'était plaint de bruits et d'infiltrations. Mais les services HLM qui étaient venus n'avaient pas pu entrer en contact avec leur voisin.
Seule l'ampleur des courses alimentaires, très importantes pour un homme que ses voisins croyaient seul, mais aussi des pleurs d'enfants entendus par les voisins du dessous, auraient pu alerter.
Mais, selon Jeanine Hottelard, adjointe aux solidarité à la mairie de Saint-Nazaire, "il n'y avait pas d'impayés, de signes qui pouvaient nous alerter".
"Pour les transports, la piscine et les bons de Noël, cette famille a été aidée de 2007 à 2010, puis après n'a jamais sollicité" les services sociaux.