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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
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· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
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· humour ... le Nez !
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· David Hamilton ... talentueux et marginal !
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· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
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Paris : Les secrets du Jardin d’acclimatation ...
Le Jardin d’acclimatation n’a pas toujours été fait pour que des enfants viennent patauger dans l’eau et se regarder dans des miroirs déformants. Et pour cause, avant de divertir les tout-petits, il accueillait des animaux des quatre coins du monde ! Retour sur l’évolution de cet agréable parc de l’ouest parisien.
Pourquoi acclimatation ?Lors de sa création en 1852 par la Société impériale zoologique d’acclimatation, ce parc servait à acclimater des animaux de provenance exotique. En 1858, cette zone du bois de Boulogne devient également un espace d’exposition pour ces mêmes animaux. On pouvait y voir des kangourous, des lamas, des chameaux, des ours, un guépard, une girafe… Imaginez pour l’époque ! Le jardin se développe au fil des décennies jusqu’à accueillir plus de 110 000 animaux.
Les Parisiens mangent les animaux du jardin :La guerre de 1870 sonne le glas de tous ces animaux. Le jardin ferme, de même que le bois de Boulogne. Lors du rude hiver 1870-1871 marqué par le siège de Paris, les Parisiens finissent par manger les bêtes, y compris les deux éléphants Castor et Pollux, qui servent de plat de résistance pour le réveillon de Noël.
Des humains à la place des animaux :Le jardin est restauré à la fin de la guerre et quelques espèces animales viennent repeupler le circuit d’exposition. Seulement, ils ne sont pas les seuls à être mis en cage : entre 1877 et 1931, 22 expositions humaines sont organisées. Ce sont des « troupes » venues principalement de pays africains, en particulier des colonies françaises.
L’apparition des attractions :Le Jardin d’acclimatation devient, dans les années 50, un lieu dédié à la promenade et aux loisirs, mais avec un esprit instructif et sportif. Ouvrent ainsi un musée national des arts et traditions populaires, une petite ferme, un théâtre, un musée en Herbe… Mais les temps sont durs et seuls finissent par subsister les manèges et la ferme.
Louis Vuitton s’installe au Jardin d’acclimatation :Finalement, le jardin est racheté en 2006 par LVMH, qui décide d’y construire la Fondation Louis-Vuitton, pensée par Frank Gehry. Après plusieurs mois de rénovation, la grande entreprise a ouvert, en ce mois de juin 2018, un jardin entièrement rénové sur le thème du steampunk, avec une inspiration Jules Verne assez poussée, afin d’homogénéiser le parc et lui apporter plus d’eau.
Informations pratiques :
Jardin d’acclimatation
Paris - Bois de Boulogne
Ouvert tous les jours
Du lundi au vendredi, de 10h00 à 18h00
Samedi, dimanche, vacances scolaires et jours fériés de 10h00 à 20h00
La sublime et envoûtante Galerie Colbert ...
Construite en 1823 pour rivaliser avec la célèbre Galerie Vivienne, la jolie Galerie Colbert ne sortira jamais vraiment de l’ombre de sa voisine. Pourtant, elle jouit d’un cadre assez exceptionnel et d’un style unique en son genre qui nous transportent dans le temps.
Les passages couverts de Paris sont aujourd’hui iconiques, charmants, ils possèdent tous une « spécialité ». Ainsi, à titre d’exemple, le passage des Princes est consacré aux jeux et jouets, le passage des Panoramas est historiquement associé aux boutiques de timbres et le passage Verdeau accueille, lui, de nombreux antiquaires. Quant à la Galerie Colbert, c’est le plus culturel des passages de Paris, en témoignent les institutions qu’il abrite. Détenue par la Bibliothèque nationale de France, la galerie est en effet peuplée d’organisations liées à l’histoire de l’art et au patrimoine culturel.
La galerie Colbert détient donc la particularité d’être la seule de son genre à ne pas abriter de boutiques. Cela participe assurément à son charme envoutant, tout comme sa majestueuse rotonde surmontée d’une coupole de verre. Cette dernière attire les foules, au même titre que la brasserie « Le Grand Colbert », au style Art Déco si emblématique…
L’épatante façade du Théâtre de la Comédie Italienne ...
