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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !
· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
· Sans dessus dessous ... texte de Raymond Devos !
· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
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Le chalet des îles, le restaurant romantique au bord de l’eau ...
Prendre le large le temps d’un repas dans un lieu au passé chargé d’histoire, en pleine nature et aux portes de Paris ! Le Chalet des îles, restaurant niché sur une des deux îles du lac inférieur du bois de Boulogne offre une escapade champêtre et délicieusement cosy.
Le chalet des îles, c’est d’abord un lieu au passé fascinant, remontant au milieu du XIXème siècle. Fastueux cadeau de l’empereur Napoléon III à son épouse Eugénie, éprise de l’architecture des chalets de Bern, le chalet est démonté puis acheminé depuis la Suisse et remonté sur place. Inauguré en 1880, il attire très vite les mondains de l’Ouest parisien et notamment certains de nos plus fameux auteurs. Proust, Zola, ils sont nombreux à y venir trouver refuge, et peut-être à chercher l’inspiration dans un cadre raffiné. Proust cite d’ailleurs le lieu dans "A la recherche du temps perdu" !
De café littéraire prisé à la Belle époque, le chalet se mue progressivement en restaurant et lieu de réceptions privées. Aujourd’hui, en dépit de plusieurs incendies, le Chalet des îles trône encore élégamment dans son écrin de verdure. Avec sa façade orangée et ses volets vert d’eau il s’évertue à maintenir un charme ancien mais pas poussiéreux pour un sou. Pour s’y rendre, on emprunte une navette (gratuite). Pas de panique pour les marins d’eau douce, le trajet dure moins d’une minute.
Dîner romantique ou brunch entre amis dans un cadre cossu :Avec son ambiance chic décontractée et sa décoration chaleureuse le chalet des îles se prête à différents rendez-vous selon les saisons : l’hiver, on se réchauffe au coin de la grande cheminée, bien installé dans un canapé en cuir vieilli ou dans un large fauteuil. Entre le pavillon de chasse et le chalet montagnard revisité, on a envie de s’éterniser au bar pour des heures !
Dans l’assiette, le restaurant opte pour une carte rendant hommage à la gastronomie française traditionnelle, parfois égayée d’inspirations plus exotiques et de plats végétariens. Noix de Saint-Jacques, risotto à la truffe, curry d’agneau madras et riz madras, entrecôte de boeuf Angus… Pour les becs sucrés, des grands classiques gourmands, comme la brioche perdue, la tarte bourdaloue ou les profiteroles. Une carte raffinée et des prix assez élevés : une quizaine d’euros les entrées, une vingtaine pour les plats principaux et une dizaine pour les desserts. On paye certes le cadre, mais la cuisine est de qualité.
Le brunch, servi sous forme de grand buffet est autour de 60 euros. C’est élaboré et cuisiné à partir de produits frais sur place.
A la belle saison, on aime y venir pour se délecter du cadre bucolique qu’offre le lac inférieur et ses environs. Depuis la terrasse bar, on laisse vagabonder son regard vers les barques fendant le lac, un cocktail à la main, une planche de charcuterie pas loin. Occasionnellement, le chalet accueille des concerts sur sa terrasse extérieure pour animer les longues soirées d’été. Certains décident même de faire du chalet leur lieu de mariage !
L’été, le chalet joue de son cadre idyllique pour accueillir réceptions de toutes sortes. Instagram @valentinesoules
Le Chalet des îles
14 Chemin de Ceinture du Lac Inférieur, Paris 16ème.
Accès depuis les métros Porte de la Muette ou Porte Maillot
Ouvert du mercredi au samedi de 12h à 14h30 et de 19h30 à 22h, le dimanche de 12h à 14h30
Tèl : 01 42 88 04 69
Les plus belles serres de Paris ...
Depuis maintenant plusieurs siècles, les serres font parties du paysage urbains de Paris. Intrigantes et fascinantes, elles nous permettent une évasion certaine. En cet hiver froid et pluvieux, elles nous accordent une impression de chaleur bienvenue et sont parfaites pour une jolie balade.
