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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !
· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
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· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
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Le MIMOSA ...
Le mimosa appartient au genre acacia et à l'ordre des mimosées! Cultivé surtout dans le sud de l'Australie, en Afrique du Sud et en France, on recense pas moins de 800 espèces sur les 1200 qui doivent exister dans le monde!!!
Fleur coupée, plante ornementale ou de rocaille, haie défensive, brise vent... leurs utilisations sont diverses et variées.
L’eau de Javel, une solution d’origine parisienne ...
On aurait pu croire que ce produit désinfectant devait son nom à un certain Monsieur Javel ou à un village français. Il n’en est rien, l’eau de Javel puise bel et bien son origine à Paris.
Bien avant d’être un quartier du 15ème arrondissement de Paris, il existait un village près de la Seine, le village de Javel. Grâce à son moulin à vent et sa guinguette, l’endroit devient vite attractif au 17ème siècle en attirant les pêcheurs et les baigneurs. En 1784, le village accueille une manufacture de produits chimiques, située près du “Moulin de Javelle”. Cette entreprise est pour le moins prestigieuse puisque les propriétaires ne sont autres que des nobles, proches du frère de Louis XVI, le Comte d’Artois. La manufacture est destinée aux lavandières, plus communément appelées blanchisseuses. A cette époque, elles étaient nombreuses sur les bords de Seine.
Provenant du latin populaire gabella, la “javelle” est un mot d’origine gauloise. Si l’on se fie au sens, ce mot désigne « ce qu’on rassemble par poignées ». Une définition qui prend tout son sens ici puisque, pendant le nettoyage du linge, les lavandières battait le linge avec une poignée de branches, ce qui permettait d’extraire le plus d’impuretés possibles du textile.
L’histoire de cette manufacture va prendre une tournure plus importante, avec l’arrivée de Claude-Louis Berthollet, chimiste et médecin du duc d’Orléans. Ce dernier s’intéresse au blanchiment du linge grâce à l’action de l’oxygène de l’air. Il cherche alors à reproduire artificiellement ce travail de la nature. Pour y parvenir, Berthollet utilise en 1785 l’eau de chlore pour ses propriétés blanchissantes. Dans son travail, il est aidé par les Directeurs de la Manufacture, Alban et Vallet, qui décident de dissoudre le chlore dans une solution de potasse particulièrement adaptée au blanchiment du linge. La “liqueur de Javel” est née, et deviendra ensuite l’Eau de Javel.
Le succès est en marche et la manufacture fabrique uniquement son Eau de Javel. L’usine travaille même à plein régime pendant la Révolution. Elle ne cesse de s’agrandir et compte même en 1875 près de 200 ouvriers. Un succès qui ne sera malheureusement pas éternel puisque la manufacture disparaît entre 1885 et 1889. Elle est vite remplacée par les aciéries de France et les entrepôts et magasins généraux de Paris, lesquels cèdent rapidement la place aux usines Citroën en 1915. Aujourd’hui, difficile de reconnaître le petit village, mais il reste toujours la station de métro Javel-Citroën pour en témoigner.
La pièce pour payer l’impôt sur la barbe ...
En 1699 le tsar de Russie Pierre le Grand avait interdit complètement le port de la barbe dans le pays mais la contestation était telle qu’en 1704 il a du revenir en partie sur sa décision en l’autorisant à nouveau en échange du paiement d’une taxe.
Cette belle pièce servait à payer cet impôt, l’inscription dessus signifie " La taxe a été perçue " .
L’impôt sur la pilosité faciale n’était pas vraiment une idée originale : En Angleterre, le roi Henri VIII en avait déjà introduit un en 1535, qui était proportionnel au niveau social du barbu !
Une caricature du l’époque.
Que mangeaient les Parisiens au Moyen-Âge ?
Vous êtes-vous déjà demandé ce que mangeaient nos ancêtres, ces Parisiens qui ont foulé les rues pavés de l’île de la Cité à l’époque de la construction de Notre-Dame-de Paris et de la Sainte-Chapelle ? De la blanquette de veau, un navarin d’agneau ou des bouchées à la reine ? Rien de tout ça ! On vous dit tout sur l’alimentation de nos ancêtres médiévaux.