C’est au coeur du XIVème arrondissement, au 17 rue de la Gaîté, qu’existe un petit bout d’Italie à Paris : le théâtre de la Comédie Italienne est le seul lieu de la capitale à faire vivre la tradition ancestrale de la commedia dell’arte. Son inimitable façade baroque bleu cyan révèle une histoire des plus insolites…
Un ancien commissariat devenu… Théâtre italien !C’est en 1980 qu’un commissariat de police proche de la Tour Montparnasse est remplacé par un petit théâtre de 100 places seulement, à l’initiative de d’Attilio Maggiulli, ancien collaborateur d’Ariane Mouchkine, formé à Milan. Si la façade affiche « depuis 1974 » c’est parce que le premier Teatrino Italiano fut fondé au 15 rue du Maine à cette date, avant de déménager en 1980 rue de la Gaîté, « la rue des théâtres » .
Avec ses colonnes style baroque, ses représentations d’anges que beaucoup qualifieraient de kitsch, on peut dire que ce petit théâtre pas comme les autres détonne dans le paysage ! Par le passé, sa façade fut aussi rouge, ou aux couleurs du costume du célèbre personnage d’Arlequin…
Une phrase orne également la façade : « cadtigat ridendo mores » une expression latine signifiant « il corrige la morale par le ridicule« . Une belle métaphore de la fonction théâtrale de la comédie !
Seul théâtre italien de France, le théâtre de la Comédie italienne programme exclusivement des pièces d’auteurs italiens classiques et contemporains. Goldoni, Gherardi, Riccoboni … Faisant face à des difficultés financières depuis le début des années 2010, le théâtre de la Comédie Italienne et son fantasque directeur sont contraints aujourd’hui de louer les lieux pour des événements culturels.
Le Bois de Boulogne, le paradis des sportifs ...
Athlète du dimanche ou sportif régulier, le réseau d’ostéopathes à Paris Oostéo, vous fait découvrir le parcours santé du Bois de Boulogne. Un bois, qui contrairement à ce que son nom laisse supposer, est propriété de la ville de Paris.
Quelles que soient vos motivations, le bois de Boulogne est un véritable paradis pour le sportif qui sommeille en vous. Mettez de côté les aspects négatifs de la réputation du bois de Boulogne et enfilez vos chaussures pour vous défouler sur les pistes du parcours de santé.
Un des meilleurs endroits pour les joggers Parisiens :Les joggeurs peuvent profiter des 850 hectares du bois de Boulogne pour une remise en forme au cœur d’un des deux poumons de la ville de Paris. Il est possible de profiter d’un circuit de 14 kilomètres de randonnée et de pistes cyclables, ainsi que de 28 kilomètres de pistes cavalières, pour votre préparation physique. Vous trouverez également un circuit sportif formant une boucle de 2,5 kilomètres, composé de 19 étapes et jalonné d’agrès (équipements sportifs utilisés dans des disciplines telles que la gymnastique et le fitness, entre autres) qui permettent de travailler chaque partie de son corps.
La gratuité est un des avantages que représente une pratique sportive sur le parcours de santé du Bois de Boulogne. D’un point de vue sportif, il est relativement complet et permet de renforcer toutes les parties du corps, en n’ajoutant aucune surcharge puisque vous travaillez avec le poids du corps, ce que les professionnels de santé tels que les ostéopathes et kinésithérapeutes ont tendance à recommander, surtout si vous souffrez de problèmes de dos.
La Cité des Fleurs, une parenthèse enchantée au coeur de Paris ...