Les serres d’Auteuil : Le jardin des Serres d’Auteuil est situé à l’intérieur du bois de Boulogne. Cet espace est l’un des quatre poles du jardin botanique de la ville de Paris. Et cette magnifique serre ne date pas d’hier… Au premier coup d’œil, on remarque son architecture particulière qui n’est pas sans rappeler la fin du XIXe siècle : des armatures de fonte d’un bleu-vert caractéristique. Mais, en réalité, la présence de serres à cet endroit date du règne de Louis XV, de l’année 1761 plus précisément.
Aujourd’hui, un parterre à la Française entoure les serres, les sublimant encore plus. Ce sont quelques cinq espaces qui nous révèlent leurs secrets : la grande serre, la serre Est, la serre Ouest, la serre aux palmiers et enfin la serre aux azalées. À l’intérieur, c’est le patrimoine naturel français qui est mis en valeur. La collection compte tout de même plus de 6 000 espèces végétales ! La réorganisation récente propose une nouvelle scénographie paysagère, pour notre plus grand plaisir.
Les serres d’Auteuil – 3 Avenue de la Porte d’Auteuil, 75016 Paris
Métro : Ligne 10, Porte d’Auteuil
De 8h00 à 16h00 la semaine et de 9h00 à 17h00 les week-ends et les jours fériés
Il s’agit sûrement des serres les plus connues de Paris. Présentes depuis le règne de Louis XIII, elles ont été maintes fois détruites, reconstruites et modifiées. Les deux grandes serres de Rohan de Fleury sont bâties entre 1864 et 1836, le grand jardin d’hiver de René Félix date de 1937. Quant aux serres courbées, elles ont été reconstruites par Paul Chemetov entre 1995 et 1997. Enfin, la dernière et nouvelle « serre des déserts et milieux arides » est inaugurée en 2010 à l’emplacement des anciennes « serres coloniales ». Quatre serres sont accessibles au public sur les cinq existantes et nous font découvrir la flore de territoires exotiques.
La serre des Forêts tropicales humides :
L’ancien jardin d’hiver est la plus grande serre du complexe. Sa forme atypique a été dessinée par René-Félix Berger. On se trouve alors en plein milieu d’une végétation de forêts tropicales humides bien loin de la grisaille. On peut alors contempler une petite rivière artificielle, des figuiers, des palmiers, des bananiers et même des fougères arborescente. En bref, toutes sorte de végétation que l’on ne trouve pas en France métropolitaine. Qui aurait dit que Paris se trouvait aussi sous les tropiques ?
Serre des déserts et milieux arides :
Cette serre est la plus récente, mais pas la moins étonnante ! Elle a été construite entre 2005 et 2010. Les serres coloniales, qui étaient en bois, se sont effondrées suite à la tempête de 1999. Cette petite nouvelle est consacrée aux milieux arides des Etats-Unis, du Mexique, des Andes, d’Afrique méridionale, de Madagascar, de la péninsule arabique et même d’Australie. Alors on n’oublie pas notre bouteille d’eau avant cette traversée du désert.
Serre de Nouvelle-Calédonie :
Il s’agit de la plus petite serre. À l’heure actuelle, elle est spécialement dédiée à la flore des îles de Nouvelle-Calédonie… Ainsi, même si l’on ne peut pas forcément voyager à l’autre bout du monde, il est désormais possible de se rendre compte de sa beauté au premier coup d’œil. Elle s’attèle notamment à montrer la fragilité d’un écosystème.
Serre de l’histoire des plantes :
La serre de l’histoire des plantes est très semblable à la serre « Nouvelle Calédonie ». Appelée jusqu’en 2010 serre australienne, elle était destinée à présenter des espèces végétales d’Océanie et de Nouvelle-Calédonie, notamment avec la présence d’espèces endémiques de ces îles. Elle s’applique aujourd’hui à montrer comment sont apparues les premières plantes terrestres en comparant des fossiles avec des espèces actuelles. Un vrai voyage dans le temps…
Grandes serres du Jardin des Plantes – 57 Rue Cuvier, 75005 Paris
Métro : Ligne 5, 10, Gare d’Austerlitz
Tous les jours de 8h00 à 17h30
Sur une surface de 3600m², on trouve une orangerie et un ensemble de serres, dont la fameuse serre à orchidée composée de 7 chapelles pour 7 parties du mondes.