Il n’y a ni pommes de terre ni riz ni pâtes. La pomme de terre n’arrive en Europe qu’au XVIe siècle, à peu près en même temps que les pâtes qui commencent doucement à s’implanter en France après le mariage de Catherine de Médicis avec Henri II. Si le riz est mentionné dans des écrits dès 1393, il s’agit encore d’un produit d’importation que l’on trouve en faible quantité et qui est réservé aux grands seigneurs. La démocratisation de ce produit venu d’Asie ne surviendra qu’au XXe siècle.
On consomme jusqu’à 1 kg de pain par jour. Le pain, la plupart du temps confectionné à partir de farine de seigle, est l’aliment-roi dans toutes les maisons. On consomme des quantités faramineuses de ce pain qui n’est pas encore unebaguette (elle n’arrivera qu’au XIXe siècle), mais une grosse miche ronde, compacte et non salée. Contrairement aux campagnes où l’on fait son pain soi-même, à Paris, ce sont des boulangers – souvent appelés talemeliers – qui le préparent.
Le peuple mange peu de viande. Au Moyen-Âge, la nourriture est un marqueur social très fort et les différentes couches sociales ne mangent pas du tout la même chose. Les nobles se réservent les gros gibiers et les gros volatiles, tandis que le peuple se contente de petits oiseaux (pigeons, merles, etc.) et de lapins de garenne. La viande la plus consommée reste néanmoins le porc. Aussi, on mange peu les « animaux producteurs » (agneau, mouton, vache ou poule) et encore moins du bœuf, animal de traite par excellence. Dans tous les cas, les viandes sont traitées par salaison, séchage ou fumage afin d’être conservées.
Le poisson est particulièrement consommé par les Parisiens. Si, dans les campagnes françaises, le poisson n’est pas forcément démocratisé, à Paris, il s’agit d’un aliment très consommé, notamment lors des jours maigres imposés par l’Église. La présence de la Seine et du chemin de la Marée permet en effet aux habitants de se fournir facilement en poisson, venu du nord de la France. Le hareng, fumé ou salé, est le poisson de prédilection du peuple.
On apprécie les saveurs amères. Au Moyen-Âge, on accompagne souvent les préparations culinaires par des sauces que l’on cuisine séparément et que l’on mange avec la viande ou le poisson. Ces sauces sont très éloignées de celles que l’on connait aujourd’hui. Elles ne sont pas préparées avec de la crème, de la farine ou du beurre, mais avec du vinaigre ou du verjus, un jus acide extrait des raisins verts. Cela donne à la cuisine médiévale une saveur très amère, voire acide. Tomates, courges, poivrons ou potirons ne sont pas encore arrivés jusqu’à Paris. Au début de la Renaissance, une grande partie des légumes qui sont à la base de notre alimentation ne sont pas encore implantés en France. La plupart viennent d’Amérique du Sud et n’arriveront dans les assiettes des Européens qu’au XVIe siècle. À cette époque, ce sont les fèves et les pois qui constituent la base de l’alimentation en terme de légumes, car ils sont très nourrissants et accessibles au plus grand nombre.
On compense le manque de variété des aliments par les aromates et épices. Les Français du Moyen-Âge sont des grands consommateurs d’aromates. Les sauces, mais aussi les plats, sont presque toujours relevés par des herbes fines et des épices (clou de girofle, laurier, ciboulette, romarin, etc.). Ces petits suppléments végétaux sont également incorporés aux préparations culinaires pour leurs vertus médicinales.
Plus les légumes poussent près du sol, plus ils sont considérés comme souillés. À cause de cette idée largement répandue, les nobles ne touchent presque jamais aux navets ou aux carottes, des racines qui poussent dans le sol. Le peuple, par contre, n’a guère le choix et en mange beaucoup, car ce sont des produits peu chers et facilement cultivables.
Des cuisiniers ambulants fournissent les voyageurs et ceux qui n’ont pas de cuisine. Nombreux sont les Parisiens à ne pas avoir de lieu pour faire la cuisine. Aussi, dans les rues de Paris, on trouve de nombreux petits traiteurs ou marchands ambulants qui proposent des plats préparés, similaires à ceux que peuvent cuisiner les Parisiens chez eux. Les pâtés de viande, tripes de porc,tourtes, potages et ragoûts sont les mets que l’on retrouve le plus souvent.
Par ce geste on prouve que l’on est digne de confiance.