Au détour d’une balade dans le 17ème arrondissement, laissez-vous porter par le charme pittoresque et délicat de la Cité des Fleurs. Située dans le quartier des Épinettes, cette allée piétonne qui relie l’avenue de Clichy à la rue de la Jonquière est une véritable parenthèse enchantée. Une fois son portail franchi, l’agitation urbaine n’est plus qu’un lointain souvenir…
Une rue aux allures de petit village :© sophieorain / Instagram
Construit en 1847, ce site immobilier aux allures de petit village a vu le jour grâce à l’établissement de plusieurs conventions réglementant la construction de ces villas : l’alignement des façades, la limitation du nombre d’étages ou encore la hauteur des murs mitoyens sont quelques-uns des critères à respecter.
© lenavincent / Instagram
Outre les maisons individuelles, la Cité des Fleurs abrite plusieurs associations et institutions qui animent la vie de quartier. Vous trouverez entre autres une école maternelle, la paroisse de l’église Saint-Joseph des Épinettes et un foyer de jeunes travailleurs. Au fil des décennies, bon nombre d’artistes comme le peintre impressionniste Alfred Sisley s’y sont également installés… ou y sont nés ! C’est notamment le cas de Catherine Deneuve et sa défunte sœur Françoise Dorléac qui ont vu le jour dans une clinique de la Cité des Fleurs !
© ms_funkyfoxy / Instagram
Si le printemps et l’été sont les périodes idéales pour visiter ce site (la nature y est foisonnante et un doux parfum de fleurs flotte dans l’air), l’hiver et ses arbres dégarnis offrent également un cadre idyllique pour tout promeneur voulant échapper à la frénésie parisienne. Chaque saison dévoile avec singularité l’élégance de cette allée où « tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté ». Une véritable invitation au voyage, en somme !
© colorsforlife75 / Instagram
Métro : Brochant ou Guy Môquet
Ouvert au piétons du lundi au samedi de 7h à 19h et de 7h à 13h les dimanches et jours fériés
L’HÔTEL du NORD à Paris ...
Sur les bords du Canal Saint-Martin, un véritable emblème qui semble résister au temps et imposer sa sobriété apparente, à deux pas des boutiques colorées et des concept-stores du quartier. Cela fait plus de 100 ans que l’Hôtel du Nord offre sa façade blanche et ses lettres en mosaïque bleue aux passants, 100 ans qu’il garde secrètes les petites et grandes histoires qui s’y sont déroulées. À part bien sûr celles de Madame Raymonde, Mr Edmond, Renée et Prosper l’éclusier…
Un hôtel rendu célèbre par le cinéma :Ces noms vous paraissent familiers ? C’est normal, ce sont ceux des personnages principaux dufilm de Marcel Carné, L’Hôtel du Nord. En 1938, l’hôtel est la vedette du nouveau long-métrage de ce réalisateur à succès, au même titre qu’Arletty ou Louis Jouvet qui figurent au casting. Pourtant, c’est en studio, où l’intérieur de l’établissement ainsi qu’une partie du canal Saint-Martin ont été recréés, que la grande partie des scènes ont été tournées. Mais il n’en reste que lafaçade si caractéristique, elle, a marqué les esprits à jamais ! L’idée de raconter le destin croisé des clients de cet hôtel n’est pas de Marcel Carné : le cinéaste s’est contenté d’adapter sur écran le roman d’Eugène Dabit, le fils des propriétaires, très inspiré par l’atmosphère populaire du lieu.
Un hôtel très « titi parisien »Au tout début du XXème siècle, l’établissement de quarante chambres attirait une clientèle populaire d’éclusiers, d’ouvriers et de chômeurs qui louaient leurs chambres à la semaine. Peu de temps après son ouverture en 1912, son parquet était déjà délabré, mais la chaleureuse salle de restaurant et la courette avec écurie et poulailler lui apportent un charme pittoresque. Témoin de toutes les pérégrinations de l’hôtel, Eugène Dabit eut le temps de tout consigner dans un livre, mais pas de voir ce dernier adapté à l’écran. Il mourut trop tôt d’une scarlatine, en 1936.