Ouvertes uniquement à l’occasion des journées du patrimoine, ces petites serres charment par leur coté intimiste et leur collection impressionnante.
Les serres du Sénat – 64 Boulevard Saint-Michel, 75006 Paris
Métro : Ligne 4, 10 Odéon
Ouverte à l’occasion des journées du patrimoine
Situées à l’emplacement même de l’ancienne usine Citroën dans le quartier de Javel, les serres se trouvent à l’intérieur du parc, en place centrale d’un jardin de plus de 120 jets d’eau. Leur grandeur et leur transparence apportent une sensation de puissance à ces serres. Chacune à sa particularité, la première sert d’orangerie de mars à octobre tandis que l’autre est entièrement dédiée à la végétation australe. Il est intéressant ensuite de visiter les six petites serres des Jardins Sériels qui sont dans la continuité de ces jardins.
Les serres du parc André-Citroën – 2 Rue Cauchy, 75015 Paris
Métro : Ligne 9, 10 Michel-Ange Molitor
De 8h00 à 20h00 la semaine et de 9h00 à 20h00 les week-ends
Ce petit jardin d’hiver est la réplique miniaturisée des grandes serres du Second Empire. Il est possible d’apprécier leur beauté dans la partie sud du square, assis sur un banc ou posté derrière les vitres comme s’il s’agissait d’une vitrine. On ne peut malheureusement pas pénétrer dans ce petit bijou d’architecture témoin du passé en dehors des journées du patrimoine. L’édifice est entouré de magnifiques fleurs, surtout à partir du printemps.
Les serres du square Edouard Vaillant – 50 Avenue Gambetta, 75020 Paris
Métro : Ligne 3, Gambetta
De 8h00 à 20h30 la semaine et de 9h00 à 20h30 les week-ends
Les incroyables jardins des Archives nationales ...
Malgré les années, la capitale cache encore de nombreux secrets. L’un d’eux est un paradis de verdure situé dans un décor historique. Une véritable échappatoire au stress de la vie quotidienne qui reste encore méconnu par de nombreux Parisiens. Il s’agit en effet des jardins des Archives Nationales, un site exceptionnel qu’on vous invite à découvrir au plus vite. Pour la partie historique, cet espace de 8000m² fut fermé au lendemain des attentats de 1995 et a été rouvert au public en 2011, après une longue période de rénovation sous la direction de Louis Benech. Si, dans un premier temps, le lieu n’est pas forcément évident pour une idée balade, le doute se dissipe assez rapidement. Du jardin à la française classique du 18ème siècle au verger apprivoisé, en passant par le parc romantique du 19ème, il y en a pour tous les goûts.
Jardin de l’hôtel de Rohan :On commence par le plus spectaculaire des jardins, le plus majestueux, centré sur la façade de cet hôtel particulier construit en 1705. Armand-Gaston-Maximilien de Rohan, fils du cardinal de Rohan, le fit construire sur un terrain contigu à l’hôtel de Soubise, occupé par ses parents. Si le lieu est quasiment détruit pendant la Révolution, il sera heureusement sauvé par Napoléon Ier, qui le rachète en 1808. Fini l’hôtel, il est désormais question d’en faire le siège de l’Imprimerie nationale. En 1927, il est à nouveau sauvé de la destruction et le bâtiment est définitivement affecté aux Archives Nationales.
Rénové en 2008, le jardin se distingue par une vaste pelouse à la française, idéale pour pique-niquer, bordée de nombreux bancs et de deux allées de platanes. On vous conseille alors d’emprunter la longue allée qui, lorsque le temps le permet, vous offre une marche en plein soleil. Tout au long du chemin, des chênes, des arbustes ou encore des rosiers viennent enchanter votre balade.