Cette expression semble trouver son origine, ou du moins l’explication de sa popularisation, dans une fable de Jean de La Fontaine qui date de 1668 : "Le loup, la chèvre et le chevreau" ... Dans cette histoire, la chèvre s’absente et doit laisser son chevreau seul. Elle lui recommande durant son absence de n’ouvrir à personne, d’être méfiant et d’attendre son retour.
Consigne supplémentaire, le chevreau devra demander à voir la patte du visiteur avant d’ouvrir, pour s’assurer qu’elle est bien blanche, comme celle de sa mère et non pas sombre comme celle du loup.
Il faudra attendre plus de deux siècles après la mort de La Fontaine pour trouver cette expression reprise dans un ouvrage.
La « bête à bon Dieu » est le nom populaire donné à la coccinelle ...
Ce surnom trouve son origine au Moyen Âge ... Selon une légende, un homme alors accusé à tort d’un crime était sur le point d’être décapité. Mais une fois sa tête sur le billot, on raconte qu’une coccinelle se posa sur son cou. Malgré les efforts du bourreau pour s’en débarrasser la coccinelle resta en place. On dit alors que le roi Robert II le Pieux qui assistait à l’exécution vit dans l’entêtement de l’insecte un signe divin. Il décida de gracier le condamné.
Mais certains voient plutôt dans cette histoire une simple légende. Ceux-là préfèrent retenir pour origine de l’expression, le travail bénéfique effectué par la coccinelle et ses larves dans la lutte contre les pucerons dans les jardins. Ce travail parfaitement naturel ne demande aucun effort : il est « divin » !
Pratiquer la langue de bois consiste à éviter d’énoncer une réalité par le recours à des tournures de phrase d’ordre général. La langue de bois permet ainsi de détourner une conversation pour éviter de répondre à des questions gênantes.
Cette expression date du XXème siècle en Russie ... Avant la révolution, on parlait en effet de « la langue de chêne » pour désigner la bureaucratie tsariste, et plus généralement une administration trop lente, trop codifiée et dure, justement tout comme l’arbre.
Ensuite la locution est passée en Pologne pendant le mouvement Solidarność qui la modifie à son tour. Elle devient ainsi « langue de bois » dans ce pays, où elle sert à critiquer le régime soviétique. Elle est ensuite reprise par les journaux français.
Il s’agit donc d’une expression très récente dans notre pays. Elle n’a que 30 ou 40 ans et s’utilise aujourd’hui le plus souvent dans le domaine du discours politique.
Pourquoi dit-on un “Cousin Germain” ?
L’expression « cousin germain » désigne les enfants dont les parents sont frères ou sœurs. Ces cousins ont donc des grands-parents en commun.
Il faut tout de suite souligner que le « germain » de notre expression n’a aucun rapport avec la population de l’antique Germanie, c’est-à-dire l’Allemagne actuelle. Le terme « germain » qui est utilisé depuis le 12ème siècle, souligne qu’un cousin est issu du même « germe », c’est-à-dire de parents au sens large, communs. En effet en latin, « germen » signifie « progéniture » et « germanus » veut dire « qui est du même sang ».
On retrouve le mot « germain » dans d’autres expressions où il exprime l’idée de lien de sang, comme dans « frère germain », une formule utilisée en Droit, qui désigne de véritables frères, c’est-à-dire issus des deux mêmes parents, à la différence des « demi frères ».
« Poser un lapin » consiste à ne pas se rendre à un rendez-vous sans prévenir la personne qui vous attend.
Signalons d’abord que durant l’Antiquité, le lapin était un symbole de fécondité. Celui qui n’en avait pas était donc mis dans la pauvreté.
Mais l’expression exacte remonte à la fin du 19ème siècle. Elle avait cependant à l’époque un sens différent. Elle signifiait ne pas rétribuer les faveurs d’une femme dite de « petite vertu ».
Le « lapin » désignait donc le refus de payer. Et le « poseur de lapin » était celui qui faisait attendre la femme dont il avait profité.
Le sens que nous connaissons aujourd’hui serait apparu vers 1890 chez les étudiants et semble venir d’une autre locution, « laisser poser », qui signifiait « faire attendre quelqu’un ».
Mais il y a eu sans aucun doute un glissement progressif dans le langage courant d’une attente de paiement non honoré (la faveur sexuelle) vers une autre attente non satisfaite (la venue de la personne attendue).
En fait, Mickey Mouse a une queue ...
Et pas genre une petite queue en boule : une queue, une vraie, longue et qui traîne par terre, et à laquelle on ne pense jamais !