Une façade classée Monument historique :Le succès du film fut immédiat, mais malgré l’engouement des Français pour ce petit hôtel pittoresque, l’établissement se dégrada davantage. Grâce au support de quelques passionnés de Paris et de cinéma, il échappa plusieurs fois à la destruction avant de voir sa célèbre façadeclassée au titre des monuments historiques en 1989. Pour les repreneurs, impossible donc de toucher à ce qui est aujourd’hui un lieu de pélerinage pour de nombreux nostalgiques. James Arch, l’ancien assistant de Marcel Carné qui transforma le lieu en restaurant en 1995 conserva l’enseigne « Hôtel du Nord » malgré le changement d’activité. Et aujourd’hui encore, malgré l’arrivée d’un nouveau propriétaire et l’aménagement de logements aux étages, la façade reste inchangée.
Aujourd’hui, un restaurant élégant :Au rez-de-chaussée, le restaurant actuel, beaucoup plus accueillant que l’Hôtel du Nord du début des années 30, ne trahit en rien l’histoire hors norme du lieu . Dans la partie bistrot, les dalles de ciment noir et blanc et le comptoir en zinc ont été préservés. Dans l’espace restaurant, de nombreux livres sur le cinéma, consultables sur place, jonchent les étagères de la bibliothèque, tandis que des affiches de films et des photos vintage d’acteurs habillent les murs…
Infos pratiques :
102, Quai de Jemmapes, 75010 Paris
Métro : Jacques Bonsergent (ligne 5)
Les cascades d’Iguazú, une merveille de la nature ...
Situées au cœur de la forêt tropicale, les chutes d’eau d’Iguazú comptent parmi les plus belles au monde.
Chaque seconde, les cascades d’Iguazú déversent 6 millions de litres de rivière. À la frontière entre le Brésil et l’Argentine, ce sont 275 cascades qui jalonnent la zone, créant de véritables rideaux d’eau.
Le site attire de nombreux touristes qui ont la possibilité de déambuler sur les passerelles pour admirer ce panorama colossal. Ils pourront notamment voir la chute la plus haute, la Gorge du Diable qui, avec ses 80 mètres, surplombe le paysage.
Le nom « Iguazú » vient du Guarani « y guasu » qui signifie « grandes eaux ». Situé au cœur de la forêt tropicale, le site est partagé en deux parcs nationaux qui accueillent une faune et une flore luxuriantes.
En effet, on compte 2000 espèces de plantes, 400 espèces d’oiseaux mais on y croise également des animaux insolites comme le singe hurleur, le fourmilier géant ou le coati roux.
Inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1984, le site fait partie des 7 nouvelles merveilles de la nature.
(Source : France Info)
Versailles : on peut enfin visiter le domaine privé de Marie-Antoinette !
© Château de Versailles, Thomas Garnier
Chaque pièce de la Maison de la Reine – dont le faste représente parfaitement les goûts luxueux de celle que le peuple appelait alors “Madame Déficit” ! – a été minutieusement restaurée. Le mobilier de Marie-Antoinette ayant été dispersé pendant la Révolution, ce sont des meubles commandés en 1810 par l’Impératrice Marie-Louise, sa petite-nièce, que l’on découvre à l’intérieur. Ces derniers restent dans un style très proche de ceux présents à l’époque de Marie-Antoinette et contrastent fortement avec l’aspect rustique que l’on retrouve à l’extérieur. Prêts à découvrir la maison de campagne de Marie-Antoinette ? En voilà un petit aperçu !
© Château de Versailles, Didier Saulnier
Informations Pratiques :
Le Hameau de la Reine se situe dans le domaine de Trianon, à l’extrémité du bras nord du Grand Canal. Le domaine de Trianon est ouvert tous les jours de 12h à 17h30 sauf le lundi.
Le Hameau de la Reine se visite sur visites guidées. Comptez 10 euros par personne pour une visite d’1h30 et 12 euros pour le droit d’entrée au domaine de Trianon. Plus d’informations sur le site du Château de Versailles.
La plus petite rue de Paris ...