Jardin des hôtels d’Assy et de Breteuil :Typiques des petits jardins de ville que l’on pouvait trouver à l’époque du Second Empire, ils sont aujourd’hui devenus des espaces publics et surtout, des lieux idylliques pour bouquiner ou tout simplement s’étendre dans l’herbe. Romantique à souhait, les amoureux y trouveront aussi un lieu parfait pour un pique-nique. Pour preuve, une petite rivière est même aménagée avec des rocailles et des fougères… On vous laisse quelques secondes pour imaginer la vision d’ensemble. Alors que se succèdent des plantes et des arbres tous plus exotiques les uns que les autres, ce jardin est surtout l’occasion de venir admirer un marronnier d’Inde, un cas unique à Paris. Une formule assurément gagnante qui propulse le lieu parmi les plus beaux jardins de Paris.
Jardin de l’hôtel de Fontenay :Construit entre 1720 et 1751, le jardin est d’abord l’œuvre d’Achille Duchêne, un paysagiste français grand admirateur d’André Le Nôtre. Pour les récentes rénovations, Louis Benech s’est inspirés de ses deux illustres compères. A l’entrée de ce jardin se tiennent désormais deux gloriettes qui sont là pour évoquer les pavillons disparus. Ce travail de reconstitution a été possible grâce à des documents datant du 19ème siècle. L’une des particularités de ce jardin est le parterre central qui accueille un mille-fleurs, un motif représenté à l’aide d’une multitude de petites plantes et fleurs. Autour, des fleurs des champs semblent protéger et veiller sur ce chef d’oeuvre.
Jardin de l’hôtel de Jaucourt :Qui dit nouveau jardin dit nouvelles fleurs… Tulipiers, micocouliers et pins nous accueillent au jardin de l’hôtel de Jaucourt, qui fait aussi office de verger. Construit sous Charles V en 1599, l’hôtel appartient ensuite, au 18ème siècle, à la comtesse de Jaucourt, qui donne son nom au jardin. En 1962, l’hôtel est racheté par l’Etat et une importante phase de restauration est lancée sous la direction de l’architecte Claude Aureau. Après quelques modification, le lieu est alors attribué aux Archives Nationales. Le jardin de l’hôtel de Jaucourt n’a pas un côté aussi sauvage et romantique que ses voisins puisqu’il se présente plutôt comme un pré très bien entretenu, avec des pelouses soignées. Tout du long, on peut y trouver des rosiers et des arbres fruitiers.
Encore méconnus des Parisiens, les jardins des Archives nationales ne devraient pas le rester très longtemps et c’est tant mieux car ils pourraient en ravir plus d’un. La beauté des lieux, ainsi que le calme qui y règne, constituent une balade romantique idéale. Si vous travaillez juste à côté, ces jardins sont aussi d’excellents repères pour une pause-déjeuner en plein air et une petite sieste.
Jardin des Archives nationales – 60 rue des Francs-Bourgeois et 11 rue des Quatre-Fils, 75003 Paris
Horaires d’ouverture : Tous les jours de 8h00 à 17h00, du dernier dimanche du mois d’octobre au dernier samedi du mois de mars (automne-hiver)
De 8h00 à 20h00, du dernier dimanche du mois de mars au dernier samedi du mois d’octobre (printemps-été)
Métro : Saint-Paul (ligne 1)
Un nouveau jardin de 800 m2 au coeur du Marais ...
On reproche toujours à Paris de manquer cruellement d’espaces verts. Le 4ème arrondissement prend les devants cette année en transformant la place Père-Teilhard-de-Chardin en un jardin de plus de 800 mètres carrés. L’ouverture au public est prévue pour le printemps prochain.
C’est sur le parvis faisant face à la bibliothèque de l’Arsenal que sera aménagé ce nouvel espace vert – Instagram @massimo.dalbianco -
Peut-être un moyen de désengorger la surpeuplée place des Vosges aux beaux jours ? En tout cas, on l’espère ! Flâner du côté de la rue de Sully permettra sans doute à ceux qui ne connaissaient pas la bibliothèque de l’Arsenal de découvrir ce lieu d’esprit chargé d’histoire. Les amateurs de patrimoine pourront d’ailleurs également accéder aux vestiges de l’enceinte construite en 1350 sous Charles V. Ces derniers avaient été découverts au cours de l’été 2015 et seront accessibles grâce à un double escalier. À quartier historique, jardin historique !