Nichée dans le quartier du Sentier, la rue des Degrés est la plus petite rue de la capitale : avec ses 5,75 mètres de long, ses 3,30 mètres de large, la rue des Degrés est en fait une rue-escalier reliant le 87 rue de Cléry au 50 rue Beauregard. Zoom sur ce petit bout de Paris qui a connu une histoire mouvementée au fil des siècles !
Coincée entre deux immeubles, la rue des degrés n’a ni porte ni fenêtres. Enfin si, par le passé, mais elles sont murées aujourd’hui. Ce sont simplement 14 marches qui la forment, mais elle est tout de même considérée comme une rue ! Cette surélévation est due à l’histoire topographique de Paris. Créée à la suite de la démolition de l’enceinte Charles V en 1634, elle tient encore bon de nos jours !
Ce lien entre deux niveaux de rues résulte du fait que le quartier de Bonne Nouvelle, anciennement nommé « butte de Gravois » ou « butte de Bonne-Nouvelle » est légèrement surélevé par rapport au reste du 2ème arrondissement. Pour l’anecdote, la rue Montorgueil toute proche tient en partie son nom de cette butte ! Mont-orgueil, CQFD.
A l’angle de la rue, une plaque commémorative rappelle aux passants qu’en 1793 le baron de Batz a tenté de faire évader le roi Louis XVI le jour-même de son exécution, le 21 janvier 1793 Place de la Concorde.
Aujourd’hui, les marches de la rue des Degrés se sont parées de couleurs vives, ce qui n’est pas pour déplaire aux amateurs de photographie ! Il y a encore quelques années, elle était toute beige. Un coup de jeune et un renouveau coloré que les photographes aiment capturer.
Décor de cinéma :En 2002, François Dupeyron réalise le film Ibrahim et les fleurs du Coran avec Omar Sharif, d’après un roman de Eric Emmanuel Schmitt. Dans le film, la rue des degrés est visible à de nombreuses reprises et fait écho au Paris d’antan.
10 des lieux romantiques à Paris ...
Que vous ayez envie de célébrer une occasion spéciale ou simplement que vous cherchiez à surprendre votre moitié dans un lieu au haut potentiel romantique, voici une petite sélection chargée d’amour qui ravira les coeurs tendres.
L’Hôtel Grand Amour :L’arrière-cour arborée de l’Hôtel Amour est un véritable refuge intimiste qui se prête parfaitement aux babillages amoureux. Tombées de lierres, guirlandes lumineuses, touches de rose, petites tables rondes… Un joli endroit pour siroter un cocktail en ne se lâchant pas du regard !
Hôtel Grand Amour
18 rue de la Fidélité, Paris 10
Voilà sans doute l’une des impasses les plus romantiques de Paris, en dépit des visites de plus en plus fréquentes de touristes et autres bloggueuses mode… En même temps, la Villa Léandre a tout de la petite rue romantique comme figée dans le temps. Constituée d’une série de maisons anciennes au très beau cachet, assez hétéroclites dans leur style architectural, ces dernières se parent au beaux jours de magnifiques feuillages fleuris.
Un véritable plaisir pour les yeux et une pause verte à quelques pas de Montmartre, quartier le plus romantique de Paris s’il en est !
Villa Léandre
Accès par le 25 Avenue Junot, Paris 18ème
C’est l’hôtel chic et discret de la Place des Vosges : Le Pavillon de la Reine possède outre de magnifiques chambres une très belle table, le restaurant Anne. Restaurant gastronomique de tradition française, Anne régale les palais d’une cuisine raffinée : langoustines mi-cuites au piment d’Espelette, volaille du Béarn, girolles de Sologne…
Bref, une adresse à gourmets amoureux de bons petits plats.
Pavillon de la Reine
28 place des Vosges, Paris 3ème
Bruncher en amoureux au bord de l’eau comme profiter du salon cossu et de la large cheminée, vous avez le choix quelle que soit la saison. D’ailleurs, on nous souffle que le lieu est régulièrement privatisé pour de somptueux mariages…
Chalet des îles
14 Chemin de Ceinture du Lac Inférieur, Paris 16ème
Sans doute l’un des plus beaux parcs de Paris, en raison de ses magnifiques roses disséminées un peu partout. Créé à l’initiative de la reine Marie-Antoinette en 1777, le parc est aujourd’hui un haut lieu pour les amateurs de la délicate fleur, puisque tous les ans y est organisé le concours international de roses.