Les 5 musées les plus chaleureux de Paris ...
Le Musée Gustave Moreau :
Le musée Gustave Moreau se trouve dans un superbe hôtel particulier au cœur de la Nouvelle-Athènes. Il s’agit de l’ancienne demeure de ce peintre et sculpteur symboliste : l’artiste a vécu une grande partie de sa vie ici, avec ses parents ! Au premier étage, vous pourrez découvrir son ancien lieu de vie, tandis que les deuxième et troisième étages nous permettent de découvrir quelques unes de ses peintures. Le magnifique escalier qui relie l’ensemble et les murs rouges couverts de tableaux du sol au plafond lui donnent une atmosphère particulièrement chaleureuse.
© the.geographer / Instagram
Musée Gustave Moreau - 14 rue de La Rochefoucauld, 75009 Paris.
Ouvert tous les jours sauf le mardi de 12h45 à 14h
Ce qu’il y a de bien avec le musée Zadkine, c’est qu’il se découvre de façon totalement différente en été et en hiver ! En été, on s’attarde dans son très charmant jardin, peuplé de nombreuses sculptures de l’artiste. L’hiver, c’est à l’intérieur que l’on se réfugie, dans l’ancien atelier de cet artiste russe débarqué à Paris sans un sou en poche. Dans cette petite maison d’un étage, on y découvre les oeuvres du sculpteur sous la lumière, sublime en hiver, de nombreuses verrières. Et bonne nouvelle, les expositions permanentes sont gratuites !
© sylvaincaron / Instagram
Musée Zadkine – 100 bis, rue d’Assas 75006 Paris.
Ouvert tous les jours sauf le lundi de 10h à 18h
Ce petit musée privé situé au coeur du Marais ne ressemble à aucun autre à Paris. Ici, l’atmosphère est plus volontiers celle d’un cabinet de curiosités. Des dizaines d’animaux empaillés et autant de tableaux peuplent les murs recouverts de boiseries ou tapissés de couleurs chaudes. Au sol, ce sont des objets d’art, du mobilier des XVIIème et XVIIIème siècles et des vitrines regorgeant d’armes de chasse que l’on découvre. Impossible d’avoir froid entourés par ce nombre impressionnant d’objets en tous genres !
© slighty_worn / Instagram
Musée de la Chasse et de la Nature – 62, rue des Archives 75003 Paris.
Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h
Cette ancienne demeure bourgeoise nous plonge dans une atmosphère très particulière : la moindre salle est décorée avec soin, pourvue de nombreux tableaux, luminaires et mobiliers luxueux. Ainsi, le lieu ne nous fait pas découvrir l’art des grandes institutions culturelles, mais l’art tel qu’il était présent au quotidien dans les grandes demeures d’antan. Une différence qui rend ce musée beaucoup plus vivant que les autres. Et pour se réchauffer encore un peu, rien de mieux qu’une pause dans le salon de thé du musée. Dans ce cadre majestueux, on craque pour leurs petites douceurs réalisées par les meilleurs pâtissiers de Paris.
Musée Jacquemart-André - 158 boulevard Haussmann, 75008 Paris.
Ouvert tous les jours de 10h à 18h, nocturne le lundi jusqu’à 20h30
Le Musée Jean-Jacques Henner, situé au coeur du quartier Monceau dans le 17ème arrondissement, est un lieu sans pareil. Consacré à la vie et au parcours artistique de l’artiste éponyme, il est installé dans une ancienne demeure du XIXème siècle typique du quartier. On aime tout particulièrement son patio boisé et coloré, son salon rouge orientalisant dont les couleurs chaudes et les baies vitrées recouvertes de moucharabiehs apportent chaleur et dépaysement. Le trésor du lieu reste néanmoins la salle des colonnes qui ouvre sur un magnifique jardin d’hiver, au rez-de-chaussée. Parfait pour une visite au coeur de la saison fraiche !
Musée national Jean-Jacques Henner - 43, avenue de Villiers, 75017 Paris
Ouvert tous les jours sauf le mardi de 11h à 18h
La rue la plus renversante de Paris ...