C’est un peu le lieu idéal pour un pique-nique romantique de charme si vous aimez vous entourer de fleurs, à deux pas d’une délicate pagode chinoise, avec des paons pour compagnons.
Parc de Bagatelle
Route de Sèvres, Paris 16ème
Son nom est déjà une invitation à l’envolée romantique… L’Oiseau blanc est le tout nouveau restaurant du Peninsula. Situé au 6ème étage du palace, à deux pas de l’Arc de Triomphe, le restaurant offre tout d’abord une vue majestueuse sur les monuments les plus célèbres de Paris. Simplement à couper le souffle ! Enorme coup de coeur pour la reproduction grandeur nature de l’avion l’Oiseau Blanc sur le toit du Palace, que l’on peut admirer depuis sa table.
Table élégante, l’Oiseau Blanc propose une cuisine de grand chef en dessous des prix pratiqués par les palaces parisiens. 69 euros le midi et 109 euros le soir.
L’Oiseau Blanc, Peninsula Paris
19 Avenue Kléber, Paris 16ème
Avec son décor floral enchanteur et éclectique, le café bohème a tout pour plaire aux amateurs de restaurants à la fois intimistes et vintage. Coussins liberty moelleux, candélabres, énormes bouquets de fleurs séchés accrochés ça et là ou élégamment disposés dans des vases anciens : on a l’impression d’être dans un boudoir Londonien.
La carte satisfera les amoureux gourmands (on pense au pain perdu Nutella ou à la patate douce rôtie au four, crème fraîche et grenade, plats réconfortants par excellence.)
Café Bohème
19 boulevard Edgar Quinet, Paris 14ème
Un incontournable de ce top : Le Musée de la vie Romantique est un divin écrin de verdure au coeur du 9ème arrondissement. Ancien hôtel particulier, il a accueilli au XIXème siècle de nombreux intellectuels et artistes comme notre chère George Sand, dont certains effets personnels sont exposés à l’intérieur du musée. Magnifique endroit, il héberge aussi un très joli café verrière donnant sur un ravissant jardin ombragé.
Un lieu magique à faire par une chaude journée d’été, quand les touristes ont fui la ville…
Musée de la Vie Romantique
16 rue Chaptal, Paris 9ème
Situé à la jonction des deux parties du Pont neuf, avec ses saules pleureurs qui penchent nonchalamment vers l’eau de la Seine, le Square du Vert Galant sait séduire les couples flâneurs. Son histoire est d’ailleurs l’une des plus riches (et coquines !) de Paris, puisqu’il est dédié aux maîtresses d’Henri IV. Surnommé « le vert galant » en raison de sa vigueur sexuelle, le roi et son esprit de grand amoureux imprègnent encore aujourd’hui les lieux.
Le Square du Vert Galant offre aujourd’hui un espace de verdure de qualité au coeur de Paris, bénéficiant d’une faune et d’une flore variées. Alors, que vous ayez envie de siester sous les marronniers, de conter fleurette sous un pommier, le square du Vert Galant s’avère être le lieu idéal !
Square du Vert Galant
Accès par le Pont Neuf, Paris 1er
Quittons un peu la capitale pour rejoindre le sublime parc de Sceaux, dans les Hauts-de-Seine. Si vous l’avez l’idée de déclarer votre flamme au printemps, c’est l’endroit où il faut être absolument ! Plus particulièrement lors de la période de floraison des centaines de cerisiers du parc, à la fin avril. Un moment magique où le domaine de Sceaux se pare de rose, pour quelques jours seulement !
A noter que chaque année est organisé au bosquet Nord un pique-nique champêtre comme les japonais le font lors du Hanami, fête des cerisiers en fleur immensément connue au pays du soleil levant. Appréciez la beauté des fleurs, le romantisme à la japonaise…