Quiconque a déjà arpenté cette rue sait qu’il est impossible de l’oublier… De toute façon, nos jambes seront là pour nous le rappeler : avec ses 222 marches, on parcourt l’équivalent d’une douzaine d’étages en la traversant ! Mais ce sont justement ces fameux escaliers qui font de la rue Foyatier l’une des plus atypiques et reconnaissables de la capitale.
Une rue qui grimpe, qui grimpe !Reliant la place Suzanne Valandon au Sacré-Coeur, cette voie uniquement composée d’escaliers nous offre tout ce que Paris possède de plus pittoresque : des réverbères et des arbres de grande hauteur, des pavés sur toute sa longueur, quelques oeuvres de street-art disséminées ça ou là, et une vue imprenable sur le square Louise Michel situé juste à côté. Un point de vue parfait pour quelques photos tout à fait idéalistes de la capitale !
Et pour une balade encore plus intéressante, on fera un petit détour par la rue Chappe, perpendiculaire à la rue Foyatier et toute aussi bucolique, avant de s’arrêter au niveau de la rue Saint-Eleuthere pour y découvrir les Arènes de Montmartre.
Pour la petite anecdote, cette rue qui porte le nom du sculpteur Denis Foyatier est l’une des seules de la capitale à n’avoir aucun habitant. En effet, il n’existe qu’une seule adresse officielle le long de cette rue, le numéro 1… Et c’est une école qui s’y trouve !
© montmartraddict / Instagram
Une escapade à deux pas de Paris : Enghien-les-Bains ...
A 11 kilomètres de Paris, se trouve l’unique station thermale d’Ile-de-France : Enghien-les-Bains. Si la commune est reconnue pour son lac et son casino, ce sont également ses rues commerçantes et ses nombreuses animations qui rendent la ville unique. Considérée comme un « petit Paris », la ville offre un cadre agréable et plaisant, à la fois pour ses 12.000 habitants que pour ses nombreux visiteurs annuels. On vous emmène à la découverte de cette commune occupant une place à part dans la banlieue nord de Paris.
Une ville qui respire le bien-être :
Construite autour du lac, Enghien-les-Bains bénéficie d’un environnement naturel exceptionnel. La qualité de l’eau et les nombreuses infrastructures de bien-être lui valent le statut d’unique station thermale d’Ile-de-France. Bon nombre de franciliens choisissent en effet les Thermes d’Enghien pour y effectuer une cure de bien-être et de soin.
Plus généralement, la ville offre une qualité de vie très supérieure à la moyenne, elle est axée autour de la culture et des arts. Chaque année l’Enghien Jazz Festival investit les lieux et beaucoup d’artistes reconnus délivrent leurs performances sur la scène flottante du lac et au théâtre du casino. Centre culturel, médiathèque ou centre des Arts : ils viennent s’ajouter aux nombreux théâtres et cinémas qui animent la ville au quotidien.
L’incontournable lac d’Enghien : Au coeur de la ville, le lac est la destination des promenades enghiennoises. Offrant un panorama sublime, le tour du lac est une balade incontournable de la région. Pendant les beaux jours, n’hésitez pas à naviguer en pédalo sur son étendue de 43 hectares, ce sera l’occasion d’admirer ses rives pleines de charme et de croiser ses habitants, les cygnes et les canards. Profitez en pour faire une halte sur l’Île aux Cygnes, située au coeur du plan d’eau.
Par ailleurs, le lac est l’un des plans d’eau les plus poissonneux de la région. Il est possible et même recommandé d’aller y pêcher. Mais avant d’installer votre ligne, il vous faudra acheter un permis de pêche à l’office de tourisme.
Il va sans dire que le succès de la ville réside aussi autour du casino. Premier de France en termes de recettes, c’est aussi celui le plus proche de Paris.
Dans les coulisses de l’Opéra Garnier ...
Depuis sa construction, le palais Garnier est un lieu mythique de Paris. L’Opéra a vu passer bon nombre des plus grandes oeuvres musicales et théâtrales dans son enceinte. Mais il faut savoir que l’endroit est parfois aussi insolite qu’historique ! Il existe de nombreuses anecdotes et de petits secrets à son sujet et nous choisissons de les partager avec vous…
Le lac du cinquième sous-sol :
Nous vous en avions déjà parlé, souvenez-vous, au cinquième sous-sol de l’Opéra se cache un mystérieux lac ! Inaccessible du grand public, il reste l’un des secrets les mieux gardés du palais. Si l’origine de son existence a plusieurs fois été remise en question, on vous l’assure, il s’agit d’un lac artificiel. Ce dernier est même essentiel à l’édifice ; lors de la construction de l’Opéra, le sol fragile et les infiltrations d’eau posent un problème de taille, et l’idée d’une grande cuve étanche germe : le lac de l’Opéra voit le jour.
Les passages secrets :
Originellement, deux boyaux principaux composaient le réseau de passages secrets de l’Opéra. Venus des sous-sols, ils traversaient le Grand Foyer pour déboucher au quatrième étage dans un espace appelé « patinage », en référence aux glissades effectuées par les petits rats d’opéra. Aujourd’hui, l’une de ces artères est encore praticable mais l’autre est occupée par une descente d’évacuation pluviale.
L’ascenceur de l’Aga Khan :
Le sultan Mohammed Chah ou Aga Khan III, féru de danse et visiteur fidèle de l’Opéra, souffrait malheureusement d’obésité qui rendait pénible sa montée en escaliers jusqu’à sa loge. En toute simplicité, il se fit construire un ascenseur particulier et moderne jusqu’à la Rotonde des Abonnés du deuxième étage. Depuis 2009, et après plus de 40 ans d’inactivité, l’ascenseur a été remis en service pour les personnes handicapées.
Une construction mouvementée :
Aujourd’hui joyau du patrimoine français, le palais Garnier a bien failli ne pas exister ! En effet, la construction, débutée en 1860 s’est heurtée en premier lieu à des soucis techniques (abordés ci-dessus). Mais c’est surtout à cause du contexte politique que les travaux ont été freinés. La guerre contre la Prusse, à titre d’exemple, a contraint l’interruption des travaux. Associée qui plus est à un régime détesté (l’Empire), la construction a surtout failli s’arrêter à cause de son coût.
Le bébé Garnier :
Anecdote un peu macabre : il y a en moyenne un mort tous les deux ans à l’Opéra, c’est pourquoi la présence d’un médecin est requise à chaque représentation. S’il n’est pas rémunéré, le chanceux profite tout de même de deux places gratuites ! Sa présence est tombée sous le sens lorsqu’une spectatrice a perdu les eaux en plein spectacle. L’Opéra a d’ailleurs voulu offrir un abonnement à vie au bébé mais s’est finalement ravisé, de peur que la situation se reproduise de façon délibérée.
Le dîner de Pavarotti :
S’il y a bien un ténor qui a marqué les lieux de son empreinte, ce n’est nul autre que le fameux Luciano Pavarotti. Un florilège d’anecdotes gravitent à son sujet mais celle-ci reste notre préférée : attendu a un dîner de gala avec les mécènes de l’Opéra après un spectacle, il n’est jamais venu, préférant partager un plat de pâtes avec le concierge du palais, originaire du même village que lui en Italie !
Le télégraphe : Pendant plus de 150 ans, l’Opéra Garnier a connu son lot de superstitions mais l’histoire de Lucienne Bréval surpasse les autres. La soprano était en effet terrorisée par le trac, il était impossible pour elle de se produire si le concierge ne lui avait pas dit « merde » avant la représentation. Un soir, ce dernier étant absent, elle refuse catégoriquement de monter sur scène jusqu’au dernier moment où elle reçut un télégraphe contenant le mot de cinq lettres.
Nombreux sont les secrets et anecdotes du palais Garnier, mais il est certain que l’Opéra nous cache encore de nombreux mystères !
Palais Garnier :
8, rue Scribe, Paris 8ème arrondissement.
Un sublime festival de lanternes géantes, à deux pas de Paris ...
La magie de Noël n’est pas tout à fait finie… Du moins pas dans les jardins du Zoo de Thoiry, où a lieu en ce moment un festival de lumières chinoises, haut en couleur. Vous avez jusqu’au 10 mars 2019 pour vous immiscer dans un voyage merveilleux au travers des 600 sculptures lumineuses qui composent le parcours.
Un parcours féérique :
Dès la tombée de la nuit, Thoiry se pare de lumière et de magie… Le spectacle prend vie sur près de 6 hectares de jardins botaniques. Spécialement conçu pour le zoo, le festival s’étend en 30 tableaux regroupant 600 sculptures lumineuses. Au programme du parcours : une reproduction du château de Thoiry, des insectes, des oiseaux, des grands mammifères et même un dragon géant de 65 mètres de long.
Des activités riches :
Pour accompagner ce beau monde, la troupe de théâtre de Sichuan se produit également sur scène à travers différentes représentations dans l’art du « bian lan », autrement dit l’art de changer de visage. On trouve par ailleurs dans le parc un marché traditionnel des artisans, où l’on peut voir tout le savoir-faire des créateurs chinois.
La Chine traditionnelle à l’honneur :
« Lumières sauvages » est un voyage ancestral au coeur de la Chine traditionnelle. Les lanternes sont toutes réalisées à la main par des artistes de la ville de Zigong, de la province du Sichuan. Elles représentent les animaux traditionnels et les symboles de l’empire céleste.
Venez en famille, entre amis ou en couple pour profiter d’un spectacle grandiose à 40 minutes de Paris.
Thoiry ZooSafari
Rue du Pavillon de Montreuil - 78770 Thoiry
Une halte gourmande chez le confiseur de Monet ...
Installée au 36 rue Laffitte depuis sa création en 1852, la Maison Fouquet est une histoire de famille, de tradition et de savoir-faire artisanal, mais aussi une halte incontournable pour les amateurs de douceurs sucrées. Petit aperçu de ce qui vous attend dans cette ancienne échoppe devenue le temple de la gourmandise parisienne !
Une petite boutique dédiée aux plaisirs sucrés :Si l’enseigne ouverte par Louis Fouquet en 1852 inaugure son histoire en fabriquant des confitures, c’est lorsqu’elle étend son savoir-faire aux confiseries, au tournant du XXème siècle, qu’elle commence vraiment à se faire un nom. C’est également à cette époque que la famille Chambeau-Minard prend les rênes de la boutique. Parmi les clients les plus assidus de l’époque, on trouve le jeune Claude Monet qui, en tant qu’habitué du quartier de l’Opéra et ancien résident de la rue, passe régulièrement les portes de la maison pour satisfaire ses envies sucrées. L’on dit qu’il était particulièrement friand des berlingots, dragées et fondants au sucre de la maison.
Un haut-lieu de la gourmandise parisienne :Une centaine d’années et cinq générations plus tard, la famille Chambeau-Minard est toujours aux commandes. La maison s’est bien développée et propose aujourd’hui des confiseries, des chocolats et de l’épicerie fine dans ses deux adresses parisiennes. La première se trouve toujours au 36 rue Laffitte, la seconde a pris ses quartiers rue François 1er, au cœur du triangle d’or, en 1928.
Le confiseur de Monet poursuit les mêmes objectifs qu’au premier jour : proposer des produits de qualité, confectionnés avec soin dans le laboratoire attenant à la boutique de la rue Laffitte, en suivant les recettes traditionnelles et artisanales de leurs aïeux. La sélection des matières premières et le souci de l’accueil font également l’objet de la plus grande attention.
Des pâtes de fruits confectionnées à la main avec de la pulpe de fruits naturelle, des bonbons acidulés aux saveurs déclinables à l’infini, des fruits secs enrobés de chocolat, des caramels cuits à la bassine comme il y a 150 ans, la diversité des produits proposés par la maison Fouquet est impressionnante. Les prix sont certes élevés, mais la qualité des produits est au rendez-vous.
On comptera 26 euros pour un ballotin de caramels mous ou de pâtes de fruits, 45 euros pour une boite de Salvators, l’une des spécialités de la maison et 6 euros pour un pot de confiture artisanale. Et même si l’on décide de ne rien acheter, une petite halte dans cette maison dédiée à la « haute gourmandise » fera toujours du bien à deux de nos sens : la vue et l’odorat !